MSI victime d’un ransomware du groupe de ransomware Money Message
Money Message, un groupe de ransomware, affirme posséder des codes sources appartenant à MSI et exige le versement d’une rançon de 4 millions de dollars.
Une cyberattaque sur MSI
MSI, un fabricant taïwanais de composants pour PC, a été répertorié sur le portail d’extorsion de Money Message. Ce groupe de rançongiciels a volé 1,5To de données, dont le code source du réseau de l’entreprise, selon Bleeping Computer.
Les pirates réclament une rançon
Les pirates ont publié des captures d’écran de bases de données CTMS et ERP de MSI, ainsi que des fichiers contenant du code source et des clés de sécurité pour prouver leurs actions.
MSI n’a ni confirmé ni nié les allégations des pirates, mais la société a admis avoir été victime d’une cyberattaque dans un communiqué.
MSI a activé ses mécanismes de défense
Elle a expliqué que dès qu’elle a détecté des anomalies sur le réseau, elle a immédiatement activé les mécanismes de défense appropriés, pris des mesures de récupération et signalé l’incident aux agences gouvernementales compétentes et aux unités de cybersécurité.
Les pirates ont menacé de publier les documents volés si MSI ne paie pas une rançon de 4 millions de dollars dans les cinq jours.
Bien que la date limite soit passée, aucun document n’a encore été publié à ce jour.
Les cyberattaques sont devenues une menace de plus en plus répandue pour les gouvernements, les entreprises et les individus. Une cyberattaque peut avoir des conséquences graves et potentiellement catastrophiques sur l’infrastructure d’un pays. Dans cet article, nous examinerons comment une cyberattaque pourrait paralyser le pays en explorant les différentes vulnérabilités et impacts possibles.
Comment une cyberattaque pourrait paralyser notre pays
La vulnérabilité des systèmes critiques
Les systèmes critiques, tels que les réseaux électriques, les systèmes de transport et les réseaux de communication, sont devenus de plus en plus dépendants de la technologie et de l’Internet.
Cela signifie que ces systèmes sont également de plus en plus vulnérables aux cyberattaques. Les cybercriminels peuvent exploiter les vulnérabilités des systèmes pour les paralyser ou les perturber gravement, ce qui peut entraîner des conséquences dramatiques pour la société.
Les conséquences sur les services essentiels
Une cyberattaque contre les systèmes critiques peut entraîner des conséquences dramatiques pour les services essentiels, tels que l’énergie, l’eau, le transport et la communication.
Les coupures d’électricité peuvent causer des pannes de système de chauffage, de climatisation et de sécurité, tandis que les coupures de réseau de communication peuvent paralyser les services d’urgence et les communications vitales.
Les conséquences économiques
Une cyberattaque peut également avoir des conséquences économiques importantes pour le pays.
Les attaques contre les entreprises peuvent entraîner des pertes financières importantes, des coûts de réparation élevés et une perte de confiance des investisseurs. Les secteurs clés de l’économie peuvent être gravement touchés, notamment l’industrie, les services financiers, le transport et le tourisme.
Les conséquences sur la sécurité nationale
Une cyberattaque peut également avoir des conséquences graves pour la sécurité nationale.
Les cyberattaques peuvent être utilisées pour voler des informations sensibles, tels que des données militaires, des secrets commerciaux, des données personnelles, ou même pour perturber les infrastructures stratégiques. Cela peut avoir un impact sur la sécurité nationale, la stabilité politique et les relations internationales.
Les mesures de prévention
Il est essentiel que les gouvernements et les entreprises prennent des mesures pour prévenir les cyberattaques. Les systèmes doivent être renforcés contre les vulnérabilités et les failles de sécurité. Des protocoles de sécurité doivent être mis en place pour protéger les informations sensibles et les infrastructures critiques.
Des programmes de formation et de sensibilisation doivent être mis en place pour aider les utilisateurs à comprendre les risques liés à la cybersécurité et à adopter des pratiques de sécurité efficaces.
