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Fuite de données chez Direct Assurance : Quels risques pour les clients et prospects ?

Des données bancaires sensibles dans la nature
Direct Assurance, filiale d’Axa, est au cœur d’une nouvelle cyberattaque revendiquée par le collectif de hackers near2tlg. Selon les informations publiées sur le forum BreachForums, cette intrusion a permis l’exfiltration de données sensibles concernant près de 15 000 clients et prospects français, dont les IBAN et RIB de 5 800 personnes. Ce vol de données expose les victimes à des risques accrus de phishing, de fraude bancaire et de vols d’identité.


Une intrusion facilitée par un accès interne
Le 14 novembre, les pirates ont exploité un accès interne appartenant à un employé pour pénétrer les systèmes informatiques de Direct Assurance. Dans leur message sur BreachForums, ils déclarent :

« Aujourd’hui, je vends les données des clients/prospects de Direct Assurance. Direct Assurance a été compromis par @near2tlg avec un accès employé. »

Les données compromises incluent :

  • Les noms et prénoms des clients et prospects,
  • Des adresses e-mail et numéros de téléphone,
  • Des RIB et IBAN, éléments précieux pour les fraudeurs bancaires.

Le collectif a mis ces données en vente en limitant l’accès à trois acheteurs maximum, un créneau ayant déjà été réservé, selon des informations rapportées par le site Zataz.


Une menace récurrente dans le paysage numérique
Le groupe near2tlg n’en est pas à son premier fait d’armes. En 2024, il a multiplié les cyberattaques majeures :

  • Une fuite touchant 1,5 million de patients d’établissements de santé,
  • L’exfiltration de données liées à 900 000 utilisateurs du journal Le Point,
  • Une attaque visant l’opérateur SFR, parmi d’autres.

Ces activités font du collectif l’un des acteurs les plus prolifiques et dangereux de la cybercriminalité en France cette année.


Quels dangers pour les victimes ?
Les conséquences de cette fuite de données sont multiples :

  1. Phishing : Les pirates pourraient utiliser les informations volées pour créer des campagnes de hameçonnage crédibles.
  2. Fraudes bancaires : Les RIB et IBAN permettent d’autoriser des prélèvements frauduleux.
  3. Vol d’identité : Les informations personnelles exposées augmentent le risque d’usurpation d’identité.

Les recommandations pour se protéger
Les victimes, identifiées ou non, doivent prendre des mesures immédiates :

  • Surveiller leurs comptes bancaires pour détecter toute activité suspecte,
  • Ne jamais répondre à des e-mails ou messages demandant des informations confidentielles,
  • Activer une surveillance des prélèvements auprès de leur banque,
  • Modifier les mots de passe associés à leurs comptes numériques.

Direct Assurance dans l’œil du cyclone
Face à cette crise, l’entreprise n’a pas encore publié de déclaration officielle détaillée. Toutefois, elle devra rapidement informer les personnes concernées et prendre des mesures pour limiter les dommages. L’attaque met en lumière une faille critique dans la gestion de la cybersécurité, notamment dans le contrôle des accès internes.

La CNIL pourrait également intervenir pour évaluer si Direct Assurance a respecté ses obligations en matière de protection des données personnelles.

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Piratage chez Boulanger : Faut-il s’inquiéter pour vos données personnelles ?

Un piratage d’envergure frappe Boulanger : Que sait-on vraiment ?

Dans la nuit du 6 au 7 septembre 2024, Boulanger, l’enseigne française d’électroménager et de multimédia, a été victime d’une attaque informatique. Selon le communiqué de l’entreprise, seules les données relatives aux livraisons auraient été compromises. « Les données récupérées sont uniquement liées aux livraisons. Aucune donnée bancaire client n’est concernée », précise Boulanger.

Cependant, le manque de transparence soulève des questions parmi les clients, qui doivent eux-mêmes déterminer quelles informations personnelles ont pu être exposées : adresse postale, identité, numéro de téléphone, code de porte, adresses électroniques, et plus encore. La direction de Boulanger a rapidement tenté de rassurer en annonçant que l’incident avait été « circonscrit » et que leurs sites web et applications fonctionnaient normalement, « en toute sécurité ».

Une attaque aux répercussions plus larges ?

Le 6 septembre, un pirate informatique, utilisant les pseudonymes Horror404x ou horrormar44, a revendiqué le vol de plus de 27 millions de données clients de Boulanger sur le forum Breached, un espace en ligne souvent utilisé par les cybercriminels pour échanger des informations piratées. Ce pirate prétend avoir accédé à une vaste quantité de données sensibles, telles que des adresses, des numéros de téléphone, et des codes d’accès. Boulanger a confirmé l’incident le 9 septembre, sans toutefois préciser la nature exacte des données exposées.

Ce même pirate a également affirmé avoir dérobé des informations auprès d’autres enseignes :

  • GrosBill et CyberTek : 685 000 données clients,
  • Cultura : 2,6 millions de clients,
  • DIVIA Mobilité : 248 500 clients,
  • PepeJeans : 2 707 000 clients,
  • « Assurance Retraite » : 375 760 données.

Le cybercriminel cherche-t-il à vendre les données volées ?

Selon les déclarations d’Horror404x, ces données auraient été mises en vente dès le 6 septembre 2024. Les informations volées pourraient potentiellement être utilisées à des fins de phishing, de fraudes ou d’usurpation d’identité.

Une menace déjà identifiée en mars 2024

Ce n’est pas la première fois que Boulanger est la cible de cybercriminels. En mars 2024, une alerte avait déjà été lancée après que des données similaires eurent été diffusées sur le dark web. Cette nouvelle attaque confirme la nécessité d’une vigilance accrue concernant la protection des données personnelles en ligne. Il est essentiel de vérifier les informations avant de les partager sur les réseaux sociaux pour éviter de propager des rumeurs non fondées.

Quelles précautions prendre face à ce type de piratage ?

Pour les clients potentiellement concernés, plusieurs mesures de précaution s’imposent :

  1. Changer immédiatement les mots de passe liés à tous les comptes en ligne.
  2. Surveiller de près les comptes bancaires et les relevés pour détecter toute activité suspecte.
  3. Activer une double authentification (2FA) sur tous les services qui la proposent.
  4. Être vigilant aux tentatives de phishing via e-mails, appels ou SMS.
  5. Suivre les recommandations de votre Prestataire informatique ou d’autres services de veille pour être alerté en cas de fuite de données.
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France Travail, ex-Pôle Emploi : Une Série Noire de Fuites de Données Révèle des Failles de Cybersécurité

Une fois de plus, France Travail, anciennement connu sous le nom de Pôle Emploi, se trouve au cœur d’une affaire de piratage massif de données. Cette troisième fuite de données soulève des questions sérieuses sur la sécurité de cette plateforme pourtant cruciale, détenant une mine d’informations sur ses utilisateurs. Quels sont les risques et les enjeux révélés par cette cyberattaque massive ?

Les Détails de l’Attaque et les Risques Encourus

Les données personnelles de près de 46 millions d’utilisateurs inscrits à France Travail et Cap Emploi au cours des 20 dernières années sont potentiellement compromises suite à cette attaque. Les informations sensibles telles que les noms, prénoms, numéros de sécurité sociale, dates de naissance, identifiants France Travail, adresses mail et postales, ainsi que les numéros de téléphone ont été exposées. Cette fuite pourrait entraîner des cas d’usurpation d’identité, constituant ainsi une menace sérieuse pour la sécurité des citoyens concernés.

L’Enquête en Cours et les Mesures Prises

Face à cette situation préoccupante, une enquête préliminaire a été ouverte par le Parquet de Paris, confiée à la Brigade de Lutte Contre la Cybercriminalité de la Direction de la Police Judiciaire de Paris. Toutes les personnes affectées par cette cyberattaque sont encouragées à déposer plainte, et des mesures de précaution sont recommandées, telles que le changement de mot de passe sur France Travail ainsi que sur d’autres plateformes où le même mot de passe est utilisé.

Les Catégories de Personnes Touchées

Trois catégories de demandeurs d’emploi sont concernées par cette fuite de données. Tout d’abord, les utilisateurs actuellement inscrits sur France Travail sont potentiellement affectés. Ensuite, toutes les personnes ayant été inscrites au cours des 20 dernières années sur la plateforme de France Travail (anciennement Pôle Emploi) sont également concernées. Enfin, même les demandeurs d’emploi non inscrits sur France Travail mais disposant d’un espace sur Fracetravail.fr pourraient être impactés.

La Réponse de France Travail et les Mesures d’Assistance

France Travail s’engage à contacter individuellement toutes les personnes affectées par cette cyberattaque. Des mesures d’assistance sont mises en place, comprenant un formulaire simplifié pour porter plainte en ligne et un numéro de téléphone dédié pour répondre aux questions des victimes. Il est crucial pour les utilisateurs de rester vigilants et de signaler toute activité suspecte.

Cette nouvelle fuite de données met en lumière les lacunes en matière de cybersécurité au sein de France Travail, soulevant des préoccupations quant à la protection des informations personnelles des utilisateurs. Alors que l’enquête suit son cours, il est impératif que des mesures robustes soient mises en place pour renforcer la sécurité des plateformes en ligne et protéger la vie privée des citoyens.

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Cyberattaque au Sidaction : Risque de Divulgation des Données Personnelles des Donateurs

Le 28 février 2024, l’association emblématique de lutte contre le Sida, le Sidaction, a été secouée par une cyberattaque visant le système d’hébergement d’un de ses prestataires. Cette intrusion informatique expose désormais un risque potentiel de divulgation des données personnelles de certains donateurs, mettant ainsi en péril la confidentialité des informations sensibles.

L’Attaque Informatique : Une Menace pour la Sécurité des Donateurs

Cette cyberattaque a ciblé les données sensibles des donateurs du Sidaction, incluant des informations telles que les noms, prénoms, adresses postales, adresses électroniques, numéros de téléphone et montants des dons. De manière plus alarmante, pour environ 3% des données affectées, des informations bancaires cruciales telles que les IBAN et BIC sont également susceptibles d’avoir été compromises.

Réactions et Mesures Prises par le Sidaction

Face à cette violation de sécurité, le Sidaction a rapidement pris des mesures pour atténuer les dommages potentiels. L’association a informé individuellement toutes les personnes directement concernées par cette brèche de sécurité, tout en alertant la CNIL, le gardien de la protection des données en France.

Dans une déclaration publique, le Sidaction a tenu à rassurer ses donateurs, soulignant que moins de 20% des personnes ayant effectué un don depuis janvier 2023 sont susceptibles d’être affectées. De plus, l’association a renforcé ses recommandations de vigilance envers toute tentative de fraude éventuelle, tout en garantissant la sécurité des dons en ligne grâce au renforcement des mesures de sécurité par ses prestataires.

Contexte des Attaques Informatiques dans le Secteur de la Santé

Cette cyberattaque contre le Sidaction s’inscrit dans une série d’attaques informatiques récentes qui ont ciblé le secteur de la santé en France. Des événements similaires ont affecté des millions de Français, notamment avec un vol massif de données lors d’une cyberattaque au tiers payant, ainsi que la compromission de données sensibles de près de 300 000 patients lors d’une attaque contre l’hôpital d’Armentières dans le Nord de la France.

Conclusion : La Nécessité de Renforcer la Sécurité des Données Sensibles

Cette nouvelle attaque contre le Sidaction met en lumière l’urgence de renforcer la sécurité des données sensibles, en particulier dans le secteur de la santé et des associations caritatives. Alors que le Sidaction s’efforce de poursuivre sa mission vitale de lutte contre le Sida, cette intrusion souligne l’importance cruciale de protéger la confidentialité des donateurs et des personnes affectées par cette maladie dévastatrice.

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Cyberattaque à la Polyclinique du Cotentin : 3 300 Personnes Victimes de la Violation de Leurs Données

Dans une récente tourmente numérique, la Polyclinique du Cotentin, à Equeurdreville-Hainneville près de Cherbourg, se retrouve en proie à une cyberattaque, exposant les données de 3 300 personnes à un risque de violation. Une plongée dans les détails de cette intrusion numérique inquiétante.

Les Faits : Une Polyclinique Prise en Otage

Les tenants de l’attaque et la réponse de la direction

Le 16 novembre 2023, la Polyclinique du Cotentin est ciblée par une cyberattaque revendiquée par le groupe criminel « Lockbit ». Les données ont été cryptées, avec la menace de publication par les assaillants. La directrice, Béatrice Le Goupil, assure que les données bancaires sont indemnes, mais la sécurité des informations personnelles des patients et du personnel est compromise.

Les Implications : Violation des Données Sensibles

Les détails sur les informations compromises

Malgré les efforts déployés pour contenir l’incident, la Polyclinique confirme une possible « violation » des données personnelles. Les informations sensibles telles que l’identité, les numéros de sécurité sociale et de téléphone, ainsi que la raison du séjour à la polyclinique, sont potentiellement exposées. Le personnel, avec environ 400 membres, voit également des données de ressources humaines en péril.
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Réponse et Transparence : Une Communication Maîtrisée

La réaction de la direction face à la situation

Béatrice Le Goupil se veut rassurante malgré la gravité de la situation. Elle souligne l’absence de piratage des données bancaires et explique que les patients ne sont pas tous touchés de la même manière. Une liste exhaustive est établie pour une communication transparente avec les personnes concernées.

Les Enjeux de la Sécurité des Données : Une Menace Persistante

Les défis actuels dans la protection des informations sensibles

Cette attaque souligne les défis croissants auxquels sont confrontés les établissements de santé en matière de cybersécurité. La question de la vulnérabilité des systèmes d’information devient cruciale dans un contexte où les données médicales et personnelles sont de plus en plus ciblées.

L’Appel à la Vigilance Numérique

Les leçons à tirer de cet incident

La cyberattaque à la Polyclinique du Cotentin est un rappel poignant de la nécessité d’une vigilance accrue en matière de sécurité numérique. Les institutions de santé doivent redoubler d’efforts pour protéger les données sensibles des patients et du personnel dans un paysage numérique de plus en plus complexe et menaçant.

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Attaque Cybernétique en Suède : Un Chaos Numérique aux Origines Russes

Une vaste cyberattaque secoue la Suède, plongeant le pays dans un état de perturbation sans précédent. Plus de 60 000 employés touchés, 120 administrations paralysées, le rétablissement annoncé en semaines. L’entreprise Tietoevry, sous-traitant informatique, est la cible, avec des soupçons de liens russes.

La Tempête Numérique : Suède sous Attaque

Les détails de la cyberattaque qui paralyse la Suède

Une attaque majeure cible Tietoevry, affectant 60 000 employés et 120 administrations. Cinémas, magasins, services en ligne hors service. La piste russe pointée du doigt. Le rétablissement s’annonce long, laissant la Suède dans l’incertitude.

Tietoevry en Ligne de Mire : Un Acteur Central

Les implications de l’attaque sur l’entreprise Tietoevry

Tietoevry, géant suédo-finlandais des services informatiques, subit une attaque sur l’un de ses centres de données. Les conséquences se répandent à travers les services publics et privés. Les experts pointent du doigt le groupe de hackers Akira, soupçonné d’avoir des liens avec la Russie.

Les Conséquences Locales : Des Municipalités aux Commerces

L’impact de la cyberattaque sur les institutions locales

Les conséquences touchent les municipalités et les commerces locaux. Les fonctionnaires ne peuvent gérer leurs congés, heures supplémentaires ou arrêts maladie. Boutiques fermées, services publics paralysés. Une atteinte à la vie quotidienne des Suédois.

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La Cybersécurité en Question : Une Sonnette d’Alarme

Les réflexions sur la cybersécurité en Suède

Les autorités suédoises considèrent l’attaque comme une alerte sérieuse. La numérisation rapide du pays souligne la nécessité d’investir davantage dans la cybersécurité. Le gouvernement réagit en faisant de la cybersécurité une priorité nationale.

Le Motif Russe : Derrière le Voile de l’Attaque

Les motivations derrière la cyberattaque et les implications géopolitiques

Les experts pointent vers le groupe Akira, lié à la Russie, suggérant un motif financier avec l’utilisation probable d’un rançongiciel. Une menace qui rappelle des incidents similaires en France. La Suède se retrouve au cœur d’une guerre numérique aux ramifications géopolitiques.

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Trellix XDR for Ransomware Detection and Response : La Nouvelle Arme Anti-Rançongiciels Issue de la Fusion McAfee-FireEye

La récente fusion entre McAfee et FireEye a donné naissance à une nouvelle entité, Trellix, qui se positionne comme une figure majeure dans la protection des terminaux. Cette alliance stratégique dévoile aujourd’hui une plateforme révolutionnaire baptisée « Trellix XDR for Ransomware Detection and Response, » intégrant l’intelligence artificielle et capitalisant sur les 1000 intégrations de Trellix. Cette nouvelle solution vise à renforcer la sécurité informatique en ciblant directement la menace omniprésente des rançongiciels.

La Convergence des Géants de la Cybersécurité : La fusion entre McAfee et FireEye a généré une synergie inédite, donnant naissance à Trellix, une entité focalisée sur la protection des terminaux. Cette alliance marque une étape significative dans le paysage de la cybersécurité, offrant une réponse unifiée face aux défis croissants posés par les attaques de ransomware.

Trellix XDR for Ransomware Detection and Response : Une Approche Sobre et Efficace : La nouvelle plateforme, sobrement intitulée Trellix XDR for Ransomware Detection and Response, s’inscrit comme une réponse directe à la menace grandissante des rançongiciels. En élargissant son arsenal de solutions de cybersécurité, Trellix cherche à doter les équipes de sécurité des opérations (SOC) d’un outil efficace pour détecter et répondre rapidement aux attaques de ransomware.

Intelligence Artificielle et Intégrations Multiples au Service de la Cybersécurité : Trellix XDR for Ransomware Detection and Response se distingue par son utilisation intensive de l’intelligence artificielle. En exploitant les plus de 1000 intégrations disponibles, la plateforme vise à améliorer l’efficacité opérationnelle des SOC en traitant rapidement et efficacement les données. Cette approche multi-vecteurs et multi-fournisseurs est renforcée par les informations collectées auprès des 40 000 clients de l’éditeur, ainsi que de sources tierces, contextualisant et hiérarchisant les menaces.

Trellix, fruit de la fusion entre McAfee et FireEye, affirme sa position dominante sur le marché de la cybersécurité avec le lancement de Trellix XDR for Ransomware Detection and Response. Cette nouvelle plateforme incarne l’engagement de l’entreprise à fournir des solutions innovantes pour contrer la menace constante des rançongiciels, offrant aux SOC un outil puissant pour renforcer leur posture de sécurité.

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Phemedrome : Un Nouveau Malware Menace la Sécurité des Utilisateurs Windows – Urgence de Mises à Jour

Malgré la réputation de Microsoft Defender, ce malware échappe à sa vigilance, infiltrant discrètement les navigateurs Internet et les conversations instantanées. En plus de cela, il a la capacité de récupérer des mots de passe enregistrés et d’autres données sensibles, créant ainsi une menace substantielle pour la confidentialité en ligne.

Une Vulnérabilité Corrigée en Novembre par Microsoft

Selon les informations de Windows, cette menace particulière exploite une faille qui peut être activée lorsque l’utilisateur clique sur un raccourci Internet spécifique ou un lien hypertexte pointant vers un fichier de raccourci Internet. Ce faisant, le malware peut s’installer et opérer sans être détecté par Microsoft Defender.

Microsoft a cependant réagi rapidement en identifiant et en corrigeant cette vulnérabilité dès le mois de novembre. La solution est simple : télécharger les dernières mises à jour Windows pour garantir la sécurité de votre système. Ignorer cette étape expose votre ordinateur au risque constant d’une infection par Phemedrome.

Agissez Rapidement pour Protéger Vos Données

En conclusion, la menace posée par Phemedrome souligne l’importance cruciale des mises à jour régulières du système d’exploitation. Ignorer cette étape peut avoir des conséquences graves, compromettant la confidentialité des utilisateurs et facilitant le vol de données sensibles. La vigilance et la réactivité sont essentielles pour contrer cette nouvelle menace dans le paysage numérique.

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Enquête en Australie sur la Panne Télécom Majeure: Les Origines et les Répercussions Explorées

Quoi s’est-il passé lors de la panne télécom en Australie et pourquoi est-ce préoccupant?

Le gouvernement australien a lancé une enquête approfondie jeudi pour élucider une panne massive qui a paralysé les communications de 10 millions de clients. Pourquoi cette panne est-elle qualifiée de préoccupante?

Pourquoi le gouvernement a-t-il décidé d’enquêter sur cette panne?

La ministre des Télécommunications, Michelle Rowland, a souligné l’importance d’analyser les pannes à grande échelle pour renforcer la résilience des réseaux. Pourquoi est-il crucial pour l’industrie et les gouvernements de tirer des leçons de ces incidents?

Quels sont les détails entourant la gestion de la crise par Optus et la question de l’indemnisation?

Optus, le deuxième opérateur téléphonique, a présenté la panne comme une « panne technique du réseau » sans fournir de détails. Le gouvernement et Optus divergent sur l’indemnisation des entreprises touchées. Pourquoi Optus s’oppose-t-il à l’indemnisation, et pourquoi le gouvernement estime-t-il raisonnable de compenser les pertes subies?

Quelles conséquences ont été observées pendant la panne et qui a été affecté?

Des perturbations ont touché des services essentiels, notamment le ministère de l’Éducation, le Royal Melbourne Hospital, et la Commonwealth Bank. Les trains ont également été brièvement arrêtés. Comment ces interruptions ont-elles impacté la vie quotidienne des Australiens?

Existe-t-il des antécédents de problèmes similaires avec Optus?

Il y a un an, plus de neuf millions de clients Optus ont été victimes d’une cyberattaque. Le directeur général promet de renforcer la confiance des clients. Quels sont les enseignements tirés de cette expérience passée, et comment cela influe-t-il sur la réaction actuelle d’Optus et la confiance des clients?

Piratage d’Optus 2022

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Les Nouveautés dans le Monde des Logiciels Malveillants : Emotet, DarkGate et LokiBot

Le monde des logiciels malveillants ?

Le paysage des logiciels malveillants ne cesse d’évoluer. De nouvelles familles apparaissent tandis que d’autres disparaissent. Certaines familles ont une durée de vie courte, tandis que d’autres restent actives pendant longtemps. Pour suivre cette évolution, nous nous appuyons à la fois sur les échantillons que nous détectons et sur nos efforts de surveillance, qui couvrent les botnets et les forums clandestins.

Dark web underground forum

Découvert récemment ?

Au cours de nos recherches, nous avons découvert de nouveaux échantillons d’Emotet, un nouveau chargeur baptisé « DarkGate » et une nouvelle campagne d’infostealer LokiBot. Nous avons décrit ces trois éléments dans des rapports privés, dont cet article contient un extrait.

Si vous souhaitez en savoir plus sur notre service de signalement de logiciels malveillants, veuillez nous contacter à l’adresse crimewareintel@kaspersky.com.

DarkGate : Un Nouveau Venu dans le Monde Malveillant

En juin 2023, un développeur de logiciels malveillants bien connu a publié une annonce sur un forum populaire du dark web, se vantant d’avoir développé un chargeur sur lequel il travaillait depuis plus de 20 000 heures depuis 2017. Certaines des principales fonctionnalités, qui dépassaient la simple fonction de téléchargement, comprenaient notamment les suivantes :

  • VNC caché
  • Exclusion de Windows Defender
  • Vol d’historique de navigation
  • Proxy inversé
  • Gestionnaire de fichiers
  • Vol de jetons Discord

La liste complète des capacités annoncées est disponible dans notre rapport privé.

L’échantillon que nous avons obtenu ne dispose pas de toutes ces fonctionnalités, mais cela ne signifie pas grand-chose, car elles peuvent être activées ou désactivées dans le programme de construction. Cependant, nous avons pu reconstituer la chaîne d’infection, qui comporte quatre étapes, jusqu’au chargement de la charge finale : DarkGate lui-même.

LokiBot : L’Infostealer Persévérant

LokiBot est un infostealer apparu pour la première fois en 2016 et toujours actif aujourd’hui. Il est conçu pour voler des identifiants de diverses applications, telles que les navigateurs, les clients FTP, et autres. Récemment, nous avons détecté une campagne de phishing ciblant les entreprises de transport maritime et distribuant LokiBot.

Dans les cas que nous avons étudiés, les victimes ont reçu un e-mail semblant provenir d’un contact professionnel et indiquant des frais portuaires à payer. Un document Excel était joint à l’e-mail. Comme prévu, à l’ouverture du document, l’utilisateur était invité à activer les macros. Cependant, il s’agissait d’un avertissement frauduleux, car le document ne contenait aucune macro et tentait d’exploiter la CVE-2017-0199.

Cette vulnérabilité permet d’ouvrir un document distant en fournissant un lien. Cela entraîne le téléchargement d’un document RTF, qui exploite à son tour une autre vulnérabilité, à savoir la CVE-2017-11882. En exploitant cette autre vulnérabilité, LokiBot est téléchargé et exécuté.

Une fois exécuté, LokiBot collecte les identifiants de diverses sources et les enregistre dans une mémoire tampon à l’intérieur du logiciel malveillant, avant de les envoyer au C2. Les données sont envoyées via des requêtes POST compressées avec APLib. Après avoir envoyé des informations système, le logiciel malveillant reste à l’écoute de commandes C2 supplémentaires. Ces commandes peuvent être utilisées pour télécharger d’autres logiciels malveillants, exécuter un enregistreur de frappe, etc.

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La CISA lance un avertissement sur la vulnérabilité des ransomwares aux États-Unis

La Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA), équivalent américain de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), a lancé son Ransomware Vulnerability Warning Pilot (RVWP), une initiative visant à prévenir les vulnérabilités des systèmes d’information (SI) d’organisations critiques aux États-Unis. Cette démarche proactive vise à identifier et à avertir les opérateurs d’infrastructures critiques des failles potentielles avant qu’elles ne soient exploitées.

Qui est à l’origine du RVWP et quel est son objectif ?

La Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA) est à l’origine du Ransomware Vulnerability Warning Pilot (RVWP), un programme destiné à repérer les ransomwares et les SI vulnérables des opérateurs d’infrastructures critiques. Cette initiative repose sur l’utilisation d’outils open source, d’outils internes et de solutions commerciales, ainsi que sur des informations provenant du gouvernement et de partenaires industriels.

Comment fonctionne le RVWP ?

Le RVWP se compose de deux volets. Le premier consiste à identifier les vulnérabilités, tandis que le deuxième vise à informer les propriétaires des SI affectés pour qu’ils puissent corriger ou atténuer ces failles avant qu’elles ne soient exploitées. Les notifications envoyées par la CISA contiennent des informations essentielles telles que le fabricant et le modèle de l’appareil, l’adresse IP utilisée, la manière dont la vulnérabilité a été détectée, ainsi que des conseils sur la manière de l’atténuer.

Quelle vulnérabilité a été ciblée récemment par la CISA ?

Répondant au nom de « ProxyNotShell, » cette vulnérabilité a été exploitée de manière significative par les acteurs de ransomware. La CISA a rapidement notifié 93 organisations utilisant des instances de Microsoft Exchange Service vulnérables à ProxyNotShell.

Quel est l’appel à l’action de la CISA ?

Eric Goldstein, directeur adjoint exécutif de l’agence, encourage toutes les organisations à réagir rapidement aux vulnérabilités identifiées par le RVWP et à mettre en place des mesures de sécurité conformes aux directives du gouvernement américain. Cette action vise à réduire directement l’impact des rançongiciels sur les organisations américaines.

Quelle est la portée des notifications de la CISA ?

Il est important de noter que recevoir une notification de la CISA ne signifie pas qu’une organisation a été compromise, mais plutôt qu’elle présente un risque potentiel d’attaque. Les notifications de la CISA ne sont pas contraignantes et ne obligent pas les destinataires à suivre les recommandations de l’agence. Cependant, elles constitue

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Vulnérabilité du serveur Exchange de Microsoft à l’origine d’une grave attaque de piratage au Royaume-Uni : Retour sur les événements

Les chercheurs révèlent une vulnérabilité du serveur Exchange de Microsoft à l’origine d’une grave attaque de piratage au Royaume-Uni.

Attaque de piratage au Royaume-Uni : Vulnérabilité du serveur Exchange mise en lumière

Qui sont les acteurs derrière l’attaque ? Des chercheurs de sécurité mettent en lumière une vulnérabilité du serveur Exchange de Microsoft.

Quelle est la cible de l’attaque ? La Commission électorale du Royaume-Uni (UKEC) a été victime d’une attaque majeure.

Quand l’attaque a-t-elle été découverte ? L’UKEC a repéré l’attaque en octobre, mais elle aurait commencé dès août 2021.

Où les données ont-elles été compromises ? Les données personnelles de 40 millions d’électeurs britanniques ont été exposées.

Pourquoi la vulnérabilité du serveur Exchange est-elle en cause ? Des chercheurs affirment que la faille zero-day du serveur Exchange de Microsoft serait à l’origine de l’attaque.

Comment Microsoft a-t-il réagi ? Bien que Microsoft ait prétendument corrigé la vulnérabilité, les chercheurs indiquent que ce n’était pas le cas.

Quelles sont les conséquences de cette attaque ? Les données sensibles de millions d’électeurs ont été compromises, suscitant des inquiétudes sur la sécurité des données personnelles.

Pourquoi Microsoft est-il critiqué ? La gestion de la sécurité par Microsoft est critiquée pour son manque de transparence et sa lenteur à réagir aux vulnérabilités.

Quelles sont les réactions des experts en cybersécurité ? Des experts soulignent que Microsoft aurait pu agir plus rapidement pour empêcher l’exploitation de la faille.

Quelles sont les actions de Microsoft après l’attaque ? Microsoft a finalement publié une mise à jour de sécurité pour résoudre la vulnérabilité.

Quelles leçons peut-on tirer de cette situation ? L’incident souligne l’importance de la diligence dans la gestion des vulnérabilités logicielles.

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Arkopharma sous la menace des hackers : le laboratoire pharmaceutique français en alerte

Le laboratoire pharmaceutique Arkopharma, reconnu pour son expertise en phytothérapie, en médicaments naturels et en compléments alimentaires depuis les années 80, fait face à une menace sérieuse de la part des pirates informatiques du groupe INC Ransom, qui ont déjà publiquement ciblé six entreprises depuis le 30 juillet 2023.

Qui menace Arkopharma et pourquoi ?

Le groupe INC Ransom, une organisation de maîtres-chanteurs apparue sur la scène cybercriminelle à la fin du mois de juin 2023, a dirigé ses projecteurs vers Arkopharma. Pour l’instant, aucune demande de rançon n’a été formulée, laissant planer un mystère quant aux motivations réelles des pirates.

Des preuves inquiétantes

Les pirates ont fait état de trois documents présumés extraits des systèmes d’Arkopharma, l’un d’entre eux étant un passeport. Ces preuves soulèvent des questions concernant la sécurité des données sensibles de l’entreprise. Les détails de ces documents restent, pour l’instant, confidentiels.

La réaction d’Arkopharma

Contacté par ZATAZ, le service de presse d’Arkopharma a conseillé de se rapprocher de la Direction Informatique de l’entreprise pour obtenir de plus amples informations sur cette menace en cours. Cette réaction souligne l’importance que l’entreprise accorde à la sécurité de ses données et à la protection de ses activités.

Une série de menaces publiques

La menace qui pèse sur Arkopharma s’inscrit dans un schéma plus vaste, avec six entreprises publiquement ciblées depuis la fin du mois de juillet 2023 par le groupe INC Ransom. Cette série de menaces sans demande de rançon apparente suscite des préoccupations quant à la sécurité des données et à la protection des entreprises françaises.

