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Walter Butler Appuie le Plan de Sauvetage d’Atos : Un Renouveau en Vue pour le Géant en Difficulté

Le financier Walter Butler apporte son soutien au consortium dirigé par Onepoint dans sa tentative de reprise du géant français des services numériques, Atos. Cette décision marque un tournant majeur dans les efforts visant à redresser la situation financière précaire de l’entreprise. David Layani, à la tête de Onepoint et principal actionnaire d’Atos, voit ainsi son projet de sauvetage renforcé par l’arrivée d’un allié de poids.

Un Soutien Stratégique dans un Moment Crucial

Walter Butler rejoint le consortium à un moment critique pour Atos, qui s’apprête à présenter son plan de refinancement à ses créanciers. Avec une dette s’élevant à près de 4,6 milliards d’euros, dont une grande partie devant être remboursée ou refinancée d’ici fin 2025, les enjeux sont considérables pour l’avenir de l’entreprise. Le soutien financier et stratégique de Butler apporte une lueur d’espoir dans ce contexte difficile.

Un Plan Ambitieux pour Redresser Atos

Le plan de sauvetage élaboré par Onepoint, et désormais appuyé par Walter Butler, vise à maintenir l’intégralité des actifs d’Atos tout en redonnant à l’entreprise une trajectoire de croissance durable. Au cœur de cette stratégie se trouve la restructuration de la dette, une étape cruciale pour assurer la stabilité financière à long terme de l’entreprise.

Une Approche Éprouvée

Butler Industries, la société d’investissement dirigée par Walter Butler, apporte une expertise reconnue en matière de restructuration d’entreprises. Avec plus de 8 milliards d’euros d’actifs sous gestion, l’entreprise a déjà mené à bien plusieurs opérations similaires dans divers secteurs, allant de la défense à l’agroalimentaire. Cette expérience fait de Walter Butler un partenaire précieux dans le processus de redressement d’Atos.

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France Travail, ex-Pôle Emploi : Une Série Noire de Fuites de Données Révèle des Failles de Cybersécurité

Une fois de plus, France Travail, anciennement connu sous le nom de Pôle Emploi, se trouve au cœur d’une affaire de piratage massif de données. Cette troisième fuite de données soulève des questions sérieuses sur la sécurité de cette plateforme pourtant cruciale, détenant une mine d’informations sur ses utilisateurs. Quels sont les risques et les enjeux révélés par cette cyberattaque massive ?

Les Détails de l’Attaque et les Risques Encourus

Les données personnelles de près de 46 millions d’utilisateurs inscrits à France Travail et Cap Emploi au cours des 20 dernières années sont potentiellement compromises suite à cette attaque. Les informations sensibles telles que les noms, prénoms, numéros de sécurité sociale, dates de naissance, identifiants France Travail, adresses mail et postales, ainsi que les numéros de téléphone ont été exposées. Cette fuite pourrait entraîner des cas d’usurpation d’identité, constituant ainsi une menace sérieuse pour la sécurité des citoyens concernés.

L’Enquête en Cours et les Mesures Prises

Face à cette situation préoccupante, une enquête préliminaire a été ouverte par le Parquet de Paris, confiée à la Brigade de Lutte Contre la Cybercriminalité de la Direction de la Police Judiciaire de Paris. Toutes les personnes affectées par cette cyberattaque sont encouragées à déposer plainte, et des mesures de précaution sont recommandées, telles que le changement de mot de passe sur France Travail ainsi que sur d’autres plateformes où le même mot de passe est utilisé.

Les Catégories de Personnes Touchées

Trois catégories de demandeurs d’emploi sont concernées par cette fuite de données. Tout d’abord, les utilisateurs actuellement inscrits sur France Travail sont potentiellement affectés. Ensuite, toutes les personnes ayant été inscrites au cours des 20 dernières années sur la plateforme de France Travail (anciennement Pôle Emploi) sont également concernées. Enfin, même les demandeurs d’emploi non inscrits sur France Travail mais disposant d’un espace sur Fracetravail.fr pourraient être impactés.

La Réponse de France Travail et les Mesures d’Assistance

France Travail s’engage à contacter individuellement toutes les personnes affectées par cette cyberattaque. Des mesures d’assistance sont mises en place, comprenant un formulaire simplifié pour porter plainte en ligne et un numéro de téléphone dédié pour répondre aux questions des victimes. Il est crucial pour les utilisateurs de rester vigilants et de signaler toute activité suspecte.

Cette nouvelle fuite de données met en lumière les lacunes en matière de cybersécurité au sein de France Travail, soulevant des préoccupations quant à la protection des informations personnelles des utilisateurs. Alors que l’enquête suit son cours, il est impératif que des mesures robustes soient mises en place pour renforcer la sécurité des plateformes en ligne et protéger la vie privée des citoyens.

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Trellix XDR for Ransomware Detection and Response : La Nouvelle Arme Anti-Rançongiciels Issue de la Fusion McAfee-FireEye

La récente fusion entre McAfee et FireEye a donné naissance à une nouvelle entité, Trellix, qui se positionne comme une figure majeure dans la protection des terminaux. Cette alliance stratégique dévoile aujourd’hui une plateforme révolutionnaire baptisée « Trellix XDR for Ransomware Detection and Response, » intégrant l’intelligence artificielle et capitalisant sur les 1000 intégrations de Trellix. Cette nouvelle solution vise à renforcer la sécurité informatique en ciblant directement la menace omniprésente des rançongiciels.

La Convergence des Géants de la Cybersécurité : La fusion entre McAfee et FireEye a généré une synergie inédite, donnant naissance à Trellix, une entité focalisée sur la protection des terminaux. Cette alliance marque une étape significative dans le paysage de la cybersécurité, offrant une réponse unifiée face aux défis croissants posés par les attaques de ransomware.

Trellix XDR for Ransomware Detection and Response : Une Approche Sobre et Efficace : La nouvelle plateforme, sobrement intitulée Trellix XDR for Ransomware Detection and Response, s’inscrit comme une réponse directe à la menace grandissante des rançongiciels. En élargissant son arsenal de solutions de cybersécurité, Trellix cherche à doter les équipes de sécurité des opérations (SOC) d’un outil efficace pour détecter et répondre rapidement aux attaques de ransomware.

Intelligence Artificielle et Intégrations Multiples au Service de la Cybersécurité : Trellix XDR for Ransomware Detection and Response se distingue par son utilisation intensive de l’intelligence artificielle. En exploitant les plus de 1000 intégrations disponibles, la plateforme vise à améliorer l’efficacité opérationnelle des SOC en traitant rapidement et efficacement les données. Cette approche multi-vecteurs et multi-fournisseurs est renforcée par les informations collectées auprès des 40 000 clients de l’éditeur, ainsi que de sources tierces, contextualisant et hiérarchisant les menaces.

Trellix, fruit de la fusion entre McAfee et FireEye, affirme sa position dominante sur le marché de la cybersécurité avec le lancement de Trellix XDR for Ransomware Detection and Response. Cette nouvelle plateforme incarne l’engagement de l’entreprise à fournir des solutions innovantes pour contrer la menace constante des rançongiciels, offrant aux SOC un outil puissant pour renforcer leur posture de sécurité.

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Méfiance : Interpol ne vous contactera pas par email, méfiez-vous des escrocs en ligne

L’univers virtuel, riche de possibilités, peut également être le terrain de jeu de nombreux escrocs, cherchant à exploiter la crédulité des utilisateurs. Récemment, une nouvelle méthode d’arnaque a fait son apparition, prenant la forme d’un courriel supposé provenir d’Interpol, l’Organisation internationale de police criminelle. Derrière cette façade officielle se cache une tentative sournoise de tromper les utilisateurs.

Qui est derrière cette arnaque ?

Plusieurs lecteurs de ZATAZ ont signalé avoir reçu un courriel suspect au cours de l’été. Le message prétendait être envoyé par Interpol, évoquant la création d’un « service d’enquête externe et interne » dédié à la lutte contre les fraudes en ligne. L’intention semblait louable : aider les victimes à obtenir justice. En réalité, il s’agissait d’une ruse élaborée.

Le courrier électronique mentionnait que cette initiative était menée en collaboration avec la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés, à la demande de l’Association des Victimes d’Escroquerie et d’Usurpation du Net. L’objectif était de mettre en place un système automatisé de collecte de données personnelles pour identifier les auteurs d’infractions sur Internet. Cependant, derrière ces mots pompeux se cachait un piège sournois.

La double peine pour les victimes

Le contenu du courriel annonçait : « Nous lançons des appels aux victimes d’escroquerie, afin d’émettre des poursuites judiciaires contre ces différents coupables peu après une saisie informatique de la Cyber-infiltration relevant les chefs d’accusation suivants ». Cette déclaration grandiloquente visait à créer une apparence de légitimité. Cependant, le véritable dessein de l’escroc derrière ce message était bien différent.

Une fois qu’une victime potentiellement intéressée se manifeste, l’escroc, se faisant passer pour un policier, contacte la victime en lui annonçant que l’auteur de l’escroquerie a été appréhendé. Cependant, pour récupérer les fonds perdus lors de l’escroquerie initiale, la victime est informée qu’elle devra payer des frais. Cette tactique sournoise vise à piéger la victime une seconde fois, la dépouillant ainsi de nouvelles sommes d’argent.

Comment se protéger

Pour se prémunir contre ce genre d’arnaque, il est crucial d’adopter une approche vigilante. Si vous recevez un courriel similaire prétendument envoyé par une organisation officielle, prenez le temps de vérifier l’authenticité de la communication. Ne partagez jamais d’informations personnelles ou financières sans avoir confirmé l’identité de l’expéditeur. Il est recommandé de contacter directement l’organisation en question à partir des coordonnées officielles disponibles sur leur site web, plutôt que de cliquer sur des liens ou de répondre au courriel suspect.

Conclusion

En conclusion, restez prudent et informé face aux tentatives d’escroquerie en ligne de plus en plus sophistiquées. La vigilance est le meilleur rempart contre les intentions malveillantes qui cherchent à profiter de la crédulité des utilisateurs. Ne devenez pas la victime d’une arnaque deux fois de suite : faites preuve de discernement et protégez vos informations personnelles à tout moment.

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Attaque informatique à La Haye : la Cour pénale internationale (CPI) dans l’œil du cyclone

Qu’est-ce qui s’est passé à la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye ?

  • La Cour pénale internationale (CPI) de La Haye a récemment été victime d’une attaque informatique. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cet incident ?

Comment la CPI a-t-elle réagi face à cette cyberattaque ?

  • Comment la CPI a-t-elle réagi à cette cyberattaque et quelles mesures a-t-elle prises pour en atténuer les effets ?

Quels sont les documents sensibles que détient la CPI et pourraient-ils avoir été compromis lors de cette attaque ?

  • La CPI possède des documents sensibles, tels que des preuves de crimes et des informations sur des victimes et des suspects. Peut-on en savoir plus sur la nature des documents qui ont pu être touchés ?

Qui a revendiqué cette attaque ou qui en est suspecté ?

  • Y a-t-il des informations sur les auteurs présumés de cette attaque ou sur leurs motivations ?

Comment cette attaque pourrait-elle affecter le fonctionnement de la CPI et ses enquêtes en cours ?

  • En quoi cette attaque informatique pourrait-elle avoir un impact sur les activités et les enquêtes en cours à la CPI ?
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Rapport Alarmant : les Attaques de Ransomware Enflamment le Monde de la Cybersécurité

Les attaques de ransomware ont atteint un sommet alarmant en juillet, selon un rapport récent de l’équipe Global Threat Intelligence du NCC Group, une société spécialisée en cybersécurité. Le nombre d’incidents signalés a augmenté de manière choquante de 154 % par rapport à l’année précédente, passant de 198 attaques en juillet 2022 à un total de 502 en juillet 2023. Cette escalade représente également une augmentation de 16 % par rapport au mois de juin de la même année, où 434 attaques ont été recensées.

Pourquoi cette augmentation spectaculaire ?

Cette flambée des attaques est en grande partie imputée à l’exploitation de la vulnérabilité MOVEit par le groupe de ransomware Cl0p, également connu sous le nom de Lace Tempest. MOVEit est un service de transfert de fichiers développé par Progress Software. Le groupe Cl0p, d’origine russophone, a été la menace la plus active en juillet, responsables de 34 % des attaques signalées, soit 171 attaques au total. Jusqu’à présent, près de 500 organisations et des millions de personnes ont été touchées par leurs activités malveillantes.

Cl0p, qui est actif depuis 2019, cible spécifiquement des organisations d’importance. Récemment, le groupe a été impliqué dans le vol massif de données d’entités telles qu’Aer Lingus, Boots, le gouvernement de la Nouvelle-Écosse, l’université de Rochester, la BBC, British Airways et Shell.

Qui est en deuxième position ?

Le deuxième acteur malveillant le plus prolifique en juillet a été Lockbit 3.0, responsable de 50 attaques, soit 10 % du total. Néanmoins, il est à noter que cela représente une baisse de 17 % par rapport aux 60 attaques du mois de juin. De nouveaux acteurs ont également émergé le mois dernier, notamment NoEscap, un groupe qui exploite les vulnérabilités des réseaux privés virtuels (VPN), et qui a réussi à intégrer le top 10 des groupes les plus actifs avec 16 attaques à son actif.

