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Cyberattaque contre Xplain : Enquête Administrative Approuvée par le Conseil Fédéral

Le Conseil Fédéral autorise une enquête administrative en réponse à la cyberattaque visant Xplain, un prestataire de services informatiques de la Confédération.

Enquête Administrative suite à la Cyberattaque contre Xplain AG.

Qu’est-ce qui s’est passé ? Suite à la cyberattaque par ransomware qui a ciblé Xplain, l’un des fournisseurs de services informatiques du gouvernement, le Conseil Fédéral a pris des mesures pour enquêter sur les événements. Dans le but de comprendre les circonstances entourant l’attaque et d’identifier les lacunes potentielles, le gouvernement a donné son feu vert pour une enquête administrative.

Qui mènera l’enquête ? L’enquête sera menée par le cabinet d’avocats genevois Oberson Abels, qui a été chargé de faire la lumière sur les éventuelles défaillances administratives et de sécurité. Le Département Fédéral des Finances (DFF) jouera un rôle de soutien en coordonnant les efforts du mandataire.

Quels sont les objectifs de l’enquête ? L’objectif principal de l’enquête est de déterminer si l’administration fédérale a rempli ses obligations de manière adéquate tout au long du processus de sélection, d’instruction et de surveillance de Xplain AG. La collaboration entre le gouvernement et l’entreprise sera également examinée dans le cadre de l’enquête. Les autorités visent également à identifier les mesures nécessaires pour éviter de futurs incidents similaires.

Quelle est la portée de l’enquête ? L’enquête ne se limitera pas à un seul département ou à la Chancellerie Fédérale. Au contraire, elle s’étendra à tous les départements concernés par la relation avec Xplain, afin de garantir une évaluation complète et détaillée de la situation.

Enquête Administrative suite à la Cyberattaque contre Xplain AG.

Quand l’enquête sera-t-elle achevée ? L’enquête devrait être conclue d’ici la fin du mois de mars 2024, ce qui signifie qu’une évaluation complète et minutieuse sera entreprise pour découvrir les tenants et aboutissants de l’attaque et pour formuler des recommandations appropriées.

Contexte de l’attaque Pour rappel, l’attaque par ransomware contre Xplain, qui a été révélée au grand public début juin 2023, a eu des conséquences profondes. Les pirates informatiques, également connus sous le nom de gang Play, ont exposé des données sensibles issues de plusieurs polices cantonales ainsi que de divers organismes gouvernementaux, dont Fedpol, l’armée, l’OFDF, les CFF, Ruag, le SECO et le canton d’Argovie.

Enquête Parallèle en Cours En parallèle, le Préposé Fédéral à la Protection des Données et à la Transparence (PFPDT) mène ses propres investigations concernant les offices fédéraux touchés par l’attaque ainsi que le prestataire Xplain.

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Attaque informatique à La Haye : la Cour pénale internationale (CPI) dans l’œil du cyclone

Qu’est-ce qui s’est passé à la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye ?

  • La Cour pénale internationale (CPI) de La Haye a récemment été victime d’une attaque informatique. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cet incident ?

Comment la CPI a-t-elle réagi face à cette cyberattaque ?

  • Comment la CPI a-t-elle réagi à cette cyberattaque et quelles mesures a-t-elle prises pour en atténuer les effets ?

Quels sont les documents sensibles que détient la CPI et pourraient-ils avoir été compromis lors de cette attaque ?

  • La CPI possède des documents sensibles, tels que des preuves de crimes et des informations sur des victimes et des suspects. Peut-on en savoir plus sur la nature des documents qui ont pu être touchés ?

Qui a revendiqué cette attaque ou qui en est suspecté ?

  • Y a-t-il des informations sur les auteurs présumés de cette attaque ou sur leurs motivations ?

Comment cette attaque pourrait-elle affecter le fonctionnement de la CPI et ses enquêtes en cours ?

  • En quoi cette attaque informatique pourrait-elle avoir un impact sur les activités et les enquêtes en cours à la CPI ?
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Des données bancaires d’intérimaires d’Adecco ont été volées

Adecco, le géant de l’intérim, a été ciblé par un pirate informatique qui a réussi à accéder aux données personnelles de nombreux intérimaires et à voler de l’argent directement sur leurs comptes bancaires.

Des données bancaires d’intérimaires d’Adecco ont été volées

Au début du mois de novembre, Adecco a été victime d’une attaque de piratage. Par la suite, de nombreux intérimaires des agences d’emploi Adecco ont signalé avoir subi des prélèvements de 49,85 euros sur leur compte bancaire, comme l’ont rapporté plusieurs médias.

Entreprise suisse de travail temporaire

Adecco, une entreprise suisse de travail temporaire, a été victime d’une attaque de piratage en novembre. Dans un courriel envoyé avant Noël, l’entreprise a averti certaines de ses personnes intérimaires que leurs données personnelles, y compris leurs coordonnées bancaires, avaient été volées par un tiers.

Il y a eu un piratage de l’entreprise le mois dernier, ce qui a été confirmé par un communiqué de la CGT Adecco qui a souligné la nécessité d’améliorer la protection des données personnelles de l’agence d’intérim.

Des prélèvements non autorisés ont été signalés sur les comptes en banque de certains intérimaires après un piratage informatique.

Solfex France SASU

Selon une centaine de témoignages, une entreprise appelée Solfex France SASU a retiré 49,85 euros de différents comptes bancaires. Solfex France SASU, basée à Paris et créée en août 2022, est suspectée d’être liée à cette arnaque. Adecco a déclaré dans un communiqué que, suite à une enquête interne, aucun lien n’a pu être établi « entre ces prélèvements frauduleux effectués par une société tierce et les missions de nos intérimaires ». La CGT Adecco affirme que cette arnaque est évidemment liée au piratage des données de la société.