En conclusion, Arkopharma, acteur de renom dans le domaine de la phytothérapie et des médicaments naturels, se retrouve sous la menace inquiétante du groupe INC Ransom, mettant en lumière les défis croissants liés à la sécurité informatique auxquels sont confrontées les entreprises de renommée nationale. La réaction rapide de l’entreprise et son invitation à la prudence soulignent l’importance de la vigilance dans un monde numérique de plus en plus hostile.

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Mairie de Sartrouville Victime d’une Attaque Ransomware : Les Hackers de Medusa Réclament 500 000 Dollars

La mairie de Sartrouville, située en Ile-de-France, a été plongée dans une situation critique le 17 août 2023, lorsque des cybercriminels ont lancé une attaque ransomware contre ses systèmes informatiques. Les conséquences de cette intrusion malveillante ont été significatives et ont suscité des réactions rapides des autorités locales.

Qu’est-ce qui s’est passé et quelles sont les cibles ?

Le 17 août dernier, les serveurs de la mairie de Sartrouville ont été infiltrés par des hackers utilisant le ransomware connu sous le nom de Medusa. Cette attaque a eu pour résultat immédiat la paralysie des activités numériques de la collectivité. Les données essentielles ont été chiffrées, mettant ainsi en péril la continuité des opérations administratives et la sécurité des informations sensibles.

Pourquoi cette attaque est-elle préoccupante ?

Contrairement à une pause estivale, les hackers du groupe Medusa ont choisi le moment opportun pour frapper, accentuant le caractère insidieux de leur intrusion. Bien que la mairie ait maintenu des sauvegardes sur des serveurs externes, la rapidité de l’attaque et la sophistication du ransomware ont abouti à une interruption de 24 heures des services municipaux. Le préjudice financier de cette attaque se chiffre à environ 200 000 euros, reflétant les coûts directs et indirects engendrés par l’interruption des activités.

Les données compromises et les revendications des hackers :

Le groupe de hackers Medusa, bien que peu connu, a rapidement revendiqué la responsabilité de cette attaque. Dans une déclaration, ils ont exigé une rançon colossale de 500 000 dollars (environ 460 000 euros) à la mairie de Sartrouville. La date butoir fixée pour le paiement est le 31 août, sous peine de voir les données volées être rendues publiques sur le darknet. « Ransomware commissariat Hyères« 

Des sources ont indiqué que malgré ces menaces, la mairie de Sartrouville a adopté une position ferme en refusant de céder au chantage des cybercriminels. Cette posture vise à décourager les futures attaques similaires en montrant que les autorités locales ne se plieront pas devant les exigences des hackers.

L’enquête en cours et les mesures prises :

Face à cette menace sérieuse, une enquête a été immédiatement lancée et confiée à la Brigade de Lutte contre la Cybercriminalité (BL2C) relevant de la police judiciaire de Paris. Cette unité spécialisée est chargée de démêler les fils de cette attaque sophistiquée et de traquer les responsables derrière l’opération de ransomware.

Grâce à des sauvegardes effectuées sur des serveurs externes, le système informatique de la mairie a été rétabli. Néanmoins, l’impact de cette attaque se fait toujours ressentir, rappelant ainsi la vulnérabilité des institutions publiques face à la menace croissante de la cybercriminalité.

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QUELLES SONT LES TECHNIQUES DE PIRATAGE INFORMATIQUE 

Les techniques de piratage informatique ont évolué au fil des années, devenant plus sophistiquées et plus difficiles à détecter.

Les hackers utilisent diverses méthodes pour accéder illégalement à des systèmes informatiques, compromettre des données sensibles et voler des informations. Dans ce texte, nous allons examiner les différentes techniques de piratage informatique.

LES TECHNIQUES DE PIRATAGE INFORMATIQUE 

Le phishing

Le phishing est une technique courante utilisée par les hackers pour tromper les utilisateurs en leur faisant croire qu’ils se connectent à un site légitime.

Les hackers envoient des e-mails contenant des liens malveillants qui redirigent les utilisateurs vers des sites qui ressemblent à des sites de confiance, mais qui en réalité sont des sites de phishing.

Les hackers peuvent ainsi récupérer des informations confidentielles telles que des noms d’utilisateur, des mots de passe, des numéros de carte de crédit et des données personnelles.

L’ingénierie sociale

L’ingénierie sociale est une technique de piratage qui consiste à manipuler les utilisateurs pour qu’ils révèlent des informations sensibles ou pour qu’ils effectuent des actions qui compromettent leur sécurité.

Les hackers utilisent souvent des tactiques telles que la flatterie, la peur et la culpabilité pour persuader les utilisateurs de partager des informations personnelles ou de télécharger des logiciels malveillants.

L’attaque par force brute

L’attaque par force brute est une technique de piratage qui consiste à tester des millions de combinaisons possibles de mots de passe pour accéder à un compte.

Les hackers utilisent des programmes automatisés pour tester des milliers de combinaisons de mots de passe chaque seconde jusqu’à ce qu’ils trouvent le mot de passe correct. Cette technique est souvent utilisée pour accéder à des comptes protégés par des mots de passe faibles.

Le détournement de session

Le détournement de session est une technique de piratage qui consiste à intercepter une session ouverte sur un site Web ou une application.

Les hackers peuvent alors accéder aux informations stockées dans cette session ouverte et les utiliser à des fins malveillantes. Cette technique est souvent utilisée pour accéder à des comptes de réseaux sociaux ou de messagerie électronique.

Le logiciel malveillant

Les logiciels malveillants sont des programmes informatiques conçus pour accéder illégalement à des systèmes informatiques et compromettre des données sensibles. Les hackers utilisent souvent des logiciels malveillants tels que des virus, des chevaux de Troie et des ransomwares pour accéder aux données stockées sur un ordinateur ou un réseau.

Les logiciels malveillants peuvent également être utilisés pour voler des informations personnelles telles que des numéros de carte de crédit et des identifiants de connexion.

Déni de service (DDoS)

Les attaques DDoS visent à surcharger un système ou un site Web en envoyant une quantité massive de trafic de demande. Cela peut causer une interruption de service ou même une panne complète du système.

Pour se protéger contre les attaques DDoS, les entreprises peuvent utiliser des solutions de mitigation DDoS qui filtrent le trafic malveillant et empêchent les attaques de paralyser leur système.

Les hackers utilisent diverses techniques pour accéder illégalement à des systèmes informatiques et voler des informations.

Il est important de se protéger contre ces techniques en utilisant des logiciels antivirus et en adoptant des pratiques de sécurité en ligne telles que la vérification des liens avant de cliquer et l’utilisation de mots de passe forts. La prévention est la meilleure défense contre le piratage informatique.

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Sécurité informatique : Comment se protéger efficacement contre les virus

La protection contre les virus informatiques est une préoccupation majeure dans le monde numérique d’aujourd’hui. Les virus informatiques peuvent causer des dommages considérables à vos données et à votre système, compromettant ainsi votre vie privée et votre sécurité en ligne. Dans cet article, nous vous donnerons des conseils précieux pour vous protéger efficacement contre ces menaces virtuelles.

Utilisez un logiciel antivirus fiable

Un logiciel antivirus fiable est la première ligne de défense contre les virus informatiques. Installez un programme antivirus reconnu et maintenez-le à jour régulièrement. Il analysera votre système à la recherche de tout logiciel malveillant et vous alertera en cas de menace détectée.

Mettez à jour votre système d’exploitation et vos logiciels

Les mises à jour régulières du système d’exploitation et des logiciels sont essentielles pour maintenir votre système sécurisé. Les développeurs publient fréquemment des correctifs de sécurité pour combler les failles potentielles que les virus pourraient exploiter. Veillez à installer ces mises à jour dès qu’elles sont disponibles.

Soyez prudent lors de l’ouverture de pièces jointes et de liens

Les virus informatiques se propagent souvent par le biais de pièces jointes ou de liens malveillants. Soyez extrêmement prudent lorsque vous ouvrez des pièces jointes provenant de sources inconnues ou lorsque vous cliquez sur des liens douteux. Assurez-vous de vérifier l’authenticité de l’expéditeur avant d’ouvrir une pièce jointe et utilisez un outil de détection des liens malveillants pour vous protéger.

Évitez les téléchargements suspects

Les sites web douteux et les sources de téléchargement non fiables peuvent contenir des fichiers infectés par des virus. Évitez de télécharger des logiciels à partir de sources douteuses. Optez plutôt pour des sites web réputés et des plateformes de téléchargement légitimes.

Sauvegardez régulièrement vos données

La sauvegarde régulière de vos données est essentielle pour vous protéger contre la perte de fichiers en cas d’infection par un virus. Utilisez des supports de stockage externes tels que des disques durs ou des services de stockage cloud pour sauvegarder vos données importantes. Assurez-vous de sauvegarder vos fichiers régulièrement afin de pouvoir les restaurer en cas de besoin.

La protection contre les virus informatiques est une responsabilité que chaque utilisateur d’ordinateur doit prendre au sérieux. En suivant les conseils mentionnés ci-dessus, vous pouvez renforcer considérablement votre sécurité en ligne et protéger vos données précieuses. Soyez vigilant, utilisez un logiciel antivirus fiable et adoptez de bonnes pratiques en matière de sécurité pour prévenir les attaques de virus informatiques. Votre tranquillité d’esprit en vaut la peine.

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Le collectif de cybercriminels revendique une cyberattaque contre la Fédération française de rugby avant la Coupe du monde

Le chaos informatique frappe la Fédération française de rugby à quelques mois de la Coupe du monde

La Fédération française de rugby est confrontée à un énorme défi alors qu’elle fait face à une cyberattaque impitoyable menée par un collectif de cybercriminels. Cette attaque survient à un moment critique, à moins de trois mois du coup d’envoi de la Coupe du monde de rugby prévue en septembre prochain. Les conséquences de cette intrusion sont désastreuses et risquent de perturber gravement les préparatifs de l’événement sportif le plus attendu de l’année.

La Fédération française de rugby sous le choc de la cyberattaque

Les pirates informatiques n’ont pas hésité à revendiquer cette attaque, mettant ainsi en lumière les failles de sécurité qui existent au sein de la Fédération française de rugby. Les détails exacts de l’attaque restent encore flous, mais il est clair que les criminels ont réussi à accéder à des informations sensibles et à perturber les systèmes informatiques de l’organisation. Cette intrusion a semé le chaos au sein de la fédération et a pris de court les responsables qui n’avaient pas prévu une telle attaque.

La menace qui plane sur la Coupe du monde de rugby

À quelques mois seulement de la Coupe du monde de rugby, cette cyberattaque soulève de nombreuses questions quant à la sécurité de l’événement. Les organisateurs et les autorités doivent désormais prendre des mesures urgentes pour remédier à cette situation alarmante et protéger les données sensibles de la fédération. Les conséquences de cette attaque pourraient être désastreuses si les mesures appropriées ne sont pas prises rapidement.

L’urgence d’une réponse appropriée et efficace

Face à cette situation critique, la Fédération française de rugby ne peut se permettre de rester les bras croisés. Une réponse immédiate et adéquate est nécessaire pour contrer les pirates informatiques et prévenir toute autre intrusion. Il est essentiel que les responsables de la sécurité informatique travaillent en étroite collaboration avec les autorités compétentes pour identifier les auteurs de cette attaque et les traduire en justice.

L’importance de la sécurité dans le sport

Cette cyberattaque contre la Fédération française de rugby souligne également l’importance croissante de la sécurité dans le monde du sport. Les organisations sportives, qu’il s’agisse de fédérations, de clubs ou d’événements, doivent prendre des mesures de sécurité renforcées pour se protéger contre les attaques informatiques. La confidentialité des données des athlètes et des fans, ainsi que le bon déroulement des compétitions, dépendent de la sécurité numérique.

La cyberattaque revendiquée par un collectif de cybercriminels contre la Fédération française de rugby tombe à un moment critique, à quelques mois seulement du début de la Coupe du monde de rugby. Les conséquences de cette attaque pourraient perturber sérieusement les préparatifs de cet événement majeur. Il est impératif que la

fédération et les autorités prennent des mesures rapides et efficaces pour contrer cette menace et protéger l’intégrité de la compétition. La sécurité informatique dans le sport devient une priorité absolue pour éviter de telles situations à l’avenir.

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Soyez Préparé pour Contrer les Ransomwares et Protéger vos Données Précieuses

Les Signes Précurseurs d’une Attaque de Ransomware

Les attaques de ransomware sont de plus en plus fréquentes de nos jours. Ces attaques malveillantes peuvent avoir un impact dévastateur sur les entreprises et les particuliers. Il est donc essentiel d’être bien préparé pour faire face à une éventuelle attaque. Voici quelques signes précurseurs d’une attaque de ransomware à surveiller :

  1. Ralentissement du système : Si votre ordinateur ou votre réseau devient subitement plus lent, cela peut être un signe d’une éventuelle infection par un ransomware. Les ransomwares peuvent consommer une quantité importante de ressources système, ce qui entraîne un ralentissement général.
  2. Messages d’erreur inattendus : Si vous commencez à recevoir des messages d’erreur inattendus, en particulier lors de l’ouverture de fichiers ou de l’accès à des applications, cela peut être le signe d’une attaque imminente.
  3. Fichiers chiffrés : Si vous constatez que certains de vos fichiers ont été chiffrés et que vous ne pouvez plus y accéder, il y a de fortes chances qu’une attaque de ransomware soit en cours.
  4. Demande de rançon : Lorsque vous êtes victime d’une attaque de ransomware, les pirates informatiques exigent généralement une rançon pour déchiffrer vos fichiers. Si vous recevez une demande de rançon, il est crucial de ne pas céder au chantage et de signaler immédiatement l’attaque aux autorités compétentes.

Comment se Préparer à une Attaque de Ransomware ?

Il est essentiel de mettre en place des mesures préventives pour minimiser les risques d’une attaque de ransomware et pour être prêt à y faire face. Voici quelques bonnes pratiques à suivre :

  1. Effectuer des sauvegardes régulières : Assurez-vous de sauvegarder régulièrement vos fichiers importants sur un support externe ou dans le cloud. De cette façon, même en cas d’attaque de ransomware, vous pourrez récupérer vos données sans payer de rançon.
  2. Mettre à jour les logiciels et les systèmes : Les ransomwares exploitent souvent des vulnérabilités dans les logiciels et les systèmes obsolètes. Assurez-vous de maintenir vos logiciels et vos systèmes à jour pour réduire les risques d’attaque.
  3. Sensibiliser les utilisateurs : La sensibilisation des utilisateurs est essentielle pour prévenir les attaques de ransomware. Organisez des formations et des sessions d’information pour informer les utilisateurs des risques potentiels et des mesures à prendre pour se protéger.
  4. Utiliser une solution de sécurité complète : Installez un logiciel de sécurité fiable et mettez-le à jour régulièrement. Assurez-vous qu’il inclut une protection contre les ransomwares pour détecter et bloquer les attaques potentielles.

En conclusion, il est crucial de prendre les mesures nécessaires pour se préparer à une attaque de ransomware. La vigilance, les sauvegardes régulières, les mises à jour et la sensibilisation des utilisateurs sont des éléments clés pour renforcer la sécurité de vos systèmes. N’oubliez pas de signaler toute attaque de ransomware aux autorités compétentes afin de contribuer à la lutte contre ce fléau informatique.

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Conseils pour aider à limiter le risque de rançongiciel

Les rançongiciels sont un type de logiciel malveillant qui peut causer des dommages considérables aux entreprises et aux organisations en les bloquant l’accès à leurs données et en demandant une rançon pour les libérer. Cependant, il existe des moyens pour aider à limiter le risque de rançongiciels.

Conseils pour aider à limiter le risque de rançongiciel
  1. Sensibilisation à la sécurité

La sensibilisation à la sécurité est l’un des moyens les plus importants de prévenir les attaques de rançongiciels.


Les employés doivent être formés sur les techniques d’ingénierie sociale et comment repérer les e-mails de phishing et autres messages suspects.

Les employés doivent également être conscients de l’importance de ne pas ouvrir de fichiers joints provenant de sources inconnues ou de télécharger des logiciels non approuvés.

  1. Utilisation d’un logiciel de sécurité

Les entreprises doivent utiliser des logiciels de sécurité efficaces pour protéger leurs réseaux et leurs systèmes contre les attaques de rançongiciels.


Cela inclut des outils tels que des pare-feu, des logiciels antivirus et des logiciels de détection d’intrusion.

Ces outils doivent être mis à jour régulièrement pour assurer leur efficacité contre les nouvelles menaces.

  1. Sauvegarde des données

Les entreprises doivent sauvegarder régulièrement leurs données pour minimiser les dommages causés par les attaques de rançongiciels.
Les sauvegardes doivent être stockées sur des serveurs distants ou sur des disques durs externes protégés par mot de passe. Il est important de tester régulièrement les sauvegardes pour s’assurer qu’elles peuvent être restaurées en cas de besoin.

  1. Mise à jour des systèmes

Les systèmes informatiques doivent être régulièrement mis à jour pour inclure les dernières mises à jour de sécurité et correctifs de vulnérabilité.


Les rançongiciels exploitent souvent des failles de sécurité dans les systèmes non mis à jour pour pénétrer dans les réseaux et causer des dommages.

  1. Gestion des privilèges

La gestion des privilèges est importante pour empêcher les attaquants d’accéder à des informations sensibles ou à des fichiers critiques.


Les comptes utilisateur doivent être configurés avec les privilèges minimum nécessaires pour effectuer leurs tâches, afin de limiter les risques d’accès non autorisé aux données.

Pour aider à limiter le risque de rançongiciel, les entreprises doivent mettre en place une stratégie globale de sécurité informatique qui comprend la sensibilisation des employés, l’utilisation de logiciels de sécurité efficaces, la sauvegarde régulière des données, la mise à jour des systèmes et la gestion des privilèges.


En prenant ces mesures, les entreprises peuvent réduire considérablement le risque de rançongiciels et protéger leurs données et leur réputation.

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La Suisse redoute d’avoir été victime d’une cyberattaque, craignant que des données stratégiques aient été dérobées.

Les autorités fédérales suisses ont révélé jeudi que l’administration suisse craignait que ses données stratégiques aient été touchées lors de l’attaque par rançongiciel récemment subie par l’entreprise Xplain. Selon le Centre national pour la cybersécurité (NCSC), qui coordonne les analyses et les mesures à prendre au sein de l’administration fédérale, des données stratégiques pourraient également être touchées, contrairement aux premières constatations.

Des craintes se manifestent en Suisse quant à une éventuelle violation de données stratégiques à la suite d’une attaque informatique.

À l’heure actuelle, l’administration fédérale suppose que ses systèmes ne sont pas directement accessibles via les systèmes de Xplain, selon les informations dont elle dispose. Toutefois, des analyses approfondies sont en cours pour déterminer quels services et données sont concrètement concernés par cette cyberattaque, a ajouté le NCSC dans un communiqué.

Des mesures de sécurité renforcées sont mises en place en Suisse afin de prévenir de nouvelles attaques et protéger les données critiques.

Divers organismes gouvernementaux, dont l’armée et les douanes, font effectivement partie des clients de Xplain, une entreprise suisse fournissant des logiciels aux autorités spécialisées dans la sécurité intérieure. Suite au cryptage des données volées et au chantage exercé sur l’entreprise, les cybercriminels ont publié une partie de ces informations sur le darknet, d’après le NCSC.

Les responsables suisses enquêtent sur l’ampleur de la cyberattaque et tentent de déterminer les éventuelles conséquences.

Samedi, plusieurs administrations fédérales ont confirmé l’attaque, mais se sont montrées rassurantes en soulignant que Xplay leur fournit uniquement des logiciels et ne conserve pas les données.

Xplain, qui a déposé plainte, a accusé le groupe de ransomware Play d’être à l’origine de cette attaque. Le directeur de l’entreprise, Andreas Löwinger, a déclaré dans un communiqué envoyé à l’AFP : « Nous n’avons eu aucun contact avec le groupe PLAY et nous ne paierons pas de rançon ! »

Les entreprises suisses sont appelées à renforcer leurs mesures de protection des données et à surveiller de près toute activité suspecte.

Comme dans d’autres pays, les cyberattaques contre les entreprises, les administrations et les universités se multiplient en Suisse. Récemment, le groupe de pirates informatiques Play a ciblé deux médias, CH Media et NZZ.

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La cyber sécurité par les compagnies d’assurance

La numérisation croissante des opérations commerciales a permis aux entreprises d’assurance de simplifier les processus d’administration des polices, de gestion des sinistres et de paiement des prestations. Toutefois, cette numérisation accrue a également entraîné une augmentation des risques de cyberattaques et de violations de données pour les compagnies d’assurance.

La cyber sécurité par les compagnies d’assurance

Vulnérabilité des données sensibles

Les compagnies d’assurance gèrent une grande quantité de données sensibles telles que les informations personnelles des clients, les données de santé et les données financières. Les cybercriminels ciblent ces informations pour les utiliser dans des activités frauduleuses ou pour les revendre sur le marché noir. Les violations de données peuvent également entraîner des pertes financières importantes pour les entreprises d’assurance, notamment en raison des coûts liés à la notification des clients et des autorités, des amendes réglementaires et des pertes de réputation.

Risque de perturbation des opérations commerciales

Les cyberattaques peuvent également perturber les opérations commerciales des compagnies d’assurance en provoquant une interruption des services en ligne ou en rendant les données inaccessibles. Cela peut entraîner des perturbations importantes pour les clients et des pertes financières pour l’entreprise. Les attaques par ransomware, qui verrouillent les données de l’entreprise et exigent une rançon pour leur restitution, sont devenues particulièrement courantes ces dernières années.

Besoin de conformité réglementaire

Les compagnies d’assurance sont soumises à de strictes réglementations en matière de protection des données, notamment la loi sur la protection des données personnelles (RGPD) en Europe et la loi sur la confidentialité des renseignements personnels et électroniques (PIPEDA) au Canada. Les violations de ces réglementations peuvent entraîner des amendes importantes et des poursuites judiciaires, ainsi que des pertes de réputation.

Nécessité de la mise en place de mesures de sécurité

Les compagnies d’assurance doivent prendre des mesures pour protéger leurs données sensibles et leurs systèmes contre les cyberattaques. Cela peut inclure l’utilisation de technologies de pointe telles que la détection des intrusions, la protection contre les logiciels malveillants et la gestion des vulnérabilités. Les entreprises doivent également mettre en place des politiques et des procédures strictes pour gérer les risques de cybersécurité et former leur personnel pour identifier et signaler les menaces potentielles.

Problème de cyber sécurité et les compagnies d’assurance

La cybersécurité est un défi croissant pour les compagnies d’assurance, qui sont chargées de protéger les données sensibles de leurs clients tout en garantissant la continuité de leurs opérations commerciales. Les attaques par ransomware, les violations de données et les perturbations des opérations commerciales peuvent avoir des conséquences graves pour les entreprises d’assurance. Il est donc essentiel que les compagnies d’assurance prennent des mesures de sécurité adéquates pour protéger leurs systèmes et leurs données et garantir leur conformité réglementaire.

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Comment une cyberattaque pourrait paralyser notre pays

Les cyberattaques sont devenues une menace de plus en plus répandue pour les gouvernements, les entreprises et les individus. Une cyberattaque peut avoir des conséquences graves et potentiellement catastrophiques sur l’infrastructure d’un pays. Dans cet article, nous examinerons comment une cyberattaque pourrait paralyser le pays en explorant les différentes vulnérabilités et impacts possibles.

Comment une cyberattaque pourrait paralyser notre pays

La vulnérabilité des systèmes critiques

Les systèmes critiques, tels que les réseaux électriques, les systèmes de transport et les réseaux de communication, sont devenus de plus en plus dépendants de la technologie et de l’Internet.

Cela signifie que ces systèmes sont également de plus en plus vulnérables aux cyberattaques. Les cybercriminels peuvent exploiter les vulnérabilités des systèmes pour les paralyser ou les perturber gravement, ce qui peut entraîner des conséquences dramatiques pour la société.

Les conséquences sur les services essentiels

Une cyberattaque contre les systèmes critiques peut entraîner des conséquences dramatiques pour les services essentiels, tels que l’énergie, l’eau, le transport et la communication.

Les coupures d’électricité peuvent causer des pannes de système de chauffage, de climatisation et de sécurité, tandis que les coupures de réseau de communication peuvent paralyser les services d’urgence et les communications vitales.

Les conséquences économiques

Une cyberattaque peut également avoir des conséquences économiques importantes pour le pays.

Les attaques contre les entreprises peuvent entraîner des pertes financières importantes, des coûts de réparation élevés et une perte de confiance des investisseurs. Les secteurs clés de l’économie peuvent être gravement touchés, notamment l’industrie, les services financiers, le transport et le tourisme.

Les conséquences sur la sécurité nationale

Une cyberattaque peut également avoir des conséquences graves pour la sécurité nationale.

Les cyberattaques peuvent être utilisées pour voler des informations sensibles, tels que des données militaires, des secrets commerciaux, des données personnelles, ou même pour perturber les infrastructures stratégiques. Cela peut avoir un impact sur la sécurité nationale, la stabilité politique et les relations internationales.

Les mesures de prévention

Il est essentiel que les gouvernements et les entreprises prennent des mesures pour prévenir les cyberattaques. Les systèmes doivent être renforcés contre les vulnérabilités et les failles de sécurité. Des protocoles de sécurité doivent être mis en place pour protéger les informations sensibles et les infrastructures critiques.

Des programmes de formation et de sensibilisation doivent être mis en place pour aider les utilisateurs à comprendre les risques liés à la cybersécurité et à adopter des pratiques de sécurité efficaces.

La nécessité d’une coopération internationale

Enfin, la prévention des cyberattaques nécessite une coopération internationale.

Les gouvernements et les entreprises doivent travailler ensemble pour développer des normes de cybersécurité communes et partager des informations sur les menaces et les vulnérabilités. La coopération internationale est essentielle pour faire face à cette menace mondiale et pour prévenir les cyberattaques qui pourraient paralyser le pays

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Les ransomwares : une menace de plus en plus présente pour les entreprises

41 % des paiements de rançon ont échoué

Le rapport révèle que 41 % de ceux qui ont payé une rançon aux cybercriminels n’ont pas réussi à récupérer toutes leurs données.

Une menace de plus en plus présente pour les entreprises

Les fuites de données persistent

De plus, près d’un tiers (29 %) des entreprises ayant payé une rançon avaient encore des fuites de données.

L’augmentation des attaques de ransomware

Le rapport montre que 19 % des entreprises attaquées ont été victimes de ransomware, comparativement à 16 % l’année précédente. Cette augmentation peut être liée à la pandémie qui a entraîné une augmentation des cyberattaques en général.

En conclusion, le Rapport Hiscox 2022 sur la gestion des cyber-risques et ransomware montre que payer une rançon ne garantit pas la récupération de toutes les données et que les fuites de données persistent. De plus, l’augmentation des attaques de ransomware est un véritable défi pour les entreprises et leur sécurité informatique. Il est donc important de mettre en place des mesures de prévention et de protection pour limiter les risques et les impacts des attaques de ransomware.

Le Rapport Hiscox 2022 sur la gestion des cyber-risques et ransomware a mis en lumière une tendance inquiétante : les entreprises qui ont payé une rançon pour récupérer leurs données se retrouvent souvent confrontées à de nouveaux pièges.

Les dangers de payer une rançon

Payer une rançon peut sembler être la solution la plus rapide et la plus simple pour récupérer ses données, mais cela peut également exposer l’entreprise à de nouveaux risques. Les criminels peuvent par exemple exiger un deuxième paiement pour débloquer les fichiers, ou utiliser les informations récupérées pour mener d’autres attaques.

Les statistiques inquiétantes du rapport

Le Rapport Hiscox 2022 a révélé que 43 % des entreprises qui ont payé une rançon ont été confrontées à des problèmes supplémentaires. Parmi ces entreprises, 36 % ont été victimes d’une nouvelle attaque, 29 % ont vu leurs données volées ou exposées et ont été confrontées à des problèmes de confidentialité.

Les autres options à envisager contre les ransomwares

Face à ces risques, il est important pour les entreprises de considérer d’autres options pour récupérer leurs données, comme la restauration à partir de sauvegardes ou l’utilisation d’outils de décryptage. Les entreprises doivent également mettre en place des plans de réponse à l’incident pour minimiser les dommages en cas d’attaque.

La prévention des ransomwares, toujours la meilleure solution

La meilleure solution reste cependant la prévention. Les entreprises doivent mettre en place des mesures de sécurité solides pour éviter les attaques de ransomware, comme la sensibilisation des employés, la mise à jour régulière des logiciels et la sauvegarde régulière des données.

En conclusion, le Rapport Hiscox 2022 souligne l’importance pour les entreprises de considérer les risques associés au paiement d’une rançon et de prendre des mesures pour minimiser ces risques. La prévention reste la meilleure solution pour protéger son entreprise contre les cyber-attaques et les ransomwares.

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Deux hôpitaux de Lyon ont été victimes d’une attaque informatique

Des hôpitaux du groupe Ramsay

Deux hôpitaux de Lyon ont été victimes d’une attaque informatique

Des hôpitaux appartenant au groupe Ramsay, tels que l’hôpital Jean-Mermoz à Lyon et l’hôpital de l’Est lyonnais à Saint-Priest, ont subi une tentative de cyberattaque sur leurs serveurs informatiques la semaine dernière.

Victime d’une cyberattaque

Le groupe Ramsay Santé a été victime d’une cyberattaque la semaine dernière, visant notamment l’hôpital privé Jean-Mermoz à Lyon et l’hôpital privé de l’Est Lyonnais à Saint-Priest.

Aucun vol de données ni propagation

Le groupe a déclaré avoir immédiatement activé sa procédure de sécurité et qu’il n’y avait eu aucun vol de données ni aucune propagation de l’incident à leurs patients. Les enquêtes continuent en collaboration avec les services de l’État.

L’hôpital Jean-Mermoz

Des mesures de précaution ont été prises suite à cette tentative d’intrusion informatique, causant des ralentissements dans la prise en charge des patients, notamment à l’hôpital Jean-Mermoz.

Les urgences ont été fermées jusqu’à mardi et les hospitalisations en chirurgie ont été reportées.

Ramsay Santé en France

Il convient de noter qu’en août 2019, les 120 établissements de Ramsay Santé en France ont également subi une cyberattaque, entraînant des conséquences durables pendant plusieurs semaines.

Intrusion sur ses serveurs informatiques

Ramsay Santé a déclaré être la cible d’une tentative d’intrusion sur certains de ses serveurs informatiques le mercredi 25 janvier 2023.

Hôpital privé de l’Est lyonnais à Saint-Priest

Quatre établissements de santé en France ont été touchés, y compris l’hôpital privé Jean-Mermoz à Lyon, l’hôpital privé de l’Est lyonnais à Saint-Priest et la clinique Convert de Bourg-en-Bresse.

Comme mesure de sécurité, le groupe a fermé les accès extérieurs à ses systèmes après avoir détecté des anomalies. Les investigations sont en cours en collaboration avec les services de l’Etat pour permettre à nouveau l’accès au réseau depuis l’extérieur.

Le groupe est passé en mode dégradé, causant un ralentissement des prises en charge. Ramsay Santé a informé ses partenaires et les autorités sanitaires et a mobilisé des experts techniques et d’investigation indépendants.

Ni vol de données ni propagation

L’enquête a révélé qu’il n’y avait ni vol de données ni propagation de l’incident à leurs patients.