Quels sont les secteurs les plus touchés ?

En ce qui concerne les secteurs les plus ciblés, l’industrie est en tête avec 155 attaques, représentant 31 % du total, suivi des biens de consommation avec 79 attaques (16 %) et de la technologie avec 72 attaques (14 %). L’Amérique du Nord a été la région la plus visée, avec 274 actes malveillants recensés, soit 55 % de l’ensemble, ce qui représente une augmentation de 51 % par rapport au mois de juin. L’Europe arrive en deuxième position, avec 43 %, soit une augmentation de 23 % par rapport au mois précédent, suivie par l’Asie avec 36 attaques (7 %).

Les Conséquences Dangereuses de cette Montée en Puissance

Ces données records démontrent la nature « continue et omniprésente » des attaques, analyse Matt Hull, responsable mondial des renseignements sur les menaces chez NCC Group. Face à l’arrivée de nouveaux acteurs et de nouvelles tactiques de piratage, NCC Group exhorte les organisations à rester vigilantes et à se tenir informées des évolutions dans l’écosystème de la cybermenace.

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Formations en cybersécurité spécialisées

La cybersécurité est un domaine en constante évolution qui nécessite une expertise technique de pointe pour protéger les entreprises contre les attaques informatiques.

Les formations en cybersécurité sont donc essentielles pour les professionnels de l’informatique qui souhaitent se spécialiser dans ce domaine.

Dans ce texte, nous allons présenter quelques-unes des formations les plus importantes en cybersécurité.

Formations en cybersécurité

Formation en sécurité des réseaux

La sécurité des réseaux est l’un des éléments les plus importants de la cybersécurité.

Les professionnels de l’informatique doivent être en mesure de protéger les réseaux contre les attaques externes, telles que les attaques par déni de service, les intrusions et les attaques de phishing.

Les formations en sécurité des réseaux comprennent des sujets tels que les protocoles de sécurité des réseaux, les technologies de chiffrement, la détection des intrusions et les outils de surveillance de réseau.

Formation en sécurité des applications

Les applications sont également une cible privilégiée pour les cyberattaques.

Les professionnels de l’informatique doivent donc être en mesure de sécuriser les applications contre les vulnérabilités et les attaques.

Les formations en sécurité des applications se concentrent sur des sujets tels que les tests de pénétration, les analyses de vulnérabilité, les technologies de sécurité des applications et les pratiques de développement sécurisé.

Formation en sécurité cloud

De plus en plus d’entreprises adoptent des solutions de cloud computing pour stocker et gérer leurs données. Cela signifie que la sécurité cloud est devenue un élément clé de la cybersécurité.

Les professionnels de l’informatique doivent être en mesure de comprendre les risques liés à la sécurité cloud et de mettre en place des mesures de sécurité appropriées.

Les formations en sécurité cloud comprennent des sujets tels que les modèles de service cloud, les architectures de sécurité cloud et les outils de sécurité cloud.

Formation en conformité réglementaire

Les réglementations en matière de cybersécurité sont en constante évolution, et il est essentiel que les professionnels de l’informatique soient en mesure de se conformer aux exigences réglementaires en vigueur.

Les formations en conformité réglementaire comprennent des sujets tels que les réglementations de l’industrie, les normes de sécurité, les pratiques de conformité et les outils de gestion de la conformité.

Formation en gestion de la cybersécurité

La gestion de la cybersécurité est un domaine crucial pour les entreprises qui cherchent à protéger leurs données et leurs réseaux.

Les professionnels de l’informatique doivent être en mesure de gérer les risques de sécurité et de mettre en place des stratégies de sécurité efficaces.

Les formations en gestion de la cybersécurité comprennent des sujets tels que la gestion des risques de sécurité, la gouvernance de la sécurité, la gestion de la conformité et les pratiques de gestion de la sécurité.

Formation en forensique numérique

Enfin, les professionnels de la cybersécurité doivent être en mesure d’identifier les attaques et de récupérer les données en cas de cyber-incident.

Certifications en cybersécurité

Les certifications en cybersécurité sont des programmes de formation qui permettent aux professionnels de la sécurité informatique de démontrer leur expertise dans le domaine.

Les certifications les plus connues comprennent les certifications CISSP, CISM, CEH, CompTIA Security+, GIAC, et ISACA.

Ces certifications couvrent des sujets tels que la gestion des risques, la sécurité des réseaux, la cryptographie, la protection des données et la conformité réglementaire.

Formation en cybersécurité pour les PME

Les petites et moyennes entreprises (PME) sont souvent vulnérables aux attaques en ligne en raison de leur manque de ressources et de leur faible budget. Les programmes de formation en cybersécurité pour les PME peuvent aider à sensibiliser les propriétaires d’entreprise et les employés à l’importance de la cybersécurité et à leur donner les compétences nécessaires pour protéger leur entreprise contre les menaces en ligne.

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Sécurité informatique : Comment se protéger efficacement contre les virus

La protection contre les virus informatiques est une préoccupation majeure dans le monde numérique d’aujourd’hui. Les virus informatiques peuvent causer des dommages considérables à vos données et à votre système, compromettant ainsi votre vie privée et votre sécurité en ligne. Dans cet article, nous vous donnerons des conseils précieux pour vous protéger efficacement contre ces menaces virtuelles.

Utilisez un logiciel antivirus fiable

Un logiciel antivirus fiable est la première ligne de défense contre les virus informatiques. Installez un programme antivirus reconnu et maintenez-le à jour régulièrement. Il analysera votre système à la recherche de tout logiciel malveillant et vous alertera en cas de menace détectée.

Mettez à jour votre système d’exploitation et vos logiciels

Les mises à jour régulières du système d’exploitation et des logiciels sont essentielles pour maintenir votre système sécurisé. Les développeurs publient fréquemment des correctifs de sécurité pour combler les failles potentielles que les virus pourraient exploiter. Veillez à installer ces mises à jour dès qu’elles sont disponibles.

Soyez prudent lors de l’ouverture de pièces jointes et de liens

Les virus informatiques se propagent souvent par le biais de pièces jointes ou de liens malveillants. Soyez extrêmement prudent lorsque vous ouvrez des pièces jointes provenant de sources inconnues ou lorsque vous cliquez sur des liens douteux. Assurez-vous de vérifier l’authenticité de l’expéditeur avant d’ouvrir une pièce jointe et utilisez un outil de détection des liens malveillants pour vous protéger.

Évitez les téléchargements suspects

Les sites web douteux et les sources de téléchargement non fiables peuvent contenir des fichiers infectés par des virus. Évitez de télécharger des logiciels à partir de sources douteuses. Optez plutôt pour des sites web réputés et des plateformes de téléchargement légitimes.

Sauvegardez régulièrement vos données

La sauvegarde régulière de vos données est essentielle pour vous protéger contre la perte de fichiers en cas d’infection par un virus. Utilisez des supports de stockage externes tels que des disques durs ou des services de stockage cloud pour sauvegarder vos données importantes. Assurez-vous de sauvegarder vos fichiers régulièrement afin de pouvoir les restaurer en cas de besoin.

La protection contre les virus informatiques est une responsabilité que chaque utilisateur d’ordinateur doit prendre au sérieux. En suivant les conseils mentionnés ci-dessus, vous pouvez renforcer considérablement votre sécurité en ligne et protéger vos données précieuses. Soyez vigilant, utilisez un logiciel antivirus fiable et adoptez de bonnes pratiques en matière de sécurité pour prévenir les attaques de virus informatiques. Votre tranquillité d’esprit en vaut la peine.

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Descente spectaculaire de la cryptocriminalité malgré l’augmentation des ransomwares

Cryptocriminalité en baisse : diminution des gains des cybercriminels malgré l'essor des ransomwares.

Ransomwares en hausse, mais la cryptocriminalité en baisse : un constat surprenant !

Une diminution significative des cryptoactifs collectés par les cybercriminels

Malgré une hausse préoccupante des attaques de ransomwares, une étude révèle que la cryptocriminalité est en baisse. En effet, les crypto-criminels ont réussi à collecter trois fois moins de cryptoactifs qu’au premier semestre 2022. Découvrez les détails de cette tendance surprenante qui pourrait marquer un tournant dans la lutte contre la cybercriminalité.

Une baisse significative des cryptoactifs collectés

Au cours des derniers mois, les attaques de ransomwares ont connu une augmentation alarmante, laissant présager une montée en flèche de la cryptocriminalité. Cependant, les chiffres révèlent une réalité surprenante : les crypto-criminels ont été beaucoup moins performants dans la collecte de cryptoactifs par rapport à l’année précédente. En effet, leurs gains ont diminué de manière significative, atteignant seulement un tiers de ce qui avait été collecté au premier semestre 2022.

Une possible prise de conscience des victimes

Cette baisse inattendue de la collecte de cryptoactifs par les crypto-criminels peut être attribuée à plusieurs facteurs. Tout d’abord, de plus en plus d’entreprises et d’organisations ont pris des mesures de prévention pour se protéger contre les attaques de ransomwares. Des investissements importants ont été réalisés dans des solutions de sécurité avancées, ce qui a rendu plus difficile pour les cybercriminels de réussir leurs attaques.

De plus, une prise de conscience accrue des risques liés aux ransomwares a conduit à une meilleure préparation des victimes potentielles. Les entreprises ont renforcé leurs politiques de sauvegarde de données, formé leur personnel à la détection des menaces et amélioré leur capacité à réagir rapidement en cas d’attaque. Cette sensibilisation accrue pourrait expliquer en partie la diminution des gains des crypto-criminels.

Les autorités et les experts intensifient leurs actions

En parallèle, les autorités et les experts en cybersécurité intensifient leurs efforts pour lutter contre la cryptocriminalité. Des collaborations internationales sont mises en place pour traquer les cybercriminels et démanteler les réseaux impliqués dans les attaques de ransomwares. Des progrès significatifs ont été réalisés dans l’identification et l’arrestation des individus responsables de ces actes criminels.

De plus, des campagnes de sensibilisation sont menées pour informer les utilisateurs des bonnes pratiques en matière de sécurité informatique et de prévention des attaques de ransomwares. Les entreprises, les organisations et les particuliers sont encouragés à prendre des mesures proactives pour protéger leurs systèmes et leurs données.

Bien que les attaques de ransomwares soient en augmentation, la cryptocriminalité montre des signes de recul. Cette diminution des gains des crypto-criminels peut être attribuée à une meilleure préparation des victimes, à l’adoption de mesures de sécurité avancées et aux efforts continus des autorités et des experts en cybersécurité. Néanmoins, il est crucial de rester vigilant et de continuer à investir dans la protection de nos systèmes et de nos données. Ensemble, nous pouvons combattre la cryptocriminalité et assurer un avenir numérique plus sûr pour tous.

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Soyez Préparé pour Contrer les Ransomwares et Protéger vos Données Précieuses

Les Signes Précurseurs d’une Attaque de Ransomware

Les attaques de ransomware sont de plus en plus fréquentes de nos jours. Ces attaques malveillantes peuvent avoir un impact dévastateur sur les entreprises et les particuliers. Il est donc essentiel d’être bien préparé pour faire face à une éventuelle attaque. Voici quelques signes précurseurs d’une attaque de ransomware à surveiller :

  1. Ralentissement du système : Si votre ordinateur ou votre réseau devient subitement plus lent, cela peut être un signe d’une éventuelle infection par un ransomware. Les ransomwares peuvent consommer une quantité importante de ressources système, ce qui entraîne un ralentissement général.
  2. Messages d’erreur inattendus : Si vous commencez à recevoir des messages d’erreur inattendus, en particulier lors de l’ouverture de fichiers ou de l’accès à des applications, cela peut être le signe d’une attaque imminente.
  3. Fichiers chiffrés : Si vous constatez que certains de vos fichiers ont été chiffrés et que vous ne pouvez plus y accéder, il y a de fortes chances qu’une attaque de ransomware soit en cours.
  4. Demande de rançon : Lorsque vous êtes victime d’une attaque de ransomware, les pirates informatiques exigent généralement une rançon pour déchiffrer vos fichiers. Si vous recevez une demande de rançon, il est crucial de ne pas céder au chantage et de signaler immédiatement l’attaque aux autorités compétentes.

Comment se Préparer à une Attaque de Ransomware ?

Il est essentiel de mettre en place des mesures préventives pour minimiser les risques d’une attaque de ransomware et pour être prêt à y faire face. Voici quelques bonnes pratiques à suivre :

  1. Effectuer des sauvegardes régulières : Assurez-vous de sauvegarder régulièrement vos fichiers importants sur un support externe ou dans le cloud. De cette façon, même en cas d’attaque de ransomware, vous pourrez récupérer vos données sans payer de rançon.
  2. Mettre à jour les logiciels et les systèmes : Les ransomwares exploitent souvent des vulnérabilités dans les logiciels et les systèmes obsolètes. Assurez-vous de maintenir vos logiciels et vos systèmes à jour pour réduire les risques d’attaque.
  3. Sensibiliser les utilisateurs : La sensibilisation des utilisateurs est essentielle pour prévenir les attaques de ransomware. Organisez des formations et des sessions d’information pour informer les utilisateurs des risques potentiels et des mesures à prendre pour se protéger.
  4. Utiliser une solution de sécurité complète : Installez un logiciel de sécurité fiable et mettez-le à jour régulièrement. Assurez-vous qu’il inclut une protection contre les ransomwares pour détecter et bloquer les attaques potentielles.