La nécessité d’une coopération internationale
Enfin, la prévention des cyberattaques nécessite une coopération internationale.
Les gouvernements et les entreprises doivent travailler ensemble pour développer des normes de cybersécurité communes et partager des informations sur les menaces et les vulnérabilités. La coopération internationale est essentielle pour faire face à cette menace mondiale et pour prévenir les cyberattaques qui pourraient paralyser le pays
Le rapport révèle que 41 % de ceux qui ont payé une rançon aux cybercriminels n’ont pas réussi à récupérer toutes leurs données.
Une menace de plus en plus présente pour les entreprises
Les fuites de données persistent
De plus, près d’un tiers (29 %) des entreprises ayant payé une rançon avaient encore des fuites de données.
L’augmentation des attaques de ransomware
Le rapport montre que 19 % des entreprises attaquées ont été victimes de ransomware, comparativement à 16 % l’année précédente. Cette augmentation peut être liée à la pandémie qui a entraîné une augmentation des cyberattaques en général.
En conclusion, le Rapport Hiscox 2022 sur la gestion des cyber-risques et ransomware montre que payer une rançon ne garantit pas la récupération de toutes les données et que les fuites de données persistent. De plus, l’augmentation des attaques de ransomware est un véritable défi pour les entreprises et leur sécurité informatique. Il est donc important de mettre en place des mesures de prévention et de protection pour limiter les risques et les impacts des attaques de ransomware.
Le Rapport Hiscox 2022 sur la gestion des cyber-risques et ransomware a mis en lumière une tendance inquiétante : les entreprises qui ont payé une rançon pour récupérer leurs données se retrouvent souvent confrontées à de nouveaux pièges.
Les dangers de payer une rançon
Payer une rançon peut sembler être la solution la plus rapide et la plus simple pour récupérer ses données, mais cela peut également exposer l’entreprise à de nouveaux risques. Les criminels peuvent par exemple exiger un deuxième paiement pour débloquer les fichiers, ou utiliser les informations récupérées pour mener d’autres attaques.
Les statistiques inquiétantes du rapport
Le Rapport Hiscox 2022 a révélé que 43 % des entreprises qui ont payé une rançon ont été confrontées à des problèmes supplémentaires. Parmi ces entreprises, 36 % ont été victimes d’une nouvelle attaque, 29 % ont vu leurs données volées ou exposées et ont été confrontées à des problèmes de confidentialité.
Les autres options à envisager contre les ransomwares
Face à ces risques, il est important pour les entreprises de considérer d’autres options pour récupérer leurs données, comme la restauration à partir de sauvegardes ou l’utilisation d’outils de décryptage. Les entreprises doivent également mettre en place des plans de réponse à l’incident pour minimiser les dommages en cas d’attaque.
La prévention des ransomwares, toujours la meilleure solution
La meilleure solution reste cependant la prévention. Les entreprises doivent mettre en place des mesures de sécurité solides pour éviter les attaques de ransomware, comme la sensibilisation des employés, la mise à jour régulière des logiciels et la sauvegarde régulière des données.
En conclusion, le Rapport Hiscox 2022 souligne l’importance pour les entreprises de considérer les risques associés au paiement d’une rançon et de prendre des mesures pour minimiser ces risques. La prévention reste la meilleure solution pour protéger son entreprise contre les cyber-attaques et les ransomwares.
L’Emotet Bank Trojan est un malware bancaire qui a été découvert pour la première fois en 2014.
Depuis lors, il a continué d’évoluer et de se développer, devenant l’un des logiciels malveillants les plus coûteux et les plus destructeurs pour les secteurs public et privé, les entreprises et les particuliers.
Au cours de l’année dernière, les chercheurs en sécurité ont observé une augmentation de l’utilisation de techniques d’infection alternatives par les logiciels malveillants.