Ramsay Santé emploie 36 000 personnes et travaille avec environ 8 600 libéraux dans 5 pays: la France, la Suède, la Norvège, le Danemark et l’Italie.

Le groupe soigne 7 millions de patients par an dans ses 350 établissements.

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Les cyberattaques en 2023

Les cyberattaques sont de plus en plus fréquentes et visent un large éventail de secteurs d’activité. En 2023, voici quelques exemples de domaines qui pourraient être particulièrement ciblés par les cybercriminels :

Les cyberattaques en 2023
  • Cyberattaques sur les PME PMI:
    Les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs : que ce soit les grandes multinationales ou les PME, les entreprises sont des cibles de choix pour les cyberattaques en raison de la quantité de données sensibles qu’elles gèrent et de la valeur qu’elles représentent pour les criminels.
  • Systèmes de gouvernance et de sécurité:
    Les organisations gouvernementales et les services de sécurité : les cybercriminels peuvent tenter de s’en prendre aux systèmes de gouvernance et de sécurité d’un pays dans le but de compromettre la stabilité politique ou de voler des informations sensibles.
  • Autres cibles potentielles:
    Les infrastructures critiques : les systèmes de transport, d’énergie et de communication sont essentiels pour le bon fonctionnement de la société, ce qui en fait des cibles potentielles pour les cyberattaques.
  • Hôpitaux + pénuries de personnel et de budget:
    Les établissements de santé : les hôpitaux et autres établissements de santé gèrent des quantités importantes de données sensibles et sont souvent confrontés à des pénuries de personnel et de budget, ce qui peut rendre leur système de sécurité informatique vulnérable aux attaques.
  • Vous:
    Les individus : les cybercriminels peuvent cibler les particuliers pour voler leur identité, leur argent ou tout simplement pour perturber leur vie quotidienne.

Il est important de rester vigilant et de mettre en place des mesures de sécurité adéquates pour protéger son entreprise ou sa vie personnelle contre les cyberattaques.

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Parlons des attaques par rançongiciel

Malgré les avertissements, de nombreuses victimes paient la rançon demandée, ces logiciels malveillants citant vos données pour vous extraire de l’argent. Ils pensent que c’est le moyen le plus rapide de récupérer leur réseau. La pression est plus forte car les cybercriminels menacent également de révéler des données volées.

Trop d’attaques en silence

Mais le paiement de la rançon signifie que le cycle d’attaque se poursuit, les gangs ransomiens qui utilisent leurs gains mal acquis pour financer des attaques plus ambitieuses. Alors, devrions-nous craindre que l’indemnisation du paiement de l’assurance favorise les cybercriminels?

La réponse n’est pas si simple. D’abord et avant tout, comme dans tous les pays de l’OCDE, le remboursement du paiement d’une rançon en France était déjà possible. La réforme actuelle surveille désormais ce paiement. En fait, il sera conditionnel à déposer une plainte. Cependant, ce n’est pas un point anecdotique. Parce que trop d’attaques de Ransom, le problème de cybersécurité le plus important auquel nous sommes confrontés aujourd’hui a tout simplement passé en silence.

Pour le moment, il est difficile d’avoir une idée précise de ce qui se passe réellement. Même lorsque les entreprises admettent qu’elles ont été victimes d’une cyberattaque, elles restent souvent vagues sur ce qui s’est passé et semble très réticent à décrire un incident comme une attaque de rançon.

Communication vague

Une « cyberattaque grave », un « cybercident qui a causé des perturbations » et « des données cryptées par un tiers ». Ce ne sont que quelques-unes des déclarations des victimes d’attaques par Ransom pour décrire ce qui s’est passé, mais sans jamais mentionner cette expression.

Certaines victimes finissent par être plus ouvertes à ce qui s’est passé, mais seulement des mois ou des années après l’incident. D’autres ne reconnaissent jamais publiquement que c’était un ransomique.

Il est frustrant de ne pas pouvoir avoir une idée complète et claire de ce qui se passe, bien que en lisant entre les lignes des vagues dans les déclarations d’un « cybercident sophistiqué » qui « a dérangé les services » il est clair, il est clair, il est clair qu’il s’agit d’une attaque ransomiciale.

Retourner l’expérience, cependant,
Ce manque de transparence est nocif pour tous. Certaines victimes révèlent très rapidement que c’est un ransomique. J’ai interviewé les victimes d’attaques, comme une fois l’incident, est prête à exprimer officiellement ce qui s’est passé. Il est intéressant d’entendre des instructeurs de systèmes d’information, et les administrateurs de la sécurité informatique s’ouvrent à ce qui s’est passé.

Responsables Cybersécurité

Le point commun entre ces responsables de la cybersécurité qui communiquent est qu’ils veulent aider à empêcher les autres de devenir la prochaine victime. Leur discours est ainsi axé sur les leçons qu’ils ont apprises du renforcement des cyberfants pour prévenir les événements futurs.

Par exemple, il s’agit de mettre à jour leurs systèmes, de créer une approbation multifactorielle et de faire régulièrement des sauvegardes. Tant de mesures qui peuvent aider à arrêter les attaques de Ransomiciel. À propos de ce sujet est le meilleur moment pour agir avant l’attaque.

Changement de mentalités
Les Rançongciales ne sont pas seulement un problème technologique. En fin de compte, ces cyberattaques ont une influence mondiale. Cependant, nous sommes souvent laissés dans l’ignorance des raisons pour lesquelles les services sur lesquels nous dépendons ne fonctionnent pas. Dans certains cas, il semble que la situation change déjà.

Deuxième plus grand district scolaire des États-Uni

Récemment, Los Angeles Unified (LAUSD), le deuxième plus grand district scolaire des États-Unis, a été frappé par une attaque de rançon. Il a immédiatement révélé l’incident aux autorités tout en gardant le public au public. Cette approche a été accueillie par le directeur de l’American Cybersecurity Agency (Cybersecurity and Infrastructure Security Agency, CISA), Jen Easterly. Ce dernier a salué la victime d’effort de transparence.

Gérer une attaque ransomiciale est un défi. Mais la façon dont les organisations en parlent est aussi importante que la réponse technique.

En détaillant ce qui s’est passé et comment l’incident a été résolu, ils montrent que les gangs de rançon peuvent être contrecarrés.

Ce qui pourrait éviter de nouvelles victimes. Dans la lutte contre Ransomik, tout le monde s’intéresse aux attaques est plus transparent.

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Les compagnies d’assurance cherchent à vous faire régler les frais des dommages causés par les cyberattaques.

Selon le Financial Times, le dirigeant d’un des plus grands groupes d’assurance au monde a récemment déclaré que les coûts causés par les cyberattaques dépassent désormais leur capacité à les couvrir en tant qu’assureur et qu’il appelle à l’intervention des gouvernements pour gérer ces coûts via des partenariats public-privé, financés par les impôts des contribuables.

Les compagnies d’assurance cherchent à vous faire régler les frais des dommages causés par les cyberattaques.

En 2022, de nombreux hacks de grande ampleur ont été perpétrés par des groupes de pirates, parfois même liés à des gouvernements.

Ces attaques ont causé des pertes financières, techniques et d’investissements potentiellement considérables, mettant en danger des millions, voire des milliards de dollars. Ces hacks ont également soulevé la question du coût de leur impact.

Les cyberattaques visent de plus en plus des infrastructures critiques, comme les pipelines aux Etats-Unis qui ont été bloqués cette année par une attaque, causant une pénurie temporaire de carburant.

Elles peuvent également cibler des hôpitaux, comme cela a été le cas pendant la pandémie de Covid.
De plus, les services étatiques, qui peuvent avoir accès à des informations stratégiques ou qui rassemblent des données sur des millions de personnes, sont également une cible possible.

Les perturbations causées par les cyberattaques ont un coût financier réel et potentiel, ce qui a poussé les assureurs à modifier leurs polices d’assurance pour exclure certaines formes d’attaques.
Par exemple, la Lloyd’s a demandé en septembre dernier que les cyberattaques financées par un État ne soient pas couvertes par l’assurance, selon le Financial Times. Cela signifie que les assureurs ne veulent pas être responsables des coûts engendrés par les conséquences d’une cyberattaque.

Le gouvernement américain aurait lancé en septembre un appel à avis pour évaluer la possibilité de mettre en place une assurance fédérale contre les cyberattaques.
Cette démarche intervient suite à l’incident de la Colonial Pipeline, qui a mis en lumière les répercussions potentiellement graves d’une attaque informatique sur la vie quotidienne.

L’idée de l’Etat en tant que garant n’est pas nécessairement mauvaise, car il s’agit en effet d’un enjeu de société. Cependant, il semble que cette protection devrait être soumise à un contrôle préalable et à des contreparties. En fin de compte, les piratages sont souvent rendus possibles en raison de la négligence des entreprises ou de leur manque d’investissements dans la cybersécurité.
Avant de solliciter les fonds des contribuables, il serait donc raisonnable que le secteur privé s’assure de disposer des moyens nécessaires pour se protéger au mieux.

L’assurance informatique est un concept qui vise à protéger votre entreprise contre les risques liés à votre utilisation de l’informatique. Elle peut couvrir différents types de sinistres, comme les dégâts matériels, les pertes de données, les virus et les piratages. Elle peut également inclure des services de maintenance et de sauvegarde pour assurer le bon fonctionnement de votre matériel informatique.

Il existe plusieurs méthodes pour assurer votre informatique. Voici quatre options populaires :

  1. L’assurance tous risques : Cette formule couvre l’ensemble des risques liés à votre utilisation de l’informatique. Elle peut inclure des services de maintenance et de sauvegarde pour vous aider à prévenir les problèmes informatiques.
  2. L’assurance sélective : Cette formule vous permet de choisir les risques que vous souhaitez couvrir. Vous pouvez par exemple opter pour une couverture uniquement contre les dégâts matériels ou les pertes de données.
  3. Les services cloud : Il s’agit d’un modèle d’assurance informatique basé sur le cloud computing.
    Vous bénéficiez de services de sauvegarde et de maintenance accessibles en ligne, sans avoir à investir dans du matériel informatique coûteux.
  4. Les assurances informatiques à la carte : Cette formule vous permet de souscrire à des services à la carte, selon vos besoins.
    Vous pouvez par exemple opter pour une couverture uniquement contre les virus ou les piratages, ou choisir des services de sauvegarde et de maintenance à la demande.
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« SIM swapping » cette technique permet de prendre le contrôle de votre numéro de téléphone

« SIM swapping » cette technique permet de prendre le contrôle de votre numéro de téléphone

Les excuses qui demande à l’individu d’activer votre numéro sur une nouvelle carte SIM en sa possession. Pour convaincre le service client au téléphone, il utilise des informations privées (date de naissance, adresse, numéro de clientèle, etc.) qu’il a pu trouver sur Internet ou de différentes manières. Lorsque l’opération réussit, le pirate peut alors recevoir des appels et des SMS pour vous.

Auparavant, il aura reçu vos informations personnelles, par exemple, les violations des données, le phishing, la recherche sur les réseaux sociaux, les applications malveillantes, les achats en ligne, les logiciels malveillants, les infections des réseaux sociaux et autres sites Internet, etc. L’usurpateur peut désormais collecter des appels, SMS et accédez aux services bancaires en ligne de la victime.

Banques, Mail, réseaux

Pour mieux sécuriser leurs différents comptes en ligne (banque, réseaux sociaux, etc.), les utilisateurs sont encouragés à utiliser un système d’approbation à double. Ainsi, après avoir entré leurs identifiants (nom et mot de passe) pour se connecter, l’appareil leur envoie un code, souvent de SMS. Il y a beaucoup de gens avec toute leur vie dans le téléphone … c’est là que le « Sim Exchange » intervient.

Cela donne accès à de nombreux types de comptes en ligne, ouvre la porte à différents types d’escroqueries: le vol d’identité, l’extorsion ou même le vol d’argent.


Cette technique vous permet de prendre le contrôle d’un numéro de téléphone et d’ouvrir la porte à différents types de hacks. Dans cette expression, le « vol » des numéros de téléphone portables de quelqu’un est essentiellement et fondamentalement.

Une chose triviale que votre smartphone peut contenir une carte bancaire ou une fidélité, elle distille les données de localisation pour les endroits importants, d’informations importantes, etc. de toutes.

Une carte SIM

À ce moment-là, je vois que vous avez blâmé et il y a quelque chose. De plus, cela ne nécessite pas beaucoup d’expertise technique.

Dans les vols les plus courants dudit processus, un délinquant négligera le service client de votre opérateur et vous fera semblant d’être pour vous. En fait, votre numéro est lié à une carte SIM.

Il s’agit d’une puce qui contient un microcontrôleur et une mémoire. Il stocke des informations spécifiques à l’abonné à un réseau mobile, en particulier pour les réseaux GSM, UMTS et LTE.

Cette petite puce de votre téléphone identifie et vous permet de résumer, de vous connecter aux réseaux téléphoniques, de 3G, 4G et bientôt 5G.

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Entreprise d’informatique pour professionnels Hyères

Chez Titan-informatique, entreprise d’informatique pour professionnels basée à Hyères.

Nous sommes une entreprise spécialisée dans les solutions informatiques pour les professionnels de tous les secteurs. Nous proposons une gamme complète de services et de produits pour répondre à tous vos besoins en matière de technologie de l’information.

Expertise informatique

L’équipe d’experts en informatique est à votre disposition pour vous conseiller et vous accompagner dans vos projets informatiques. Une expertise est à votre disposition pour vous aider à optimiser vos processus de travail et à améliorer votre productivité.

Nous proposons également une gamme de produits informatiques de qualité pour équiper votre entreprise. Nous avons des ordinateurs de bureau, des ordinateurs portables, des imprimantes et des accessoires pour répondre à tous vos besoins en matière de matériel informatique.

Offres informatique

En plus de nos services et produits, nous proposons également des solutions de gestion de la sécurité informatique pour protéger votre entreprise des menaces en ligne.

L’entreprise propose également en mesure de vous fournir des solutions de sauvegarde de données pour assurer la protection de vos informations sensibles.

Titan-informatique, entreprise de services informatiques offre une gamme complète de services pour répondre à tous vos besoins en matière de technologie.

Que vous cherchiez de l’assistance pour votre ordinateur personnel ou pour votre entreprise, nous sommes là pour vous aider.

Nos techniciens qualifiés sont à votre disposition pour résoudre tous vos problèmes informatiques, de la réparation de matériel à la mise en place de solutions logicielles.

Nous proposons également des services de conseil et de formation pour vous aider à tirer le meilleur parti de votre technologie.

N’hésitez pas à nous contacter pour discuter de vos besoins en matière d’informatique et pour découvrir comment nous pouvons vous aider à améliorer votre entreprise.

Nous sommes impatients de vous aider à atteindre vos objectifs.

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Le centre hospitalier de Versailles cible d’une cyberattaque

Une cyberattaque contre l’hôpital de Versailles est la dernière d’une série d’attaques qui ont visé différents hôpitaux. L’attaque, qui s’est déroulée pendant le week-end, a rendu les patients et le personnel de l’hôpital vulnérables aux attaques. L’attaque a commencé par un soi-disant « virus » qui a été rapidement et facilement nettoyé, mais qui a causé des dommages importants aux systèmes informatiques de l’hôpital. Ce type d’attaque est difficilement contrôlable et peut facilement conduire à la perte de données, voire à leur destruction. L’hôpital s’efforce actuellement de restaurer ses systèmes le plus rapidement possible, mais reste dans l’attente d’informations complémentaires.

Le centre hospitalier de Versailles cible d’une cyberattaque

Le 22 août, le South Ile-de-France Hospital Center (CHSF) était à Corbeil Essonnes, qui garantit la couverture santé de près de 700 000 habitants de Grande Couronne parisienne, également la cible d’une cyberattaque qui a fortement perturbé son opération sur plusieurs semaines. Son activité est revenue près de la normale au milieu de l’octobre. L’attaque a été suivie d’une rançon de 10 millions de dollars, puis réduite à 1 ou 2 millions de dollars. Les pirates avaient fixé un ultimatum le 23 septembre à l’hôpital pour payer la rançon. Après cette période, ils avaient fourni un certain nombre de données confidentielles sur les patients, le personnel ou les partenaires de l’entreprise sur le « Dark Web ».

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Les attaques par ransomware sont de plus en plus nombreuses

Les attaques de ransomware sont en augmentation et nous avons des raisons de penser qu’elles vont devenir un problème plus important. Par conséquent, il est important de connaître tous les prestataires de dépannages informatiques sur Hyères en 2023 qui peuvent vous aider à y faire face à l’avenir.
Il s’agit notamment de conseils de dépannage pour des attaques de ransomware spécifiques, de la façon de protéger votre ordinateur contre ces attaques, de la façon d’obtenir de l’aide si vous rencontrez des problèmes et de la façon d’éviter d’être considéré comme un porteur de risque.

Les attaques par ransomware sont de plus en plus nombreuses

Les entreprises qui veulent garder une longueur d’avance dans le monde numérique devraient envisager d’investir dans des services de sauvegarde informatique pour leur infrastructure TI.

Non seulement ces services offrent un moyen sûr de protéger les données vitales, mais ils permettent également de les récupérer rapidement en cas de sinistre. Un bon système de sauvegarde peut contribuer à garantir le bon déroulement, sans interruption, des opérations commerciales.

Avec la bonne solution de sauvegarde, les entreprises peuvent être préparées à toute éventualité et avoir la certitude que leurs données sont sécurisées.

C’est particulièrement important à notre époque, où les violations de données sont de plus en plus fréquentes. Avec le bon système de sauvegarde en place, les entreprises peuvent être sûres que leurs données sont en sécurité. À l’avenir, les services de sauvegarde informatique ne feront que gagner en importance.

Attaques informatiques

D’ici 2023, il sera essentiel pour les entreprises de disposer de systèmes de sauvegarde fiables afin de s’assurer que leur activité est capable de survivre à toute situation d’urgence. Investir dès maintenant dans une bonne solution de sauvegarde informatique peut vous aider à préparer l’avenir de votre entreprise pour les années à venir.

Les attaques de ransomware sont en augmentation, et pour cause. De plus en plus d’utilisateurs prennent conscience des dangers des ransomwares et sont plus enclins à nous demander de l’aide. Et, comme nous l’avons vu par le passé, les ransomwares peuvent être très dangereux. Si vous rencontrez toujours des problèmes après avoir utilisé notre guide de dépannage, vérifiez que votre ordinateur ne présente aucun signe d’infection.

Les entreprises de toutes tailles ont besoin de services de sauvegarde informatique fiables pour s’assurer que leurs données sont sécurisées et sauvegardées en cas d’urgence. Avec l’évolution rapide de la technologie, il existe de nombreuses options différentes parmi lesquelles les entreprises peuvent choisir – des serveurs sur site aux solutions basées sur le cloud.

Mais avec les nouveaux services informatiques disponibles en 2023, il existe des options encore plus efficaces et rentables pour les entreprises. Par exemple, de nombreuses entreprises se tournent vers des services pilotés par l’IA pour automatiser leurs sauvegardes informatiques.

Services de sauvegarde

Ces services sont non seulement plus rapides et plus sûrs, mais ils peuvent également fournir des notifications en temps réel pour tout problème qui survient, ce qui permet une résolution plus rapide des problèmes. En outre, les services pilotés par l’IA peuvent détecter les menaces potentielles et les traiter rapidement avant qu’elles ne deviennent un problème.

Si vous recherchez un service de sauvegarde informatique fiable pour votre entreprise, c’est le moment d’investir dans les nouveaux services informatiques disponibles en 2023 – ils vous feront gagner du temps, de l’argent et la tranquillité d’esprit.

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Cyberattaques de Thales: Lockbit publie les données volées de Thales sur le web

Le récent piratage de Thales prend maintenant un renversement beaucoup plus problématique. Bien que Locbkit n’ait apparemment pas fait de demande de rançon au groupe français, les données récupérées lors du piratage sont maintenant en ligne sur le forum collectif. Les experts en cybersécurité de l’entreprise cherchent désormais à évaluer l’étendue des dommages.

Cyberattaques de Thales: Lockbit publie les données volées de Thales sur le web

Il n’a fallu que quelques jours aux pirates les plus productifs pour le moment pour effectuer leur menace. Le 2 novembre, nous avons appris que Lockbit 3.0, qui a acquis une certaine réputation en 2022, a attaqué le navire amiral des armes françaises. Les éléments de l’affaire étaient encore relativement vagues. Thales affirme avoir reçu une requête de rançon à ce jour.

Lockbit, à son tour, prétend être à l’origine de l’attaque, mais n’avait encore fourni aucune preuve de ces réclamations. Cela se fait maintenant comme l’ont découvert nos collègues de Franceinfo. Ce dernier a en fait trouvé la trace des données volées sur le groupe sur le forum collectif russe. Cela signifie analyser lesdites données pour évaluer l’étendue des dommages.
Les données concernant les Thales, que le groupe Lockbit 3.0 avait réclamé le vol, a été envoyée en ligne à Darkweb jeudi, nous avons appris vendredi de Defense and Technology Group, pour qui il n’y a pas de « influence sur ses activités ». « Le 10 novembre 2022, un groupe d’extorsion et ransomicine (Lockbit 3.0) a publié des données relatives à Thales sur sa plateforme », a déclaré ce dernier dans un communiqué, confirmant les informations de Franceinfo.
Ils ont mis leurs menaces. Le groupe de pirates russes Lockbit 3.0 a publié vendredi sur le sombre Web de données confidentielles concernant la société Thalès, victime d’une cyberattaque le 31 octobre, selon France Info. Cela n’a aucune « influence sur les activités de l’entreprise », dit-elle.

Il n’y a «aucune contribution» dans les systèmes d’information du groupe, a déclaré Thales

Les pirates avaient indiqué de leurs cyberattaques que « toutes les données disponibles seraient publiées » après un défilé compte jusqu’au 7 novembre. Le groupe électronique français spécialisé dans l’espace, la défense et la sécurité a assuré que la France n’a pas reçu de demande de rançon.

Pour le moment, ils semblent relativement modérés. En fait, Thales ne montre pas un véritable signe de préoccupation et préfère plutôt montrer un look pour une nouvelle violation « en mobilisant systématiquement ses équipes d’experts en sécurité, la protection des données de nos parties prenantes est notre priorité absolue. Cependant, la société a déclaré qu’aucune de ses activités n’a été affectée par l’attaque.

De sa part, la carte Insolence Lockbit joue comme d’habitude. Le groupe avait annoncé la publication des données le 7 novembre, il est clair qu’il tenait une promesse. À partir de maintenant, ce dernier offre son aide aux clients de Thalès et appelle une plainte contre la société et soutient qu’elle a « largement négligé les règles de confidentialité ». Plus que jamais, le collectif est toujours le groupe de pirates le plus important pour le moment, absolument pour regarder de près.

C’est la deuxième fois cette année que la société française, spécialisée dans l’aérospatiale, est victime du partage de données après un piratage du groupe Lockbit 3.0.


Il n’y a « aucune pénétration » dans les systèmes d’information du groupe, a déclaré Thales, qui induit « deux sources probables de vol d’information ». Le premier a été identifié: il s’agit de « l’histoire d’un partenaire sur un portail d’échange dédié » créé avec Thales, selon le groupe, pour qui cela a conduit au dévoilement d’une information de volume « limitée ». La recherche pour identifier la deuxième source de vol se poursuit.

Minimiser l’influence potentielle sur les clients
« Thales travaille en étroite collaboration avec le partenaire en question et fournit les ressources et le soutien technique nécessaires pour minimiser tout impact potentiel sur les clients et les parties prenantes affectées », a ajouté la clôture.

Le groupe russe de Lockbit 3.0 avait perturbé la fonction du centre hospitalier du sud-francilais (CHSF) à Corbeil-Esonnes en lançant une cyberattaque spectaculaire en août. Il a demandé une rançon de 10 millions de dollars, puis a publié des données de patients, de personnel et de partenaires.

Pas de rançon -request
Pour l’attaque contre Thales, les pirates ont menacé de publier « toutes les données disponibles » le 7 novembre, selon eux « très sensible, confidentiel, à haut risque », citant le fonctionnement de la société, Documents commerciaux, des dossiers comptables, client , Fichiers clients, logiciels. Thales dit qu’il a « fait l’objet de toute nouvelle rançon ».

L’annonce du dévoilement des données volées semblait être des investisseurs alarminants: le cours Thales -Aktie était en baisse de 7,57%, à 113,55 euros, vendredi après-midi à la Bourse de Paris, sur un marché ascendant.
C’est la deuxième fois cette année que la société française est victime d’un piratage massif, après une première attaque en janvier. Les mêmes cybercriminels avaient déjà été capables de données appropriées, et Thales ne semblait pas avoir à faire chanter la demande de rançon. Des centaines de fichiers zip, le dernier daté du 1er janvier 2022, avaient été publiés par des pirates informatiques. C’étaient des outils internes, y compris le code informatique.

Le groupe de pirates Lockbit 3.0 a déjà fait plusieurs victimes en France. Ils sont particulièrement à l’origine d’une importante cyberattaque contre l’hôpital Corbeil-Assonnes, où ils ont demandé une rançon en échange de non-publication des données volées. Récemment, l’hôtel de ville de Chaville (Hauts-de-Seine) a également été touché.

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Le piratage de McDonald’s, les données de 3 millions de clients français volés

Les noms, les dates d’anniversaire, les téléphones portables, les adresses électroniques et les transactions PayPal client apparaissent sur les données volées.

Le piratage de McDonald’s, les données de 3 millions de clients français volés

DataAcching est une activité récurrente des pirates malveillants. Il y a quelques jours, le groupe de pirates lançant une cyberattaque contre le centre de l’hôpital de l’Ile-de-France de South à Corbeil-Esonnes en août a commencé à communiquer des données qu’il avait recueillies. Cette fois, c’est la France de McDonald’s qui a été affectée. La société de restauration rapide a été soumise à des informations personnelles sur trois millions de clients.

C’est au tour de McDonald’s d’obtenir un piratage. La chaîne de restauration rapide révèle que les pirates ont pu infiltrer leur réseau et restaurer diverses données, à la fois les clients et les employés.

C’est au tour de McDonald’s d’obtenir un piratage. La chaîne de restauration rapide révèle que les pirates ont pu infiltrer leur réseau et restaurer diverses données, à la fois les clients et les employés.

Un pirate a pu mettre la main d’une base de données appartenant à McDonald’s France. Cependant, il est difficile de valider les informations selon le site. Les données qui ont été transmises sont partiellement cryptées. Cela signifie qu’ils sont inutiles sous cette forme. Une clé est nécessaire pour les déchiffrer. De même, vous ne pouvez pas être sûr du contenu exact de la base de données, spécifie Zataz( ZATAZ L’ACTU CYBERSÉCURITÉ, DEPUIS PLUS DE 25 ANS).

Un piratage destiné à McDonald’s dans plusieurs pays.

Un piratage destiné à McDonald’s dans plusieurs pays.

Le pirate aurait bénéficié d’une erreur dans l’utilisation mobile de la barre de restauration rapide. En chiffrant une partie des données, McDonald’s avait pris des mesures pour limiter l’effet d’une attaque. Le pirate espère que d’autres pirates réussiront à trouver la clé de décryptage. Les clients sont informés qui utilisent l’application pour modifier leur mot de passe.
Le pirate a rendu la base de données des figures disponibles pendant 24 heures avant de le retirer. « Si quelqu’un découvre comment déchiffrer, il aura un baiser », a-t-il déclaré. Le fichier pesait 385 Mo. Il a déjà fourni des éléments non changés sur des clients tels que des noms, des dates d’anniversaire, des téléphones mobiles, des adresses électroniques, des transactions PayPal, etc. Tant d’éléments qui pourraient déjà être utilisés à mauvaises extrémités.

La victime de McDonald’s France de piratage, près de 3 millions de données ont été partagées.

La victime de McDonald’s France de piratage, près de 3 millions de données ont été partagées.

En fait, la plate-forme de surveillance de Zataz a récemment déclaré qu’elle avait surpris une conversation sur un énorme piratage sur McDonald’s France. Pendant quelques heures, un pirate a mis un fichier de 385 Mo à la disposition d’autres utilisateurs d’Internet qui inclurait des informations privées sur des millions de clients en France.

McDonald’s piraté: les pirates ont volé les données des clients et des employés.

Parmi les données stockées, l’identité des clients, mais aussi les numéros de téléphone, les dates d’anniversaire, les adresses électroniques, les transactions PayPal … La bonne nouvelle est que la base de données signée McDonald’s, partiellement cryptée, est la plupart des informations contenues donc inutiles. «Un détail de sécurité que le pirate de diffuseur met entre les mains de ses camarades malveillants.

3 millions de données clients McDonalds France piraté et dans la nature.

Cependant, le Pirate a apparemment lancé un appel pour déchiffrer les informations. Il est de retour pour voir maintenant si les pirates pourront déchiffrer les informations du fichier qui pourraient être utilisées par des personnes malveillantes.

Piratage chez McDo.

Dans un message transféré à ses employés américains, McDonald’s a indiqué que les pirates ont pu accéder à certaines coordonnées professionnelles pour les employés et les franchisés, ainsi que des informations sur les restaurants, tels que le nombre de sièges et les terrains de jeux de la région. L’entreprise s’assure qu’aucune donnée n’a été volée aux États-Unis et que les données des employés n’étaient ni sensibles ni personnelles. Le groupe conseille aux employés et aux franchisés de prêter attention aux e-mails de phishing -e et d’être discrets lorsqu’on leur a demandé des informations.

Sur le côté de la Corée du Sud et de Taïwan, les pirates ont mis la main sur les adresses e-cail, les numéros de téléphone et les adresses de livraison des clients. Les branches coréennes et taïwanaises de McDonald’s ont informé les régulateurs de cette intrusion. Le groupe prévoit également de contacter ses employés en Afrique du Sud et en Russie car les pirates semblent avoir accès à leurs données.

Actuellement, il est impossible de savoir si les données seront vraiment « utilisables » ou non par des pirates. En attendant, il est évidemment fortement recommandé de changer rapidement votre mot de passe si vous êtes un successeur sincère de l’application McDonald’s (MCDO +) et si vous gardez ce cheeseburger gratuit acquis en utilisant vos points de fidélité.

Mais 2022 Hackers: Comment les pirates informatiques font leur beurre avec McDonald’s et les Points.

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Attaque Conti Cybercriminels Déchiffrement informatique Ransomware Sécurité

Le Groupe Conti ferme son site

Le groupe de Ransomware Conti (rien à voir avec les machine à café) a clôturé son site en juin, utilisé pour annoncer ses victimes et communiquer des données volées. Une autre confirmation pour ceux qui se sont interrogés sur le changement de la stratégie pour du groupe de Cyber ​​méchants.

Le site Web Conti ne répond pas: selon plusieurs chercheurs en sécurité, le site Tor utilisé par le groupe Cybercrimin Conti a cessé de fonctionner depuis mercredi dernier.

Dans cet endroit, les cybercriminels du groupe, qui étaient auparavant leurs nouvelles victimes, ont annoncé généralement Ransomik produit par le groupe. Ils envoient également les données volées par les sociétés affiliées du groupe pendant l’intrusion.

Le site a ainsi été utilisé pour forcer la main des victimes menacée de diffusion de leurs données si elle n’a pas accepté de payer la rançon requise par Conti.

Plus de 800 victimes du monde entier
Actif depuis le début de 2020, bien que certaines versions de son logiciel malveillant aient été détectées fin 2019, le groupe Conti a été particulièrement distingué par le système de soins de santé irlandais et a paralysé ses systèmes.