En conclusion, il est crucial de prendre les mesures nécessaires pour se préparer à une attaque de ransomware. La vigilance, les sauvegardes régulières, les mises à jour et la sensibilisation des utilisateurs sont des éléments clés pour renforcer la sécurité de vos systèmes. N’oubliez pas de signaler toute attaque de ransomware aux autorités compétentes afin de contribuer à la lutte contre ce fléau informatique.

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L’Université Aix-Marseille : Une Cyberattaque Inattendue

L’Université Aix-Marseille, l’un des piliers de l’enseignement supérieur en France, a récemment été la cible d’une cyberattaque d’envergure. Cette attaque sournoise a pris de court l’établissement et a semé le chaos dans ses systèmes informatiques, mettant en péril la sécurité des données et perturbant les activités académiques. Plongeons dans les détails de cette attaque sans précédent.

L’université française, qui détient le plus grand nombre d’étudiants en France avec une population estudiantine de 80 000, a été la cible d’une attaque informatique en milieu de matinée. Heureusement, grâce à un système de surveillance efficace, l’alerte a été déclenchée immédiatement, permettant de prévenir d’importants dégâts potentiels. Cependant, l’université doit désormais mettre en place un plan de reprise d’activité afin de rétablir progressivement ses services.

Une cyberattaque inquiétante :

Cette attaque informatique, provenant apparemment d’un pays étranger, a mis en péril le fonctionnement normal de l’université. Si le système de surveillance n’avait pas réagi promptement, les conséquences auraient pu être désastreuses. Grâce à une alerte immédiate, le réseau a pu être coupé afin de prévenir toute propagation des dommages.

Un plan de reprise d’activité en action :

Pour remédier à cette situation, l’université a élaboré un plan de reprise d’activité qui sera mis en œuvre dès mercredi soir. Cette étape cruciale permettra de rétablir progressivement les services touchés par l’attaque. Les spécialistes en sécurité informatique travaillent sans relâche pour éliminer les vulnérabilités et restaurer l’intégrité du réseau.

La vigilance renforcée :

Face à cette attaque, l’université a renforcé ses mesures de sécurité. Des experts en cybersécurité sont mobilisés pour analyser les failles qui ont permis cette intrusion et prendre des mesures préventives pour éviter de futures attaques. La sensibilisation des utilisateurs aux bonnes pratiques en matière de sécurité informatique est également mise en avant afin de renforcer la résilience du système.

Une remise en route progressive :

Jeudi, l’université procédera à une remise en route progressive des services affectés. Cette approche prudente vise à garantir une réintégration sûre et sécurisée des fonctionnalités essentielles. Les équipes techniques et administratives travaillent en étroite collaboration pour minimiser les perturbations et rétablir rapidement les opérations normales.

L’attaque informatique ayant visé cette université française a été rapidement détectée et maîtrisée grâce à un système de surveillance efficace. La mise en place d’un plan de reprise d’activité témoigne de la volonté de l’université de faire face à cette situation et de restaurer son fonctionnement normal. La vigilance et les mesures de sécurité renforcées permettront d’éviter de futurs incidents similaires. L’université se mobilise pour garantir un environnement numérique sûr et protégé, essentiel à l’épanouissement et à la réussite de ses étudiants.

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Révolutionnons Internet – Dégooglisons pour plus de liberté en ligne

Dans un monde de plus en plus connecté, il est essentiel de prendre le contrôle de notre vie en ligne. Une entreprise en particulier a joué un rôle prédominant dans nos vies numériques, et il est temps de remettre en question cette dépendance. Ainsi, le mouvement « Dégooglisons Internet » a été initié pour offrir une alternative libre et respectueuse de notre vie privée. Dans cet article, nous explorerons les raisons pour lesquelles il est important de dégoogliser Internet et comment cela peut nous conduire vers une expérience en ligne plus éthique et autonome.

Pourquoi dégoogliser ?

  1. Préserver notre vie privée :

La vie privée est un droit fondamental, et il est crucial de la protéger dans notre monde numérique. Dégoogliser Internet nous permet de reprendre le contrôle sur nos données personnelles. En utilisant des alternatives aux services de Google, nous pouvons réduire la quantité d’informations sensibles que nous partageons et ainsi minimiser les risques de surveillance et de violation de la vie privée.

  1. Favoriser la diversité et l’innovation :

Google domine actuellement le marché en ligne, ce qui limite la concurrence et réduit les possibilités d’innovation. En dégooglisant Internet, nous encourageons la diversité des fournisseurs de services en ligne et ouvrons la porte à de nouvelles idées et solutions. Cela permet également de soutenir les petites entreprises et les projets open source qui cherchent à offrir des alternatives plus éthiques et respectueuses de la vie privée.

Comment dégoogliser ?

  1. Recherche alternative :

L’une des premières étapes pour dégoogliser Internet est de trouver des alternatives aux services de recherche de Google. Des moteurs de recherche tels que DuckDuckGo ou Qwant offrent des résultats de recherche pertinents tout en respectant votre vie privée. Ils ne suivent pas vos activités en ligne ni ne collectent vos informations personnelles.

  1. Messagerie et stockage des données :

Pour dégoogliser efficacement, il est important de se tourner vers des services de messagerie et de stockage des données indépendants de Google. Des alternatives telles que ProtonMail et Tutanota offrent un cryptage de bout en bout pour protéger vos communications en ligne. Quant au stockage des données, des services comme Nextcloud ou OwnCloud vous permettent de conserver le contrôle total de vos fichiers.

  1. Système d’exploitation :

Un autre aspect crucial de la dégooglisation est le choix d’un système d’exploitation alternatif. Des projets tels que LineageOS ou Ubuntu Touch offrent des options open source pour smartphones et tablettes, vous permettant de vous éloigner des systèmes d’exploitation contrôlés par Google.

« Dorlotons Dégooglisons »

Dégoogliser Internet est un pas important vers une expérience en ligne plus libre et respectueuse de notre vie privée. En choisissant des alternatives aux services de Google, nous renforçons notre autonomie numérique et contribuons à la diversité et à l’innovation dans le monde en ligne. Il est temps de prendre le contrôle de notre présence sur Internet et de favoriser un Internet plus éthique et équitable

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Comment une cyberattaque pourrait paralyser notre pays

Les cyberattaques sont devenues une menace de plus en plus répandue pour les gouvernements, les entreprises et les individus. Une cyberattaque peut avoir des conséquences graves et potentiellement catastrophiques sur l’infrastructure d’un pays. Dans cet article, nous examinerons comment une cyberattaque pourrait paralyser le pays en explorant les différentes vulnérabilités et impacts possibles.

Comment une cyberattaque pourrait paralyser notre pays

La vulnérabilité des systèmes critiques

Les systèmes critiques, tels que les réseaux électriques, les systèmes de transport et les réseaux de communication, sont devenus de plus en plus dépendants de la technologie et de l’Internet.

Cela signifie que ces systèmes sont également de plus en plus vulnérables aux cyberattaques. Les cybercriminels peuvent exploiter les vulnérabilités des systèmes pour les paralyser ou les perturber gravement, ce qui peut entraîner des conséquences dramatiques pour la société.

Les conséquences sur les services essentiels

Une cyberattaque contre les systèmes critiques peut entraîner des conséquences dramatiques pour les services essentiels, tels que l’énergie, l’eau, le transport et la communication.

Les coupures d’électricité peuvent causer des pannes de système de chauffage, de climatisation et de sécurité, tandis que les coupures de réseau de communication peuvent paralyser les services d’urgence et les communications vitales.

Les conséquences économiques

Une cyberattaque peut également avoir des conséquences économiques importantes pour le pays.

Les attaques contre les entreprises peuvent entraîner des pertes financières importantes, des coûts de réparation élevés et une perte de confiance des investisseurs. Les secteurs clés de l’économie peuvent être gravement touchés, notamment l’industrie, les services financiers, le transport et le tourisme.

Les conséquences sur la sécurité nationale

Une cyberattaque peut également avoir des conséquences graves pour la sécurité nationale.

Les cyberattaques peuvent être utilisées pour voler des informations sensibles, tels que des données militaires, des secrets commerciaux, des données personnelles, ou même pour perturber les infrastructures stratégiques. Cela peut avoir un impact sur la sécurité nationale, la stabilité politique et les relations internationales.

Les mesures de prévention

Il est essentiel que les gouvernements et les entreprises prennent des mesures pour prévenir les cyberattaques. Les systèmes doivent être renforcés contre les vulnérabilités et les failles de sécurité. Des protocoles de sécurité doivent être mis en place pour protéger les informations sensibles et les infrastructures critiques.

Des programmes de formation et de sensibilisation doivent être mis en place pour aider les utilisateurs à comprendre les risques liés à la cybersécurité et à adopter des pratiques de sécurité efficaces.

La nécessité d’une coopération internationale

Enfin, la prévention des cyberattaques nécessite une coopération internationale.

Les gouvernements et les entreprises doivent travailler ensemble pour développer des normes de cybersécurité communes et partager des informations sur les menaces et les vulnérabilités. La coopération internationale est essentielle pour faire face à cette menace mondiale et pour prévenir les cyberattaques qui pourraient paralyser le pays

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 Bien effacer vos fichiers avant de recycler votre ordinateur 

Lorsque vous décidez de recycler ou revendre votre ordinateur, il est essentiel de penser à effacer correctement toutes les données qui y sont stockées.
En effet, il est très facile de récupérer des fichiers même lorsqu’ils ont été « effacés » de manière classique, ce qui peut être très dangereux pour votre vie privée et votre sécurité.

 Bien effacer vos fichiers avant de recycler votre ordinateur

Il existe plusieurs méthodes pour effacer correctement vos fichiers avant de revendre votre ordinateur. Voici quelques exemples :

  1. La réinitialisation de l’ordinateur : cette méthode consiste à remettre votre ordinateur dans l’état où il était lorsque vous l’avez acheté. Toutes les données personnelles et les programmes installés seront effacés et votre ordinateur sera prêt à être utilisé par un autre utilisateur.
  2. L’effacement physique : cette méthode consiste à détruire physiquement les disques durs de votre ordinateur. Cette solution est très radicale mais garantit que vos données ne seront jamais récupérables.
  3. L’effacement logiciel : il existe de nombreux logiciels spécialisés dans l’effacement de données. Ces outils permettent d’effacer de manière sécurisée vos fichiers et de les rendre totalement irrécupérables.
  4. La sauvegarde : avant de revendre votre ordinateur, vous pouvez également opter pour la sauvegarde de vos données sur un autre support (disque dur externe, clé USB, etc.). Cela vous permettra de conserver vos fichiers de manière sécurisée et de les retrouver facilement lorsque vous en avez besoin.

Il est important de choisir la méthode qui convient le mieux à vos besoins et à votre niveau de sécurité.

Titan-informatique et la destruction de données

Notre entreprise basée sur la Ville de la Crau vous propose des services de nettoyage et de sauvegarde informatique pour vous aider à effacer correctement vos fichiers avant de recycler votre ordinateur.
Nous utilisons des outils professionnels pour sécuriser vos données et les rendre totalement irrécupérables, de manière à ce que vous puissiez recycler votre ordinateur en toute tranquillité.

Conseils pour la gestion de vos données

Notre équipe de techniciens expérimentés vous accompagne tout au long de la procédure de nettoyage et vous fournit des conseils et des astuces pour protéger votre vie privée et votre sécurité informatique.
Nous proposons également des services de sauvegarde pour vous permettre de conserver vos données de manière sécurisée et de les retrouver facilement lorsque vous en avez besoin.

N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus sur nos services de nettoyage et de sauvegarde informatique sur la Ville de la Crau.

Nous sommes à votre disposition pour répondre à toutes vos questions et vous aider à effacer correctement vos fichiers avant de revendre votre ordinateur.

Dépannage informatique

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Parlons des attaques par rançongiciel

Malgré les avertissements, de nombreuses victimes paient la rançon demandée, ces logiciels malveillants citant vos données pour vous extraire de l’argent. Ils pensent que c’est le moyen le plus rapide de récupérer leur réseau. La pression est plus forte car les cybercriminels menacent également de révéler des données volées.

Trop d’attaques en silence

Mais le paiement de la rançon signifie que le cycle d’attaque se poursuit, les gangs ransomiens qui utilisent leurs gains mal acquis pour financer des attaques plus ambitieuses. Alors, devrions-nous craindre que l’indemnisation du paiement de l’assurance favorise les cybercriminels?