L’Emotet Bank Trojan en particulier, a été remarqué pour sa capacité à se propager par le biais d’e-mails de spam et à utiliser des formats d’adresse IP non conventionnels pour échapper aux radars de détection.
Carte bancaire stockées dans le navigateur Chrome
Le 6 juin dernier, les chercheurs de la sécurité de Proofpoint ont découvert un nouveau module d’Emotet Bank Trojan qui est capable de voler des données de carte bancaire stockées dans le navigateur Chrome.
Ces informations sont ensuite transférées aux serveurs de commande et de contrôle.
L’EMOT utilise des fonctionnalités similaires à celles utilisées par les vers pour se propager à d’autres ordinateurs connectés. Cela lui permet de mieux se propager et de rester caché aux programmes anti-malware.
Selon le département américain de la sécurité intérieure, l’EMOT est l’un des logiciels malveillants les plus chers et les plus destructeurs pour les entreprises, les particuliers et les secteurs publics et privés, et les coûts de nettoyage peuvent coûter plus d’un million de dollars.
Apparence d’un montant électronique légitime
Pour se propager, l’EMOT utilise principalement des e-mails de spam. Ces e-mails peuvent contenir un support de marque pour prendre l’apparence d’un montant électronique légitime.
L’EMOT peut essayer de persuader les utilisateurs de cliquer sur des fichiers malveillants à l’aide d’un discours visant à essayer l’utilisateur, avec « votre facture », « des informations de paiement », ou peut-être une prochaine livraison d’un package connu.
Différentes versions d’EMOT sont déjà sorties, utilisant des fichiers JavaScript malveillants et des documents qui prennent en charge les macros pour regagner la charge utile du virus des serveurs de contrôle et de contrôle (C&C) fabriqués par les cybercriminels.
Il est crucial pour les entreprises et les particuliers de se protéger contre l’EMOT et les autres logiciels malveillants en utilisant des programmes de sécurité efficaces et en étant conscient des e-mails et des fichiers suspects.
Deux hôpitaux de Lyon ont été victimes d’une attaque informatique
Des hôpitaux appartenant au groupe Ramsay, tels que l’hôpital Jean-Mermoz à Lyon et l’hôpital de l’Est lyonnais à Saint-Priest, ont subi une tentative de cyberattaque sur leurs serveurs informatiques la semaine dernière.
Victime d’une cyberattaque
Le groupe Ramsay Santé a été victime d’une cyberattaque la semaine dernière, visant notamment l’hôpital privé Jean-Mermoz à Lyon et l’hôpital privé de l’Est Lyonnais à Saint-Priest.
Aucun vol de données ni propagation
Le groupe a déclaré avoir immédiatement activé sa procédure de sécurité et qu’il n’y avait eu aucun vol de données ni aucune propagation de l’incident à leurs patients. Les enquêtes continuent en collaboration avec les services de l’État.
Les urgences ont été fermées jusqu’à mardi et les hospitalisations en chirurgie ont été reportées.
Ramsay Santé en France
Il convient de noter qu’en août 2019, les 120 établissements de Ramsay Santé en France ont également subi une cyberattaque, entraînant des conséquences durables pendant plusieurs semaines.
Quatre établissements de santé en France ont été touchés, y compris l’hôpital privé Jean-Mermoz à Lyon, l’hôpital privé de l’Est lyonnais à Saint-Priest et la clinique Convert de Bourg-en-Bresse.
Comme mesure de sécurité, le groupe a fermé les accès extérieurs à ses systèmes après avoir détecté des anomalies. Les investigations sont en cours en collaboration avec les services de l’Etat pour permettre à nouveau l’accès au réseau depuis l’extérieur.
Le groupe est passé en mode dégradé, causant un ralentissement des prises en charge. Ramsay Santé a informé ses partenaires et les autorités sanitaires et a mobilisé des experts techniques et d’investigation indépendants.