Parmi ses autres armes aide, le groupe a également affirmé en France piraté d’assurance d’entreprise 200 000 et plus de 800 victimes dans le monde sur son site. Le nombre exact de victimes de Conti serait néanmoins plus élevé, les victimes montrant sur le site, qui étaient principalement celles qui ont refusé de payer la rançon requise par le groupe.

Conti fonctionne avec Ransomware-as-a-Service: le groupe loue son logiciel à d’autres groupes de cybercrimaux, puis parvient à partager la rançon du chantage.

La fin de Conti
Malgré cette hyperactivité apparente, le groupe Conti connaît un tournant dans sa stratégie depuis le début de 2022. L’organisation s’était donc clairement prouvée en faveur de l’invasion russe de l’Ukraine, un poste qui l’avait servi à un chercheur en sécurité. Ce dernier a publié une archive importante au début de février qui contient une communication interne au groupe, révélant la fonction bien équipée de l’organisation et ses relations avec d’autres groupes de cyber-criminels.

En mai, les chefs de groupe ont annoncé la fin de la « marque » Conti. Ils ont ensuite invité les membres du groupe à participer à plusieurs autres organisations cyber-criminelles à proximité. Une façon d’obtenir l’unité contenue à oublier qui est devenue trop visible et à se propager dans un nouvel écosystème cyber-criminel tout en conservant les relations entre les membres de l’organisation.

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Altice Assurance Attaque Cybercriminels Hive informatique Mobile Ransomware Sécurité Service informatique

Altice, confirme qu’il a été piraté

Altice, qui n’est autre que la maison mère SFR, a connu un piratage. La cyberattaque, qui était réalisée avec le Ransomware Hive, a eu lieu début août, mais n’a été révélée que récemment. Le groupe avait initialement refusé de commenter le piratage, mais il a changé d’avis (en retard).

Altice France a déclaré que « Altice France et le cercle SFR ne sont pas concernés » par les cyberattaques. En outre, le groupe « a également confirmé la victime début août début août d’une cyberattaque ransomware qui ciblait un réseau interne au niveau de la société de portefeuille économique ». Il continue de s’assurer que « les effets ont été maîtrisés et que tous les services ont été restaurés ». De plus, « la société de portefeuille financière est pleinement opérationnelle ».

Vient ensuite une question importante: qu’en est-il des données, que ce soit pour les clients ou le groupe? Les pirates devaient-ils les consulter ou les restaurer? Voici ce qu’Altice répond:

Nous devons souligner qu’il n’y a pas de données sensibles compromises, en particulier les données des clients, les partenaires commerciaux ou les données concernant nos partenaires financiers

Comme nous pouvons l’imaginer, la société mère n’apprécie pas du tout cette attaque et dit qu’elle a « de fortes critiques contre ce type d’attaque faible et contre toutes les personnes qui les commettent ».

Hive a fait des victimes
Hive a été découverte pour la première fois en 2021, et il peut déjà se vanter de merveilleux bras. À la fin de l’année dernière, MediaMarkt, avait vu son système informatique être neutralisé par ce même ransomware qui nécessitait 43 millions d’euros. Le groupe allemand a été irrité pendant plusieurs semaines par les effets de l’attaque. L’opérateur allemand T-Mobile, actuel à l’international, comme Altice, était également l’objectif de Hive, il y a environ un an lorsqu’ils ont compromis les données de dizaines de milliers de millions d’utilisateurs.

Le groupe Hive est devenu l’un des gangs ransomiens les plus lucratifs au monde qui attaquent souvent les joueurs du secteur des finances ou de la santé. Il y a quelques mois, il aurait traversé un nouveau cours en mettant à jour son logiciel qui a migré le code vers le langage de programmation Rust, développé par Mozilla Research pendant dix ans, ce qui lui a permis un cryptage encore plus complexe.

Hive est connu en utilisant la double extorsion qui consiste à exfiltrer les données et à menacer la victime de les vendre et / ou de les publier. Cette stratégie a été lancée en réponse aux nombreuses entreprises qui pensaient avoir pris les devants en créant et en stockant plus de copies de leurs données.

MAJ: Après la cyberattaque, les données confidentielles du groupe Altice ont été divulguer.

Altice Group, Empire of Patrick Drahi, a connu une cyberattaque qui a compromis les données confidentielles en août. Hive Pirates Group a mis la main sur « des dizaines de milliers de documents ultra-confidentiels » après une attaque de ransomware, a déclaré le site Web de la reflecte.

L’attaque liée uniquement à Altice International Financial Holding Company, de sorte qu’aucune donnée, clients personnels ou liés à des partenaires commerciaux d’Altice France ou de SFR n’a été directement compromis, selon les informations club.

Foule de données
D’un autre côté, les documents comptables et les informations sur les filiales ont été récupérés à la suite de ce piratage informatique. Le site Web de Zataz, qui suggère un point de départ au phishing, montre que la pénétration initiale devait être effectuée vers le 8 ou le 9 août, et les données volées qui ont ensuite été proposées sur le marché noir quelques jours plus tard.

Ransom a affirmé faire les données qui n’auraient peut-être pas été payées à moins que les pirates aient choisi d’aller au-delà des pirates qui ont finalement transmis les documents en question le 25 août, permettant leur consultation gratuite.

Le dessous du drahi – emperiet
Les documents sont donc volés plutôt plus récents et se rapportent à la période de 2018 à 2022 dans différents domaines. Les données sur les nombreuses filiales, le site Web de la reflecte, provoque la présence d’informations sur les sociétés gérées directement par Patrick et sa famille et ont l’intention de mener l’étude des documents transmis pour explorer le dessous de l’homme de l’homme.

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Conseils pour vous protéger des ransomwares

Avez-vous reçu un message douteux qui contient des pièces jointes ? Avez-vous trouvé une clé USB par hasard ? Prenez soin de ransomware ou rançongiciels ! Vos données peuvent être chiffrées et c’est le drame! Voici des conseils pour réduire les risques.

Conseils pour vous protéger des ransomwares

Qu’est-ce qu’un ransomware ou rançongiciels?

De plus en plus, vous recevez des messages douteux contenant des pièces jointes ou des liens qui vous invitent à les ouvrir. Il faut se méfier ! Malvey -Software appelé « rançon » ou « ransomware » peut s’y cacher. Leur objectif ? Cryptez (COD) vos données pour vous faire une rançon. Bien sûr, cela ne garantit pas la récupération de vos données. Il est donc préférable de vous protéger de ce type d’attaque.

Comment vous protéger des ransomwares?

Comment vous protéger des ransomwares?

Bonne attitude N ° 1:
Faites des sauvegardes régulières de vos données (eCura.fr)

C’est la meilleure façon de couper l’herbe sous le pied des pirates qui veulent prendre vos données comme otages! Déplacez la sauvegarde physique de votre réseau (hors du réseau), placez-la dans un endroit sûr et assurez-vous qu’il fonctionne!

Bonne attitude N ° 2:
N’ouvrez pas les messages dont l’origine ou le formulaire est discutable

Ne soyez pas trompé par un simple logo! Pire encore, le pirate a peut-être récupéré certaines de vos données plus tôt (par exemple, les noms de vos clients) et créer des adresses électroniques E qui ressemblent à un détail proche de vos interlocuteurs habituels.

Alors gardez beaucoup de vigilant! Certains messages semblent complètement authentiques.

Apprenez à identifier les emails E (ou d’autres formes de récupération de vos données) sur le site à l’Agence nationale pour les systèmes d’information (ANSSI).

Avez-vous des doutes? Contactez directement un informaticien. Services informatique Hyères

Bonne attitude N ° 3:
Apprenez à identifier les extensions douteuses

Vous recevez généralement des fichiers .doc ou .mp4 (par exemple) et le fichier de message que vous êtes dans le doute se termine par un autre type d’extension ? Ne les ouvrez pas ! Voici quelques exemples d’extensions douteuses: .pif, .com, .bat; .Exe, .vbs, .lnk, … Prenez soin de l’ouverture des pièces jointes du type .scr ou .cab. Comme l’agence nationale pour les systèmes d’information (ANSSI) se souvient, ce sont des extensions de compression des campagnes CTB-Locker qui rage entre les individus, les PME ou la mairie.

Bonne attitude N° 4 :
mettez à jour vos principaux outils

On ne vous le dira jamais assez : traitement de texte, lecteur PDF, navigateur, mais aussi antivirus… Veillez à mettre à jour vos logiciels !

Si possible, désactivez les macros des solutions de bureautique qui permettent d’effectuer des tâches de manière automatisée. Cette règle évitera en effet la propagation des rançongiciels via les vulnérabilités des applications.

Considérez que, d’une manière générale, les systèmes d’exploitation en fin de vie, qui ne sont plus mis à jour, donnent aux attaquants un moyen d’accès plus facile à vos systèmes.

Bonne attitude N ° 5 : Utilisez un compte « utilisateur » plutôt qu’un compte « administrateur »

Évitez de naviguer à partir d’un compte administrateur. L’administrateur d’un ordinateur a un certain nombre de privilèges, comme effectuer certaines actions ou accéder à certains fichiers cachés sur votre ordinateur. Préférez l’utilisation d’un compte utilisateur. Cela ralentira, même, découragera le voleur dans ses actes malveillants.

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Attaque Bitcoins Cybercriminels Déchiffrement Evil Corp Hôpital PayloadBin Ransomware Sécurité Service informatique

Une nouvelle menace de ransomware? PayloadBin

PayLoardbin (comme Evil Corp) est mis en œuvre par e-mail. Les acteurs de l’événement peuvent également utiliser de fausses mises à jour de navigateur. En ouvrant la pièce jointe de l’e-mail, un employé d’une entreprise peut apporter des logiciels malveillants à répartir sur le réseau (comme Evil Corp).

PayLoardbin (comme Evil Corp)

Pour verrouiller des fichiers, PayLoardBin (comme Evil Corp) génère une clé unique pour chaque fichier. Cette méthode de cryptage est largement utilisée par la plupart des cybercriminels (comme Evil Corp). Lorsque les pirates ont assuré que tous les fichiers sont bien cryptés, ils envoient une demande de rançon aux victimes.

Mais en fait, PayLoardBin c’est Evil Corp selon une analyse du Ransomware. Evil Corp est l’un des acteur des plus prospérants du monde. Ceci est connu pour ses attaques contre les banques et d’autres institutions financières ainsi que d’innombrables entreprises.

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Attaque Cybercriminels Déchiffrement Etude Europe informatique Ransomware Sécurité Service informatique

1,5 million de victimes ont retrouvé leurs données grâces à No More Ransom

Six ans après le lancement, Europol vient de publier son évaluation de « No More Ransom« . Lancé en 2016 avec la police néerlandaise et les SSI/SOC, cette agence européenne, coordonnant les polices de l’Union européenne.

Dans son dernier communiqué de presse, Europol ne mentionne pas une estimation des économies autorisées par les décrypts. Cependant, lors d’une conférence de presse, cependant, l’agence a parlé d’un déficit potentiel d’environ 1,5 milliard de dollars, comme de nombreux euros. Une estimation basée sur une rançon rémunérée moyenne de 1 000 $.

« Plus de 188 partenaires publics et privés ont rejoint le programme et ont régulièrement fourni de nouveaux outils de décryptage pour les dernières tribus malveillantes », a déclaré Europol. L’Agence européenne met l’accent sur les débris en magasin contre Gandcrab ou Revil / Sodinokibi.

En 2021, 15 nouveaux décrypteurs ont été mis à disposition. Ces derniers mois, Emsisoft a par exemple publié à la fin décembre un outil contre NoWay. Cet éditeur a également publié des décrypteurs pour Diavol, Maze, Egregor et Sekhmet. La société Avast avait quant à elle sorti des parades à TargetCompany et à HermeticRansom. LIEN

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Attaque Cybercriminels Etude informatique Ransomware Sauvegarde Sauvegarde informatique Sécurité Service informatique

Les principales menaces informatiques pour les entreprises

La déstabilisation, l’espionnage, le sabotage et la demande de rançons constituent les principales menaces pour votre installation informatique.

Les principales menaces informatiques pour les entreprises

Réalisé par un grand nombre d’acteurs, de l’individu isolé aux organisations offensives d’État, les attaques sont rarement limitées à une seule technique. Si les tendances généralement observées sont plutôt attribuées à la déstabilisation (défigurations, informations sur les données et contrôle) aux hacktivistes, aux ransomwares et au phishing aux cybercriminels, à l’espionnage aux concurrents et aux États, nous notons également que les attaques simples peuvent être le fait d’états et d’attaques complexes en fait en fait groupes ou structures criminelles organisées.
Les conséquences de l’attaque sont liées à une variété de questions. L’étendue financière dépasse loin des positions informatiques à remplacer ou des systèmes à reconsidérer entièrement. Département de service, défigurations, exfiltration et informations sur les données, contrôle d’un système informatique: La crédibilité de l’organisation de l’offre est en jeu … Ces quatre types d’attaques largement utilisés par les hacktivistes visent essentiellement à saper l’objectif de l’image. Très souvent, des attaques en temps réel sont nécessaires sur les réseaux sociaux ou les lieux spécialisés.
La combinaison d’une attaque informative (utilisation des réseaux sociaux pour renforcer) avec une attaque informatique maximise cette recherche de dégâts d’image.
S’ils sont souvent le résultat de hacktivistes, ces attaques sont parfois également engagées ou même organisées pour les mêmes raisons pour la recherche de dommages à l’image ou de discréditer leurs objectifs auprès de concurrents, d’employés malheureux ou même par des organisations.
Pour atteindre leurs objectifs, les attaquants choisissent différents types d’attaques en fonction du niveau de protection de leurs objectifs et de leur contexte.

La télécommande d’un système informatique reste un objectif ou même une condition préalable pour de nombreuses attaques informatiques notées par eCura.fr. Dans le cas d’une révélation publique d’un tel événement, la participation à l’image et à la crédibilité est également préjudiciable à sa victime.
L’attaquant exploite généralement des vulnérabilités bien connues ainsi que les faiblesses de la sécurité du système informatique: mauvaise configuration, échec à utiliser les mises à jour de l’éditeur. …, qui constitue une grande surface d’exposition pour l’attaque.

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Attaque Cybercriminels informatique LockBit Mobile presse Professionnel Ransomware Sécurité Service informatique

Piratage de l’opérateur La Poste Mobile

La poste mobile est obligé de fermer son site. Son équipe parle maintenant d’un rançongiciel. LIEN

La poste mobile est obligé de fermer son site. Son équipe parle maintenant d’un rançongiciel.

Sept questions à comprendre sur le piratage de l’opérateur La Poste Mobile et ses conséquences. LIEN

Sept questions à comprendre sur le piratage de l’opérateur La Poste Mobile et ses conséquences.

Les données de milliers de clients la Poste mobile diffusée en ligne après le piratage. LIEN

Les données de milliers de clients la Poste mobile diffusée en ligne après le piratage.

Les données de milliers de clients la Poste Mobile sont dans la nature. LIEN

Les données de milliers de clients la Poste Mobile sont dans la nature.

Cyberattaque de la Poste Mobile, des milliers de données personnelles dispersées en ligne. LIEN

Cyberattaque de la Poste Mobile, des milliers de données personnelles dispersées en ligne.

La poste mobile en otage, ses clients volés. LIEN

La poste mobile en otage, ses clients volés.

MAJ: Les données de 533 000 clients, y compris les comptes bancaires! Une fuite massive chez la poste mobile

De nouvelles informations sont indiquées sur le piratage de la publication mobile qui a eu lieu en juillet. Les pirates ont été en mesure de collecter des informations auprès de 533 000 clients, ce qui comprend les numéros de compte bancaire selon Zataz.
En juillet, La Poste Mobile a annoncé qu’elle avait été victime d’une cyberattaque de type ransomware. Il a été réalisé par Lockbit, le groupe qui a quantifié les données et a affirmé qu’une rançon pour la publication mobile trouvera un accès. Cela avait poussé l’opérateur virtuel (MVNO) à fermer son site pendant 10 jours pour s’occuper de ce gros problème.

Depuis lors, les pirates ont partagé des données sur Internet dans un fichier compressé pesant 64 Mo. Il comprend des données de 533 000 clients, y compris les numéros de compte bancaire, les dates de naissance, les adresses électroniques, le sexe, les identités, les numéros de téléphone ou d’adresses physiques.

La Poste Mobile n’a pas encore répondu publiquement à la fuite massive de données, d’autant plus qu’il y a les numéros de compte bancaire dans la partie. Dans tous les cas, une chose est sûre: les clients de cet opérateur virtuel (en utilisant le réseau SFR) doivent être très prudents, que ce soit pour le phishing ou le vol d’identité potentiel. Cela peut aller très vite.

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Attaque Cybercriminels Entreprise de construction Etude Europe hyères informatique LockBit Mairie Professionnel Ransomware Sauvegarde Sauvegarde informatique Sécurité Service informatique Technologie

Combien les entreprises françaises ont perdu face aux Cyberattaques depuis janvier

« En seulement quatre mois, le nombre d’entreprises attaquées par des ransomware est déjà égal à 50% de 2021. La menace de ransomware reste également élevée avec 35 à 40 groupes actifs », avertit Alban Ondrejeck, expert en cyberdéfense et co-fondateur de Anozr Way, une startup française spécialisée dans l’analyse des données exposées sur le Web, Darkweb et la protection des personnes à la lumière des cyber risques, à l’origine du baromètre. Son étude montre 1 142 attaques représentant 80 pays influencés par 42 groupes de ransomwares entre janvier et avril 2022.

Plus de 650 millions € de chiffre d’affaires perdu par les entreprises Françaises sur 4 mois.

Plus de 650 millions € de chiffre d’affaires perdu par les entreprises Françaises sur 4 mois.

Les autres points forts de la période sont le secteur de l’énergie, particulièrement ciblé par les cyberattaques dans le monde. En quatre mois, « il y a déjà +138% des sociétés énergétiques victimes de ransomwares par rapport à l’ensemble de 2021 ».

Les données de presque 170 000 Français rendu disponible sur internet suite aux attaques.

Les données de presque 170 000 Français rendu disponible sur internet suite aux attaques.

Toute la chaîne de production est affectée : les industries d’extraction, le transport, le stockage, la distribution.

Coût ? 128 000 € en moyenne par entreprise.

Coût ? 128 000 € en moyenne par entreprise.

Ransomware ou « Rançongiciel » en français est une technique d’attaque cybercriminel qui consiste à infiltrer l’appareil de la victime et à installer des logiciels malveillants qui interfèrent avec la fonction du système informatique et, à leur tour, les données. Seul le paiement d’une rançon de la victime de l’attaquant permettrait de faire déchiffrer la clé. L’impact financier des sociétés françaises est estimée à 660 millions d’euros de perte cumulative de revenus.

Une entreprise Française sur deux victimes de ransomwares est une TPE-PME.

Une entreprise Française sur deux victimes de ransomwares est une TPE-PME.

Les coûts comprennent la perte directe et indirecte de l’entreprise. Plus précisément, ceux correspondant au coût de la réponse à l’incident et à la gestion de la crise (ressources humaines supplémentaires pour répondre à l’attaque, aux frais juridiques, etc.), mais aussi indirectement liés à la perturbation des activités. Ce montant estimé n’inclut pas le paiement possible d’une rançon , qui peut représenter une moyenne de 128 000 € par entreprise. La France serait le troisième pays le plus touché de l’Union européenne. LIEN

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Attaque Banque Bitcoins Cybercriminels Déchiffrement informatique Sécurité Service informatique

Un piratage pour 100 millions de dollars de Crypto-monnaies

La compagnie Horizon Ethereum a été piraté le jeudi 24 juin. Environ 100 millions de dollars en crypto-monnaies ont été volés. Harmony aurait vu un mouvement suspect.

Nouvelle bataille dans le monde des crypto-monnaies. Alors que le marché donnait déjà des sueurs froides aux investisseurs en raison de la chute des prix, les cas de piratage ajoutent de l’anxiété au stress. Le vendredi 24 juin 2022, Harmony a révélé avoir été victime d’un piratage au cours duquel 100 millions de dollars ont été volés.

Harmony est une société de blockchain qui s’efforce de faciliter la création et l’utilisation d’applications décentralisées. Elle propose notamment des ponts, c’est-à-dire des protocoles qui permettent l’interopérabilité entre les blockchains. La société se concentre particulièrement sur le réseau Ethereum, bien qu’elle supporte Binance et trois autres chaînes. C’est sur le Horizon Bridge qui a permis les échanges entre la blockchain Ethereum et la Binance Smart Chain que les attaquants ont commis leurs atrocités. Les hackers auraient ainsi récupéré de l’ether, du tether et de l’USD Coin puis seraient passés à l’ether sur des plateformes d’échange décentralisées.
Si le montant semble spectaculaire, il ne s’agit cependant pas du plus gros vol qui s’est produit dans l’univers des crypto-monnaies. On rappelle qu’en mars dernier, plus de 615 millions de dollars avaient été volés par des hackers nord-coréens sur le réseau Ronin. Cette « side chain », qui forme aussi un « pont », est utilisée par exemple par le jeu Axie Infinity, l’un des gros titres de l’industrie du pay-to-earn.

Et il n’y a pas que les hacks qui inquiètent. Récemment, nous avons appris dans un rapport de la Federal Trade Commission (FTC) que depuis le 1er janvier 2021, plus de 46 000 personnes ont perdu plus d’un milliard de dollars en crypto-fraude. Et ce n’est qu’aux États-Unis.

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Attaque Cybercriminels Hive informatique Ransomware Sécurité Service informatique Transport

Novembre 2021: L’Espagnol Correos Express semble confronté au Ransomware Hive

L’espagnol spécialiste de la livraison semble rencontrer des difficultés à sécuriser ses services. Des traces du Rançongiel Hive suggère une cybercrattage le 27 novembre.

Correos Express semble confronté au Ransomware Hive

Sur Twitter, des clients de Correos Express, spécialistes de livraison express, homologue espagnol d’un chronopost ou de DHL, se plaignent de problèmes de livraison dans leurs packages. L’un d’entre eux suggère d’assister à la clientèle: «Ni le téléphone ni rien, ne travaille», dit-il. Et demander: « Qu’est-ce qui se passe? »

Plus tôt, le 26 novembre, une autre sur d’autres utilisateurs d’Internet qui prétendait discuter avec un représentant commercial « Répondu il y a quelque temps »: « Il m’a dit qu’ils souffrent de piratage et qu’ils ne savent pas quand ils seront en mesure de conserver leurs services de nouveau. « 

Les écrans montrant l’impossibilité de participer au site correosexpress.com ont également été partagés. Mais cette indisponibilité éventuelle ne semble avoir été que temporaire.

Cependant, nos recherches sur Ransomware Hive nous ont permis d’identifier un échantillon si Ransom reviendrait à un dialogue suggérant qu’il est destiné à Correos Express. Aucun dialogue ne semble avoir été engagé. Seules les cyber reconnaissances ont parlé dans cette pièce et ont déposé un message le 27 novembre. SUITE

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Attaque Cybercriminels Hive Hôpital Ransomware Sécurité Service informatique

Le système de santé publique du Costa Rica est HS par ransomware

Le Costa Rica a subi une cyberattaque massive orchestrée par les pirates russes de Conti pendant plusieurs semaines. Cette fois, c’est le système de santé publique du pays qui doit être affecté. Le ransomware appelé « Hive » a forcé la sécurité sociale costaricienne à définir ses systèmes « hors ligne ».

Selon des experts en cybersécurité, le Costa Rica pourrait bien être une tentative de test cybercriminels. D’autres attaques pourraient cibler certains États dont les systèmes sont fragiles à l’avenir.

Pendant ce temps, le gouvernement continue dans son rejet de payer la rançon de 15 millions de dollars requis par Conti. Un choix qui peut être compris, mais cela coûterait très cher au pays. Selon les estimations de la Chambre de commerce étrangère du Costa Rica, l’économie nationale perd 30 millions de dollars par jour en raison de ce piratage. Au fil du temps, la situation n’est évidemment pas durable dans un pays si le PIB est de 61 milliards de dollars.

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Le groupe d’ingénierie français Akka est affecté par une attaque au ransomware

Akka Technologies, un groupe d’ingénierie et de conseil français, a été frappé par une attaque de ransomware qui affectent une bonne partie de l’entreprise et les 21 000 employés.

Le groupe d’ingénierie français Akka est affecté par une attaque au ransomware

Akka est l’un des plus grands conseils technologiques et technologiques européens. Il vient d’être acheté par le groupe suisse Adecco, qui l’a retiré début mai à la Bourse. Adecco fusionnera l’entreprise avec sa filiale MODIS, qui se spécialise également dans l’ingénierie, pour créer un nouveau géant de service en technologie capable de rivaliser avec des acteurs plus importants dans le secteur tels que Cap Gemini.

Ingénierie, pour créer un nouveau géant de service dans une technique capable de concurrencer les plus grands acteurs du secteur en tant que Cap Gemini.

Il s’agit d’une attaque de ransomware où le pirate trouve les données sur sa victime et revendique une rançon pour donner les clés pour déchiffrer. Akka Technologies ne veut pas donner de détails sur l’étendue de l’attaque pour ne pas informer l’attaquant.

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Assurance Cyber pour Grandes Entreprises

L’assurance cybersécurité est un élément essentiel d’une stratégie de gestion des risques saine qui vise à atténuer correctement les pertes (financières).

Assurance Cyber pour Grandes Entreprises

Tokio Marine HCC, propose une assurance cybersécurité qui offre une protection complète et innovante, y compris la prévention de l’incident, la réponse aux crises et à l’expertise après l’attaque.

Les PDF ci-dessous montre la types d’attaques standard pour chaque cyber-période. Étant donné que la nature d’une attaque cyber peut avoir une profonde influence sur une entreprise, intervenez rapidement!

Dans son dernier rapport annuel sur les cyberattaques, Tokio Marine HCC International (TMHCCI) a établi le classement des 10 plus grands hacks en 2021. La compagnie d’assurance estime que les dommages s’élèvent à 600 millions de dollars.

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Association Attaque COVID-19 Cybercriminels Etude informatique presse prix Professionnel Ransomware Sécurité Service informatique Technologie

Une université ferme définitivement ses portes après un ransomware

Lincoln College, une université américaine située dans l’État de l’Illinois, ferme ses portes ce vendredi après une cyberattaque de type ransomware qui a duré des mois maintenant. NBC News rapporte qu’il s’agit de la première université qui se termine en raison d’une attaque de ransomware.
L’université prétend avoir enregistré un nombre record de l’inscription des étudiants à l’automne 2019. Cependant, la pandémie de covid-19 a provoqué une diminution significative de l’inscription, certains étudiants qui ont choisi de reporter leur entrée à l’université ou de faire une pause . Le Lincoln College – l’un des rares zones ruraux qualifiés en tant qu’établissement noir prédominant du ministère de l’Éducation – a déclaré que cela avait affecté sa situation financière.

En décembre 2021, l’université a subi une cyberattaque importante des ransomwares. Les pirates ont réussi à bloquer l’accès à tous les systèmes nécessaires aux efforts de recrutement, de fidélité et de collecte de fonds, et nécessitent une rançon pour débloquer la situation. Ce n’est qu’en mars 2022 de sortir de la situation. Mais il y a eu des déficits d’enregistrement importants qui ont besoin d’un don de transformation ou d’un partenariat pour soutenir le Lincoln College au-delà du semestre en cours.

Lincoln College est né il y a 157 ans en 1865. Il fermera donc ses portes le 13 mai 2022. L’université s’engage à aider les étudiants à passer à une nouvelle école. LIEN1/ LIEN2

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Attaque Cybercriminels Etude Europe Hôpital informatique Professionnel Ransomware Sauvegarde informatique Sécurité

Observatoire des
signalements
d’incidents de sécurité
des systèmes
d’information pour le
secteur santé
Rapport public 2021

Le renforcement du niveau de sécurité numérique du secteur de la santé est une priorité pour
Ministère de la solidarité et de la santé. En ce qui concerne la sécurité opérationnelle, l’agence de
La santé numérique joue un rôle central, d’autant plus que l’intégration de la santé cert
à Inter-Fr en janvier 2021.
Aujourd’hui plus que jamais, mobiliser tous les acteurs, les directions, les experts techniques et
Les personnes de santé sont nécessaires pour faire face aux menaces de cybercriminalité
intensifié dans un contexte général instable.
2021 ont été marqués par de nombreux incidents majeurs attachés à l’attaque par
Ransomicial (CH de Dax, Villefranche-sur-Saône ou Arles), mais aussi à l’exfiltration massive de
Données (AP-HP et toujours récemment CNAM1
). Cependant, il n’y a pas eu d’attaque jusqu’à présent
Les coordonnées visaient fortement à inorganiser le système de soins français.
En 2021, CERT Health, qui a également obtenu la mission de prévention et d’alarme
Les menaces de cybersécurité avec les services de santé et de médecine, administrées
Déclarations à double événement (733) par rapport à 2020.
Cette augmentation s’explique en partie par les incidents que les prestataires de services rencontrent
(en particulier les hôtes) avec une part de marché importante. Des centaines de structures
Ainsi, les secteurs de la santé et des médicosociaux (40% des événements signalés) ont été affectés.
L’énoncé mensuel moyen de l’énoncé a également augmenté de 33% même s’il reste
relativement bas en ce qui concerne le nombre de structures concernant cette obligation de
annulation.
La Déclaration des entreprises et services médicosociaux augmente fortement (multiplié par 4)
par rapport à 2020, en particulier pour les entreprises qui accueillent les gens dans une situation avec
Handicap qui atteste leur bonne compréhension de l’extension du système à leur secteur
de l’activité.
Avec Ségur You Digital Health and France Relatements, Ministère de la solidarité et de la santé,
avec un soutien opérationnel de l’année et ANSSI a investi massivement dans l’amélioration de
Sécurité des systèmes d’information sur la santé. Collaboration entre les années et ANSSI dans les questions
Alerte et réponse à l’incident mis en évidence en 2021. Les deux agences travaillent à Synergi
Pour aider les acteurs à gagner de la maturité et à atteindre un niveau de résilience collective
Indispensable pour surmonter une attaque majeure.
Depuis le début de 2022, CERT Health a renforcé son soutien et s’est amélioré
Outils,
Développer leur capacité à faire face à une menace de plus en plus complexe.

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Attaque Cybercriminels Etude informatique Ransomware Sécurité Service informatique Technologie

Ransomware, un service comme les autre?

En France, le nombre d’attaques de ransomware a augmenté de 255% en un an, selon un rapport Anssi/BSI.

Ransomware, un service comme les autre?

La quatrième édition du rapport Anssi/BSI vient d’être publiée. Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI)et Bundesamt Für Sicherheit In der InformationChnik (BSI) Rapport sur une intensification des attaques. Ainsi, entre 2019 et 2020 en France, leur nombre a augmenté de 255%.

La collectivité territoriale, les secteurs de la santé et les fournisseurs de services numériques ont été parmi les plus ciblés des ranesomwares au cours de la période.

«Initialement, Ransomwares était le plus souvent utilisé contre des utilisateurs individuels et les enquêtes sur Ransom étaient relativement faibles», souligne les auteurs de l’écrivain. Depuis lors, la cybercriminalité en tant que service (CCAAS ou cybercriminalité-AS-AS-SERVICE) entre en vigueur, notamment le ransomware en tant que service (RAAS) et l’utilisation des courtiers d’accès.

En outre, des groupes avec des compétences techniques élevées ciblent le réseau de grandes entreprises et d’institutions pour nécessiter une rançon significative ou même saboter leurs objectifs.