La réponse n’est pas si simple. D’abord et avant tout, comme dans tous les pays de l’OCDE, le remboursement du paiement d’une rançon en France était déjà possible. La réforme actuelle surveille désormais ce paiement. En fait, il sera conditionnel à déposer une plainte. Cependant, ce n’est pas un point anecdotique. Parce que trop d’attaques de Ransom, le problème de cybersécurité le plus important auquel nous sommes confrontés aujourd’hui a tout simplement passé en silence.

Pour le moment, il est difficile d’avoir une idée précise de ce qui se passe réellement. Même lorsque les entreprises admettent qu’elles ont été victimes d’une cyberattaque, elles restent souvent vagues sur ce qui s’est passé et semble très réticent à décrire un incident comme une attaque de rançon.

Communication vague

Une « cyberattaque grave », un « cybercident qui a causé des perturbations » et « des données cryptées par un tiers ». Ce ne sont que quelques-unes des déclarations des victimes d’attaques par Ransom pour décrire ce qui s’est passé, mais sans jamais mentionner cette expression.

Certaines victimes finissent par être plus ouvertes à ce qui s’est passé, mais seulement des mois ou des années après l’incident. D’autres ne reconnaissent jamais publiquement que c’était un ransomique.

Il est frustrant de ne pas pouvoir avoir une idée complète et claire de ce qui se passe, bien que en lisant entre les lignes des vagues dans les déclarations d’un « cybercident sophistiqué » qui « a dérangé les services » il est clair, il est clair, il est clair qu’il s’agit d’une attaque ransomiciale.

Retourner l’expérience, cependant,
Ce manque de transparence est nocif pour tous. Certaines victimes révèlent très rapidement que c’est un ransomique. J’ai interviewé les victimes d’attaques, comme une fois l’incident, est prête à exprimer officiellement ce qui s’est passé. Il est intéressant d’entendre des instructeurs de systèmes d’information, et les administrateurs de la sécurité informatique s’ouvrent à ce qui s’est passé.

Responsables Cybersécurité

Le point commun entre ces responsables de la cybersécurité qui communiquent est qu’ils veulent aider à empêcher les autres de devenir la prochaine victime. Leur discours est ainsi axé sur les leçons qu’ils ont apprises du renforcement des cyberfants pour prévenir les événements futurs.

Par exemple, il s’agit de mettre à jour leurs systèmes, de créer une approbation multifactorielle et de faire régulièrement des sauvegardes. Tant de mesures qui peuvent aider à arrêter les attaques de Ransomiciel. À propos de ce sujet est le meilleur moment pour agir avant l’attaque.

Changement de mentalités
Les Rançongciales ne sont pas seulement un problème technologique. En fin de compte, ces cyberattaques ont une influence mondiale. Cependant, nous sommes souvent laissés dans l’ignorance des raisons pour lesquelles les services sur lesquels nous dépendons ne fonctionnent pas. Dans certains cas, il semble que la situation change déjà.

Deuxième plus grand district scolaire des États-Uni

Récemment, Los Angeles Unified (LAUSD), le deuxième plus grand district scolaire des États-Unis, a été frappé par une attaque de rançon. Il a immédiatement révélé l’incident aux autorités tout en gardant le public au public. Cette approche a été accueillie par le directeur de l’American Cybersecurity Agency (Cybersecurity and Infrastructure Security Agency, CISA), Jen Easterly. Ce dernier a salué la victime d’effort de transparence.

Gérer une attaque ransomiciale est un défi. Mais la façon dont les organisations en parlent est aussi importante que la réponse technique.

En détaillant ce qui s’est passé et comment l’incident a été résolu, ils montrent que les gangs de rançon peuvent être contrecarrés.

Ce qui pourrait éviter de nouvelles victimes. Dans la lutte contre Ransomik, tout le monde s’intéresse aux attaques est plus transparent.

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« SIM swapping » cette technique permet de prendre le contrôle de votre numéro de téléphone

« SIM swapping » cette technique permet de prendre le contrôle de votre numéro de téléphone

Les excuses qui demande à l’individu d’activer votre numéro sur une nouvelle carte SIM en sa possession. Pour convaincre le service client au téléphone, il utilise des informations privées (date de naissance, adresse, numéro de clientèle, etc.) qu’il a pu trouver sur Internet ou de différentes manières. Lorsque l’opération réussit, le pirate peut alors recevoir des appels et des SMS pour vous.

Auparavant, il aura reçu vos informations personnelles, par exemple, les violations des données, le phishing, la recherche sur les réseaux sociaux, les applications malveillantes, les achats en ligne, les logiciels malveillants, les infections des réseaux sociaux et autres sites Internet, etc. L’usurpateur peut désormais collecter des appels, SMS et accédez aux services bancaires en ligne de la victime.

Banques, Mail, réseaux

Pour mieux sécuriser leurs différents comptes en ligne (banque, réseaux sociaux, etc.), les utilisateurs sont encouragés à utiliser un système d’approbation à double. Ainsi, après avoir entré leurs identifiants (nom et mot de passe) pour se connecter, l’appareil leur envoie un code, souvent de SMS. Il y a beaucoup de gens avec toute leur vie dans le téléphone … c’est là que le « Sim Exchange » intervient.

Cela donne accès à de nombreux types de comptes en ligne, ouvre la porte à différents types d’escroqueries: le vol d’identité, l’extorsion ou même le vol d’argent.


Cette technique vous permet de prendre le contrôle d’un numéro de téléphone et d’ouvrir la porte à différents types de hacks. Dans cette expression, le « vol » des numéros de téléphone portables de quelqu’un est essentiellement et fondamentalement.

Une chose triviale que votre smartphone peut contenir une carte bancaire ou une fidélité, elle distille les données de localisation pour les endroits importants, d’informations importantes, etc. de toutes.

Une carte SIM

À ce moment-là, je vois que vous avez blâmé et il y a quelque chose. De plus, cela ne nécessite pas beaucoup d’expertise technique.

Dans les vols les plus courants dudit processus, un délinquant négligera le service client de votre opérateur et vous fera semblant d’être pour vous. En fait, votre numéro est lié à une carte SIM.

Il s’agit d’une puce qui contient un microcontrôleur et une mémoire. Il stocke des informations spécifiques à l’abonné à un réseau mobile, en particulier pour les réseaux GSM, UMTS et LTE.

Cette petite puce de votre téléphone identifie et vous permet de résumer, de vous connecter aux réseaux téléphoniques, de 3G, 4G et bientôt 5G.

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Entreprise d’informatique pour professionnels Hyères

Chez Titan-informatique, entreprise d’informatique pour professionnels basée à Hyères.

Nous sommes une entreprise spécialisée dans les solutions informatiques pour les professionnels de tous les secteurs. Nous proposons une gamme complète de services et de produits pour répondre à tous vos besoins en matière de technologie de l’information.

Expertise informatique

L’équipe d’experts en informatique est à votre disposition pour vous conseiller et vous accompagner dans vos projets informatiques. Une expertise est à votre disposition pour vous aider à optimiser vos processus de travail et à améliorer votre productivité.

Nous proposons également une gamme de produits informatiques de qualité pour équiper votre entreprise. Nous avons des ordinateurs de bureau, des ordinateurs portables, des imprimantes et des accessoires pour répondre à tous vos besoins en matière de matériel informatique.

Offres informatique

En plus de nos services et produits, nous proposons également des solutions de gestion de la sécurité informatique pour protéger votre entreprise des menaces en ligne.

L’entreprise propose également en mesure de vous fournir des solutions de sauvegarde de données pour assurer la protection de vos informations sensibles.

Titan-informatique, entreprise de services informatiques offre une gamme complète de services pour répondre à tous vos besoins en matière de technologie.

Que vous cherchiez de l’assistance pour votre ordinateur personnel ou pour votre entreprise, nous sommes là pour vous aider.

Nos techniciens qualifiés sont à votre disposition pour résoudre tous vos problèmes informatiques, de la réparation de matériel à la mise en place de solutions logicielles.

Nous proposons également des services de conseil et de formation pour vous aider à tirer le meilleur parti de votre technologie.

N’hésitez pas à nous contacter pour discuter de vos besoins en matière d’informatique et pour découvrir comment nous pouvons vous aider à améliorer votre entreprise.

Nous sommes impatients de vous aider à atteindre vos objectifs.

info@titan-informatique.fr

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Les attaques par ransomware sont de plus en plus nombreuses

Les attaques de ransomware sont en augmentation et nous avons des raisons de penser qu’elles vont devenir un problème plus important. Par conséquent, il est important de connaître tous les prestataires de dépannages informatiques sur Hyères en 2023 qui peuvent vous aider à y faire face à l’avenir.
Il s’agit notamment de conseils de dépannage pour des attaques de ransomware spécifiques, de la façon de protéger votre ordinateur contre ces attaques, de la façon d’obtenir de l’aide si vous rencontrez des problèmes et de la façon d’éviter d’être considéré comme un porteur de risque.

Les attaques par ransomware sont de plus en plus nombreuses

Les entreprises qui veulent garder une longueur d’avance dans le monde numérique devraient envisager d’investir dans des services de sauvegarde informatique pour leur infrastructure TI.

Non seulement ces services offrent un moyen sûr de protéger les données vitales, mais ils permettent également de les récupérer rapidement en cas de sinistre. Un bon système de sauvegarde peut contribuer à garantir le bon déroulement, sans interruption, des opérations commerciales.

Avec la bonne solution de sauvegarde, les entreprises peuvent être préparées à toute éventualité et avoir la certitude que leurs données sont sécurisées.

C’est particulièrement important à notre époque, où les violations de données sont de plus en plus fréquentes. Avec le bon système de sauvegarde en place, les entreprises peuvent être sûres que leurs données sont en sécurité. À l’avenir, les services de sauvegarde informatique ne feront que gagner en importance.

Attaques informatiques

D’ici 2023, il sera essentiel pour les entreprises de disposer de systèmes de sauvegarde fiables afin de s’assurer que leur activité est capable de survivre à toute situation d’urgence. Investir dès maintenant dans une bonne solution de sauvegarde informatique peut vous aider à préparer l’avenir de votre entreprise pour les années à venir.

Les attaques de ransomware sont en augmentation, et pour cause. De plus en plus d’utilisateurs prennent conscience des dangers des ransomwares et sont plus enclins à nous demander de l’aide. Et, comme nous l’avons vu par le passé, les ransomwares peuvent être très dangereux. Si vous rencontrez toujours des problèmes après avoir utilisé notre guide de dépannage, vérifiez que votre ordinateur ne présente aucun signe d’infection.

Les entreprises de toutes tailles ont besoin de services de sauvegarde informatique fiables pour s’assurer que leurs données sont sécurisées et sauvegardées en cas d’urgence. Avec l’évolution rapide de la technologie, il existe de nombreuses options différentes parmi lesquelles les entreprises peuvent choisir – des serveurs sur site aux solutions basées sur le cloud.

Mais avec les nouveaux services informatiques disponibles en 2023, il existe des options encore plus efficaces et rentables pour les entreprises. Par exemple, de nombreuses entreprises se tournent vers des services pilotés par l’IA pour automatiser leurs sauvegardes informatiques.

Services de sauvegarde

Ces services sont non seulement plus rapides et plus sûrs, mais ils peuvent également fournir des notifications en temps réel pour tout problème qui survient, ce qui permet une résolution plus rapide des problèmes. En outre, les services pilotés par l’IA peuvent détecter les menaces potentielles et les traiter rapidement avant qu’elles ne deviennent un problème.

Si vous recherchez un service de sauvegarde informatique fiable pour votre entreprise, c’est le moment d’investir dans les nouveaux services informatiques disponibles en 2023 – ils vous feront gagner du temps, de l’argent et la tranquillité d’esprit.

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Tout le monde parle de Cloud, mais qu’est-ce que c’est?

Le Cloud devenant de plus en plus populaire, il est important de comprendre ce qu’il est et comment il peut bénéficier à votre entreprise. Le cloud computing est un type d’informatique basée sur Internet qui fournit des ressources de traitement informatique partagées et des données aux ordinateurs et autres appareils à la demande. C’est un moyen de rendre votre entreprise plus efficace et productive, et cela peut vous faire économiser de l’argent à long terme. Voici quelques éléments à prendre en compte si vous envisagez de passer au Cloud.

Tout le monde parle de Cloud, mais qu'est-ce que c'est?
Tout le monde parle de Cloud, mais qu’est-ce que c’est?

La sauvegarde cloud est une solution de sauvegarde et de restauration des données en ligne. Elle permet aux utilisateurs de sauvegarder et de restaurer leurs fichiers à distance, sans avoir à installer de logiciel sur leur ordinateur. La sauvegarde cloud est une solution pratique et économique pour les particuliers et les entreprises.

Cloud souverain

Le cloud souverain français est un projet ambitieux visant à mettre la France en conformité avec les normes européennes en matière de Cloud Computing. Le projet vise à fournir une plate-forme de cloud publique et privée pour les entreprises françaises, tout en garantissant la sécurité et la confidentialité des données.