Ni vol de données ni propagation
L’enquête a révélé qu’il n’y avait ni vol de données ni propagation de l’incident à leurs patients.
Ramsay Santé emploie 36 000 personnes et travaille avec environ 8 600 libéraux dans 5 pays: la France, la Suède, la Norvège, le Danemark et l’Italie.
Le groupe soigne 7 millions de patients par an dans ses 350 établissements.
Les cyberattaques sont de plus en plus fréquentes et visent un large éventail de secteurs d’activité. En 2023, voici quelques exemples de domaines qui pourraient être particulièrement ciblés par les cybercriminels :
Les cyberattaques en 2023
Cyberattaques sur les PME PMI: Les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs : que ce soit les grandes multinationales ou les PME, les entreprises sont des cibles de choix pour les cyberattaques en raison de la quantité de données sensibles qu’elles gèrent et de la valeur qu’elles représentent pour les criminels.
Systèmes de gouvernance et de sécurité: Les organisations gouvernementales et les services de sécurité : les cybercriminels peuvent tenter de s’en prendre aux systèmes de gouvernance et de sécurité d’un pays dans le but de compromettre la stabilité politique ou de voler des informations sensibles.
Autres cibles potentielles: Les infrastructures critiques : les systèmes de transport, d’énergie et de communication sont essentiels pour le bon fonctionnement de la société, ce qui en fait des cibles potentielles pour les cyberattaques.
Hôpitaux + pénuries de personnel et de budget: Les établissements de santé : les hôpitaux et autres établissements de santé gèrent des quantités importantes de données sensibles et sont souvent confrontés à des pénuries de personnel et de budget, ce qui peut rendre leur système de sécurité informatique vulnérable aux attaques.
Vous: Les individus : les cybercriminels peuvent cibler les particuliers pour voler leur identité, leur argent ou tout simplement pour perturber leur vie quotidienne.
Il est important de rester vigilant et de mettre en place des mesures de sécurité adéquates pour protéger son entreprise ou sa vie personnelle contre les cyberattaques.
Lorsque vous décidez de recycler ou revendre votre ordinateur, il est essentiel de penser à effacer correctement toutes les données qui y sont stockées. En effet, il est très facile de récupérer des fichiers même lorsqu’ils ont été « effacés » de manière classique, ce qui peut être très dangereux pour votre vie privée et votre sécurité.
Bien effacer vos fichiers avant de recycler votre ordinateur
Il existe plusieurs méthodes pour effacer correctement vos fichiers avant de revendre votre ordinateur. Voici quelques exemples :
La réinitialisation de l’ordinateur : cette méthode consiste à remettre votre ordinateur dans l’état où il était lorsque vous l’avez acheté. Toutes les données personnelles et les programmes installés seront effacés et votre ordinateur sera prêt à être utilisé par un autre utilisateur.
L’effacement physique : cette méthode consiste à détruire physiquement les disques durs de votre ordinateur. Cette solution est très radicale mais garantit que vos données ne seront jamais récupérables.
L’effacement logiciel : il existe de nombreux logiciels spécialisés dans l’effacement de données. Ces outils permettent d’effacer de manière sécurisée vos fichiers et de les rendre totalement irrécupérables.
La sauvegarde : avant de revendre votre ordinateur, vous pouvez également opter pour la sauvegarde de vos données sur un autre support (disque dur externe, clé USB, etc.). Cela vous permettra de conserver vos fichiers de manière sécurisée et de les retrouver facilement lorsque vous en avez besoin.
Il est important de choisir la méthode qui convient le mieux à vos besoins et à votre niveau de sécurité.
Titan-informatique et la destruction de données
Notre entreprise basée sur la Ville de la Crau vous propose des services de nettoyage et de sauvegarde informatique pour vous aider à effacer correctement vos fichiers avant de recycler votre ordinateur. Nous utilisons des outils professionnels pour sécuriser vos données et les rendre totalement irrécupérables, de manière à ce que vous puissiez recycler votre ordinateur en toute tranquillité.