ANSSI et BSI alerte au niveau de la menace cyber en France et en Allemagne en relation avec la crise d’assainissement

Pour la 3ème édition du rapport Franco-Allemagne Signaler « Picture commune », l’Agence nationale des systèmes d’information (ANSSI) et son homologue, Bundesamt für Sicherheit in Der InformationChnik (BSI), en trouvant une très rapide augmentation du niveau de la cybertress en France et en Allemagne. Dans la continuité d’un cours initié en 2019, le nombre de cyberattaques a explosé: le nombre de victimes a été multiplié par 4 en un an. Ceci est particulièrement préoccupant, en particulier dans un contexte où chaque cyberattaque aura probablement une détérioration des effets en raison de la crise de la santé.
L’absence de conscience des cyber-risques, de non-contrôle des systèmes d’information, de non-respect des mesures d’hygiène informatique, du manque d’experts en cybersécurité et dans une certaine mesure l’augmentation de l’attaque de surface due à la généralisation du travail à distance, toutes les faiblesses sont utilisées. par cybercriminels. Et cela a eu avec succès la campagne pour les attaques qui ont frappé la France et l’Allemagne en 2020, ont perturbé de nombreuses activités et ont entraîné des pertes financières importantes.

Dans le cadre de la crise d’assainissement, l’ANSSI et BSI sont particulièrement conscientes de toute cybercrattage pouvant affecter les systèmes de santé français et allemands ou les chaînes d’approvisionnement. Leur dépendance numérique, qui est leur attrait pour les cybercriminels, est prouvée. L’utilisation massive des services numériques externalisés, souvent moins sûres, est une pratique généralisée que les assaillants ne manquent pas d’exploiter.

Le ciblage du système de santé dans son ensemble et des chaînes d’approvisionnement est une grande menace. En fait, ces cyberattaques pourraient avoir des effets critiques sur notre capacité à faire face à la pandémie. La « photo d’emplacement commun » permet à ANSSI et BSI de revenir à ces menaces, dans le contexte spécial de la crise de la santé.

« Alors que Coronavirus arrête la transformation numérique et la cybercriminalité non aux frontières nationales. Par conséquent, une coopération étroite avec l’ANSSI, notre partenaire français est essentiel. Les secteurs de la santé français et allemand sont confrontés à un défi majeur: combattre la pandémie tout en protégeant des cyberattaques possibles. Hôpitaux, Les producteurs de vaccins et leurs chaînes d’approvisionnement sont de plus en plus ciblés par les attaquants. Les échelles ou les erreurs dans les soins de santé peuvent avoir des conséquences dévastatrices que nous ne pouvons pas nous permettre, en particulier lors d’une pandémie de cybersécurité, BSI a pris des mesures actives pour améliorer les mesures de la sécurité. Dans le secteur de la santé. Par exemple, au printemps, BSI a contacté les fabricants de vaccins pour sensibiliser le public aux cyber-risques. Nous travaillons également en étroite collaboration avec le gouvernement fédéral pour la protection des chaînes d’approvisionnement de vaccins. Cependant, les entreprises doivent contribuer à cet effort, par exemple en effectuant les investissements nécessaires à leur it-quoi Rhen « , explique Arne Schönbohm, président de BSI.

« L’augmentation éblouissante de la menace cybernale combinée à un espionnage numérique illimitée et de grands risques pour les systèmes critiques très efficaces nécessite plus que jamais la conscience. Nous devons agir à tous les niveaux et accroître la coopération internationale, comme elle entre l’Allemagne et la France », déclare Guillaume Poudard, directeur général de l’ANSSI.

Cybersécurité après Covid-19: priorités de l’ANSSI et BSIS
Soulignant les premiers retours de la crise et est décisivement contre l’avenir, ANSSI et BSI ont donc défini quatre objectifs.
Afin d’empêcher la croissance exponentielle de la cybercriminalité de masse. Deuxièmement, le développement de systèmes de communication sûrs, qui s’est révélé inadéquat à tous les niveaux de la pandémie. Ensuite, la prise de conscience des problèmes de sécurité de la chaîne d’approvisionnement, qui doit faire partie intégrante des évaluations de cyber-risques. Appelle enfin la deuxième et BSI pour l’intégration des problèmes de cybersécurité de la conception du produit.

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Comment activer la protection anti-ransomware de Windows 10/11

Le système d’exploitation Windows de Microsoft comprend un module natif anti-ransomware. Cet outil n’est pas activé par défaut. Comment le mettre en place?

Comment activer la protection anti-ransomware de Windows 10/11

Les virus et autres menaces en ligne ont existé aussi longtemps que le public. Mais ces dernières années, une nouvelle peste, beaucoup plus malveillante, est apparue sur la toile: ransomware. Aussi appelé Unités Rançonglic infecte ces logiciels malveillants votre machine pour une bonne raison pour laquelle vous décompressez de l’argent.

Ces programmes mettent particulièrement l’accent sur la prise de données de vos otages de disque dur. Comment ? En les crypter sans votre connaissance. Lorsque vos données se trouvent cryptées et que vous n’avez pas la clé de déchiffrement que vous terminez complètement bloquée. Accédez à vos données principales comme documents, vos photos et vidéos, votre musique, vos films et plus, sont entièrement verrouillés.

C’est là que le mode de fonctionnement particulièrement mauvais de Ransomware vient dans des jeux. Le programme qui compte sur la panique causée par la perte potentielle de données vous permet de payer une rançon en échange de la clé qui vous permet de déchiffrer vos données. Afin de limiter le risque d’être victime d’une telle attaque, il est préférable de prendre certaines précautions.
Gold, bonnes nouvelles, Windows habitant d’un outil de protection de ransomware. Malheureusement, ce module de protection est désactivé par défaut. Découvrez comment le configurer.

  1. Ouvrez les paramètres
    Commencez par ouvrir les paramètres Windows. Utilisez le raccourci clavier Windows + I sur ceci. Dans la fenêtre qui apparaît, sélectionnez le menu Confidentialité et Sécurité dans la science de la page.
  2. Naviguez jusqu’au module de sécurité Windows
    Lorsque vous êtes dans des paramètres de confidentialité et de sécurité, cliquez sur le premier menu qui apparaît en haut de la sécurité Windows.
    Dans la fenêtre suivante, cliquez sur le bouton Ouvrir Windows Security, qui apparaît en haut.
  3. Trouver l’outil de protection antivirus
    Une nouvelle fenêtre entièrement dédiée à la sécurité de Windows doit alors s’ouvrir. Dans la colonne de gauche, cliquez sur le menu de protection antivirus et de menaces.
    Lorsque vous êtes dans le menu, allez au bas de la fenêtre et choisissez de contrôler la protection contre les ransomware.
  4. Activer la protection anti-ransomware
    Ici, vous êtes maintenant dans le dédié à la protection contre les ransomware. Activez ensuite le petit contact affiché pendant le périphérique d’accès contrôlé sur les dossiers. Dans la fenêtre d’alerte de contrôle de compte d’utilisateur, sélectionnez Oui.
  5. Sélectionnez les dossiers à protéger
    Lorsque la protection contre les ransomware est activée, de nouvelles options sont affichées. Vous devez maintenant choisir les dossiers que vous souhaitez absolument protéger contre cette menace formidable. Cliquez pour cela sur le menu des dossiers protégés.
    Par défaut, le module Anti-Cancery Windows protège vos documents, images, vidéos, musique et favoris.
    Cependant, vous pouvez ajouter de nouveaux dossiers à protéger en cliquant sur le bouton Ajouter un dossier protégé en haut de la fenêtre.
  6. Sélectionnez les applications autorisées
    Maintenant que la protection antirensomatique est active sur votre PC, une partie du logiciel que vous utilisez quotidiennement ne peut plus accéder à des dossiers protégés.
    Le module anti-cancer de Windows est effectivement susceptible de découvrir certaines applications lorsque vous risquez de risquer de vos données pendant que ce n’est rien.
    Pour éviter ce type de faux positifs, vous pouvez sélectionner les programmes que vous souhaitez ajouter à la liste des programmes autorisés et qui ne sont pas bloqués par le module de protection anti-ransomware.
    Pour ce faire, cliquez sur Autoriser une application via un périphérique d’accès contrôlé aux dossiers.
    Dans le menu dédié qui apparaît, cliquez sur Ajouter une application Autoriser. En fonction de l’utilisation que vous avez fabriquée à partir de votre PC, vous pouvez, par exemple. Cliquez sur les programmes nouvellement bloqués pour ajouter à la liste blanche que vos programmes ont été bloqués par le système de protection Windows.
    Si aucun de votre logiciel n’est téléchargé par Windows pour le téléchargement, cliquez sur Rechercher tous les programmes, puis utilisez Windows File Explorer, puis sur le dossier dans lequel votre logiciel est installé (généralement dans C: Programmes ou C: \ Programmes (X86)).

Si le module Windows Anti-Ransomware a tendance à bloquer vos applications habituelles, les ajouter aux dossiers à protéger doivent résoudre le problème.

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3 cliniques spécialisées dans les soins ostéopathiques touchés par le Ransomware Lockbit 2.0

Bien que les vols et autres par logiciels malveillants sur les magasins d’applications continuent de croître, les logiciels traditionnels restent l’un des secteurs les plus lucratifs de la criminalité numérique.

3 cliniques spécialisées dans les soins ostéopathiques touchés par le Ransomware Lockbit 2.0

L’un des spécialistes de cette région, Lockbit 2.0, annonce avoir fait de nouvelles victimes françaises, avec des milliers de fichiers volés.

Trois cliniques couvertes par le Ransomware
Lockbit 2.0 Computer Hacker Group Repeat. Spécialisé dans le chantage numérique, cette bande organisée croit désormais en plus de 500 victimes, certainement plus que payé la rançon ou négociable souhaitée. Il sauve partout quand Thales pouvait voir en janvier dernier et s’attaquer à plusieurs sociétés françaises. Dans ses environs, des cliniques et un département.

Comme le rapporte Zataz, Lockbit 2.0 transmet des centaines de fichiers volés sur leurs nouvelles victimes. Parmi eux, trois cliniques spécialisées dans les soins ostéopathiques, sur 26 halls de consultation. Les pirates auraient mis la main sur 200 fichiers et dossiers dont le contenu, pour le moment, sera envoyé le 13 avril. Le département d’Ardèche fait également partie de la partie, mais assure qu’aucune donnée personnelle n’a été compromise. « L’étude que nous avons terminée, donc à ce jour, aucune fuite de données », a déclaré un représentant. Mais Lockbit prévoit d’émettre plus de 40 000 fichiers le 12 avril.

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Ransomware sur chaîne d’approvisionnement pour 2022.

Parmi les sujets auxquels nous sommes confrontés en 2022, il sera nécessaire de compter sur la prévalence et d’augmenter l’intensité des attaques de ransomware qui ont une partie monopolisée de la nouvelle en 2021. En fait, ce problème est loin d’être en phase de disparition. Ces menaces deviennent susceptibles de devenir plus dangereuses dans un contexte où les cybercriminels cherchent à avoir un impact maximal.
Les attaques d’escalade via des chaînes d’alimentation sont une tendance importante et troublante. Les cybercriminels cherchent à générer une destruction massive.

Ransomware sur chaîne d’approvisionnement pour 2022

Nous devons nous attendre à un plus grand nombre d’attaques visant à la chaîne d’approvisionnement numérique en 2022, d’autant plus que la déficience actuelle des talents, elle pousse les entreprises à compter encore plus sur les plates-formes, les services et les outils logiciels tiers

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Sauvegardes et ransomwares

Sauvegardes et ransomwares

Le problème est que les sauvegardes ne sont pas à la conception protégée contre le ransomware. Comment faire vos sauvegardes pour contrer les ransomwares? Une approche à plusieurs niveaux est essentielle pour les protéger.

Sauvegarde CMC eCura de Titan-informatique

Sauvegardes locales
Les sauvegardes locales ont l’avantage d’être facilement accessibles en cas de besoin, mais elles sont également beaucoup plus vulnérables aux:

– Attaques informatiques qui se sont répandues sur le réseau de la société
– Casse du support de sauvegarde
– Incendie
– Vol de votre matériel

Sauvegardes dans le cloud

Le cloud est un support très pratique, mais la copie de ses fichiers dans le cloud ne constitue pas une sauvegarde efficace, en particulier lorsqu’il s’agit de ransomware. En plus du problème de la souveraineté de vos données lorsque vous soumettez vos données aux GAFA(Google Drive, Amazon, Dropbox, Microsoft OneDrive …) utilisent souvent automatiquement la synchronisation des fichiers.

Ce qui signifie que lorsque vous êtes infecté par un ransomware, les fichiers cryptés peuvent être synchronisés de la même manière que des fichiers sains. Vous devez vous assurer de choisir une solution de sauvegarde réelle qui ne copie pas seulement des fichiers. Notez que plusieurs fournisseurs de sauvegarde Cloud offrent désormais un paramètre « Multi versions de fichiers » qui vous permet de récupérer une version antérieure de vos fichiers (avant le ransomware).

Sauvegardes cloud + accès
Bien que des sauvegardes clouds ont l’avantage d’être beaucoup plus en sécurité. Il peut également être intéressant de faire des sauvegardes avec une option accès physique, c’est-à-dire des sauvegardes sur le cloud et complètement récupérable physiquement par le client, ainsi protégées de tout risque de ransomware.

Sauvegarde informatique Hyères

Dans tous les cas, la chose la plus importante est l’utilisation de nombreuses solutions en même temps et d’utiliser la règle 3-2-1 pour des sauvegardes:
– 3 copies de vos données.
– 2 supports différents.
– 1 copie hors site.

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L’entreprise et le ransomware

Les rangées sont retournées à la catégorie des « Grandes personnes à la chasse ». L’importance de leur objectif continue de croître et des dommages dépassant la simple perte de données ou de paiement d’une rançon (productivité, revenus, réputation et responsabilité). Quels sont les outils légaux, les droits et les obligations de savoir?

L’entreprise et le ransomware

Par Me Pierre-Randolph Dufau
Avocat à la cour, fondateur de la SELAS PRD avocats

Le juge français ne semble pas être déterminé à permettre aux entreprises, aux victimes d’une telle attaque, de tirer parti de la force majeure pour débarrasser leurs responsabilités contractuelles (Cour d’appel de Paris, le 7 février 2020).
Au contraire, la tendance de la jurisprudence est d’exiger davantage de prévention, d’obligations et de responsabilités. SUITE ET LIEN

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Ransomware, les employés d’Orchestra obligés de travailler à distance

Les circonstances de l’événement de sécurité restent très peu claires, en particulier lorsque Neworch n’a pas fourni d’annonce officielle sur le sujet. Mais selon les « spécialistes », le groupe n’était pas « l’objectif principal des pirates informatiques », a déclaré Pierre Mestre, fondateur et président de Neworch, quotidiennement. « Nous sommes une garantie », résume-t-il. En détail, les logiciels malveillants auraient été distribués via des courriels. « C’était assez pour que quelqu’un l’ouvre et c’est l’effondrement », a-t-il ajouté.

La rançon demandée serait « plus d’un million d’euros »


Le groupe français Neworch, propriétaire du spécialiste de la mode Orter, a été victime d’un ransomware. L’attaque n’a pas abouti aux fonctions des magasins, la gestion des amants. D’autre part, les 230 employés travaillant au siège à Hérault sont dans le travail à distance. Un retour à la normale est prévu au milieu de cette semaine.

Le groupe NewOrch-Orchestra exploitait fin octobre 2021 une solution VDI qui n’est plus disponible, mais aurait pu offrir une passerelle aux attaquants. Cependant, il aurait pu être plus d’un, selon les moteurs de recherche spécialisés.

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Le ministère de la Justice visé par un ransomware, les pirates « proposent » de publier des données

Le ministère de la Justice est ciblé par un ransomware

Le ministère français de la Justice victime d’un ransomware. C’est ce que propose le youtubeur « Defend Intelligence » sur Twitter. Selon ses sources, des données ont été compromises et les pirates menacent de les publier le 10 février 2022 si la rançon requise n’est pas payée par les autorités.

Lockbit 2.0 Groupe de rançongiciel, connu pour avoir attaqué Thales, en veillant à ce qu’elle ait réussi à hérir le ministère de la Justice. Le compte à rebours dans le soutien menace de publier des documents car ils auraient non plus sûr lors de l’attaque dans un délai de deux semaines.

Un gros compte à rebours rouge, ils menacent de publier des document

Sur son site, le groupe de cybercriminels prétend avoir attaqué des organisations italiennes et danoises ou espagnoles. Lors de la dernière mise à jour de ses victimes présumées, en plus du site Web du ministère de la Justice, il a indiqué que la municipalité de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) serait également concernée. Contacté par Libération, Eric Berdoats, maire, confirmer: « Nous étions le sujet du vendredi dernier tôt le matin d’un cyberrataker qui a paralysé tous nos systèmes. » Une plainte a été soumise au procureur de Paris.

le ministère de la Justice ciblé par Le groupe de rançongiciel Lockbit

Le responsable choisi ne veut pas indiquer si une demande de rançon a été reçue. Cependant, il est appelé aucune couverture de données pour le moment. « Petit à petit, nous reviendrons dans l’activité, nous réussirons ici à la fin de la semaine pour restaurer tout », continue-t-il. La mairie doit encore racheter des serveurs et « réinvestir dans une nouvelle infrastructure ». Un prix qui dépasserait les cent mille euros. Pour rappel, en décembre, plusieurs maisons de ville de Seine-Saint-Denis ciblent également une attaque de Rankong.
Selon Kaspersky Cyberscurity Company, Ransomware Lockbit « est un logiciel malveillant conçu pour bloquer l’accès aux utilisateurs avec des systèmes informatiques et soulever le blocage en échange d’une rançon ». C’est une attaque privilégiée sur les entreprises cibles ou d’autres organisations. Premièrement appelé « Virus.ABCD », le programme Lockbit sera utilisé dans des attaques identifiées depuis septembre 2019. «Les États-Unis, la Chine, l’Inde, l’Indonésie et l’Ukraine sont déjà ciblés dans le passé de ces types d’attaques», ajoute la société. De même pour plusieurs pays européens.

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À la demande des États-Unis, la Russie arrête le gang REvil, l’un des gangs de rançongiciels les plus actifs.

Le FSB affirme qu’il a répondu à l’appel des « autorités américaines compétentes », après avoir souligné « le chef de l’association criminelle et son implication » dans les cyberattaques.

Le FSB a démantelé le groupe de cybercriminels, une requête formulée par les Etats-Unis, principale victime de REvil.
La Russie a démantelé, à la demande des États-Unis, le groupe de hackers REvil.
Renforcement de la coopération entre Moscou et Washington dans la lutte contre la cybercriminalité.
REvil, un rançongiciel des plus célèbres, qui a extorqué des millions d’euros à des centaines d’entreprises, notamment françaises.
La Russie annonce l’arrestation du gang de rançongiciel REvil.


L’intelligence russe a organisé l’arrestation dans sa superficie de 14 cybercriminels soupçonnés de faire partie de la célèbre bannière Wil. Rarissime, cette chirurgie de la police suit un appel des autorités américaines. Normalement, Moscou refuse de coopérer avec des pouvoirs étrangers et la Russie est considérée comme un refuge pour certains réseaux cybercoises. Si ce type de coopération est reproduit, ce serait un changement important dans la lutte contre la cybercriminalité.
Un message d’attente spécial tandis que les lignes sont ces logiciels qui cryptent vos données pour nécessiter une rançon, est devenue l’une des menaces informatiques les plus importantes dans le monde, n’a pas éjecté ce fléau. « Ces personnes ont développé des logiciels malveillants, organisé le vol de fonds sur les comptes bancaires des citoyens étrangers et leur dépôt, notamment en achetant des propriétés Internet coûteuses », explique FSB dans sa déclaration.

Ce 14 janvier marque 2022 un tournant dans la lutte contre la cybercriminalité? Le service de sécurité fédéral de la Fédération de Russie (FSB) a annoncé le succès d’un certain nombre d’arrestations dans quatre villes du pays (Moscou, Saint-Pétersbourg, Leningrad et Lipetsk) … à la demande des États-Unis.

Dans leur recherche, 14 personnes soupçonnées de faire partie du gangui-à-tête, l’un des plus célèbres opérateurs Rankoning qui ont extorqué des millions d’euros sur des centaines d’entreprises, notamment français et américains. L’opération a donc tiré une fonction finale sur les dommages des révisions.

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Une prison américaine a été paralysée par une attaque ransomware

Une prison aux États-Unis a été la cible d’une cyberattaque au ransomware.

Les caméras de surveillance de la prison et les portes automatiques ne fonctionnaient plus.

Une situation incertaine qui a forcé les autorités à limiter les déplacements de tous ses détenus.

Aucune tentative de fuite organisé par un pirate informatique.

Le problème de ransomware est le même en France.

En raison de l’attaque, des caméras de surveillance et des portes à cellules automatiques ne fonctionnent plus (elles n’étaient pas ouvertes, mais un gardien de but a dû passer à chaque ouverture). La prison était simplement hors ligne. Les employés pentitiques ne pouvaient pas entendre des records des détenus et des registres identifiant les événements de sécurité semblent avoir été endommagés par l’attaque. Une situation incertaine qui a forcé au centre de la détention à grand mandat pour limiter tous ses détenus.
Ce phénomène est le même en France. Les communautés territoriales et certaines autorités publiques sont particulièrement ciblées par ces attaques dévastatrices, y compris les hôpitaux. Au Forum international de cyber-sécurité en septembre 2021, Guillaume Pedoard, directrice de l’Agence nationale des systèmes d’information, autorité de cybersécurité en France, sur le problème sans détour: «Si les hôpitaux français sont attaqués, c’est parce qu’il est facile: votre sécurité est zéro ».
Dans ce type de cas attaque les pirates informatiques toutes les infrastructures d’un réseau sans nécessairement savoir exactement ce qu’ils ciblent. Les pouvoirs publics visent souvent parce que c’est la plus faiblement protégée. Comme le poste est celui des États-Unis, Atlanta, Baltimore, Denver, Knoxville, la Nouvelle-Orléans et Tulsa ont déjà été influencés par des attaques de ransomware.
Mais ici, pas d’expériences d’échappement sur le dirigeant par un piratage de Geni, les assaillants semblent que les assaillants semblent purs mercitiles: obtenez une rançon contre la clé de déchiffrement. Le pénitentiarycret n’a pas eu droit à la loi, c’est l’une des victimes d’une attaque plus large de ransanques qui affecte plusieurs jours aux comptes de Bernadillo, autour de la ville d’Albuquerque. D’autres administrations urbaines ont simplement dû fermer, manque de systèmes fonctionnels.

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« L’attaque de ransomware » a considérablement augmenté entre 2019 et 2020

Entre 2019 et 2020, les attaques de «Ransomware» destiné aux autorités publiques avec plus de 30% d’augmentation.

Au cours de cette période, des services nationaux de la police et de la gendarmeriet enregistrés entre 1 580 et 1 870 procédures relatives aux attaques de forages de rang. Ce sont des logiciels malveillants qui verrouillent des ordinateurs ou de l’ensemble du système informatique, puis demandent une rançon aux victimes. En cas de paiement, les victimes doivent recevoir une clé de déchiffrement pour reprendre l’accès aux données.

Selon l’estimation élevée, le nombre de procédures ouvertes en relation avec le ransomware a augmenté en moyenne de 3% de chaque année jusqu’en 2019, puis accéléré (+ 32%) entre 2019 et 2020. Néanmoins, cette étude, les procédures commerciales et les institutions ne représentent que 15%. d’attaques sur les systèmes de traitement de données automatisés enregistrés entre 2016 et 2020.

Le secteur industriel (qui représente 7% de l’économie française) est particulièrement touché: il représente 15% des victimes enregistrées. Les pouvoirs publics, l’éducation, la santé et l’action sociale sont surreprésentés: 20% des victimes, dont seulement 13% des institutions de la France. Dans ce secteur, les autorités locales sont particulièrement attaquées (85% des autorités publiques en 2020).

La rançon requise par les pirates hachistes deviennent plus importantes et demandées souvent à Cryptomonnaie, selon l’étude. La valeur médiane des montants enregistrés auprès de la police et de la gendarmerie a augmenté d’env. 50% par an entre 2016 et 2020, à 6 375 € pour 2020.

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Les autorités belges subissent une cyberattaque de Log4j/Log4Shell

Le ministère de la Défense belge a confirmé identifié une attaque informatique de type Log4j.

Les autorités belges subissent une cyberattaque de Log4jLog4Shell

Le ministère Belge de la Défense joue une transparence en admettant une victime d’un piratage basé sur l’erreur Log4Shell. Le fonctionnement de ce dernier intégrant des logiciels malveillants Dridex.

Aujourd’hui, le ministère belge de la Défense a annoncé qu’elle avait été victime d’une attaque contre la vulnérabilité de Log4Shell. Le piraterie aurait eu lieu la semaine dernière et « certaines activités de département de la Défense ont été paralysées depuis plusieurs jours. »

Le porte-parole du Fonds a confirmé ces informations. « La défense a découvert jeudi une attaque sur son réseau informatique reporté sur Internet. Des mesures de quarantaine ont été rapidement prises pour isoler les parties touchées. La priorité est de garder le réseau de défense opérationnelle. En outre, il est dit: » Cette attaque suit l’exploitation de la vulnérabilité log4j, publiée la semaine dernière. « 

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Le nouveau malware PseudoManuscrypt, a infecté plus de 35 000 ordinateurs sur 2021

Parmi les ordinateurs infectés, 7,2% des machines font partie de systèmes de contrôle industriels utilisés par des organisations opérant dans divers domaines, de l’ingénierie à l’énergie, en passant par la construction, la gestion de l’eau et les services publics. Organisations principalement situées en Inde, au Vietnam et en Russie. Le malware a infiltré les systèmes d’exploitation « via une plate-forme MaaS qui distribue des logiciels malveillants dans des archives d’installation de logiciels piratés ». Il est également diffusé via le botnet Glupteba.

Le nouveau malware PseudoManuscrypt, a infecté plus de 35 000 ordinateurs sur 2021

Pour alimenter le botnet, un certain nombre d’installateurs ont été crackés. On peut citer notamment Microsoft Office, Adobe Acrobat, Garmin, Call of Duty, la boîte à outils SolarWinds Engineers, mais aussi la suite de sécurité Kaspersky. Pour commettre leurs méfaits, les hackers ont privilégié la méthode dite de l’intoxication des moteurs de recherche. Pour ce faire, ils ont créé des sites Web malveillants dont ils ont affiné la référence naturelle (SEO) pour les faire apparaître en haut des résultats de recherche.

Une fois installé, le malware est capable de prendre le contrôle total du système infecté. Plus précisément, les pirates ont pu désactiver l’antivirus, voler les données de connexion VPN, espionner les frappes au clavier. Ils ont également enregistré de l’audio, pris des captures d’écran et des enregistrements vidéo de l’écran et intercepté les données passant par le presse-papiers.

Après avoir analysé des échantillons, les chercheurs ont découvert des commentaires écrits en chinois. Mais cela ne suffit pas à établir l’identité et l’origine des pirates ainsi que l’implication potentielle du gouvernement. « Le grand nombre d’ordinateurs d’ingénierie attaqués, y compris les systèmes utilisés pour la modélisation 3D et physique, le développement et l’utilisation de jumeaux numériques, peut signifier que l’espionnage industriel est l’un des principaux objectifs de la campagne d’attaque », soulignent les chercheurs.

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L’auteur de Cyberattack de T-Mobile assume

John Binns, Américain de 21 ans, de Virginie et vit en Turquie, a admis être la principale personne du piratage massif de T-Mobile, qui exposait les informations sensibles de plus de 50 millions de personnes.

L’auteur de Cyberattack de T-Mobile assume

John Binns a exprimé publiquement dans une interview avec le Wall Street Journal, les connaissances au journal soient à l’origine de l’attaque, qu’il a conduit de sa maison à Izmir, en Turquie, où il vit avec sa mère. Son père qui est mort quand il avait deux ans, était américain et sa mère est turque. Ils sont retournés en Turquie à l’âge de 18 ans.
John Binns a admis être derrière les cyber-attaques exposées à des données sur plus de 50 millions de personnes, dans le but de « nuire à l’infrastructure des États-Unis ».
A travers le télégramme, John Binns a fourni le Wall Street Journal avec la preuve qu’il a été trouvé pour les attaques T-Mobile avec des journalistes d’indication il des réseaux T-mobile d’accès à l’origine obtenu par un routeur non protégé en Juillet.

Selon le quotidien, il a cherché des erreurs dans la défense T-mobile par le biais de ses adresses Internet, et a accès à un centre de données près de East Wenatchee, dans l’État de Washington, où il a pu explorer plus de 100 serveurs dans l’entreprise. A partir de là, il a fallu environ une semaine pour les serveurs d’accès contenant des renseignements personnels sur des millions de personnes. Le 4 Août, il a volé des millions de fichiers.

« Je suis allé à la panique parce que j’avais accès à quelque chose d’important. Leur sécurité est terrible », dit John Binns au Wall Street Journal. « La réalisation du bruit était un but. »

Il ne voulait pas confirmer si les données qu’il a volé a déjà été vendu ou si un autre payé à pirater T-Mobile. Bien que John Binns ne dit pas explicitement qu’il avait travaillé avec d’autres personnes sur les attaques, il a admis qu’il avait besoin d’aide l’acquisition des identifiants de connexion pour les bases de données à l’intérieur des systèmes T-Mobile.

Le Wall Street Journal L’article mentionne également que T-Mobile a été informé de la violation d’une société de sécurité cybernétique appelé UNIT221B LLC, ce qui indique que les données de ses clients ont été commercialisés sur noir Web.

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Les intermittent de la cybercriminalité

Les chercheurs de la sécurité ont mis en évidence des personnes qui constituent une partie importante de l’écosystème de cybercrimination

Les intermittent de la cybercriminalité

Programmes de phishing, campagnes de logiciels malveillantes et autres opérations utilisent un nombre total de travailleurs ombragers. Pour leur offrir de meilleures opportunités de travail légitimes pourraient aider à réduire le crime?

Une collaboration de recherche avec l’Université technique tchèque à Prague et GoSecure et SecureWorks entreprises de sécurité Cyber a analysé les activités des personnes en marge de la cybercriminalité, les projets sous – jacents tels que la création de sites Web, finissent par être utilisés pour des attaques de phishing, les affiliés Systèmes pour diriger le trafic sur les sites Web compromis ou contrefaits ou écrire sur le code trouvé dans les logiciels malveillants.

Les gens sur l’origine de ces projets font parce qu’il est un moyen facile de gagner de l’argent. Mais faire ce travail, ils jettent les bases de campagnes malveillantes pour les cyber-criminels.

Un regard sur le web
L’étude, Mass Effect: Comment Opporitistic travailleurs conduisent dans la cybercriminalité et présenté au Black Hat États-Unis, trouve ses origines dans une analyse de l’Université technique tchèque qui a révélé des roues geost, un botnet et une campagne de logiciels malveillants Android comme des centaines infectés de milliers d’utilisateurs. Ce travail a permis aux chercheurs d’examiner les journaux pour certaines des personnes impliquées.

Ils ont pu trouver des traces de personnes dans ces journaux sur des forums en ligne et d’autres plates-formes de discussion et avoir une idée de leurs motivations.

«Nous avons commencé à comprendre que même s’ils étaient impliqués dans la diffusion de programmes malveillants, ils n’étaient pas nécessairement cerveaux, mais plutôt des travailleurs informels, ceux qui travaillent sur de petits projets», a déclaré Masarah Forfait-Clouston, chercheur de sécurité à Gosécur.