La solution de sauvegarde

Il y a plusieurs solutions de sauvegarde disponibles pour les ordinateurs, mais la meilleure est probablement de sauvegarder vos fichiers sur un disque dur externe. brancher et à débrancher, et vous pouvez également les transporter facilement d’un endroit à l’autre. De plus, les disques durs externes ont généralement une grande capacité de stockage, ce qui vous permettra de sauvegarder beaucoup de fichiers.

Scénarios de risque de sauvegarde informatique

La sauvegarde informatique est cruciale pour la préservation des données et des systèmes d’information. Cependant, il existe plusieurs scénarios de risque qui peuvent mettre ces données et systèmes en péril. Parmi les plus courants, on peut citer les pannes de matériel, les logiciels malveillants, les attaques externes et les erreurs humaines. Tous ces scénarios de risque peuvent avoir des conséquences graves pour une entreprise, notamment en termes de perte de revenus, de productivité et de clients.

Processus d’amélioration continue d’eCura.fr

Le processus d’amélioration continue est un processus par lequel les entreprises essaient de réduire les défauts de leurs produits et services. eCura.fr a mis en place ce processus afin de garantir la qualité de ses produits et services. eCura.fr travaille en collaboration avec ses clients pour identifier les défauts de ses produits et services et trouver des solutions pour les corriger.

Cloud souverain et sobre

Pour déterminer le service optimal en matière de sauvegarde, d’empreinte écologique ou encore de sécurité, eCura travaille depuis maintenant plus de 2 ans sur des solutions d’optimisation extrêmement simples. En effet, si le volume de données n’est pas le critère principal, eCura peut proposer des services en multipliant les caractéristiques des offres. Ces solutions permettent notamment de réduire considérablement la consommation d’énergie et les coûts de fonctionnement, tout en garantissant une haute disponibilité et une excellente sécurité des données.

Pour entreprise et particulier

L’entreprise et le particulier peuvent tous deux bénéficier de la sauvegarde informatique eCura. La sauvegarde informatique eCura permet de sauvegarder les fichiers et les données importantes sur un ordinateur ou un serveur, ce qui est très pratique en cas de panne de système ou de suppression accidentelle de fichiers. De plus, la sauvegarde informatique eCura est souvent plus sûre que la sauvegarde physique, car elle est moins susceptible d’être endommagée par des incendies ou des inondations.

Chiffrement AES-256

Le chiffrement AES-256 est une méthode de chiffrement de données qui utilise une clé de 256 bits. AES-256 est considéré comme étant l’un des chiffrements les plus sécurisés disponibles aujourd’hui.

Multi versions de fichiers

Le versionnage de document est une technique utilisée pour gérer les différentes versions d’un document. Cela permet de suivre les modifications apportées au document, de restaurer des versions précédentes si nécessaire, et de comparer les différentes versions.

Double backup instantané

Le double backup instantané est une fonctionnalité très pratique qui permet de sauvegarder automatiquement vos fichiers sur deux appareils différents. Cela vous permet de ne pas perdre vos fichiers si l’un des appareils tombe en panne ou est endommagé.

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En finir avec les Ransomware en interdisant le paiement de la rançon?

Des nouvelles récentes ont été riches en cyber-attaques « ransomware ». L’interdiction de payer les rançons peut-elle résoudre le problème?

En finir avec les Ransomware en interdisant le paiement de la rançon?

Les serveurs de votre entreprise refusent soudainement de travailler. Toutes les données (y compris vos sauvegardes) sont cryptées et que personne ne peut y accéder. C’est l’arrêt total de l’activité. Le diagnostic tombe rapidement: c’est un ransomware (ransomware). Les pirates vous appellent cryptos en échange d’un remède qui vous permet d’accéder à nouveau à vos données. De plus, les pirates menacent de commencer à révéler vos données si vous ne payez pas. SUITE

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Ransomware: Comment réagir en cas d’attaque ?

Bien que les cybercriminels soient différents, les cybercriminels se sont illégalement appropriés, les données personnelles d’une personne, la cybercriminalité (Ransomware, virus, etc…) sont un sujet très « topique », avec une augmentation sans précédent au cours des dernières années. Répondre en cas d’attaques et les bons réflexes de la cybersécurité à adopter afin de se protéger légalement.

Ransomware Comment réagir en cas d’attaque?

Contre Cybermen: Protection des données à caractère personnel et prévention des erreurs de sécurité
L’Agence nationale de la sécurité informatique (ANSI) a traité 104 cas de ransomware ou de classement des attaques en 2021, soulignant l’importance d’adopter des systèmes informatiques sûrs pour limiter le risque d’attaques rapides. Un type d’attaque dont l’agence européenne du réseau et de l’informatique conteste-t-elle en majorité et faisant actuellement partie des 15 menaces les plus importantes.

Dans le cadre de la crise de la santé CVIV-19, nous avons pu observer une transition plus qu’une grande transition au numérique, ce qui a pour conséquence de faciliter pratiquement l’accès aux données à caractère personnel par l’un des cybercriminels.

La gravité de l’utilisation des systèmes informatiques n’a augmenté que le nombre d’attaques ainsi que leur gravité; Les attaquants saisissent cette occasion pour eux une occasion d’or de lancer des attaques ciblées sur des systèmes fragiles.

Compte tenu de l’augmentation impressionnante de la fréquence, mais également de la portée des cyberattaques depuis 2018, les gouvernements n’ont plus la possibilité de simplement ignorer ce sujet. En fait, la protection des données à caractère personnel ainsi que la prévention des erreurs de sécurité est devenue une priorité incontournable de toute forme d’organisations dans le monde entier.

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Next INpact, attaqué en justice par Avisa Partners.

Arrêt sur Image, Mediapart, l’ADN ou encore Reflets sont également attaqués par cette société.

L’effet Streisand désigne un phénomène médiatique involontaire. Cela survient lorsque nous voulons empêcher la divulgation d’informations que nous aimerions cacher – qu’il s’agisse d’une simple rumeur ou d’un fait véridique – nous déclenchons le résultat opposé.

MAJ:

Le 28 juin, les journalistes de Next INpact ont annoncé un papier sur la société Avisa Partners, désigné par Fakir et MediaPart pour une désinformation massive. Elle aurait transmis des articles pour une désinformation sur des sites alternatifs spécialisés et des blogs de médias bien connus tels que MediaPart et Les Échos.

Avisa Partners est un groupe de conseil français spécialisé dans la redatation électronique, la cybersécurité, l’intelligence financière, l’enquête et les relations publiques. Son siège social est situé à Paris et la société est présente dans sept autres pays.

Il est publiquement accusé de désinformation de plusieurs études journalistiques, en 2015 dans l’affaire des tribunes fantômes créée à l’occasion de l’OPA du clubMed et en 2022 dans le cadre des fichiers Uber pour avoir manipulé de grandes informations à l’échelle sur de nombreux médias en ligne ainsi que sur Wikipedia.

Avisa Partners n’aime pas que la presse enquête sur ses activités de lobbying et ses méthodes.

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Ransomware: Les dépôts de plaintes ne sont pas encore au top!

Les données récemment publiées, mettent en évidence la croissance des attaques de ransomware, selon cybermalveillance.gouv.fr.

Ransomware Les dépôts de plaintes ne sont pas encore au top!

Le 24/11/2021 Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) publie pour la première fois une étude sur les attaques de classement des entreprises et des institutions. Les résultats présentés dans cette étude proviennent d’un premier travail exploratoire. La cyberdelinquance ne correspond pas à une infraction ou à l’un de l’indice d’état 4001 (série historique suivie du ministère de l’Intérieur), mesurant le phénomène développé.

Entre 2016 et 2020 enregistré des services de police et de la gendarmerie nationale entre 1.580 et 1.870 procédures relatives aux attaques de logiciels malveillants (classement d’une rançon d’un accès à l’accès aux données). Les entreprises et les institutions. Quelle que soit l’estimation conservée, la tendance est la même.

En particulier, conformément à l’estimation haute, le nombre de procédures ouvertes dans le cadre d’attaques de rang plus 3% par an jusqu’à 2019, avec une accélération entre 2019 et 2020 (+ 32%).

Bien que ce phénomène est en place, les procédures en rapport avec les attaques et les institutions des entreprises ne représentent que 15% des attaques sur les systèmes de traitement automatisé des données enregistrées entre 2016 et 2020.

Certains secteurs d’activité sont plus ciblés que d’autres. Le secteur industriel est particulièrement touché: Elle équivaut à 15% des victimes enregistrées contre 7% de la substance économique en France. De même, le secteur de l’administration publique, l’éducation, la santé humaine et de l’action sociale est surreprésenté: 20% des victimes de 13% des institutions en France.

A propos SSMSI.
SSMSI est le service statistique responsable de la sécurité intérieure, le ministère de l’Intérieur. Sa mission est de produire et de rendre publics à la disposition des statistiques publiques et des analyses sur la sécurité intérieure et de la criminalité. Il compose avec l’Insee et 15 autres services statistiques du département service statistique public. En tant que tel, SSMSI respecte un certain nombre de règles pour maintenir la confiance dans les informations produites et diffusées, en particulier l’indépendance professionnelle, la fiabilité, la neutralité, la qualité des processus, la méthode solide, la disponibilité.

Comme les autres membres de services statistiques publics, son programme de travail fait l’objet d’une consultation de tous les utilisateurs du Conseil national de l’information statistique (CNIS), et son activité est évaluée par la statistique publique (ASP).

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Conseils pour vous protéger des ransomwares

Avez-vous reçu un message douteux qui contient des pièces jointes ? Avez-vous trouvé une clé USB par hasard ? Prenez soin de ransomware ou rançongiciels ! Vos données peuvent être chiffrées et c’est le drame! Voici des conseils pour réduire les risques.

Conseils pour vous protéger des ransomwares

Qu’est-ce qu’un ransomware ou rançongiciels?

De plus en plus, vous recevez des messages douteux contenant des pièces jointes ou des liens qui vous invitent à les ouvrir. Il faut se méfier ! Malvey -Software appelé « rançon » ou « ransomware » peut s’y cacher. Leur objectif ? Cryptez (COD) vos données pour vous faire une rançon. Bien sûr, cela ne garantit pas la récupération de vos données. Il est donc préférable de vous protéger de ce type d’attaque.

Comment vous protéger des ransomwares?

Comment vous protéger des ransomwares?

Bonne attitude N ° 1:
Faites des sauvegardes régulières de vos données (eCura.fr)

C’est la meilleure façon de couper l’herbe sous le pied des pirates qui veulent prendre vos données comme otages! Déplacez la sauvegarde physique de votre réseau (hors du réseau), placez-la dans un endroit sûr et assurez-vous qu’il fonctionne!

Bonne attitude N ° 2:
N’ouvrez pas les messages dont l’origine ou le formulaire est discutable

Ne soyez pas trompé par un simple logo! Pire encore, le pirate a peut-être récupéré certaines de vos données plus tôt (par exemple, les noms de vos clients) et créer des adresses électroniques E qui ressemblent à un détail proche de vos interlocuteurs habituels.

Alors gardez beaucoup de vigilant! Certains messages semblent complètement authentiques.

Apprenez à identifier les emails E (ou d’autres formes de récupération de vos données) sur le site à l’Agence nationale pour les systèmes d’information (ANSSI).

Avez-vous des doutes? Contactez directement un informaticien. Services informatique Hyères

Bonne attitude N ° 3:
Apprenez à identifier les extensions douteuses

Vous recevez généralement des fichiers .doc ou .mp4 (par exemple) et le fichier de message que vous êtes dans le doute se termine par un autre type d’extension ? Ne les ouvrez pas ! Voici quelques exemples d’extensions douteuses: .pif, .com, .bat; .Exe, .vbs, .lnk, … Prenez soin de l’ouverture des pièces jointes du type .scr ou .cab. Comme l’agence nationale pour les systèmes d’information (ANSSI) se souvient, ce sont des extensions de compression des campagnes CTB-Locker qui rage entre les individus, les PME ou la mairie.

Bonne attitude N° 4 :
mettez à jour vos principaux outils

On ne vous le dira jamais assez : traitement de texte, lecteur PDF, navigateur, mais aussi antivirus… Veillez à mettre à jour vos logiciels !

Si possible, désactivez les macros des solutions de bureautique qui permettent d’effectuer des tâches de manière automatisée. Cette règle évitera en effet la propagation des rançongiciels via les vulnérabilités des applications.

Considérez que, d’une manière générale, les systèmes d’exploitation en fin de vie, qui ne sont plus mis à jour, donnent aux attaquants un moyen d’accès plus facile à vos systèmes.

Bonne attitude N ° 5 : Utilisez un compte « utilisateur » plutôt qu’un compte « administrateur »

Évitez de naviguer à partir d’un compte administrateur. L’administrateur d’un ordinateur a un certain nombre de privilèges, comme effectuer certaines actions ou accéder à certains fichiers cachés sur votre ordinateur. Préférez l’utilisation d’un compte utilisateur. Cela ralentira, même, découragera le voleur dans ses actes malveillants.