Conseils pour la gestion de vos données
Notre équipe de techniciens expérimentés vous accompagne tout au long de la procédure de nettoyage et vous fournit des conseils et des astuces pour protéger votre vie privée et votre sécurité informatique. Nous proposons également des services de sauvegarde pour vous permettre de conserver vos données de manière sécurisée et de les retrouver facilement lorsque vous en avez besoin.
N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus sur nos services de nettoyage et de sauvegarde informatique sur la Ville de la Crau.
Nous sommes à votre disposition pour répondre à toutes vos questions et vous aider à effacer correctement vos fichiers avant de revendre votre ordinateur.
Malgré les avertissements, de nombreuses victimes paient la rançon demandée, ces logiciels malveillants citant vos données pour vous extraire de l’argent. Ils pensent que c’est le moyen le plus rapide de récupérer leur réseau. La pression est plus forte car les cybercriminels menacent également de révéler des données volées.
Trop d’attaques en silence
Mais le paiement de la rançon signifie que le cycle d’attaque se poursuit, les gangs ransomiens qui utilisent leurs gains mal acquis pour financer des attaques plus ambitieuses. Alors, devrions-nous craindre que l’indemnisation du paiement de l’assurance favorise les cybercriminels?
La réponse n’est pas si simple. D’abord et avant tout, comme dans tous les pays de l’OCDE, le remboursement du paiement d’une rançon en France était déjà possible. La réforme actuelle surveille désormais ce paiement. En fait, il sera conditionnel à déposer une plainte. Cependant, ce n’est pas un point anecdotique. Parce que trop d’attaques de Ransom, le problème de cybersécurité le plus important auquel nous sommes confrontés aujourd’hui a tout simplement passé en silence.
Pour le moment, il est difficile d’avoir une idée précise de ce qui se passe réellement. Même lorsque les entreprises admettent qu’elles ont été victimes d’une cyberattaque, elles restent souvent vagues sur ce qui s’est passé et semble très réticent à décrire un incident comme une attaque de rançon.
Communication vague
Une « cyberattaque grave », un « cybercident qui a causé des perturbations » et « des données cryptées par un tiers ». Ce ne sont que quelques-unes des déclarations des victimes d’attaques par Ransom pour décrire ce qui s’est passé, mais sans jamais mentionner cette expression.
Certaines victimes finissent par être plus ouvertes à ce qui s’est passé, mais seulement des mois ou des années après l’incident. D’autres ne reconnaissent jamais publiquement que c’était un ransomique.
Il est frustrant de ne pas pouvoir avoir une idée complète et claire de ce qui se passe, bien que en lisant entre les lignes des vagues dans les déclarations d’un « cybercident sophistiqué » qui « a dérangé les services » il est clair, il est clair, il est clair qu’il s’agit d’une attaque ransomiciale.
Retourner l’expérience, cependant, Ce manque de transparence est nocif pour tous. Certaines victimes révèlent très rapidement que c’est un ransomique. J’ai interviewé les victimes d’attaques, comme une fois l’incident, est prête à exprimer officiellement ce qui s’est passé. Il est intéressant d’entendre des instructeurs de systèmes d’information, et les administrateurs de la sécurité informatique s’ouvrent à ce qui s’est passé.
Responsables Cybersécurité
Le point commun entre ces responsables de la cybersécurité qui communiquent est qu’ils veulent aider à empêcher les autres de devenir la prochaine victime. Leur discours est ainsi axé sur les leçons qu’ils ont apprises du renforcement des cyberfants pour prévenir les événements futurs.
Par exemple, il s’agit de mettre à jour leurs systèmes, de créer une approbation multifactorielle et de faire régulièrement des sauvegardes. Tant de mesures qui peuvent aider à arrêter les attaques de Ransomiciel. À propos de ce sujet est le meilleur moment pour agir avant l’attaque.