Bien que ces personnes sont au bas de la hiérarchie, ils exécutent des tâches utiles pour les cyber-criminels à des sites d’utilisation et d’outils, ils créent des activités malveillantes, y compris le phishing et les logiciels malveillants communication.

« Ils essaient de gagner leur vie et peut – être le salaire du crime mieux, donc ils vont là – bas, » a déclaré Sebastian Garcia, professeur adjoint à l’Université technique tchèque, affirmant que nous devons accorder plus d’ attention aux personnes qui oscillent entre la cybercriminalité et l’ activité juridique.

« Il y a beaucoup de gens dans ces forums publics que les sociétés de sécurité ne se rapportent pas, mais ce sont ceux qui soutiennent la majorité du travail, la création de pages web pour les e – mails de phishing, l’ APK, le cryptage, les logiciels malveillants, mulet, » dit – il.

L’arbre qui dissimule la forêt
« Si nous nous concentrons toujours sur des cerveaux » délinquants motivés « qui ont vraiment développé le Botnemetten et les moyens de gagner de l’argent avec tout cela, nous oublions les travailleurs », avertit M. Paquet-Clouston. « En tant que société, nous oublions souvent que beaucoup de gens sont impliqués et que ce n’est pas nécessairement des personnes très motivées, mais plutôt ceux qui finissent par faire l’activité », a-t-elle déclaré.

Mais cela ne signifie pas nécessairement que les personnes impliquées dans ces systèmes doivent être traitées comme des cybercriminels de vol élevé, en particulier lorsque certains ne savent même pas que leurs compétences sont utilisées pour la cybercriminalité.

En fait, il serait possible de donner à bon nombre de ces personnes la possibilité d’utiliser leurs avantages de compétences plutôt que de les utiliser pour l’aider à la criminalité.

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La banque centrale du Brésil et la terreur du ransomware

La banque centrale au Brésil est une unité indépendante du gouvernement brésilien. Il est contrôlé de manière autonome. Cependant, ce piratage est l’autre dans quelques mois. En novembre 2020, c’était le tribunal électoral supérieur au Brésil, qui a été paralysé pendant plus de deux semaines avec une attaque.

La banque centrale du Brésil et la terreur du ransomware

Le ministère des Finances de la Banque centrale du Brésil a été victime Vendredi 13 Août, 2021 une attaque Ransomware selon le ministère de l’Economie. Les conséquences précises de cette attaque n’ont pas encore été révélées. Mais les éléments clés de l’infrastructure que la gestion de la dette semblent être épargnés.
L’événement avait déjà attiré beaucoup de réactions. Il a été présenté comme l’attaque la plus sophistiquée jamais orchestrée contre les systèmes informatiques du pays. Afin d’éviter ce genre d’attaque du gouvernement récurrent avait annoncé au moins Juillet 2021 la création d’un réseau pour répondre à ces cyber-attaques.

Ce qui ne l’empêche pas les pirates en but après quelques semaines plus tard d’impôt national. À l’heure actuelle, les autorités brésiliennes légèrement les prolongent les détails de l’attaque et ses conséquences. Les experts du Secrétariat du Trésor et de gouvernement numérique seraient analysées encore toutes les données disponibles.
Le Ministère de l’Economie du Brésil notifie dans un communiqué de presse que la taxe nationale est administré par la Banque centrale du Brésil, a été victime Vendredi 13 Août, 2021 une attaque ransomware.
La police fédérale sont également au dossier. A en croire le ministre de l’économie, plus d’informations sur l’incident « sera révélé rapidement et en toute transparence ». Nous avons tout simplement le fait que l’attaque aurait causé des dommages aux plates-formes centrales du Trésor, en particulier celles qui ont trait à la dette nationale.

Dans un communiqué publié quelques heures plus tard, la Bourse confirme le Brésil que l’attaque a complètement sauvé programme de rachat soeur Tesouro dette. La question de la sécurité informatique est de plus en plus central aux gouvernements du monde entier que les pirates peuvent interférer dans les infrastructures nationales clés.

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Attaques ciblant les teletravailleurs en hausse de 20%

Le début d’une nouvelle année n’a pas réduit la frénésie des cybercriminels qui n’ont jamais cessé de multiplier les actes frauduleux.

À la fin de 2020, les détections de menace enregistrées par Trend Micro ont montré une augmentation de 20% des attaques ciblant les organisations de télétravail et les employés par rapport à 2019. La PAC des 126 000 attaques par minute autour du monde a donc été atteinte.

Bien que la promesse d’accès au vaccin généralisé soit progressivement au niveau international, la pandémie reste un véritable levier pour les attaquants.

En effet, les menaces utilisant le nom du virus persist: Trend Micro a énuméré plus de 1,6 million au cours des trois premiers mois de l’année. Parmi les techniques d’attaques utilisées, les menaces liées à la messagerie dominante (92%) dans le Top 3, suivies d’URL frauduleuses (7%) et de fichiers infectés (1%). Les États-Unis seul représentent le plus grand nombre de détections d’attaque via des courriels et une URL frauduleuse à l’aide de CVIV-19 en tant que (+684 000 en mars 2021). Notant incroyable dans la pratique, lorsque les déclarations indiquent que le pourcentage de menaces de menaces transportées par courrier électronique a bombé de 107% dans un délai d’un mois.

Les attaquants restent également fidèles à certaines pratiques, les campagnes de logiciels malveillants liées à l’émotet, à Ryuk ou à Trickbot sont restées actives en mars dernier. Et cela, bien que les familles malveillantes ont enregistré un volume de détection (1,1 million) légèrement sur la période, à savoir – 8% par rapport au mois précédent.

Les entreprises continuent de construire des objectifs préférés, comme le montre le remède intensif auprès de Banking Malware Ramnit, dont les attaques ont augmenté de 21% au mois de mars. Attaques de SPOC, qui tendent à usurper l’identité dans les affaires, a augmenté de 6,4% entre février et 2021.

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LockBit (Le ransomware)Le retour

Il y a une augmentation des cyberattaques utilisant une forme de ransomware apparu il y a presque deux ans. Mais même si c’est relativement vieux, il continue de se prouver parmi les cybercriminels.

LockBit (Le ransomware)Le retour

Le Ransomware Lockbit existe depuis 2019, mais ses créateurs ajoutent de nouvelles fonctionnalités et annoncent d’attirer de nouvelles sociétés de soeur de cybercriminalité.
Trend Micro Cyber ​​Security chercheurs ont connu une augmentation des campagnes de Ransomware Lockbit depuis début juillet. Ce service ransomware-comme-un, présenté pour la première fois en septembre 2019 a connu un succès relatif, mais a connu une activité renouvelée cet été.
Si le verrouillage est resté dans l’ombre la majeure partie de l’année, il a fait l’un des journaux avec l’attaque contre l’accenture Consulting Corporation. Il semble également avoir bénéficié de la disparition apparente des groupes Ransomware Ransomware et Darkside. Un nombre important de filiales de ces opérateurs se sont tournées vers Lockbit comme une nouvelle façon de mettre en œuvre des attaques de ransomware.
Lockbit a également réussi à suivre des traces d’importants groupes de ransomware en utilisant certaines tactiques, techniques et procédures Autres groupes attaqués. Par exemple, Lockbit utilise désormais la fonction Wake-On-LAN de Ryuk, qui consiste à envoyer des packages pour se réveiller de périphériques hors ligne pour se déplacer latéralement sur le réseau et compromettre autant de machines que possible.
On peut prévoir que les attaques Ransomware Lockbit constituent encore une menace pour un certain temps, d’autant plus que le groupe cherche activement à recruter de nouveaux partenaires. Mais si les groupes ransomware sont persistants, il y a des étapes que les équipes de sécurité de l’information peuvent prendre pour aider les réseaux protéger contre les attaques.

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Des courtiers pour les cybercriminels

Les courtiers d’accès sont des individus ou des groupes qui ont réussi à accéder à un réseau ou à un système d’entreprise au moyen d’identificateurs, d’attaque de puissance brute ou du fonctionnement des vulnérabilités.

Des courtiers pour les cybercriminels

Le marché des courtiers d’accès continue de développer, le coût de ces accès pose un faible coût par rapport aux avantages potentiels d’une attaque de ransomware réussie.
Ces dernières années, Ransomware-As-A-Service (RAAS) groupes ont été intéressés par ces courtiers parce que les utiliser directement ou les payer en échange d’ un accès à un système cible , ils sont en mesure d’éviter la première étape de l’intrusion: La longue processus est nécessaire pour trouver un terminal vulnérable.

Lundi, Kela Cybergness Société a publié un rapport en explorant le marché des courtiers d’accès et a constaté que le coût moyen d’accès au réseau était de 5.400 $, alors que le prix médian était de 1 000 $. Dollars.

Si nous croyons que les demandes de collègues de rang millions de reach aujourd’hui de dollars d’un point de vue pénal, il est un petit prix à payer.

L’équipe a examiné plus d’un millier de messages publiés sur les forums de cybercriminels web sombre dans la période allant du 1er Juillet 2020 et 30 Juin 2021 et constaté que les annonces offrant un accès inclus un certain nombre d’offres basées sur le réseau et les comptes compromis – tels que l’accès à distance à un ordinateur dans une organisation – ainsi que l’ accès aux comptes de privilèges de domaine et accès à distance-RDP et VPN.

Au total, 25% de la publicité a été libéré par les courtiers.

comptes Privilege élevés qui vendent plus cher
Sans surprise, les offres avec la valeur la plus élevée – et donc les prix les plus élevés – étaient des services d’accès offrant des privilèges au niveau de domaine dans des entreprises allant de centaines de millions de dollars de revenus.

Les plupart des services d’accès coûteux concerne une société australienne génère un chiffre d’affaires annuel de 500 millions $ pour 12 Bitcoins (BTC), soit environ 478 000 $, et l’accès à une société d’informatique aux États-Unis, par ConnectWise, dans 5 BTC (200 000 $) .

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Le coût des « piratages » professionnelles atteint un niveau record

Les grandes attaques des grandes entreprises et l’exposition de 50 à 65 millions d’enregistrements ont un prix élevé, jusqu’à 401 millions de dollars.

Selon une étude IBM, le coût moyen d’une attaque est de plus de 4 millions de dollars.

Le coût des piratages professionnelles atteint un niveau record

Le coût moyen d’une attaque a maintenant dépassé le barreau fatidique de 4 millions de dollars et a atteint un niveau record en vertu de la crise de la santé. Dans un rapport publié mercredi d’IBM, Big Blue estime que, en 2021, coûte une violation de données typique des entreprises de 4,24 millions USD. Le coût est de 10% supérieur à 2020.

En France, les secteurs les plus touchés sont des services financiers, du secteur pharmaceutique ainsi que de la technologie. Au niveau international, aux secteurs de la santé et des services financiers qui enregistrent les violations les plus chères.

Logiciels malveillants et hameçonnage

IBM estime qu’environ 60% des entreprises se sont tournées vers «Cloud» pour poursuivre leurs activités, bien que le renforcement du contrôle de la sécurité n’ait pas nécessairement suivi. Lorsque l’utilisation de travaux distants a explosé, elle était la même pour les infractions de données dont les quantités ont augmenté de 1 million de dollars – les taux les plus élevés de 4,96 millions de dollars contre 3, 89 millions de dollars.

Le vecteur d’attaque le plus courant des victimes de données d’un transfert de données est un compromis sur les informations d’identification, soit extraits des souches de données soumises, vendues ou obtenues par une attaque de force brute. Une fois que le réseau est infiltré, les informations personnelles identifiables (IPI) sont devenues des clients, notamment des noms et des adresses électroniques, volées dans près de la moitié des cas.

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En 2021, il a fallu un total de 287 jours pour détecter et contenir une violation de données ou 7 jours de plus que l’année précédente. Au total, une organisation moyenne n’enregistrera pas d’entrer dans les 212 jours. Il ne sera donc pas capable de résoudre complètement le problème avant que 75 jours supplémentaires soient passés.

Les infractions de données dans le secteur de la santé ont été les plus chères, avec une moyenne de 9,23 millions de USD suivi des services financiers – 5,72 millions de dollars – et des médicaments, avec 5,04 millions de dollars.

Selon IBM, les entreprises qui utilisent des solutions de sécurité sont basées sur des algorithmes d’intelligence artificielle (AI), l’apprentissage automatique, l’analyse et le cryptage, ont tous diminué le coût potentiel d’une violation qui permet aux entreprises. Économisez en moyenne entre 0,1 25 et 1,49 million de dollars.

« L’augmentation des infractions de données sont une autre dépense supplémentaire pour les entreprises en fonction des changements technologiques rapides lors de la pandémie », a déclaré Chris McCurdy, vice-président de la sécurité IBM. « Bien que le coût des infractions de données ait atteint un niveau record au cours de la dernière année, le rapport a également démontré des signes positifs de l’impact des tactiques de sécurité modernes, telles que l’AI, l’automatisation et l’adoption d’une approche de confiance zéro – qui pourrait être payée en réduisant coûte ces incidents plus tard. « 

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Des cybercriminels attaques des Ransomwares.

Un membre du groupe de Ransomware Conti, visiblement insatisfait des négociations de groupe, a publié plusieurs documents en ligne décrivant les méthodes et les outils recommandés pour cibler les entreprises.

Des cybercriminels attaques des Ransomwares.

Si la fuite ne révèle pas de nouveau fondamental, il permet de mettre en évidence le fonctionnement de ces groupes « Ransomware en tant que service » composé d’un petit nombre d’opérateurs sur le chef de programme qui prend en charge les négociations et la récupération de la rançon et de nombreux « Affecté », responsable de la compromission sur le système informatique de la victime ou de la mise en œuvre des étapes initiales de la détonation du Groupe fourni par le groupe. Les rancingions sont ensuite réparties entre les différents membres du groupe conformément au rôle de chacun suivant: Selon le Soft Computer réserve les opérateurs du groupe Normalement 20 à 30% de la rançon et renvoie le reste de la somme à trouver dans le compromis , le système informatique de la victime.

Dans ce cas, les membres insatisfaits prétendent avoir reçu «seulement» 1500 dollars à la suite d’une rançon, qu’il lui a dit, a motivé sa décision de diffuser les documents. Une source anonyme citée par Soft Computer Progresser une autre théorie: cybercriminal à l’origine du couvercle des données aurait été interdit par les Conti opérateurs après avoir pris la promotion d’un concurrent ransomware.

Dans cette archive, 37 documents texte donnant des indications sur l’utilisation de plusieurs outils utilisés par les membres de la groupe Conti: Cobalt Strike, un outil de test de pénétration souvent utilisé par les cybercriminels, la métasploite et et les tutoriels pour expliquer l’utilisation de l’utilisation de Les erreurs, telles que le zérologon ou les méthodes de facilitation des mouvements latéraux dans les systèmes informatiques infectés.

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Malware Data Destroyeur en Iran « Wiper Meteor »

Les chercheurs de la Sentinelone CyberSecurity Society ont reconstitué la récente cyberattack contre le système ferroviaire iranien dans un nouveau rapport qui découvre un nouvel acteur malveillant – qu’ils s’appellent « MeteorExpresss ».

Malware Data Destroyeur en Iran Wiper Meteor

Le 9 juillet, les médias locaux locaux ont commencé à signaler une cybercrattage sur le système ferroviaire iranien, avec des pirates qui changent d’affichage dans les stations en demandant aux passagers d’appeler « 64411 », le numéro de téléphone du guide suprême.

Les services ferroviaires ont été interrompus et aujourd’hui, plus tard les attaquants du ministère iranien des Transports. Selon Reuters, le portail et les sous-sports du ministère ont cassé une attaque sur les ordinateurs et le développement urbain de l’ordinateur.

Wiper Meteor du jamais vu!

WIPER est capable de changer de mots de passe pour tous les utilisateurs, de désactiver les épargnants d’écran, de mettre fin à un processus basé sur une liste des processus cible, d’installer un bloqueur d’écran, de la fonction de récupération de désactivation, de modifier le traitement des erreurs politiques de démarrage, de créer des tâches planifiées, de déconnecter des tâches planifiées, de déconnecter des tâches planifiées. Sessions, supprimez des copies d’ombre, modifiez des images de l’écran de verrouillage et de l’exécution. Exigences.

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Kaseya prétend avoir payé aucune rançon

L’éditeur logiciel Kaseya a refusé d’avoir payé une rançon pour un déchiffrement universel après plusieurs jours avec des questions sur la manière dont l’outil est atteint.

Le 21 juillet, la Société a annoncé qu’un outil de déchiffrement universel a été réalisé grâce à une «tierce partie» et a travaillé avec Emsisoft Security Company pour aider les victimes de l’attaque de Ransomware REvil.

Kaseya prétend avoir payé aucune rançon

Lundi, Kaseya a publié une déclaration qui refuse des rumeurs qu’elle aurait payé une rançon sur REvil, le groupe Ransomware, a lancé l’attaque. REvil a demandé à l’origine une rançon de 70 millions de dollars, mais l’aurait réduit de 50 millions de dollars avant que tous ses sites Web ne disparaissent le 13 juillet.

Theresa Payton, ancien directeur des informations de la Maison-Blanche et expert en cybersécurité, a déclaré que les accords non-informations après les attaques sont plus fréquents que vous ne pourriez penser, mais a noté que « demander un accord sur les non-renseignements aux victimes n’est pas une pratique quotidienne pour chaque incident ».

« Lorsqu’un incident affecte davantage de victimes, le conseiller juridique demande à signer un accord sur les non-renseignements pour que la solution du problème ne soit pas publiée », a déclaré Payton.

Payton a ajouté que les causes de la demande de contrat de non-publication ne sont pas toujours mauvaises et invitées à consulter leurs avocats avant de signer quelque chose.

La société et la manière dont l’outil de décryptage universel a été atteint? Selon la presse, la société a chargé un accord de non-publication aux entreprises souhaitant profiter de cet outil.

« Nous certifions clairement que Kaseya n’a pas payé la rançon, que ce soit directement ou indirectement à travers un tiers, pour obtenir du déchiffrement », déclare la déclaration de Kaseya.

« Bien que chaque entreprise devait prendre sa propre décision sur le paiement de RanSom, Kaseya a décidé après avoir consulté des experts, de ne pas négocier avec les criminels qui ont commis cette attaque et que nous n’arrêtions pas de cet engagement. »

Selon la Déclaration, l’équipe d’intervention des incidents d’Emsisoft et de Kaseya a travaillé tous les week-ends pour fournir un déchiffrement avec certaines des 1 500 victimes touchées par l’attaque, y compris une grande chaîne de supermarchés en Suède, de l’Université Virginia Tech et des ordinateurs gouvernementaux locaux à Leonardtown, dans le Maryland.

La société a déclaré qu’elle avait appelé à toutes les victimes de manifester et d’ajouter que l’outil « s’est avéré 100% pour déchiffrer les fichiers complètement cryptés lors de l’attaque ».

Si la nouvelle d’un décendrier universel a été accueillie par des centaines de victimes touchées, certains soulignent qu’il existait un accord de non-information que Kaseya audacieuse les entreprises à signer l’échange d’outils.

CNN a confirmé que Kaseya a exigé un accord de non-information (NDA) d’accéder au déchiffrement. Dana Liedholm, porte-parole de Kaseya et plusieurs sociétés de cyber-sécurité impliquées, ont déclaré à ZDN et qu’ils ne pouvaient pas commenter cet accord.

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L’espace de cybersécurité Européen hacké ?

Cet atlas, disponible sur le site officiel (cybersecurity-atlas.ec.europa.eu), est destiné à réunir des professionnels européens de la sécurité de l’information. houston Bruxelles nous avons un problème!

L’espace de cybersécurité Européen hacké

Un utilisateur est néanmoins de restaurer toutes ces données pour leur suggérer de revendre à la discorde. Les journalistes records ont réussi à mettre la main sur la base de données pour confirmer l’authenticité et confirmer que les données proposées correspondent réellement au site. Parmi les soumissions de données, nous trouvons des adresses électroniques, des adresses de contact, des détails organisationnels ou le nom des personnes à contacter. Données déjà publiées et accessibles à ceux qui ont enregistré un compte sur le site Web de Cybersecurity Atlas.

Mais plus que les données ont la saisie réalisée pour confirmer que la base de données était directement à partir des systèmes informatiques du site Web de Cybersecurity Atlas et ne provenait donc pas d’une simple « raclage » des données d’un utilisateur.

La couverture de données avait été repérée par le site de Zataz: sur un forum spécialisé dans la revente des données volées suggéré un utilisateur qui a été suggéré depuis lundi un lot de fichier du projet CybersSecurity Atlas. Ce projet de la Commission européenne vise à indiquer les adresses de contact de diverses agences et des personnes impliquées dans des questions de cybersécurité européenne. Catalogue de la cybersécurité au niveau européen, lancé en 2018. Ce dossier était disponible publiquement et autorisé des entreprises, des chercheurs et des universitaires à enregistrer et à laisser leurs coordonnées d’accès ouvert.

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Cyber ​​attaques d’entreprises, plus chères que prévu!

À l’origine de telles attaques, l’argent est à nouveau et la principale motivation. Qu’il soit réclamé par une demande de rançon ou réalisée par la revente de données, il est toujours au cœur des préoccupations du commerce. Afin d’atteindre leurs objectifs, ce dernier doit donc utiliser une stratégie qui nécessite parfois plusieurs mois de préparation en fonction de la structure ciblée. Dans certains cas, les hackers cherchent à s’infiltrer très tôt et à mettre leurs programmes en dortoir à travers la gravité de l’offuscation. Ils peuvent effacer leurs morceaux et déclencher leurs attaques quelques semaines / mois plus tard.

Cyber ​​attaques d’entreprises, plus chères que prévu!

Il sera nécessaire de s’habituer à ce que la numérisation croissante apporte avec ses nombreux problèmes, et parmi ceux-ci sont des cyberattaques. Leur puissance et leur structure varient selon l’objectif sélectionné, mais la conséquence est identique à toutes les victimes: une immobilisation totale ou partielle de l’appareil productif pour une période indéterminée. Suit une vraie galère pour les structures qui cherchent à se remettre de ces attaques.

Au cœur de la méthode d’une cyberattaque, la première étape consiste à reconnaître, il consiste à récupérer des informations maximales – courriels, téléphones, noms – sur une ou plusieurs de la société. Cette phase d’ingénierie sociale permet de trouver un point d’entrée qui, dans la plupart des cas, c’est l’e-mail. Que vous utilisiez la méthode de phishing, l’installation de logiciels malveillants ou des arnaques d’utilisateurs pour le président, l’objectif, une fois dans les systèmes d’information, effectuez des mouvements. Latérales qui permettent aux pirates d’infiltrer et de toucher d’autres éléments du réseau de la société. L’attaque implémente plus largement et capture ainsi davantage de données et paralysant les serveurs internes.

Le mode survie d’une entreprise

L’un des premiers réflexes pour les entreprises est de couper leurs systèmes d’information pour limiter la pause et empêcher l’attaque de la propagation de l’interne. Un réflexe de survie qui leur permet d’organiser une réponse et d’accélérer le retour à une situation normale. Si les instructions des systèmes d’information, pour les entreprises qui les possèdent sont sur le pied de la guerre, ils ne peuvent que voir les dommages causés.

Dans un processus de retour au processus normal, certaines entreprises peuvent décider de payer immédiatement une rançon en violation des autres essayant de résoudre le cambriolage de leur système d’information. Dans les deux cas, il n’est jamais certain que ce type d’attaque ne se reproduise plus. Il est donc utile de veiller à ce qu’il existe une stratégie de prévention en tant que plans de restauration de l’activité (PRA), qui sont déclenchés à la suite d’une catastrophe. Il investira également dans des solutions de protection des applications ainsi que ceux qui visent à découvrir des attaques et à les bloquer en amont. En bref, il n’est pas question de savoir si le système d’information sera touché, mais plutôt quand ce sera.

Les solutions contre les cyberattaque

Malgré toutes les dispositions technologiques prises, de nouvelles attaques de plus en plus puissantes et pervers seront en mesure de contourner les nombreux systèmes de sécurité créés par des entreprises. L’un des défis des années à venir est donc au niveau de la prévention de l’homme. L’idée d’un pare-feu humain n’est possible que si les employés de la société sont formés pour reconnaître les signes d’une cyberattaque. Cet aspect sera tout important car la transition numérique des entreprises s’est largement accélérée depuis la crise CVIV-19 et le nombre de cyberattaques multiplié par quatre entre 2019 et 2020 en France. Il est donc important et urgent d’introduire un système de responsabilité commune qui ne permettra pas de mieux faire du risque pour mieux préparer les entreprises aux futures attaques.

Et ceux-ci peuvent avoir un impact très important sur la production et conduire à une immobilisation pendant un certain temps. Les récentes cyberattaques ont assisté à un pipeline colonial, un grand réseau de pipelines pétroliers, qui porte près de 45% des combustibles de la côte est aux États-Unis et qui a provoqué un lieu de fourniture pendant plusieurs jours. Cela a généré des mouvements de panique dans la population, entraînant des lacunes dans certaines stations-service. En fin de compte, la société a dû payer près de 4,4 millions de dollars de rançon aux pirates. Des exemples tels que celui-ci montrent qu’une immobilisation de la production, voire de courte durée, peut entraîner des pertes financières importantes pour les entreprises touchées par les cyberattaques ainsi que pour les acteurs de leur écosystème.

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REvil ; Kaseya prétend avoir la clé de déchiffrement

La société de logiciels américano-cano-kaseya a maintenant accès à la clé de déchiffrement universelle du Ransomware REvil, qui a affecté ses clients qui sont des fournisseurs de services gérés.

La société a annoncé son accès à l’outil de déchiffrement jeudi 22 juillet , environ 20 jours après l’attaque de Ransomware, qui a eu lieu le 2 juillet.

REvil ; Kaseya prétend avoir la clé de déchiffrement

L’attaque a touché directement 60 ses clients et jusqu’à 1 500 de leurs clients en aval. Les caisses de la chaîne Suédoise Coop Supermarket n’ont pas été inaccessibles pendant presque une semaine en raison de l’attaque. Ils avaient été infectés dans tout le pays avec une mise à jour logicielle corrompue du produit de Kaseya, CSR, qui permet de distribuer des mises à jour logicielles pour des périphériques embarqués et sur l’ensemble de la flotte d’ordinateurs gérés. En Nouvelle-Zélande, les écoles utilisant le logiciel Kaseya ont également été touchées.

Kaseya a maintenant une clé de déchiffrement pour les clients concernés par le Ransomware REvil.

Selon Kaseya, la société de sécurité de la Nouvelle-Zélande Emsisoft a confirmé que l’outil de déchiffrement vous permet de déverrouiller des fichiers cryptés avec la révolution.

« Nous pouvons confirmer que Kaseya a obtenu un outil tiers et que son équipe aide activement les clients affectés par Ransomware à restaurer leurs environnements sans aucun rapport sur aucun problème lié au Decrypeter. La société indique dans une déclaration.

« Kaseya travaille avec Emsisoft pour soutenir les efforts de nos clients et Emsisoft confirme que la clé est efficace pour déverrouiller les victimes ».

Les sites Web du groupe Revil ont été clos la semaine dernière après que le président américain Joe Biden a demandé au président russe Vladmir Poutine d’agir contre des cybercriminels basés à la Russie destinée aux entreprises américaines. Joe Biden aurait déclaré au président russe que des infrastructures critiques devraient être hors périmètre en termes de cybercriminalité.

Une autre attaque du Ransomware de Darkside avait pris le distributeur de carburant colonial de retour sur la côte est aux États-Unis en mai. Certains experts en matière de sécurité estiment que l’attaque contre le pipeline colonial a propulsé la question des ranchants au rang de discussion diplomatique et invite les revenus à suspendre ses activités.

Nous ne savons pas si Kaseya a payé la demande de rançon de 70 millions de dollars. La société aurait obtenu la clé de déchiffrement avec un « tiers de confiance » basé sur un porte-parole signalé par le tuteur.

Bien que certains clients kashasia-aval ont corrigé les systèmes attribués, les points d’extrémité de certains clients ont été hors ligne et pouvaient restaurer des systèmes avec la clé de déchiffrement.

Un client anonyme la semaine dernière a déclaré qu’il a payé une rançon pour révéler le groupe. Mais cela n’a pas pu déchiffrer les fichiers cryptés avec la clé de déchiffrement. REvil vendu son ransomware en tant que service à des groupes de cybercriminels.

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Qui est Kaseya la victime d’un « Nouveau » ransomware?

La cyberattaque qui a frappé la société informatique Kaseya le week-end dernier a contraint la chaîne de supermarchés suédoise Coop à fermer plus de 800 magasins et supérettes. L’attaque ricoche et peut toucher plus de 1 500 entreprises dans le monde. Et les marques françaises ?

Kaseya développe des solutions et des services pour les fournisseurs de services gérés (MSP). Vendredi, alors que la plupart des Américains étaient prêts à fêter le week-end du 4 juillet, l’entreprise a subi une attaque contre l’une de ses solutions, Kaseya USA. Cela permet aux utilisateurs de distribuer des mises à jour et de surveiller à distance les systèmes informatiques de leurs clients.

Cependant, il y avait une vulnérabilité sur le système. Cela avait été découvert par le DIVD, l’Institut néerlandais de détection des vulnérabilités, qui avait prévenu l’entreprise. Kaseya l’a donc corrigé et le correctif a même été validé lorsque REvil ou l’une de ses filiales a frappé et exploité la vulnérabilité zero-day pour mener son attaque. À ce stade, peu de détails ont été publiés sur ce bug, sauf qu’il était assez facile à exploiter.

Grâce à cela, le groupe de hackers a pu diffuser des fichiers malveillants sous couvert d’une mise à jour automatique de Kaseya VSA et diffuser des ransomwares aux MSP utilisant la solution mais aussi à leurs clients. Il n’est pas encore possible de savoir exactement combien d’entreprises ont été touchées par cette attaque, mais il a été estimé vendredi que plus de 1 000 d’entre elles ont vu leurs fichiers cryptés alors que REvil avance le chiffre d’un million sur son site internet.

Caisses inopérantes, magasins fermés… Une cyberattaque sans précédent est devenue sa première victime en Europe, le groupe de supermarchés suédois Coop, qui représente 20% du secteur dans le pays, a été paralysé samedi 3 juillet par la cyberattaque contre l’entreprise américaine Kaseya. , spécialiste de l’infogérance informatique. 800 magasins sont toujours fermés pendant quatre jours, les caisses enregistreuses sont bloquées et hors d’usage.

C’est par l’intermédiaire d’un de leurs sous-traitants informatiques, Visma Escom, lui-même touché par la cyberattaque, que le système informatique interne de l’entreprise suédoise a été piraté. L’attaque a également touché plusieurs pharmacies suédoises et la compagnie ferroviaire du pays. Plus précisément, les pirates ont attaqué le logiciel phare de Kaseya, « VSA », conçu pour gérer de manière centralisée les réseaux de serveurs, contrôler et sécuriser les systèmes informatiques. Ils ont choisi la méthode des ransomwares, qui consiste à installer des logiciels malveillants qui bloquent toutes les machines ou ordinateurs ciblés jusqu’à ce que leurs propriétaires paient une rançon.

Jusqu’à 1 500 entreprises impliquées
Sur ses 40 000 clients, Kaseya estime que moins de 60 clients ont été touchés. Problème, la plupart d’entre eux gardent les clients pour eux-mêmes, ce qui facilite la propagation de l’attaque.

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Négociateurs en recrutement chez les cybercriminels

L’écosystème des Ransomware as a service (RaaS) recrute pour forcer les victimes à payer.