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Combien les entreprises françaises ont perdu face aux Cyberattaques depuis janvier

« En seulement quatre mois, le nombre d’entreprises attaquées par des ransomware est déjà égal à 50% de 2021. La menace de ransomware reste également élevée avec 35 à 40 groupes actifs », avertit Alban Ondrejeck, expert en cyberdéfense et co-fondateur de Anozr Way, une startup française spécialisée dans l’analyse des données exposées sur le Web, Darkweb et la protection des personnes à la lumière des cyber risques, à l’origine du baromètre. Son étude montre 1 142 attaques représentant 80 pays influencés par 42 groupes de ransomwares entre janvier et avril 2022.

Plus de 650 millions € de chiffre d’affaires perdu par les entreprises Françaises sur 4 mois.

Plus de 650 millions € de chiffre d’affaires perdu par les entreprises Françaises sur 4 mois.

Les autres points forts de la période sont le secteur de l’énergie, particulièrement ciblé par les cyberattaques dans le monde. En quatre mois, « il y a déjà +138% des sociétés énergétiques victimes de ransomwares par rapport à l’ensemble de 2021 ».

Les données de presque 170 000 Français rendu disponible sur internet suite aux attaques.

Les données de presque 170 000 Français rendu disponible sur internet suite aux attaques.

Toute la chaîne de production est affectée : les industries d’extraction, le transport, le stockage, la distribution.

Coût ? 128 000 € en moyenne par entreprise.

Coût ? 128 000 € en moyenne par entreprise.

Ransomware ou « Rançongiciel » en français est une technique d’attaque cybercriminel qui consiste à infiltrer l’appareil de la victime et à installer des logiciels malveillants qui interfèrent avec la fonction du système informatique et, à leur tour, les données. Seul le paiement d’une rançon de la victime de l’attaquant permettrait de faire déchiffrer la clé. L’impact financier des sociétés françaises est estimée à 660 millions d’euros de perte cumulative de revenus.

Une entreprise Française sur deux victimes de ransomwares est une TPE-PME.

Une entreprise Française sur deux victimes de ransomwares est une TPE-PME.

Les coûts comprennent la perte directe et indirecte de l’entreprise. Plus précisément, ceux correspondant au coût de la réponse à l’incident et à la gestion de la crise (ressources humaines supplémentaires pour répondre à l’attaque, aux frais juridiques, etc.), mais aussi indirectement liés à la perturbation des activités. Ce montant estimé n’inclut pas le paiement possible d’une rançon , qui peut représenter une moyenne de 128 000 € par entreprise. La France serait le troisième pays le plus touché de l’Union européenne. LIEN

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Faites-vous partie des millions de victimes du Hack de l’assurance maladie ?

Mise à jour :quelques heures après la publication de cet article, Ameli a expliqué qu’il avait découvert aucune attaque. Dans le même temps, la publication du pirate a été retirée. Il semble donc que ce soit une fausse alarme.

C’est le site Zataz qui sonne l’alarme. Selon lui, plus d’un million de français ont vu leur compte d’assurance maladie piratée avec une fuite de données en ligne. Pas de doute sur une opération contre le service d’assurance maladie, Ameli.fr. En ce moment, ces données personnelles sont en vente en ligne.

Malgré l’importance des données transitant du côté de l’assurance maladie, les erreurs sur la plateforme se multiplient ces derniers temps. Selon les messages et courriers privés, c’est donc au tour des informations personnelles de santé de circuler sur le web.

Une personne malveillante a en effet mis en vente un million d’identifiants et de mots de passe donnant accès aux comptes de l’assuré. Si ce dernier n’a pas révélé sa méthode d’obtention de ces informations, deux hypothèses sont envisagées : une erreur 0-day ou (plus probablement) une campagne massive de phishing.

Dans ce dernier cas, les victimes seraient alors tombées dans un piège devenu classique : un faux email demandant à nouveau des informations, un faux SMS, etc.

Si cette fuite inquiète, c’est parce qu’elle donne pour la première fois accès à des données extrêmement sensibles. Les informations piratées de l’Assurance Maladie vont du numéro d’état civil à l’adresse postale, qui du côté des médecins transmet les informations bancaires nécessaires au remboursement.

Leur mise en vente donne donc une chance à d’autres mal intentionnés d’exploiter ces informations à des fins personnelles ou frauduleuses : usurpation d’identité, détournement de fonds, vol de données personnelles.

C’est d’autant plus inquiétant que le hacker à l’origine de cette fuite ne demande que 6 000 $ soit environ 5 700 € pour mettre la main sur cette liste d’un million de comptes.


L’hypothèse la plus probable sur l’origine du piratage étant une campagne de phishing, vous devez d’abord vérifier que vous n’avez pas répondu à un e-mail ou SMS suspect de l’Assurance Maladie.

Le nombre de 1 million laisse cependant dubitatif !
1 français sur 60 se serait fait piéger par un faux courriel AMELI !

Que vous ayez fait l’erreur ou non, vous devez changer tous les mots de passe de votre compte AMELI. Enfin, surveillez attentivement l’activité de votre compte AMELI dans les semaines et mois à venir en attendant que votre mutuelle renforce sa sécurité

Pendant ce temps, le site Ameli.fr affiche un bandeau rouge invitant à être à l’affût des tentatives de phishing. Il existe plusieurs astuces pour éviter de se faire prendre. Un premier pas rassurant en attendant le mieux.

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Une plate-forme française montre des cyber-menaces contre l’Ukraine

Un projet conjoint sur Cybercampus avec plusieurs acteurs privés montre les attaques en Ukraine depuis le début de la guerre et propose de télécharger des fichiers pour éviter les attaques.

Une plate-forme française montre des cyber-menaces contre l’Ukraine


Nous pouvons parler d’une première initiative conjointe depuis le lancement de Cyber ​​Campus en février. Une plate-forme de collaboration montre les cyber-menaces les plus importantes qui ont émergé depuis l’invasion de l’Ukraine de la Russie. Plus qu’un simple lieu d’information montre que ce portail est des rapports sur les derniers logiciels malveillants.

Encore mieux, tout gestionnaire informatique d’une entreprise peut télécharger des fichiers contenant des informations malveillantes utilisées en Ukraine pour sécuriser davantage le système de protection informatique. Par conséquent, un montant électronique ou un lien frauduleux utilisé auparavant dans le conflit peut être détecté par un logiciel, une fois mis à jour. Tous les rapports et fichiers à télécharger peuvent être trouvés dans la section Portal Share. LIEN

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Le groupe d’ingénierie français Akka est affecté par une attaque au ransomware

Akka Technologies, un groupe d’ingénierie et de conseil français, a été frappé par une attaque de ransomware qui affectent une bonne partie de l’entreprise et les 21 000 employés.

Le groupe d’ingénierie français Akka est affecté par une attaque au ransomware

Akka est l’un des plus grands conseils technologiques et technologiques européens. Il vient d’être acheté par le groupe suisse Adecco, qui l’a retiré début mai à la Bourse. Adecco fusionnera l’entreprise avec sa filiale MODIS, qui se spécialise également dans l’ingénierie, pour créer un nouveau géant de service en technologie capable de rivaliser avec des acteurs plus importants dans le secteur tels que Cap Gemini.

Ingénierie, pour créer un nouveau géant de service dans une technique capable de concurrencer les plus grands acteurs du secteur en tant que Cap Gemini.

Il s’agit d’une attaque de ransomware où le pirate trouve les données sur sa victime et revendique une rançon pour donner les clés pour déchiffrer. Akka Technologies ne veut pas donner de détails sur l’étendue de l’attaque pour ne pas informer l’attaquant.

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Une université ferme définitivement ses portes après un ransomware

Lincoln College, une université américaine située dans l’État de l’Illinois, ferme ses portes ce vendredi après une cyberattaque de type ransomware qui a duré des mois maintenant. NBC News rapporte qu’il s’agit de la première université qui se termine en raison d’une attaque de ransomware.
L’université prétend avoir enregistré un nombre record de l’inscription des étudiants à l’automne 2019. Cependant, la pandémie de covid-19 a provoqué une diminution significative de l’inscription, certains étudiants qui ont choisi de reporter leur entrée à l’université ou de faire une pause . Le Lincoln College – l’un des rares zones ruraux qualifiés en tant qu’établissement noir prédominant du ministère de l’Éducation – a déclaré que cela avait affecté sa situation financière.

En décembre 2021, l’université a subi une cyberattaque importante des ransomwares. Les pirates ont réussi à bloquer l’accès à tous les systèmes nécessaires aux efforts de recrutement, de fidélité et de collecte de fonds, et nécessitent une rançon pour débloquer la situation. Ce n’est qu’en mars 2022 de sortir de la situation. Mais il y a eu des déficits d’enregistrement importants qui ont besoin d’un don de transformation ou d’un partenariat pour soutenir le Lincoln College au-delà du semestre en cours.

Lincoln College est né il y a 157 ans en 1865. Il fermera donc ses portes le 13 mai 2022. L’université s’engage à aider les étudiants à passer à une nouvelle école. LIEN1/ LIEN2

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Ransomware, un service comme les autre?

En France, le nombre d’attaques de ransomware a augmenté de 255% en un an, selon un rapport Anssi/BSI.

Ransomware, un service comme les autre?

La quatrième édition du rapport Anssi/BSI vient d’être publiée. Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI)et Bundesamt Für Sicherheit In der InformationChnik (BSI) Rapport sur une intensification des attaques. Ainsi, entre 2019 et 2020 en France, leur nombre a augmenté de 255%.

La collectivité territoriale, les secteurs de la santé et les fournisseurs de services numériques ont été parmi les plus ciblés des ranesomwares au cours de la période.

«Initialement, Ransomwares était le plus souvent utilisé contre des utilisateurs individuels et les enquêtes sur Ransom étaient relativement faibles», souligne les auteurs de l’écrivain. Depuis lors, la cybercriminalité en tant que service (CCAAS ou cybercriminalité-AS-AS-SERVICE) entre en vigueur, notamment le ransomware en tant que service (RAAS) et l’utilisation des courtiers d’accès.

En outre, des groupes avec des compétences techniques élevées ciblent le réseau de grandes entreprises et d’institutions pour nécessiter une rançon significative ou même saboter leurs objectifs.

ANSSI et BSI alerte au niveau de la menace cyber en France et en Allemagne en relation avec la crise d’assainissement

Pour la 3ème édition du rapport Franco-Allemagne Signaler « Picture commune », l’Agence nationale des systèmes d’information (ANSSI) et son homologue, Bundesamt für Sicherheit in Der InformationChnik (BSI), en trouvant une très rapide augmentation du niveau de la cybertress en France et en Allemagne. Dans la continuité d’un cours initié en 2019, le nombre de cyberattaques a explosé: le nombre de victimes a été multiplié par 4 en un an. Ceci est particulièrement préoccupant, en particulier dans un contexte où chaque cyberattaque aura probablement une détérioration des effets en raison de la crise de la santé.
L’absence de conscience des cyber-risques, de non-contrôle des systèmes d’information, de non-respect des mesures d’hygiène informatique, du manque d’experts en cybersécurité et dans une certaine mesure l’augmentation de l’attaque de surface due à la généralisation du travail à distance, toutes les faiblesses sont utilisées. par cybercriminels. Et cela a eu avec succès la campagne pour les attaques qui ont frappé la France et l’Allemagne en 2020, ont perturbé de nombreuses activités et ont entraîné des pertes financières importantes.

Dans le cadre de la crise d’assainissement, l’ANSSI et BSI sont particulièrement conscientes de toute cybercrattage pouvant affecter les systèmes de santé français et allemands ou les chaînes d’approvisionnement. Leur dépendance numérique, qui est leur attrait pour les cybercriminels, est prouvée. L’utilisation massive des services numériques externalisés, souvent moins sûres, est une pratique généralisée que les assaillants ne manquent pas d’exploiter.

Le ciblage du système de santé dans son ensemble et des chaînes d’approvisionnement est une grande menace. En fait, ces cyberattaques pourraient avoir des effets critiques sur notre capacité à faire face à la pandémie. La « photo d’emplacement commun » permet à ANSSI et BSI de revenir à ces menaces, dans le contexte spécial de la crise de la santé.

« Alors que Coronavirus arrête la transformation numérique et la cybercriminalité non aux frontières nationales. Par conséquent, une coopération étroite avec l’ANSSI, notre partenaire français est essentiel. Les secteurs de la santé français et allemand sont confrontés à un défi majeur: combattre la pandémie tout en protégeant des cyberattaques possibles. Hôpitaux, Les producteurs de vaccins et leurs chaînes d’approvisionnement sont de plus en plus ciblés par les attaquants. Les échelles ou les erreurs dans les soins de santé peuvent avoir des conséquences dévastatrices que nous ne pouvons pas nous permettre, en particulier lors d’une pandémie de cybersécurité, BSI a pris des mesures actives pour améliorer les mesures de la sécurité. Dans le secteur de la santé. Par exemple, au printemps, BSI a contacté les fabricants de vaccins pour sensibiliser le public aux cyber-risques. Nous travaillons également en étroite collaboration avec le gouvernement fédéral pour la protection des chaînes d’approvisionnement de vaccins. Cependant, les entreprises doivent contribuer à cet effort, par exemple en effectuant les investissements nécessaires à leur it-quoi Rhen « , explique Arne Schönbohm, président de BSI.