Changement de mentalités Les Rançongciales ne sont pas seulement un problème technologique. En fin de compte, ces cyberattaques ont une influence mondiale. Cependant, nous sommes souvent laissés dans l’ignorance des raisons pour lesquelles les services sur lesquels nous dépendons ne fonctionnent pas. Dans certains cas, il semble que la situation change déjà.
Deuxième plus grand district scolaire des États-Uni
Récemment, Los Angeles Unified (LAUSD), le deuxième plus grand district scolaire des États-Unis, a été frappé par une attaque de rançon. Il a immédiatement révélé l’incident aux autorités tout en gardant le public au public. Cette approche a été accueillie par le directeur de l’American Cybersecurity Agency (Cybersecurity and Infrastructure Security Agency, CISA), Jen Easterly. Ce dernier a salué la victime d’effort de transparence.
Gérer une attaque ransomiciale est un défi. Mais la façon dont les organisations en parlent est aussi importante que la réponse technique.
En détaillant ce qui s’est passé et comment l’incident a été résolu, ils montrent que les gangs de rançon peuvent être contrecarrés.
Ce qui pourrait éviter de nouvelles victimes. Dans la lutte contre Ransomik, tout le monde s’intéresse aux attaques est plus transparent.
Selon le Financial Times, le dirigeant d’un des plus grands groupes d’assurance au monde a récemment déclaré que les coûts causés par les cyberattaques dépassent désormais leur capacité à les couvrir en tant qu’assureur et qu’il appelle à l’intervention des gouvernements pour gérer ces coûts via des partenariats public-privé, financés par les impôts des contribuables.
Les compagnies d’assurance cherchent à vous faire régler les frais des dommages causés par les cyberattaques.
En 2022, de nombreux hacks de grande ampleur ont été perpétrés par des groupes de pirates, parfois même liés à des gouvernements.
Ces attaques ont causé des pertes financières, techniques et d’investissements potentiellement considérables, mettant en danger des millions, voire des milliards de dollars. Ces hacks ont également soulevé la question du coût de leur impact.
Les cyberattaques visent de plus en plus des infrastructures critiques, comme les pipelines aux Etats-Unis qui ont été bloqués cette année par une attaque, causant une pénurie temporaire de carburant.
Elles peuvent également cibler des hôpitaux, comme cela a été le cas pendant la pandémie de Covid. De plus, les services étatiques, qui peuvent avoir accès à des informations stratégiques ou qui rassemblent des données sur des millions de personnes, sont également une cible possible.
Les perturbations causées par les cyberattaques ont un coût financier réel et potentiel, ce qui a poussé les assureurs à modifier leurs polices d’assurance pour exclure certaines formes d’attaques. Par exemple, la Lloyd’s a demandé en septembre dernier que les cyberattaques financées par un État ne soient pas couvertes par l’assurance, selon le Financial Times. Cela signifie que les assureurs ne veulent pas être responsables des coûts engendrés par les conséquences d’une cyberattaque.
Le gouvernement américain aurait lancé en septembre un appel à avis pour évaluer la possibilité de mettre en place une assurance fédérale contre les cyberattaques. Cette démarche intervient suite à l’incident de la Colonial Pipeline, qui a mis en lumière les répercussions potentiellement graves d’une attaque informatique sur la vie quotidienne.
L’idée de l’Etat en tant que garant n’est pas nécessairement mauvaise, car il s’agit en effet d’un enjeu de société. Cependant, il semble que cette protection devrait être soumise à un contrôle préalable et à des contreparties. En fin de compte, les piratages sont souvent rendus possibles en raison de la négligence des entreprises ou de leur manque d’investissements dans la cybersécurité. Avant de solliciter les fonds des contribuables, il serait donc raisonnable que le secteur privé s’assure de disposer des moyens nécessaires pour se protéger au mieux.