Victoria Kivilevich, analyste du renseignement sur les menaces chez KELA, a publié les résultats d’une étude de tendance RaaS, affirmant que les attaques individuelles ont presque « disparu » en raison de la nature lucrative du système. Commerce de ransomwares criminels.

Les gains financiers potentiels des entreprises cherchant désespérément à déverrouiller leurs systèmes ont donné lieu à des spécialistes du chantage et ont également entraîné une énorme demande d’individus capables de prendre en charge le côté négociation d’une chaîne d’attaque.

Les ransomwares peuvent être dévastateurs non seulement pour les activités d’une entreprise, mais aussi pour sa réputation et ses résultats. Si des attaquants réussissent à toucher un fournisseur de services utilisé par d’autres entreprises, ils peuvent également être en mesure d’étendre rapidement leur surface d’attaque à d’autres appareils.

Dans un cas récent, des vulnérabilités zero-day dans des logiciels américains fournis par Kaseya ont été utilisées pendant le week-end férié américain pour compromettre les terminaux et exposer les organisations à un risque d’infection par ransomware. On estime actuellement que jusqu’à 1 500 entreprises ont été touchées.

Selon KELA, une attaque de ransomware typique comporte quatre phases : acquisition de code/malware, propagation et infection des cibles, extraction de données et/ou persistance de la maintenance sur les systèmes affectés et génération de revenus.

Il y a des acteurs dans chaque « domaine », et récemment, la demande de spécialistes de l’exploitation minière et de la génération de revenus a augmenté parmi les groupes de ransomware.

L’émergence de revendeurs en particulier dans le domaine de la monétisation est désormais une tendance dans l’espace RaaS. Selon les chercheurs du KELA, on assiste à l’émergence d’un grand nombre d’acteurs malveillants contrôlant l’aspect négociation, tout en augmentant la pression via les appels téléphoniques, les attaques par paralysie distribuée (DDoS) ou les menaces de fuite d’informations volées.

KELA suggère que ce rôle est dû à deux facteurs potentiels : le besoin pour les groupes de ransomware de s’en tirer avec une marge bénéficiaire décente et le besoin de personnes parlant anglais pour mener des négociations efficaces.

« Cette partie de l’attaque semble également être une activité externalisée, au moins pour certaines filiales et/ou développeurs », explique Kivilevich. « L’écosystème ransomware ressemble donc de plus en plus à une entreprise avec des rôles différents au sein de l’entreprise et des activités plus externalisées. »

Les courtiers d’accès initial sont également très demandés. Après avoir observé les activités du dark web et des forums pendant plus d’un an, les chercheurs affirment que le prix de l’accès aux réseaux compromis a augmenté. Certaines offres sont désormais 25 à 115% plus élevées que précédemment enregistrées, notamment lorsque le niveau administrateur de domaine a été accédé.

Ces intrus peuvent s’attendre à obtenir entre 10 et 30 % de la rançon. Il convient toutefois de noter que certains de ces courtiers ne fonctionnent pas du tout avec les ransomwares et ne se livreront qu’à des attaques ciblant d’autres cibles, telles que celles qui conduisent à la collecte de données de carte de crédit.

« Au cours des dernières années, les groupes de ransomwares ont évolué pour devenir des sociétés de cybercriminalité avec des membres ou des « employés » spécialisés dans différentes parties des attaques et différents services d’assistance », a commenté KELA. « La récente interdiction des ransomwares sur deux grands forums russophones ne semble pas affecter cet écosystème, car seule la publicité des programmes d’affiliation a été interdite sur les forums. »

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Evitez l’attaque qui efface les données d’un WD My Book Live

Ce fut une vilaine surprise pour certains utilisateurs de disques durs réseau Western Digital My Book Live dont le contenu a été automatiquement supprimé à distance dans le cadre d’une réinitialisation de leurs paramètres.

Le 23 juin, de nombreux utilisateurs de WD My Book Live ont eu une très mauvaise surprise lorsqu’ils ont découvert que toutes les données stockées sur leur disque dur réseau (NAS) avaient disparu. Et sans raison apparente, car ils n’avaient effectué aucune opération particulière. En quelques heures, les témoignages se sont multipliés en ligne et sur Twitter, prouvant qu’il ne s’agissait pas d’accidents isolés. Le forum de support de Western Digital, le fabricant de ces systèmes de stockage très populaires, s’est rapidement rempli de messages désespérés appelant à l’aide. « J’ai un WD My Book Live connecté à mon réseau local qui fonctionne bien depuis des années », écrit la personne qui a lancé le fil. « Je viens d’apprendre que toutes les données sont parties là-bas aujourd’hui : les catalogues semblent être là, mais ils sont vides. Auparavant, le volume de 2 To était presque plein : maintenant il est à pleine capacité. » Certains utilisateurs rapportent même que l’accès au NAS est désormais interdit, car l’appareil leur demande un nouveau mot de passe, qu’ils n’ont bien sûr pas. Bref, panique et catastrophe car les données supprimées sont perdues à jamais. Adieu documents, photos, vidéos et autres fichiers personnels collectés au fil des années sur ces appareils conçus uniquement pour effectuer des sauvegardes.

début Juillet WD a identifié l’erreur qui est considérée comme la source du piratage qui a entraîné la suppression de données à distance pour de nombreux utilisateurs de disques durs My Book Live. Ce bug a été introduit en 2011 par une mise à jour du firmware visant à améliorer le processus d’identification des utilisateurs. « Nous avons examiné les journaux que nous avons reçus des clients concernés pour comprendre et caractériser l’attaque. Ils montrent que les pirates sont directement connectés aux appareils My Book Live concernés à partir d’une variété d’adresses IP dans différents pays. » Explique l’entreprise.

Plus important encore, le fabricant annonce qu’une campagne gratuite de récupération de données débutera le mois prochain sans dire si toutes les personnes impliquées seront en mesure de retrouver toutes les données perdues. WD lancera également un programme de mise à niveau avantageux pour ces derniers et les encouragera à acquérir un NAS My Cloud à un prix préférentiel en échange de leur NAS My Book Live.

Pour plus d’informations, visitez la page d’assistance de Western Digital.

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Attaque hyères informatique presse prix Ransomware Sécurité Service informatique

Un ransomware pourrait correspondre à la description des symptômes de la cyberattaques d’Adrexo

La société Adrexo, chargée de diffuser la propagande électorale, est à la croisée des chemins depuis la semaine dernière suite à des dysfonctionnements. La communication de l’entreprise évoque notamment l’impact d’une cyberattaque, tandis que les syndicats pointent plutôt un manque de moyens. Services informatique Hyères

Un ransomware pourrait correspondre à la description des symptômes de la cyberattaques d’Adrexo

Dans un communiqué, la direction d’Adrexo évoque la cyberattaque que l’entreprise a connue fin avril pour justifier les dysfonctionnements survenus : « la direction opérationnelle de cette mission a connu des perturbations en mai lors d’une cyberattaque dont l’entreprise a été victime. « Une cyberattaque résolue maintenant, mais qui selon Adrexo aurait perturbé l’organisation de la distribution : » Avec la solution à cet incident, Adrexo s’est organisé pour qu’il soit possible à ses équipes de distribuer dans les meilleures conditions malgré la force informatique et les contraintes opérationnelles. ”.

La diffusion de la propagande électorale dans le cadre du 1er tour de l’élection régionale ne s’est pas déroulée comme prévu : de nombreux citoyens se sont plaints de ne pas avoir reçu la profession de foi des différents partis avant le 1er tour de l’élection. Adrexo est désormais dans le coup : cette filiale du groupe Hopps a remporté le marché de la diffusion de la propagande électorale lors d’un appel d’offres en janvier 2021 avec le groupe.

Mais les dysfonctionnements ont poussé plusieurs partis politiques et autorités locales à exprimer leur mécontentement. Le ministère de l’Intérieur a convoqué lundi les dirigeants des deux sociétés chargées de la distribution à venir pour s’expliquer, laissant La Poste et Adrexo communiquer sur les dysfonctionnements rencontrés.

Un communiqué de presse ne donne pas plus de détails sur la nature ou l’étendue de la cyberattaque en question, mais la société a en fait été touchée par une attaque fin avril. Plusieurs notes et messages diffusés en interne et relayés par les différents syndicats du groupe Hopps ont donné un aperçu de l’ampleur de l’attaque : elle aurait été identifiée dans le week-end du 25 avril et aurait provoqué la paralysie d’un parti. Département IT. Le 30 avril, le groupe s’est félicité de la reprise des opérations en moins de dix jours, affirmant que « le temps de régler cet incident est un exploit », tout en reconnaissant qu’il faudra du temps pour récupérer complètement les services informatiques.

L’impact de la cyberattaque est donc encore difficile à évaluer, et le ministère de l’Intérieur ne semble pas trop s’en émouvoir : il rappelle donc que les deux entreprises sont obligées de donner suite et garantir que les dysfonctionnements ne se reproduisent pas à l’autre tour des élections régionales prévu le 27 juin. Parmi les mesures envisagées pour assurer cela, les préfets seront notamment des sous-officiers chargés d’assurer la qualité des opérations postales et le contrôle opérationnel de la diffusion de la propagande électorale au niveau départemental.

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Ce nouveau groupe de hackers vise les diplomates européens

BackdoorDiplomacy ne coupe pas les cheveux en quatre en matière de cyberespionnage.

Ce nouveau groupe de hackers vise les diplomates européens

Un groupe de cyberattaques récemment découvert cible des diplomates européens, africains et moyen-orientaux. Mis en évidence jeudi par des chercheurs d’ESET, le groupe appelé BackdoorDiplomacy, a été lié à des attaques réussies contre des ministères des Affaires étrangères dans de nombreux pays d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Europe et d’Asie ainsi que contre un petit sous-ensemble d’entreprises de télécommunications en Afrique et au moins un organisme de bienfaisance au Moyen-Orient.

Selon les chercheurs d’ESET, ce groupe est opérationnel depuis au moins 2017. Il cible à la fois les systèmes Linux et Windows et semble préférer exploiter les appareils vulnérables face à Internet comme vecteur d’attaque initial.

S’il trouve des serveurs Web ou des interfaces de gestion de réseau présentant des points faibles, tels que Des problèmes logiciels ou une mauvaise sécurité de téléchargement de fichiers affectent le groupe. Dans un cas observé par ESET, un bogue appelé F5 – CVE-2020-5902 – a été utilisé pour déployer une porte dérobée Linux, tandis que BackdoorDiplomacy dans un autre cas a adopté les vulnérabilités du serveur Microsoft Exchange pour déployer China Chopper, un webshell.

Bien que BackdoorDiplomacy ait été enregistré en tant que groupe de hackers à part entière, il semble avoir des connexions ou au moins quelque chose en commun avec d’autres groupes. Le protocole de chiffrement du réseau utilisé par APT est presque identique à celui utilisé par la porte dérobée Whitebird du groupe Calypso, et ce malware a été déployé contre des cibles diplomatiques au Kazakhstan et au Kirghizistan dans les années 2017-2020.

En outre, ESET pense avoir des points communs avec CloudComputating / Platinum, qui a ciblé les organisations diplomatiques, gouvernementales et militaires en Asie au cours des années précédentes. D’autres index de codage et de mécanisme sont similaires à Rehashed Rat et MirageFox – également connus sous le nom d’APT15.

Dans le cadre d’autres recherches menées ce mois-ci, Check Point Research a découvert une nouvelle porte dérobée développée par des acteurs chinois de la menace pour une période de trois ans. Le malware, appelé VictoryDll_x86.dll, a été utilisé pour compromettre un réseau appartenant au département d’État d’un gouvernement d’Asie du Sud-Est.

De temps en temps, les attaquants analysent l’appareil pour un déplacement latéral, installent une porte dérobée personnalisée et mettent en œuvre une variété d’outils pour effectuer la surveillance et le vol de données. La porte dérobée, appelée Turian, serait basée sur la porte dérobée Quarian, un malware associé à des attaques contre des cibles diplomatiques en Syrie et aux États-Unis en 2013. L’implant principal est capable de récolter et d’exfiltrer des systèmes informatiques, de prendre des captures d’écran, mais aussi d’écraser. , déplacer/supprimer ou voler des fichiers.

Certains des outils utilisés incluent EarthWorm Network Tunnel Software, Mimikatz, NetCat et des logiciels développés par la National Security Agency (NSA) des États-Unis et dévoilés par ShadowBrokers, tels que EternalBlue, DoublePulsar et EternalRocks. VMProtect a dans la plupart des cas été utilisé pour essayer de cacher les activités du groupe.

Les diplomates peuvent avoir besoin de gérer des informations sensibles transmises via des disques et des supports de stockage amovibles. Pour étendre la portée de ses activités de cyber-espionnage, BackdoorDiplomacy recherche les clés USB et tente de copier les fichiers qu’elles contiennent dans une archive protégée par mot de passe, qui est ensuite envoyée à un centre de commande et de contrôle (C2) via la porte dérobée.

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Le groupe de ransomware Avaddon ferme son magasin et livre des clés

Le groupe de ransomware Avaddon, l’un des groupes de ransomware les plus productifs en 2021, a annoncé qu’il cessait ses activités et fournissait à des milliers de victimes un outil de décryptage gratuit.

Le groupe de ransomware Avaddon ferme son magasin et livre des clés

Lawrence Abrams de BleepingComputer affirme avoir reçu un e-mail anonyme contenant un mot de passe et un lien vers un fichier ZIP nommé « Decryption Keys Ransomware Avaddon ».

Le fichier contenait les clés de décryptage de 2 934 victimes du ransomware Avaddon. Ce chiffre étonnant illustre le fait que de nombreuses organisations ne révèlent jamais d’attaques : certains articles n’attribuaient auparavant que 88 attaques au groupe Avaddon.*

Le Bleeping Computer quotidien en ligne a collaboré avec Emisoft pour créer un dispositif de décryptage gratuit que toute victime d’Avaddon peut utiliser pour retrouver l’accès à ses données.

Fabian Wosar ajoute que les personnes derrière Avaddon ont probablement gagné assez d’argent sur les ransomwares pour qu’elles n’aient aucune raison de continuer. Les revendeurs de rançons ont remarqué quelque chose d’urgent dans leurs négociations avec les opérateurs d’Avaddon ces dernières semaines, a-t-il déclaré. Le groupe a donné après « instantanément au cours des deux derniers jours de modestes contre-offres ». « Cela suggère donc qu’il s’agissait d’un arrêt et d’une fermeture des opérations planifiés et que cela n’a pas surpris les personnes impliquées », explique-t-il.

Les données de RecordedFuture montrent qu’Avaddon est responsable de près de 24% de tous les incidents de ransomware depuis l’attaque du Colonial Pipeline en mai. Le rapport sur les ransomwares d’eSentire indique qu’Avaddon a été vu pour la première fois en février 2019 et fonctionne sur un modèle de ransomware en tant que service, où les développeurs de logiciels donnent aux filiales un pourcentage négociable de 65% de toutes les rançons.

« Les membres du groupe Avaddon devraient également offrir à leurs victimes une assistance et des ressources 24h/24 et 7j/7 pour acheter des bitcoins, tester les fichiers pour le décryptage et d’autres défis qui peuvent empêcher les victimes de payer la rançon », indique le rapport. Ce qui est intéressant à propos de ce groupe de ransomwares, c’est la conception de leur site de blog Dark Web. Non seulement ils prétendent fournir une archive complète des documents de leurs victimes, mais ils disposent également d’un compte à rebours indiquant le temps qu’il reste à chaque victime pour payer. Et pour mettre encore plus de pression sur leurs victimes, ils menacent de lancer des DDoS sur leur site web s’ils n’acceptent pas de payer immédiatement. « 

Lawrence Abrams a travaillé avec Fabian Wosar, CTO d’Emsisoft, et Michael Gillespie de Coveware pour vérifier les fichiers et les clés de déchiffrement. Emsisoft a créé un outil gratuit que les victimes d’Avaddon peuvent utiliser pour décrypter leurs fichiers.

Les groupes de ransomware – comme ceux derrière Crysis, AES-NI, Shade, FilesLocker, Ziggy – ont parfois publié des clés de déchiffrement et ont cessé leurs activités pour diverses raisons. Un outil de décryptage Avaddon gratuit a été publié par un étudiant en Espagne en février, mais le groupe a rapidement mis à jour son logiciel malveillant pour le rendre à nouveau infaillible.

« Cette situation n’est pas nouvelle et n’est pas sans précédent. « Plusieurs acteurs malveillants ont publié la base de données de clés ou les clés principales lorsqu’ils ont décidé de mettre fin à leurs opérations », a déclaré Fabian Wosar à ZDNet. « En fin de compte, la base de données clé que nous avons reçue suggère qu’ils ont eu au moins 2 934 victimes. Étant donné que la rançon moyenne d’Avaddon est d’environ 600 000 $ et que les taux de paiement moyens pour les ransomwares, vous pouvez probablement obtenir une estimation décente de ce qu’Avaddon a généré. « 

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Le géant mondial de la viande JBS paie aux pirates 11 millions de dollars de rançon

Selon les autorités américaines, JBS a été victime d’une attaque de ransomware fin mai par une « organisation criminelle probablement basée en Russie »

Les cyberattaques peuvent coûter très cher. La question devrait même être au menu de la rencontre entre Joe Biden et Vladimir Poutine le 16 juin à Genève. Pendant ce temps, le géant mondial de la viande JBS, victime d’une attaque fin mai, a déclaré mercredi avoir payé une rançon de 11 millions de dollars en bitcoins à des pirates.

Le géant mondial de la viande JBS paie aux pirates 11 millions de dollars de rançon

JBS avait déclaré aux autorités américaines qu’il était la cible d’une cyberattaque de ransomware d’une « organisation criminelle peut-être basée en Russie », selon la Maison Blanche. Les serveurs sur lesquels reposent ses systèmes informatiques en Amérique du Nord et en Australie avaient été visés, paralysant notamment les activités du groupe en Australie et suspendant certaines lignes de production aux Etats-Unis.

L’entreprise est loin d’être un cas isolé. Le groupe Colonial Pipeline, également cible d’une telle attaque début mai, a reconnu avoir versé aux pirates 4,4 millions de dollars. Lundi, les autorités américaines ont annoncé avoir récupéré une partie de la somme.

« Ce fut une décision très difficile pour notre entreprise et pour moi personnellement », a déclaré Andre Nogueira, patron de la filiale américaine, dans un communiqué. « Cependant, nous avons estimé que cette décision devait être prise pour prévenir tout risque potentiel pour nos clients », a-t-il poursuivi. « Au moment du paiement, la grande majorité des installations de l’entreprise étaient opérationnelles », a déclaré JBS, l’une des plus grandes entreprises alimentaires au monde. Il s’agissait de « s’assurer qu’aucune donnée ne soit exfiltrée » et « d’éviter des problèmes imprévus liés à l’attaque », selon le groupe.

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Pour les États-Unis, ransomwares et terrorisme c’est kif-kif

Les États-Unis veulent mettre en place une task force centrale basée à Washington qui regroupera tous les cas de ransomware. Une méthode déjà mise en place pour travailler sur les affaires de terrorisme.

Dans ce contexte chargé, les États-Unis ont indiqué qu’ils entendaient revoir leur approche de la cybercriminalité. Selon un responsable américain interrogé par Reuters, les États-Unis souhaitent mettre en place un groupe de travail centralisé basé à Washington pour coordonner les efforts des gouvernements locaux en cas de ransomware.

Les États-Unis cherchent ainsi à acquérir une vision plus large du phénomène et de l’implication des différents acteurs de l’écosystème de la cybercriminalité en obligeant les procureurs et enquêteurs à centraliser les informations découvertes lors de leur enquête dans une cellule. Cette unité aura pour objectif de collecter et de recouper des informations techniques et des détails sur les cas impliquant des ransomwares, mais aussi des cas connexes liés à l’écosystème de la cybercriminalité créé autour de cette activité : botnets, échanges de crypto-monnaie, services d’hébergement pare-balles et blanchiment d’argent seront également de la partie. les vues de ce groupe de travail spécialisé.

La méthode n’est pas nouvelle et a déjà été mise en œuvre par les États-Unis dans des affaires de terrorisme et certains phénomènes criminels qui affectent directement la sécurité nationale. La paralysie des services de Colonial Pipelines a choqué le pays et montre à quel point les attaques de ransomware peuvent affecter l’infrastructure nationale, considérée comme critique.

Aux États-Unis, les gros titres des ransomwares arrivent chaque semaine : après l’attaque qui a paralysé le Colonial Pipeline, c’est le géant de l’alimentation JBS qui a porté le plus gros fardeau du groupe Revil cette semaine. Dans le même temps, le conglomérat japonais Fujifilm a annoncé cette semaine avoir été touché par une attaque de ransomware qui l’a contraint à suspendre l’activité de son système informatique. Dans plusieurs cas, les attaquants ont réussi à extorquer des rançons aux entreprises concernées : on a appris que le pipeline colonial avait exempté une rançon de 4,4 millions de dollars pour obtenir la clé de décryptage utilisée par les pirates qui avaient paralysé son système.

En France, la récente épidémie de ransomware a incité les autorités à reconsidérer leurs méthodes d’enquête. Si les attaques de ransomwares ne sont pas traitées par le parquet national contre le terrorisme, la section J3 du parquet de Paris a en revanche une compétence nationale sur les affaires liées à la cybercriminalité, ce qui permet de centraliser les informations sur les attaques de ransomwares.

Le lieutenant-colonel Fabienne Lopez, chef du service de cyber-enquête de la gendarmerie, C3N, expliquait fin 2020 que chaque service d’enquête travaillant sur ces sujets s’était spécialisé dans différentes « familles » de ransomware, « à la demande de la section J3 du parquet de Paris ». L’échange d’informations entre les différents services est organisé, notamment par la création d’une base de données commune permettant le partage d’informations.En raison du caractère international de ces études, les enquêteurs sont également liés aux services d’Europol, qui travaillent également à leur niveau pour permettre l’échange d’informations sur les cas de ransomware. Un tournant amorcé en 2020 pour faire face à la reprise des attaques, comme le rapportait Le Monde en début d’année.

L’Anssi et les services de renseignement travaillent également de leur côté pour identifier et traquer les groupes à l’origine des cyberattaques. L’échange d’informations entre ces agences et les tribunaux est en revanche plus compliqué, mais la nouvelle loi sur le renseignement, adoptée cette semaine par l’Assemblée nationale, prévoit plusieurs articles visant à faciliter le transfert d’informations des agences et administrations publiques. pour les services de renseignement.

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Le président des États-Unis Joe Biden signe le décret sur la cybersécurité

Cette semaine, le président des États-Unis a ordonné la création d’un comité dédié aux cyberattaques ainsi que la création de nouvelles normes de sécurité logicielle pour les agences gouvernementales.

En matière de cybercriminalité, les États-Unis ont été confrontés à une cyberattaque massive menée par le groupe Darkside. En utilisant un ransomware, les pirates ont pu fermer l’opérateur pétrolier Colonial Pipeline, qui transporte généralement près de la moitié du carburant du pays. Une attaque qui a fait souffler un vent de panique chez les Américains. Les stations-service à travers le pays ont été prises d’assaut si loin qu’elles commencent une pénurie nationale.

Si la panique n’a pas duré longtemps car le problème a été rapidement résolu, ce nouvel incident démontre clairement la fragilité de l’Oncle Sam face aux cyberattaques. C’est dans ce contexte que le président américain Joe Biden a signé mercredi 12 mai 2021 un décret qui renforcerait la sécurité du pays contre les cyberattaques.

Pour renforcer la cybersécurité aux États-Unis, Joe Biden a annoncé la création d’un comité chargé d’examiner les cyberincidents. Plus précisément, l’organisation enquêtera sur les principaux hacks qui se sont produits dans le pays pour mieux comprendre les détails de l’affaire. Ce nouveau conseil est modelé par le National Transportation Safety Board, qui est chargé d’enquêter sur les accidents aériens, ferroviaires et maritimes, et peut aider à identifier les coupables potentiels en cas d’attaques supplémentaires. Pour rappel, ce n’est pas la première fois que le gouvernement américain est confronté à une cyberattaque. En décembre dernier, un groupe de pirates informatiques a ciblé le gouvernement avec le piratage massif de SolarWinds. Sans divulguer tous les détails de l’incident, Donald Trump affirmait à l’époque avoir des preuves de l’implication russe. Il y a quelques mois à peine, c’était la Chine qui, cette fois, était soupçonnée d’avoir ordonné une cyberattaque visant le géant Microsoft.

Outre la création d’un comité dédié, Joe Biden a également annoncé la création de nouvelles normes logicielles conçues pour sécuriser plus efficacement les agences gouvernementales américaines et empêcher de nouveaux piratages. Ces nouvelles normes comprendront l’utilisation de l’authentification multifactorielle, mais également le renforcement de la sécurité des échanges entre le gouvernement et les entreprises privées.

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L’assurance ne paie pas toujours la rançon

La compagnie d’assurance Axa a annoncé qu’elle suspendait temporairement son option «cyber rançon», qui proposait de soutenir les entreprises victimes de ransomwares en payant une rançon. Une pratique qui ne fait pas l’unanimité.

L’assurance ne paie pas toujours la rançon!

Axa France ne paie plus de rançon: la compagnie d’assurance a annoncé la suspension de son dispositif de «cyber rançon», option proposée depuis mi-2020 aux entreprises souscrites à l’assurance cybersécurité proposée par Axa. Comme l’explique Axa France, ce revirement brutal est venu directement du discours du directeur de l’Anssi et du parquet de Paris à ce sujet lors d’une audition au Sénat. Guillaume Poupard avait mis l’accent sur le «jeu nuageux» des compagnies d’assurance, qui, en facilitant le paiement de la rançon, faisait donc des entreprises françaises les principales cibles des cybercriminels.

Les compagnies d’assurance en situation délicate
Pour AXA France, qui proposait ce type de service, la déclaration a fait son effet. Comme l’explique un porte-parole de la compagnie d’assurance, «dans ce contexte, AXA France, qui avait fermé sa gamme avec une option dans ce sens, a jugé opportun de suspendre sa commercialisation jusqu’à ce que les conséquences en soient tirées. De ces analyses et que le cadre de l’intervention d’assurance soit clarifié. Il est important que les pouvoirs publics concrétisent leur position sur cette question afin de permettre à tous les acteurs du marché d’harmoniser leurs pratiques « .

Il précise néanmoins que cette suspension n’affecte pas le reste du contrat de cyber-assurance proposé par l’assureur, qui continuera à proposer à ses assurés le reste des services liés à ce contrat. La possibilité de cyber-rachat était offerte aux entreprises ayant mis en place une politique de sécurisation du système informatique et réservée aux «cas marginaux» où le paiement d’une rançon était considéré comme la seule solution disponible. De même, cette option était réservée aux entreprises ayant déposé une plainte. Et dans l’hypothèse où la plainte serait adressée aux services antiterroristes, AXA France déclare avoir alors refusé de rembourser le paiement de la rançon.

L’audience du Sénat a incité les compagnies d’assurance à prendre position sur cette question délicate. AXA France n’est pas le seul du secteur à proposer ce type de service: le mois dernier, la compagnie d’assurance Hiscox expliquait à L’Argus de l’Assurance que ce type de prestation faisait partie de leurs contrats, même si cette éventualité est toujours présentée comme «solution de dernier recours». D’autres acteurs de terrain, comme Generali, en revanche, sont radicalement opposés à ce type de pratique.

Paiements de rançon dans la ligne de mire
A la suite de cette consultation, on apprend notamment que la Direction générale du ministère des Finances a confié au Haut Comité juridique de la Place des Finances de Paris la mise en place d’un groupe de travail sur la question du paiement de la rançon. Cela devrait conduire à une série de recommandations sur le sujet et clarifier la position des autorités sur la légalité de cette pratique.

L’interdiction des paiements de rançon est un problème difficile, mais qui se fait de plus en plus entendre au milieu des nouvelles technologies. Fin 2020, la société de cybersécurité Emsisoft a publié une colonne exhortant les gouvernements à interdire le paiement d’une rançon pour freiner les attaques de ransomwares. Dans le même temps, le département américain du Trésor a rappelé que le paiement d’une rançon à certains groupes pouvait entraîner des sanctions pour l’entreprise victime. Début 2021, l’ancien chef de l’agence britannique de cybersécurité a également appelé à une modification de la loi pour interdire à nouveau le paiement d’une rançon pour éviter de financer un écosystème criminel.

Les montants des rançons faisant l’objet d’un chantage à la suite d’attaques de ransomwares augmentent depuis plusieurs années. Selon une analyse de Palo Alto Networks, la rançon moyenne payée par les entreprises en 2020 a triplé, passant de 115.123 dollars en 2019 à 312.393 dollars en 2020, avec un montant record pouvant atteindre 30 millions de dollars. Cette croissance reflète le changement de tactique des cyber-attaquants qui augmentent le pouvoir de levier de leurs victimes et n’hésitent plus à attaquer les grandes entreprises susceptibles de payer une rançon plus importante.

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Attaque informatique Rugby Sécurité Service informatique

Le groupe pharmaceutique Pierre Fabre est victime d’une cyberattaque majeure

Pierre Fabre a été touché par une cyberattaque majeure, au point que certains sites de production ont été fermés. Le groupe pharmaceutique compte une soixantaine de sites, dont 15 en France.

Pierre Fabre sponsor du Castres Olympique

La cyberattaque contre Pierre Fabre s’est déroulée dans la nuit de mardi à mercredi. « Cependant, la distribution des produits ne sera pas interrompue », a indiqué la direction à l’AFP. Elle a également envoyé un SMS à ses employés, qui ont déclaré: «Après l’incident informatique, l’entreprise s’est complètement arrêtée. Un congé payé ou une journée de loisirs en 2020 est également imposé pour la journée du 1er avril ».

La situation a changé depuis. Le groupe affirme que «la propagation des virus informatiques est complètement contenue». Dans le même temps, ses opérations correctives (c.-à-d. Réparation) ont commencé à fournir un retour progressif à la normale.

Le système informatique de Pierre Fabre a été «immédiatement mis en veille pour empêcher la propagation du virus» à la lumière de la cyberattaque. «Cela a conduit à une fermeture progressive et temporaire d’une grande partie des activités de production à l’exception du site de production d’actifs pharmaceutiques et cosmétiques dans le Tarn», précise la direction.

Le groupe s’assure que la disponibilité de ses produits auprès des patients et des consommateurs reste assurée. En particulier, le centre de distribution de médicaments d’Ussel (en Corrèze) distribue des traitements anticancéreux livrés directement aux pharmaciens ou aux hôpitaux.

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Attaque informatique maze Ransomware Sécurité Service informatique Technologie

Les forums de cybercriminalité des plus élitistes ont été complètement piratés

Le forum cybercriminel de Mazafaka, qui abrite des gangs d’élite, a lui-même été piraté et pas seulement un petit peu. Les attaquants ont pris le contrôle total du site, le supprimant et le défigurant, comme l’a noté The Record. Le site affiche désormais un document contenant les données des près de 3 000 utilisateurs du forum, avec un message d’avertissement: «Vos données ont été divulguées, ce forum a été piraté».

Outre Maza, d’autres forums sur la cybercriminalité ont dû faire face à des incidents de sécurité ces derniers mois: Verified, un pilier de l’industrie, a dû fermer temporairement après avoir volé son nom de domaine; Pendant ce temps, l’exploitation d’une violation de données a souffert; enfin, le criminel a réussi à s’emparer du compte d’un modérateur de Club2crd pour envoyer de fausses publicités. Ces noms de plates-formes ne vous parlent peut-être pas, mais ils font tous partie des marchés les plus populaires. Une chose ressort: les forums de cybercriminalité se battent de plus en plus pour protéger leurs utilisateurs. Cependant, comme il s’agit d’activités illégales, les utilisateurs n’hésiteront pas à les quitter si les utilisateurs ne font pas confiance à l’administration des forums. Le manque de confiance conduit ainsi à la fermeture des forums.