« L’augmentation éblouissante de la menace cybernale combinée à un espionnage numérique illimitée et de grands risques pour les systèmes critiques très efficaces nécessite plus que jamais la conscience. Nous devons agir à tous les niveaux et accroître la coopération internationale, comme elle entre l’Allemagne et la France », déclare Guillaume Poudard, directeur général de l’ANSSI.

Cybersécurité après Covid-19: priorités de l’ANSSI et BSIS
Soulignant les premiers retours de la crise et est décisivement contre l’avenir, ANSSI et BSI ont donc défini quatre objectifs.
Afin d’empêcher la croissance exponentielle de la cybercriminalité de masse. Deuxièmement, le développement de systèmes de communication sûrs, qui s’est révélé inadéquat à tous les niveaux de la pandémie. Ensuite, la prise de conscience des problèmes de sécurité de la chaîne d’approvisionnement, qui doit faire partie intégrante des évaluations de cyber-risques. Appelle enfin la deuxième et BSI pour l’intégration des problèmes de cybersécurité de la conception du produit.

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3 cliniques spécialisées dans les soins ostéopathiques touchés par le Ransomware Lockbit 2.0

Bien que les vols et autres par logiciels malveillants sur les magasins d’applications continuent de croître, les logiciels traditionnels restent l’un des secteurs les plus lucratifs de la criminalité numérique.

3 cliniques spécialisées dans les soins ostéopathiques touchés par le Ransomware Lockbit 2.0

L’un des spécialistes de cette région, Lockbit 2.0, annonce avoir fait de nouvelles victimes françaises, avec des milliers de fichiers volés.

Trois cliniques couvertes par le Ransomware
Lockbit 2.0 Computer Hacker Group Repeat. Spécialisé dans le chantage numérique, cette bande organisée croit désormais en plus de 500 victimes, certainement plus que payé la rançon ou négociable souhaitée. Il sauve partout quand Thales pouvait voir en janvier dernier et s’attaquer à plusieurs sociétés françaises. Dans ses environs, des cliniques et un département.

Comme le rapporte Zataz, Lockbit 2.0 transmet des centaines de fichiers volés sur leurs nouvelles victimes. Parmi eux, trois cliniques spécialisées dans les soins ostéopathiques, sur 26 halls de consultation. Les pirates auraient mis la main sur 200 fichiers et dossiers dont le contenu, pour le moment, sera envoyé le 13 avril. Le département d’Ardèche fait également partie de la partie, mais assure qu’aucune donnée personnelle n’a été compromise. « L’étude que nous avons terminée, donc à ce jour, aucune fuite de données », a déclaré un représentant. Mais Lockbit prévoit d’émettre plus de 40 000 fichiers le 12 avril.

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Ransomware sur chaîne d’approvisionnement pour 2022.

Parmi les sujets auxquels nous sommes confrontés en 2022, il sera nécessaire de compter sur la prévalence et d’augmenter l’intensité des attaques de ransomware qui ont une partie monopolisée de la nouvelle en 2021. En fait, ce problème est loin d’être en phase de disparition. Ces menaces deviennent susceptibles de devenir plus dangereuses dans un contexte où les cybercriminels cherchent à avoir un impact maximal.
Les attaques d’escalade via des chaînes d’alimentation sont une tendance importante et troublante. Les cybercriminels cherchent à générer une destruction massive.

Ransomware sur chaîne d’approvisionnement pour 2022

Nous devons nous attendre à un plus grand nombre d’attaques visant à la chaîne d’approvisionnement numérique en 2022, d’autant plus que la déficience actuelle des talents, elle pousse les entreprises à compter encore plus sur les plates-formes, les services et les outils logiciels tiers

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Sauvegardes et ransomwares

Sauvegardes et ransomwares

Le problème est que les sauvegardes ne sont pas à la conception protégée contre le ransomware. Comment faire vos sauvegardes pour contrer les ransomwares? Une approche à plusieurs niveaux est essentielle pour les protéger.

Sauvegarde CMC eCura de Titan-informatique

Sauvegardes locales
Les sauvegardes locales ont l’avantage d’être facilement accessibles en cas de besoin, mais elles sont également beaucoup plus vulnérables aux:

– Attaques informatiques qui se sont répandues sur le réseau de la société
– Casse du support de sauvegarde
– Incendie
– Vol de votre matériel

Sauvegardes dans le cloud

Le cloud est un support très pratique, mais la copie de ses fichiers dans le cloud ne constitue pas une sauvegarde efficace, en particulier lorsqu’il s’agit de ransomware. En plus du problème de la souveraineté de vos données lorsque vous soumettez vos données aux GAFA(Google Drive, Amazon, Dropbox, Microsoft OneDrive …) utilisent souvent automatiquement la synchronisation des fichiers.

Ce qui signifie que lorsque vous êtes infecté par un ransomware, les fichiers cryptés peuvent être synchronisés de la même manière que des fichiers sains. Vous devez vous assurer de choisir une solution de sauvegarde réelle qui ne copie pas seulement des fichiers. Notez que plusieurs fournisseurs de sauvegarde Cloud offrent désormais un paramètre « Multi versions de fichiers » qui vous permet de récupérer une version antérieure de vos fichiers (avant le ransomware).

Sauvegardes cloud + accès
Bien que des sauvegardes clouds ont l’avantage d’être beaucoup plus en sécurité. Il peut également être intéressant de faire des sauvegardes avec une option accès physique, c’est-à-dire des sauvegardes sur le cloud et complètement récupérable physiquement par le client, ainsi protégées de tout risque de ransomware.

Sauvegarde informatique Hyères

Dans tous les cas, la chose la plus importante est l’utilisation de nombreuses solutions en même temps et d’utiliser la règle 3-2-1 pour des sauvegardes:
– 3 copies de vos données.
– 2 supports différents.
– 1 copie hors site.

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Protection et conformité des données sauvegardée

Face à l’explosion des données à traiter, comment gérer la situation. Le point de quatre grandes tendances de protection des données.

Les exigences de protection globales requièrent la localisation des sauvegardes
Vos données sont-elles protégées 83400 Hyères
Sauvegarde, protection et conformité 83400 Hyères

Vos données sont-elles sauvegardées?
C’est une question souvent entendue à Hyères. En 2022, il est clair que cette question a évolué pour: «Comment pouvons-nous prouver que nos données sont en sécurité?». Au lieu de simplement vérifier une boîte indiquant qu’ils ont un système de protection, les organisations cherchent maintenant à optimiser le temps nécessaire pour restaurer les données en fonction d’un problème. En 2022, de plus en plus de grandes organisations commenceront à prendre sérieusement des dispositions de sauvegarde.

Centraliser les demandes de données
De plus en plus d’organisations trouvent une demande accrue de leurs données CRM d’un plus grand nombre de systèmes – il en résulte une demande accrue de ressources d’API pour reproduire les données CRM.

Par exemple, les grands fournisseurs de télécommunications veulent reproduire leurs données toutes les 5 ou 15 minutes à d’autres magasins de données. Cela doit être intégré à une stratégie de données plus large. L’objectif général est d’accroître l’agilité de la société. Pour cela, les données CRM doivent répondre à de nombreuses exigences. Nous pouvons exploiter le fait que nous sauvegardons les données – ils peuvent en réalité être utilisés pour les processus commerciaux agiles. Les données peuvent être transférées sur d’autres plates-formes, en faisant deux coups. Nous pouvons offrir la possibilité d’utiliser des connecteurs externes, non seulement pour récupérer les données et les stocker, mais également pour réduire les demandes de son système CRM.

Plus le point final dans le système, plus désordonné et lentement. En centralisant une grande partie de ces demandes de données, vous pouvez profiter de votre solution de sauvegarde pour résoudre ce problème – et il sera incroyablement fort pour les grandes organisations – les rend enfin plus flexibles.

Exigence de confidentialité mondiale requiert l’emplacement
La vie privée se poursuivra avec la mondialisation, tandis que de plus en plus de mise en œuvre et de stockage localisées sont nécessaires. En 2021, la Loi sur la protection de la vie privée chinoise (PIPL) a été adoptée avec une vitesse incroyable confirmant cette tendance. Le champ d’application des exigences deviendra plus claire lorsque les dispositions de la demande seront introduites en 2022.
Cette nouvelle conscience doit aider les organisations à se conformer aux cadres gouvernementaux où ils se développent. Les gens doivent prouver leurs réseaux d’entreprise qu’ils ont une sauvegarde – ils ne peuvent pas supposer que le nuage donne tout. Ils doivent montrer que les données sont sûres et utiles et à quelle vitesse ils peuvent les restaurer.

Anonymisation des environnements de test (boîtes à sable)
En 2022, comme en 2021, les organisations doivent protéger divers environnements – avec l’avènement du travail à distance, il existe un intérêt plus important de savoir qui a accès aux données. Par exemple, les gens évaluent les données de test dans l’équipe de développement et s’assurent qu’elles sont anonymes et en toute sécurité – améliorant l’ensemble du processus de développement. Anonymisé leurs environnements de test pour protéger le développement de leurs données. Ils constatent souvent qu’ils n’ont pas assez de données anonymes. Comment améliorer ce processus et ce processus? Ceci est une question ouverte en 2022.

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hyères informatique Sauvegarde Sauvegarde informatique Sécurité Service informatique Technologie Ville de Hyères

Recommandations pour vos sauvegardes informatique sur 83400 Hyères 2022

Chaque année, à l’occasion de la Journée mondiale de la protection des données, il est important d’informer et de rappeler aux entreprises quelles sont les approches les plus efficaces pour faire face aux nombreuses menaces existantes dans le paysage numérique mondial, ils risquent de perturber la continuité des activités. Qu’il s’agisse de renforcer la défense contre le ransomware ou des travailleurs de train pour la conformité législative, la capacité de protéger et de restaurer des données est un élément essentiel de toute stratégie moderne de protection des données. Cela préconise la règle de sauvegarde «3.2.1» comme la meilleure pratique que toutes les entreprises doivent suivre en 2022.

Quelle méthode de sauvegarde sur Hyères
Les différents types de sauvegarde sur Hyères
Sauvegarde informatique Hyères

Au moins 3 copies des données

Outre les données du poste de travail, vous devez également avoir au moins deux autres fichiers de sauvegarde pour une protection adéquate.

Les probabilités qu’un événement se produisent sur deux unités en même temps est plus forte que sur trois unités, en particulier lorsque la sauvegarde principale est souvent située près des données primaires. En cas de problème, les données primaires et la sauvegarde peuvent être perdues. La sauvegarde secondaire doit donc être retirée des données primaires pour prévenir l’éventualité.

Copiez sur 2 médias différents

Il est recommandé de sauvegarder l’une des sauvegardes sur un disque dur interne et la deuxième copie sur un support de stockage amovible (telle qu’une bande, des disques durs externes, un stockage en nuage, etc.).

Le stockage des deux copies de la sauvegarde sur le même type de support de stockage augmente le risque de perdre toutes les données de sauvegarde en cas d’erreurs ou de cyber attaques affectant les données stockées sur un format de support particulier.

Une autre solution consiste à stocker la sauvegarde principale sur les disques durs internes d’un serveur physique et de la sauvegarde secondaire sur les entraînements durs internes dans un NAS, car les transporteurs des deux systèmes sont étiquetés, format et différents types.

Tenez au moins 1 copie de sauvegarde hors site

Il est nécessaire de conserver au moins une copie de sauvegarde hors du site physique où les données primaires et la sauvegarde sont trouvées. Il n’est pas recommandé de garder la deuxième copie dans le même emplacement physique car, en cas de désastre, tel que le feu ou les inondations – tout ce qui est à cet endroit pourrait être détruit. Si les données principales et la sauvegarde, ainsi que la sauvegarde secondaire sont stockées au même endroit, elles seront perdues pour toujours.

Pour les entreprises qui n’ont pas de sites multiples, il est possible de stocker une copie des données de sauvegarde dans le cloud public ou un nuage privé via un fournisseur de services.

Imaginez un instant… Vous êtes en train de travailler sur un projet important, soudain, votre ordinateur s’éteint sans prévenir. Vous redémarrez, mais tous vos fichiers ont disparu. Comment vous sentez-vous ? Il est facile de ressentir de la panique, de la frustration, voire de la détresse à cette idée, n’est-ce pas ?

Et si je vous disais qu’il existe une solution simple et efficace pour éviter cette situation ? Une solution qui vous permet de dormir sur vos deux oreilles, sachant que vos données sont en sécurité. Cette solution, c’est eCura.fr.

eCura.fr est bien plus qu’un simple service de sauvegarde informatique. C’est votre tranquillité d’esprit. C’est la garantie que vos fichiers, vos photos, vos projets sont protégés, quoi qu’il arrive.

En choisissant eCura.fr, vous choisissez la sécurité, la fiabilité et la sérénité. Vous choisissez de reprendre le contrôle sur vos données. Alors, pourquoi attendre ? Rejoignez dès aujourd’hui la communauté eCura.fr et dites adieu aux pertes de données.