L’assurance informatique est un concept qui vise à protéger votre entreprise contre les risques liés à votre utilisation de l’informatique. Elle peut couvrir différents types de sinistres, comme les dégâts matériels, les pertes de données, les virus et les piratages. Elle peut également inclure des services de maintenance et de sauvegarde pour assurer le bon fonctionnement de votre matériel informatique.
Il existe plusieurs méthodes pour assurer votre informatique. Voici quatre options populaires :
L’assurance tous risques : Cette formule couvre l’ensemble des risques liés à votre utilisation de l’informatique. Elle peut inclure des services de maintenance et de sauvegarde pour vous aider à prévenir les problèmes informatiques.
L’assurance sélective : Cette formule vous permet de choisir les risques que vous souhaitez couvrir. Vous pouvez par exemple opter pour une couverture uniquement contre les dégâts matériels ou les pertes de données.
Les services cloud : Il s’agit d’un modèle d’assurance informatique basé sur le cloud computing. Vous bénéficiez de services de sauvegarde et de maintenance accessibles en ligne, sans avoir à investir dans du matériel informatique coûteux.
Les assurances informatiques à la carte : Cette formule vous permet de souscrire à des services à la carte, selon vos besoins. Vous pouvez par exemple opter pour une couverture uniquement contre les virus ou les piratages, ou choisir des services de sauvegarde et de maintenance à la demande.
« SIM swapping » cette technique permet de prendre le contrôle de votre numéro de téléphone
Les excuses qui demande à l’individu d’activer votre numéro sur une nouvelle carte SIM en sa possession. Pour convaincre le service client au téléphone, il utilise des informations privées (date de naissance, adresse, numéro de clientèle, etc.) qu’il a pu trouver sur Internet ou de différentes manières. Lorsque l’opération réussit, le pirate peut alors recevoir des appels et des SMS pour vous.
Auparavant, il aura reçu vos informations personnelles, par exemple, les violations des données, le phishing, la recherche sur les réseaux sociaux, les applications malveillantes, les achats en ligne, les logiciels malveillants, les infections des réseaux sociaux et autres sites Internet, etc. L’usurpateur peut désormais collecter des appels, SMS et accédez aux services bancaires en ligne de la victime.
Banques, Mail, réseaux
Pour mieux sécuriser leurs différents comptes en ligne (banque, réseaux sociaux, etc.), les utilisateurs sont encouragés à utiliser un système d’approbation à double. Ainsi, après avoir entré leurs identifiants (nom et mot de passe) pour se connecter, l’appareil leur envoie un code, souvent de SMS. Il y a beaucoup de gens avec toute leur vie dans le téléphone … c’est là que le « Sim Exchange » intervient.
Cela donne accès à de nombreux types de comptes en ligne, ouvre la porte à différents types d’escroqueries: le vol d’identité, l’extorsion ou même le vol d’argent.
Cette technique vous permet de prendre le contrôle d’un numéro de téléphone et d’ouvrir la porte à différents types de hacks. Dans cette expression, le « vol » des numéros de téléphone portables de quelqu’un est essentiellement et fondamentalement.
Une chose triviale que votre smartphone peut contenir une carte bancaire ou une fidélité, elle distille les données de localisation pour les endroits importants, d’informations importantes, etc. de toutes.
Une carte SIM
À ce moment-là, je vois que vous avez blâmé et il y a quelque chose. De plus, cela ne nécessite pas beaucoup d’expertise technique.
Dans les vols les plus courants dudit processus, un délinquant négligera le service client de votre opérateur et vous fera semblant d’être pour vous. En fait, votre numéro est lié à une carte SIM.
Il s’agit d’une puce qui contient un microcontrôleur et une mémoire. Il stocke des informations spécifiques à l’abonné à un réseau mobile, en particulier pour les réseaux GSM, UMTS et LTE.
Cette petite puce de votre téléphone identifie et vous permet de résumer, de vous connecter aux réseaux téléphoniques, de 3G, 4G et bientôt 5G.