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Les FAI ont reçu l’ordre de bloquer l’accès à un site hébergeant des données de santé non chiffrées

Après avoir formellement découragé il y a quelques jours et avec raison d’utiliser tout site suggérant de «vérifier» si vous ne faites pas partie des 500 000 personnes dont les nombreuses données de santé ont été volées à des laboratoires à des fins d’analyses médicales, présidente de la CNIL, Marie-Laure Denis, avait rapidement appréhendé le tribunal de Paris pour bloquer l’accès à un lieu qui héberge juste les informations personnelles et sensibles volées.

Le tribunal de Paris a rendu mercredi une décision exigeant que les FAI bloquent l’accès à un site contenant une base de données d’env. 500 000 patients.

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Comment la vulnérabilité informatique est-elle mesurée?

Le score CVSS est utilisé presque systématiquement pour évaluer le danger des vulnérabilités. Mais savez-vous quel calcul se cache derrière le score sur 10?

Il faut dire que la cybersécurité regorge de termes spécifiques et autres acronymes (et anglophones, d’ailleurs) pour qualifier les scénarios d’attaque. On parle de RCE, XSS, de « web shell » ou même d’élévation de privilèges. Les balles d’avertissement sont le plus souvent destinées aux spécialistes et n’utilisent que du jargon. Ils soulignent rarement les risques concrets qu’une nouvelle vulnérabilité pose au public.

SUITE… Avec Numerama.com

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Des auteurs de ransomwares arrêtés en Ukraine

La police ukrainienne a arrêté le 9 février plusieurs membres d’un groupe de cybercriminels à l’origine de plusieurs attaques informatiques dans le monde, dont le quotidien Ouest France, la police et des sources proches ont raconté l’affaire ce jeudi.

Cette « opération internationale », menée en coordination avec les policiers français et ukrainiens ainsi qu’avec le FBI, a mis un terme à la diffusion du ransomware appelé « Egregor », décrit la police dans un communiqué.

Piratage informatique

Au moins 150 entreprises ont été attaquées, principalement aux États-Unis et en Europe, avec des pertes estimées à environ 66 millions d’euros, selon les premiers éléments de l’étude publiée par les services de sécurité ukrainiens (SBU). Selon une source proche du dossier, au moins trois personnes ont été arrêtées dans cet acte. Les domiciles des suspects ont été perquisitionnés et le matériel informatique saisi est « toujours utilisé » par les enquêteurs français envoyés sur les lieux, selon la police.

Les solutions de sécurité informatique Hyères

C’est un rapport d’Europol en septembre qui a conduit le parquet de Paris à ouvrir une enquête en France, remise à la sous-direction cybercriminalité (SDLC). Le groupe a pratiqué la technique de la « double extorsion »: d’une part le cryptage et le vol des données de l’entreprise ciblée, d’autre part la menace de publier ces données compromises sur un site internet si l’entreprise refusait de payer une rançon en bitcoins, le la plus célèbre des monnaies virtuelles.

Le ransomware s’est propagé par pré-intrusion « via l’envoi d’e-mails de phishing et un accès à distance Windows mal sécurisé au bureau », a déclaré la police française. Particulièrement sophistiqué, « Egregor » pourrait prendre le contrôle des imprimantes connectées aux ordinateurs infectés et imprimer la rançon, « amplifiant encore l’impact psychologique de l’extorsion », a déclaré la même source.

Plusieurs entreprises françaises ont été visées par «Egregor», dont le quotidien Ouest France, le transporteur Gefco et le géant du jeu vidéo Ubisoft. Deux attaques de ransomware ont été ciblées ces derniers jours contre des hôpitaux de Villefranche-sur-Saône (Rhône) et de Dax (Landes), mais elles ne portent pas la signature «Egregor». Il a travaillé sur le modèle du logiciel à la demande (Raas, Ransomware as a Service): ses créateurs l’ont mis à disposition d’autres hackers, «affiliés», qui ont pris la responsabilité des attaques avant de partager les bénéfices.

Les détenus font partie « plutôt que de l’équipe de conception et de production », a déclaré Catherine Chambon, directrice adjointe de la lutte contre la cybercriminalité à la magistrature centrale. Si Catherine Chambon qualifie l’opération contre «Egregor» de «démantèlement assez efficace», elle exhorte à rester «très prudente et modeste» sur ce qui ressemble à «un brouillard».

L’origine du mal

Selon l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi), « Egregor serait lié à la fin de l’activité du groupe d’attaquants derrière le ransomware Maze », notamment à l’origine d’une attaque contre Bouygues Construction en janvier 2020. À son tour,  » Egregor « pourrait-il renaître sous une autre forme? « Il est possible que ce soit la vie d’un ransomware », a répondu Catherine Chambon. «L’idée est de mettre progressivement en sécurité les cybercriminels afin qu’ils se sentent moins impunis. Même si, une fois qu’il y a un crime, il a peu de chances de disparaître ».

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Attaque informatique Non classé Ransomware Technologie

Plusieurs unités françaises touchées par une cyberattaque de 2017 à 2020

Des entreprises françaises ont été victimes d’une longue campagne de cyberattaques. Une intrusion via la solution de surveillance Centreon et un état de fonctionnement de sandworm faisant référence à un groupe de cyberespionnage russe.

MAJ:  » L’attaque concerne une version open source obsolète du logiciel, déployée sans respect des recommandations d’hygiène de l’Anssi. Les clients de Centreon ne sont pas concernés.  »

L’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi) a mis en garde lundi contre la découverte d’un piratage informatique « affectant plusieurs appareils français » via le logiciel français Centreon, qui compte parmi ses clients de grandes entreprises et le ministère de la Justice. LIEN

L’attaque, qui a duré de fin 2017 à 2020, « rappelle les méthodes déjà utilisées par le groupe de renseignement russe Sandworm, mais elle ne garantit pas qu’il s’agit bien de lui », a déclaré Gérome Billois, spécialiste de la cybersécurité de Wavestone. . La durée de l’attaque avant sa découverte suggère que les attaquants sont « extrêmement discrets, plutôt connus pour être dans la logique du vol de données et de renseignements », a-t-il ajouté.

Air France, Airbus, EDF, Orange, RATP, Thales ou encore Total sont quelques-uns des noms utilisant Centreon, ainsi que le ministère de la Justice. Centreon revendique plus de 600 clients dans le monde, dont 70% ont leur siège en France.

Le policier de la cybersécurité en France fait des compromis qui ont été identifiés fin 2017 et jusqu’en 2020. C’est donc une découverte tardive qui indique une campagne de cyberattaque particulièrement discrète.

L’affaire rappelle l’énorme cyberattaque attribuée à la Russie, qui visait les États-Unis en 2020, alors que des pirates informatiques exploitaient une mise à jour d’un logiciel de surveillance développé par une société texane, SolarWinds, et utilisé par des dizaines de milliers d’entreprises et d’administrations à travers le monde.

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Attaque Non classé Ransomware Service informatique

L’hôpital de Dax complètement bloqué par un ransomware, dernier recours pour les RDV: Twitter!

L’attaque «a mis à plat les systèmes informatiques et le téléphone de l’hôpital avec un danger évident et évident pour les soins aux patients».

Après des mois d’attaques massives de ransomwares contre des entreprises et organisations françaises, un hôpital entier est désormais bloqué par une attaque informatique. Un ransomware bloque depuis mardi le fonctionnement du système informatique de l’hôpital de la ville de Dax (Landes). Le seul moyen de contacter l’hôpital est donc désormais le 15 ou le compte Twitter de l’entreprise.

« Au vu de l’ampleur de l’attaque », le parquet de Dax, qui avait initialement saisi l’enquête pour « accès frauduleux à un système de traitement automatisé de données », avait renoncé à compétence au profit du parquet de Paris, qui a compétence nationale en matière de cybercriminalité, A déclaré l’AFP. L’attaque «a mis à plat les systèmes informatiques et le téléphone de l’hôpital avec un danger évident et évident pour les soins aux patients».

Le malware a chiffré le contenu des disques durs sur la plupart des ordinateurs de l’établissement. « Les données n’ont pas été volées, elles sont toujours sur nos serveurs, mais elles sont cryptées et donc plus disponibles », a déclaré Aline Gilet-Caubère, directrice générale adjointe de l’hôpital du Sud Ouest.

L’attaque a des conséquences sur les soins
Outre le système informatique et le système téléphonique, l’attaque aura des conséquences sur les soins. Les outils de stérilisation, par exemple, mais aussi ceux de radiothérapie et de chimiothérapie, sont indirectement affectés par cette attaque. Le centre de vaccination Covid-19 de l’hôpital a également été contraint de fermer ses portes.

Des experts de l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi) sont prêts à tenter de reprendre le contrôle. L’intervention de l’Agence dans ce type de situation a presque doublé en un an.

En septembre 2020, une attaque de ransomware contre un hôpital allemand a entraîné la mort. La patiente, qui avait besoin de soins médicaux d’urgence, était décédée après avoir été détournée vers un hôpital de la ville de Wuppertal, à plus de 30 km de sa destination d’origine, l’hôpital universitaire de Düsseldorf, qui a été victime d’une cyberattaque. C’était la première fois qu’une mort humaine était signalée comme étant indirectement causée par une attaque de ransomware.

Les attaques de ce type se sont multipliées ces dernières années. Le fonctionnement du CHU de Rouen a été gravement perturbé en 2019 après une attaque similaire. Des experts d’Anssi sont également intervenus, et la variante de ransomware utilisée aurait été Cryptomix Clop. En décembre 2020, les hôpitaux de Narbonne (Aude) et d’Albertville-Moûtiers (Savoie) avaient également été touchés par des ransomwares.

Face à ces attaques, la tentation de payer pour la récupération de données est grande. Mais en 2017, le Kansas Heart Hospital (Witchita, Kansas) a payé pour récupérer ses données en vain. Les ravisseurs ont refusé de déverrouiller le système d’information retenu en otage une fois la rançon payée et ont exigé un nouveau paiement.

LIEN

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Attaque informatique Non classé Sécurité Service informatique vidéo

Les cyberattaques de novembre dernier ont frappé 390 000 personnes chez Capcom

En novembre 2020, Capcom a subi une attaque majeure sur ses serveurs. Et si l’on en croit les dernières informations sur ce sujet, des dizaines de milliers de personnes ont été touchées.

Jeux vidéo

Lors de cette cyberattaque, dont l’éditeur japonais a été victime, de nombreuses données personnelles ont été volées à la fois aux employés et aux utilisateurs. Les noms et adresses de ces derniers se rapportent. De plus, des informations confidentielles sur divers jeux comme Resident Evil Village et Monster Hunter Rise sont apparues sur Internet après l’incident.

Malheureusement, cet accident a eu plus de conséquences que prévu. Aujourd’hui, Capcom affirme qu’environ 390 000 personnes ont été directement touchées par la cyberattaque. C’est 40 000 de plus par rapport au communiqué de presse précédent. Les pirates ont également volé des documents financiers appartenant à l’entreprise.

134 000 joueurs touchés

En détail, Capcom mentionne le fait que les informations personnelles de 3 248 partenaires commerciaux, 3 994 employés et 9 164 anciens employés ont été volées de cette manière. En termes de joueurs, 134 000 fichiers ont été volés au service client japonais, 14 000 sur la boutique en ligne nord-américaine et 4 000 sur le site d’esports.

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Attaque Non classé Ransomware

Sprite Spider: La p’tite bête qui monte qui monte qui monte

Un nouveau ransomware

Dans combien de temps devriez-vous recevoir un ransomware, le groupe Sprite Spider émerge de l’ombre. Son point fort: utilise désormais un package de code ransomware efficace et difficile à détecter.

Lors de la récente conférence SANS Cyber ​​Threat Intelligence, deux responsables de la cybersécurité de CrowdStrike, Sergei Frankoff et Eric Loui, respectivement chercheur principal en sécurité et analyste principal du renseignement, ont donné des détails sur un nouveau joueur majeur de ransomware nommé Sprite Spider. Comme beaucoup d’autres attaquants de ransomwares, la cybercriminalité derrière les attaques de Sprite Spider s’est rapidement développée en capacité de sophistication et de négociation depuis 2015. Aujourd’hui, Sprite Spider est même sur le point de devenir l’un des plus importants. Acteurs de menace de ransomware 2021 avec un profil de menace comparable à celui des acteurs APT il y a cinq ou dix ans. L’émergence de Sprite Spider n’est pas surprenante étant donné – comme beaucoup d’autres gangs de ransomwares organisés – qu’elle attire des hackers qui sont souvent embauchés et payés par des acteurs travaillant pour le compte d’un pouvoir étatique. LIEN

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Attaque Etude hyères informatique Non classé presse prix Ransomware Ryuk Sécurité

Ryuk aurait réclamé plus de 150 millions de dollars

Suite à l’invasion d’entreprises à travers le monde, on dit que le groupe de rançongiciels Ryuk a mis 150 millions de dollars dans la poche avec le paiement d’une rançon.

Les opérateurs de ransomware Ryuk auraient gagné plus de 150 millions de dollars en Bitcoin en payant de l’argent de piratage à des entreprises du monde entier.

c’est pas très clair!

La société de renseignement sur les menaces Advanced Intelligence (AdvIntel) et la société de cybersécurité HYAS ont publié jeudi une étude qui suit les paiements effectués sur 61 adresses Bitcoin, précédemment attribuées et liées aux attaques de ransomware de Ryuk.

« Ryuk reçoit une partie importante de la rançon d’un courtier bien connu qui effectue des paiements au nom des victimes du ransomware », affirment les deux sociétés. «Ces paiements s’élèvent parfois à des millions de dollars, mais ils se comptent généralement par centaines de milliers. « 

AdvIntel et HYAS expliquent que les fonds extorqués sont collectés sur des comptes de dépôt, puis transférés au blanchiment d’argent. Ensuite, soit ils retournent au marché noir et sont utilisés pour payer d’autres services criminels, soit ils sont échangés dans un véritable échange de crypto-monnaie.

Mais ce qui a le plus attiré l’attention des enquêteurs, c’est que Ryuk a converti son Bitcoin en véritable monnaie fiduciaire à l’aide de portails de crypto-monnaie bien connus tels que Binance et Huobi – probablement via des identités volées. D’autres groupes de ransomwares préfèrent généralement utiliser des services d’échange plus obscurs.

Cette enquête met également à jour nos chiffres sur les activités de Ryuk. Les derniers chiffres étaient datés de février 2020, après que des collaborateurs du FBI se soient exprimés lors de la conférence RSA. À l’époque, le FBI affirmait que Ryuk était de loin le groupe de ransomware actif le plus rentable avec plus de 61,26 millions de dollars générés entre février 2018 et octobre 2019, selon les plaintes reçues par son «Internet Crime Complaint Center».

Cette nouvelle étude de 150 millions de dollars montre clairement que Ryuk a conservé sa place au sommet, du moins pour le moment.

Au cours de l’année écoulée, d’autres groupes de ransomwares – tels que REvil, Maze et Egregor – se sont également fait un nom et ont été très actifs et ont infecté des centaines d’entreprises. Cependant, à l’heure actuelle, aucun rapport ne permet d’estimer les sommes déclarées de ces groupes. L’enquête la plus récente de ce type était celle de la société de cybersécurité McAfee, publiée en août 2020, qui estimait que le groupe de ransomware Netwalker avait accumulé environ 25 millions de dollars de rançon entre mars et août 2020.

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Attaque informatique prix Ransomware Sécurité Service informatique Technologie

Les groupes ciblent les victimes qui ne cèdent pas à leur ransomware (avec des DDos)

Les ransomwares ou ransomwares étaient déjà de loin la plus grande menace cybernétique en 2020, et ils continuent de croître à un rythme alarmant.

« 10 jours pour changer leur décision. » C’est l’avertissement que le gang Avalon a envoyé à l’une de leurs victimes via leur blog. Le groupe criminel informatique a paralysé le système informatique d’une organisation avec son ransomware, et maintenant ils veulent forcer leur victime à payer une rançon en échange d’une promesse de revenir à la normale.

Augmenter la pression sur la victime

Pour y parvenir, les voyous utilisent une méthode d’extorsion qui est malheureusement populaire depuis plus d’un an: les menaces contre les violations de données. L’entreprise ne souhaite-t-elle pas récompenser les cybercriminels en payant une rançon? Eh bien, il devra gérer la crise provoquée par la fuite ou la vente de ses données clients: un incident qui risque de ternir encore plus son image et d’entraîner la résiliation de contrats encore nécessaires à sa survie.

Attaque DDoS

Comme si ce double chantage ne suffisait pas, Avalon ajoute une autre couche: « Le site est actuellement sous attaque DDoS et nous l’attaquerons jusqu’à ce que la société nous contacte. » En d’autres termes, même si la victime parvient à récupérer progressivement certains de ses outils et services, les cybercriminels sont obligés de les faire dysfonctionner d’une manière différente. Une attaque DDoS consiste à surcharger un site Web en lui envoyant un grand nombre de requêtes au point qu’il s’exécute lentement ou même cesse de fonctionner. Pour les cybercriminels aussi riches que les opérateurs de ransomwares, il s’agit d’une attaque bon marché car il vous suffit de louer quelques machines. Bien sûr, il existe de nombreux outils et méthodes pour gérer et absorber ce type d’attaque, mais c’est un autre problème auquel les victimes doivent faire face si les équipes de sécurité sont déjà débordées par la gestion des ransomwares.

Comme le souligne Bleeping Computer, Avalon n’est pas le premier gang à utiliser ce type de menace – deux autres l’ont fait dès octobre 2020 – mais cela pourrait être un signe que cette tendance se généralisera parmi les cybercriminels.

Cette pratique est une autre mauvaise nouvelle pour les victimes, confrontées à des voyous dont les moyens et l’imagination croissent à un rythme excessif. Certains commencent à harceler leurs victimes par téléphone, d’autres contre-communiquent en achetant des paris publicitaires sur Facebook. d’autres encore impriment leur note de rançon sur tous les photocopieurs de leurs victimes

Comment ne pas être tenté de payer la rançon quand la pression est forte? Aujourd’hui, tout le monde est d’accord sur le principe: les mauvais ne doivent pas être payés. Céder à leurs demandes, c’est les encourager à poursuivre leurs opérations; la rançon finance leur développement, de sorte qu’à chaque fois ils reviennent avec un modus operandi plus sophistiqué; et de plus, il n’y a aucune garantie que les cybercriminels respecteront leur résiliation du contrat: Parfois, les rançons doublent le montant demandé après une première validation de leur victime.

Beaucoup paient.

Parce qu’il est long et coûteux de restaurer votre système d’une autre manière et peut augmenter le fardeau de l’entreprise bien plus que payer une rançon. Parce que la pression est trop forte aussi. Menaces de fuite, pression sur les employés et maintenant DDoS, c’est trop de problèmes à gérer, trop de dommages potentiels pour l’entreprise.

Certes, les entreprises de sécurité réalisent parfois de petits gains par rapport aux cybercriminels. Mais parviendront-ils un jour à freiner le cercle vicieux qui équilibre leurs relations de pouvoir avec les gangs?

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Attaque Mairie NetWalker Ransomware Sécurité Service informatique Technologie

à La Rochelle et Annecy on ne chante pas!

Entre Noël et le jour de l’an, la ville de La Rochelle et la ville d’Annecy ont été victimes de cyberattaques. Malgré la paralysie des services et l’affichage des preuves de piratage, les deux administrations ont choisi de ne pas payer de rançon pour accéder aux données.

C’est la nouvelle star des malwares, les «ransomwares». Les hackers n’endommagent ni ne volent plus de données, ce qui les motive maintenant, c’est de l’argent, et pour débloquer une cyberattaque, ils exigent une rançon, d’où le terme «ransomware» ou «ransomware». vécu plus d’une semaine.

Lundi, les hackers du groupe Netwalker ont revendiqué la responsabilité de l’attaque, et il ne sera pas surprenant d’apprendre qu’ils sont russes. Pour prouver qu’ils étaient en fait les auteurs de cette cyberattaque, ils ont téléchargé des visuels comme preuve des données «récupérées». Cité par France Bleu, celui choisi garantit qu’il ne s’agit que « d’une capture d’écran de fichiers qui ne signifie pas que les informations qu’il contient sont extraites et exploitées ».

Cependant, les hackers demandent une rançon et ils menacent de publier les données «récupérées» sur une trentaine de serveurs de la ville. Leur ultimatum est de 14 jours, et un compte à rebours est mis sur les serveurs lorsque les employés de la mairie tentent d’accéder aux données. «Nous ne savons pas exactement ce qu’ils ont pris et nous n’avons actuellement aucune preuve qu’ils détiennent des données importantes», précise le Parisien des techniciens chargés de rétablir l’accès aux différents services, comme le civil statut, DRH ou services généraux.

Ils menacent de publier les données «récupérées»

Du côté de la ville, nous avons porté plainte et une enquête judiciaire est en cours. Et si jamais les données étaient vraiment mises en ligne, la mairie assure qu’elle avertira ses citoyens, mais dans l’immédiat, l’objectif n’est pas de céder au chantage. Un accident qui touche aussi l’urbanité d’Annecy, et bien que les 1.200 fonctionnaires n’aient plus accès à leurs emails et que les services n’aient pas été rétablis, nous avons également choisi de ne pas céder au chantage, et nous sommes surtout étonnés que être la cible des pirates.

Ceci est d’autant plus dommageable en cette période de pandémie que les services ne sont proposés qu’en ligne, notamment pour les personnes âgées. À l’heure actuelle, cette attaque n’a pas été revendiquée, mais le modus operandi semble être identique. D’ailleurs, le groupe Netwalker avait déjà frappé en France plus tôt, et cet été il était soupçonné d’être à l’origine de la cyberattaque contre les compagnies d’assurance MMA.

Netwalker avait déjà frappé en France plus tôt

Plusieurs grandes entreprises françaises avaient subi des attaques de la part de ce groupe russophone, et l’un des points d’entrée était un PC sous Windows 7, qui n’avait pas été mis à jour. Qu’il s’agisse de logiciels ou de matériel, les pirates sont plus que souvent heureux d’exploiter des vulnérabilités non corrigées. Autre passerelle: le courrier électronique via le phishing et la période des fêtes est la raison idéale pour envoyer de fausses cartes de vœux qui cachent des logiciels malveillants.

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Attaque informatique presse prix Ransomware Sécurité Service informatique SolarWinds Sunburst Technologie

Les pirates de SolarWinds ont infiltré les systèmes en septembre 2019

CrowdStrike a découvert un autre malware impliqué dans l’attaque de SolarWinds, appelé Sunspot. Il a permis au code Sunburst d’être inséré dans le code source d’Orion, le logiciel SolarWinds compromis par des pirates.

SolarWinds compromis par des pirates.

Un par un, les mystères restants du piratage d’entreprise de SolarWind ont été résolus. CrowdStrike, l’une des sociétés chargées d’enquêter sur l’incident, a publié le 11 janvier un rapport sur des logiciels malveillants jusque-là inconnus impliqués dans la cyberattaque. Ce malware appelé « Sunspot » serait le premier maillon de l’attaque avant le désormais célèbre « Sunburst ».

Il aurait été introduit sur le serveur d’une entreprise dès septembre 2019. Plus précisément, Sunspot a infecté le moteur de production de SolarWind, le système responsable de l’assemblage des logiciels du groupe. Son objectif: espionner l’usine du logiciel Orion, le logiciel de gestion de réseau de l’entreprise.

Comme le note ZDNet, après une phase d’observation, Sunspot a inséré le code nécessaire pour créer le cheval de Troie Sunburst dans le code source d’Orion. Résultat: entre mars et juin 2020, si un client SolarWinds a installé la mise à jour logicielle, Sunburst s’est installé via le même canal. Ce dernier a ouvert une porte aux serveurs des victimes – plus de 18 000 organisations – dans laquelle les hackers pouvaient pénétrer.

Ils ont ensuite dû déposer manuellement un troisième logiciel malveillant, encore plus puissant, appelé « Teardrop », sur des systèmes proches des organisations qu’ils avaient en vue. Ils ont continué à espionner 250 organisations, dont de nombreux départements et agences du gouvernement américain: armée, renseignement, énergie… Ce sont des domaines critiques compromis par des hackers, « probablement » russes selon les autorités américaines.

L’attaque sur SolarWinds a donc duré de septembre 2019 à juin 2020 et n’a été découverte qu’en décembre 2020. C’est un constat d’échec pour l’entreprise victime, qui a désormais confié l’amélioration. de sa sécurité aux grands noms du secteur.

De leur côté, les enquêteurs ont presque atteint le bout de la chaîne des attaques. Il ne leur reste plus qu’à comprendre comment les pirates ont réussi à implémenter Sunspot sur le moteur de production SolarWinds. Les hypothèses sont répandues, mais cet élément reste un mystère pour le moment. Ensuite, ils devront décider qui a organisé l’attaque: les Russes, mais qui exactement? Certains médias, dont le Washington Post, évoquent APT29, surnommé Cozy Bear, un groupe de hackers d’élite affiliés à l’une des agences de renseignement russes.

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Attaque Hôpital informatique presse Ransomware Sécurité Service informatique Technologie

Et une cyberattaque pour Fareva « abricant pharmaceutique ».

La société Fareva, qui travaille principalement sur la commercialisation d’un vaccin contre Covid-19, est paralysée depuis le 15 décembre par une cyberattaque de type ransomware. On espère que les systèmes seront à nouveau utilisés avant la fin de la semaine.

Leader mondial de la sous-traitance industrielle

Le sous-traitant pharmaceutique Fareva lutte contre les ransomwares depuis le 14 décembre, et le redémarrage de son unité de production se fait lentement, selon les informations de France Bleu Touraine.

L’attaque a été annoncée dans la presse le 17 décembre: selon Les Echos, c’est le centre de données de l’entreprise basé à Savigny-le-Temple qui a été touché. En effet rebond, plusieurs usines du groupe spécialisées dans le transport et le conditionnement de produits pharmaceutiques et cosmétiques ont été fermées par l’attaque, selon le quotidien. Un reportage que la direction termine avec Les Echos, indiquant que seuls les sites français seraient concernés par l’attaque.

La direction du groupe a alors confirmé que la réponse rapide de l’équipe informatique avait permis de limiter les pertes de données et prévoyait le retour des sites de production à partir du 4 janvier. Mais selon France Bleu Touraine, citant des sources syndicales, les machines de l’usine d’Amboise sont toujours restées immobiles lundi, la quasi-totalité des ouvriers de l’usine étant en emploi de courte durée depuis le 22 décembre. La reprise progressive de l’activité sur place est désormais attendue ce week-end.

Fareva est une société basée au Luxembourg. Il a notamment été choisi par le groupe allemand CureVac pour conditionner le vaccin contre Covid-19. Pour le président du groupe Bernard Fraisse, le lien entre l’attentat et l’annonce serait « évident ».

Et l’hôpital de Hyères?

Outre Fareva, plusieurs hôpitaux français ont été victimes de cyberattaques en décembre: le centre hospitalier d’Albertville-Mûtier en Savoie a annoncé avoir été touché par un ransomware le 22 décembre. Le centre hospitalier a pu continuer à fonctionner dans un accident, mais plusieurs services et équipements ont été rendus inaccessibles par l’attaque. Plus tôt ce mois-ci, c’était l’hôpital de Narbonne qui avait déclaré avoir été victime d’une cyberattaque, mais cette fois, il s’agissait d’exploiter la puissance de calcul de ses équipements pour extraire de la crypto-monnaie. Si les dégâts ont été limités, les mesures prises pour désinfecter le système d’information ont contraint les salariés de l’entreprise à travailler plusieurs jours sans accès à Internet.

En décembre, les agences de cybersécurité française et allemande ont publié une déclaration commune mettant en garde le secteur contre la recrudescence des attaques contre les organismes de santé.

Le secteur de la santé a été confronté à plusieurs attaques en décembre 2020. L’attaque contre l’Agence européenne des médicaments au début du mois a permis à des tiers non autorisés d’accéder aux documents connexes. l’approbation des vaccins. IBM a également signalé une augmentation des attaques de phishing ciblant les entreprises chargées de fournir des vaccins. À l’échelle mondiale, Checkpoint confirme une tendance similaire, indiquant qu’il a connu une augmentation de 45% des attaques ciblant le secteur de la santé depuis novembre 2020.

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Attaque Hôpital informatique Ransomware Sécurité Technologie

L’Hôpital d’Albertville subit une cyberattaque


Le centre hospitalier Albertville-Moûtiers en Savoie est victime d’une cyberattaque depuis le lundi 21/12/2020. Elle a endommagé ses serveurs informatiques.

Le directeur et le directeur délégué, Guy-Pierre Martin (à droite) et Pierre Idée

Quelques jours après l’hôpital de Narbonne, qui a été touché par une cyberattaque infectant ses serveurs, le Centre Hospitalier Albertville-Moûtiers (CHAM) en Savoie a de nouveau été confronté à un virus informatique qui a endommagé son système d’information. Découvert le lundi 21 décembre, vers 18 h. 4, la cyberattaque provoquée par un virus «ransomware» rendu inaccessible «à un certain nombre d’équipements, de serveurs, de logiciels et d’une partie du réseau informatique». Comme l’a indiqué l’hôpital dans un communiqué de presse mercredi. Outre les hôpitaux d’Albertville et de Moûtiers, deux EHPAD ont également été , soutenu par CHAM, concerné.

Dès que l’attaque a été découverte, tout le réseau informatique de l’hôpital a été fermé, rendant impossible l’accès aux dossiers des patients et aux dossiers de traitement. «C’est très compliqué pour tous les services, nous sommes limités par l’ordinateur, et ça risque de durer», explique un officier hospitalier.

Les connexions informatiques à l’hôpital voisin de Chambéry, dont la gestion est partagée avec le centre hospitalier d’Albertville-Moûtiers, ont été suspendues à partir de lundi pour éviter de propager le virus. «Nous avons été informés lundi après-midi qu’une attaque assez grave avait eu lieu à Albertville et que tous les systèmes centraux de communication avaient été cryptés par le virus», explique un membre du personnel de l’hôpital de Chambéry.

Malgré sa virulence, l’attaque ne mettrait pas en péril le fonctionnement de l’établissement. La protection respiratoire et les salles d’opération, la plateforme d’imagerie et les urgences « fonctionnent normalement », précise l’hôpital.

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Le journal Ouest France piraté par un ransomware

Le groupe Ouest France, qui a été perturbé il y a quelques jours par un « virus mystérieux », a en fait été cyber-attaqué par un ransomware.

ZATAZ peut confirmer que le groupe de presse français Ouest France, cyberattaque du samedi 21 novembre, était du groupe de hackers Egregor. Ces opérateurs de ransomwares malveillants confirment cette intrusion en communiquant, à travers la divulgation de preuves, l’intrusion et les otages 2.0

Le journal Ouest France piraté par un ransomware

Ces terroristes numériques ont téléchargé un fichier de plus de 80 Mo (1% de ce qu’ils auraient volé) pour signaler ce piratage.

Un hack qui a abouti au blocage de nombreuses machines au sein du groupe de presse et à l’obligation de réduire la publication du journal. Ouest France n’a pu sortir qu’une seule édition (au lieu de neuf) le dimanche 22 novembre.

La direction du journal n’a alors déclaré aucune fuite de données et n’avoir vu aucune demande de rançon. LIEN