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Une prison américaine a été paralysée par une attaque ransomware

Une prison aux États-Unis a été la cible d’une cyberattaque au ransomware.

Les caméras de surveillance de la prison et les portes automatiques ne fonctionnaient plus.

Une situation incertaine qui a forcé les autorités à limiter les déplacements de tous ses détenus.

Aucune tentative de fuite organisé par un pirate informatique.

Le problème de ransomware est le même en France.

En raison de l’attaque, des caméras de surveillance et des portes à cellules automatiques ne fonctionnent plus (elles n’étaient pas ouvertes, mais un gardien de but a dû passer à chaque ouverture). La prison était simplement hors ligne. Les employés pentitiques ne pouvaient pas entendre des records des détenus et des registres identifiant les événements de sécurité semblent avoir été endommagés par l’attaque. Une situation incertaine qui a forcé au centre de la détention à grand mandat pour limiter tous ses détenus.
Ce phénomène est le même en France. Les communautés territoriales et certaines autorités publiques sont particulièrement ciblées par ces attaques dévastatrices, y compris les hôpitaux. Au Forum international de cyber-sécurité en septembre 2021, Guillaume Pedoard, directrice de l’Agence nationale des systèmes d’information, autorité de cybersécurité en France, sur le problème sans détour: «Si les hôpitaux français sont attaqués, c’est parce qu’il est facile: votre sécurité est zéro ».
Dans ce type de cas attaque les pirates informatiques toutes les infrastructures d’un réseau sans nécessairement savoir exactement ce qu’ils ciblent. Les pouvoirs publics visent souvent parce que c’est la plus faiblement protégée. Comme le poste est celui des États-Unis, Atlanta, Baltimore, Denver, Knoxville, la Nouvelle-Orléans et Tulsa ont déjà été influencés par des attaques de ransomware.
Mais ici, pas d’expériences d’échappement sur le dirigeant par un piratage de Geni, les assaillants semblent que les assaillants semblent purs mercitiles: obtenez une rançon contre la clé de déchiffrement. Le pénitentiarycret n’a pas eu droit à la loi, c’est l’une des victimes d’une attaque plus large de ransanques qui affecte plusieurs jours aux comptes de Bernadillo, autour de la ville d’Albuquerque. D’autres administrations urbaines ont simplement dû fermer, manque de systèmes fonctionnels.

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« L’attaque de ransomware » a considérablement augmenté entre 2019 et 2020

Entre 2019 et 2020, les attaques de «Ransomware» destiné aux autorités publiques avec plus de 30% d’augmentation.

Au cours de cette période, des services nationaux de la police et de la gendarmeriet enregistrés entre 1 580 et 1 870 procédures relatives aux attaques de forages de rang. Ce sont des logiciels malveillants qui verrouillent des ordinateurs ou de l’ensemble du système informatique, puis demandent une rançon aux victimes. En cas de paiement, les victimes doivent recevoir une clé de déchiffrement pour reprendre l’accès aux données.

Selon l’estimation élevée, le nombre de procédures ouvertes en relation avec le ransomware a augmenté en moyenne de 3% de chaque année jusqu’en 2019, puis accéléré (+ 32%) entre 2019 et 2020. Néanmoins, cette étude, les procédures commerciales et les institutions ne représentent que 15%. d’attaques sur les systèmes de traitement de données automatisés enregistrés entre 2016 et 2020.

Le secteur industriel (qui représente 7% de l’économie française) est particulièrement touché: il représente 15% des victimes enregistrées. Les pouvoirs publics, l’éducation, la santé et l’action sociale sont surreprésentés: 20% des victimes, dont seulement 13% des institutions de la France. Dans ce secteur, les autorités locales sont particulièrement attaquées (85% des autorités publiques en 2020).

La rançon requise par les pirates hachistes deviennent plus importantes et demandées souvent à Cryptomonnaie, selon l’étude. La valeur médiane des montants enregistrés auprès de la police et de la gendarmerie a augmenté d’env. 50% par an entre 2016 et 2020, à 6 375 € pour 2020.

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Les autorités belges subissent une cyberattaque de Log4j/Log4Shell

Le ministère de la Défense belge a confirmé identifié une attaque informatique de type Log4j.

Les autorités belges subissent une cyberattaque de Log4jLog4Shell

Le ministère Belge de la Défense joue une transparence en admettant une victime d’un piratage basé sur l’erreur Log4Shell. Le fonctionnement de ce dernier intégrant des logiciels malveillants Dridex.

Aujourd’hui, le ministère belge de la Défense a annoncé qu’elle avait été victime d’une attaque contre la vulnérabilité de Log4Shell. Le piraterie aurait eu lieu la semaine dernière et « certaines activités de département de la Défense ont été paralysées depuis plusieurs jours. »

Le porte-parole du Fonds a confirmé ces informations. « La défense a découvert jeudi une attaque sur son réseau informatique reporté sur Internet. Des mesures de quarantaine ont été rapidement prises pour isoler les parties touchées. La priorité est de garder le réseau de défense opérationnelle. En outre, il est dit: » Cette attaque suit l’exploitation de la vulnérabilité log4j, publiée la semaine dernière. « 

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Panasonic piraté, avec vole de données

Panasonic a découvert qu’un pirate était déjà présent dans ses systèmes pendant des mois. La société a récemment découvert le problème et effectue l’étude.

Panasonic piraté, avec vole de données
Panasonic piraté, avec vole de données

Panasonic révèle avoir été piraté, les pirates informatiques ont pu infiltrer son réseau le 11 novembre. Ils ont été en mesure de collecter davantage de données, mais le groupe japonais spécialisé dans l’électronique ne sait pas vraiment quoi. Au moins officiellement.

Mais c’est une version très raffinée de faits. Dans une interview avec TechCrunch, un porte-parole de la société explique que le cambriolage a été découvert pour la première fois le 11 novembre. En pratique, le pirate informatique devait être présent dans les systèmes depuis le 22 juin. Le piratage aurait cessé le 3 novembre. Certains médias japonais évoquent également cette fois.

Il n’est toujours pas clair quel est l’effet précis du piratage et le nombre de données observées ou volées. Panasonic s’excuse pour l’incident, a déclaré avoir informé les autorités compétentes et la coopération avec un acteur externe afin d’examiner ce qui s’est passé.

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L’auteur de Cyberattack de T-Mobile assume

John Binns, Américain de 21 ans, de Virginie et vit en Turquie, a admis être la principale personne du piratage massif de T-Mobile, qui exposait les informations sensibles de plus de 50 millions de personnes.

L’auteur de Cyberattack de T-Mobile assume

John Binns a exprimé publiquement dans une interview avec le Wall Street Journal, les connaissances au journal soient à l’origine de l’attaque, qu’il a conduit de sa maison à Izmir, en Turquie, où il vit avec sa mère. Son père qui est mort quand il avait deux ans, était américain et sa mère est turque. Ils sont retournés en Turquie à l’âge de 18 ans.
John Binns a admis être derrière les cyber-attaques exposées à des données sur plus de 50 millions de personnes, dans le but de « nuire à l’infrastructure des États-Unis ».
A travers le télégramme, John Binns a fourni le Wall Street Journal avec la preuve qu’il a été trouvé pour les attaques T-Mobile avec des journalistes d’indication il des réseaux T-mobile d’accès à l’origine obtenu par un routeur non protégé en Juillet.

Selon le quotidien, il a cherché des erreurs dans la défense T-mobile par le biais de ses adresses Internet, et a accès à un centre de données près de East Wenatchee, dans l’État de Washington, où il a pu explorer plus de 100 serveurs dans l’entreprise. A partir de là, il a fallu environ une semaine pour les serveurs d’accès contenant des renseignements personnels sur des millions de personnes. Le 4 Août, il a volé des millions de fichiers.

« Je suis allé à la panique parce que j’avais accès à quelque chose d’important. Leur sécurité est terrible », dit John Binns au Wall Street Journal. « La réalisation du bruit était un but. »

Il ne voulait pas confirmer si les données qu’il a volé a déjà été vendu ou si un autre payé à pirater T-Mobile. Bien que John Binns ne dit pas explicitement qu’il avait travaillé avec d’autres personnes sur les attaques, il a admis qu’il avait besoin d’aide l’acquisition des identifiants de connexion pour les bases de données à l’intérieur des systèmes T-Mobile.

Le Wall Street Journal L’article mentionne également que T-Mobile a été informé de la violation d’une société de sécurité cybernétique appelé UNIT221B LLC, ce qui indique que les données de ses clients ont été commercialisés sur noir Web.

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Les intermittent de la cybercriminalité

Les chercheurs de la sécurité ont mis en évidence des personnes qui constituent une partie importante de l’écosystème de cybercrimination

Les intermittent de la cybercriminalité

Programmes de phishing, campagnes de logiciels malveillantes et autres opérations utilisent un nombre total de travailleurs ombragers. Pour leur offrir de meilleures opportunités de travail légitimes pourraient aider à réduire le crime?

Une collaboration de recherche avec l’Université technique tchèque à Prague et GoSecure et SecureWorks entreprises de sécurité Cyber a analysé les activités des personnes en marge de la cybercriminalité, les projets sous – jacents tels que la création de sites Web, finissent par être utilisés pour des attaques de phishing, les affiliés Systèmes pour diriger le trafic sur les sites Web compromis ou contrefaits ou écrire sur le code trouvé dans les logiciels malveillants.

Les gens sur l’origine de ces projets font parce qu’il est un moyen facile de gagner de l’argent. Mais faire ce travail, ils jettent les bases de campagnes malveillantes pour les cyber-criminels.

Un regard sur le web
L’étude, Mass Effect: Comment Opporitistic travailleurs conduisent dans la cybercriminalité et présenté au Black Hat États-Unis, trouve ses origines dans une analyse de l’Université technique tchèque qui a révélé des roues geost, un botnet et une campagne de logiciels malveillants Android comme des centaines infectés de milliers d’utilisateurs. Ce travail a permis aux chercheurs d’examiner les journaux pour certaines des personnes impliquées.

Ils ont pu trouver des traces de personnes dans ces journaux sur des forums en ligne et d’autres plates-formes de discussion et avoir une idée de leurs motivations.

«Nous avons commencé à comprendre que même s’ils étaient impliqués dans la diffusion de programmes malveillants, ils n’étaient pas nécessairement cerveaux, mais plutôt des travailleurs informels, ceux qui travaillent sur de petits projets», a déclaré Masarah Forfait-Clouston, chercheur de sécurité à Gosécur.

Bien que ces personnes sont au bas de la hiérarchie, ils exécutent des tâches utiles pour les cyber-criminels à des sites d’utilisation et d’outils, ils créent des activités malveillantes, y compris le phishing et les logiciels malveillants communication.

« Ils essaient de gagner leur vie et peut – être le salaire du crime mieux, donc ils vont là – bas, » a déclaré Sebastian Garcia, professeur adjoint à l’Université technique tchèque, affirmant que nous devons accorder plus d’ attention aux personnes qui oscillent entre la cybercriminalité et l’ activité juridique.

« Il y a beaucoup de gens dans ces forums publics que les sociétés de sécurité ne se rapportent pas, mais ce sont ceux qui soutiennent la majorité du travail, la création de pages web pour les e – mails de phishing, l’ APK, le cryptage, les logiciels malveillants, mulet, » dit – il.

L’arbre qui dissimule la forêt
« Si nous nous concentrons toujours sur des cerveaux » délinquants motivés « qui ont vraiment développé le Botnemetten et les moyens de gagner de l’argent avec tout cela, nous oublions les travailleurs », avertit M. Paquet-Clouston. « En tant que société, nous oublions souvent que beaucoup de gens sont impliqués et que ce n’est pas nécessairement des personnes très motivées, mais plutôt ceux qui finissent par faire l’activité », a-t-elle déclaré.

Mais cela ne signifie pas nécessairement que les personnes impliquées dans ces systèmes doivent être traitées comme des cybercriminels de vol élevé, en particulier lorsque certains ne savent même pas que leurs compétences sont utilisées pour la cybercriminalité.

En fait, il serait possible de donner à bon nombre de ces personnes la possibilité d’utiliser leurs avantages de compétences plutôt que de les utiliser pour l’aider à la criminalité.

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Des courtiers pour les cybercriminels

Les courtiers d’accès sont des individus ou des groupes qui ont réussi à accéder à un réseau ou à un système d’entreprise au moyen d’identificateurs, d’attaque de puissance brute ou du fonctionnement des vulnérabilités.

Des courtiers pour les cybercriminels

Le marché des courtiers d’accès continue de développer, le coût de ces accès pose un faible coût par rapport aux avantages potentiels d’une attaque de ransomware réussie.
Ces dernières années, Ransomware-As-A-Service (RAAS) groupes ont été intéressés par ces courtiers parce que les utiliser directement ou les payer en échange d’ un accès à un système cible , ils sont en mesure d’éviter la première étape de l’intrusion: La longue processus est nécessaire pour trouver un terminal vulnérable.

Lundi, Kela Cybergness Société a publié un rapport en explorant le marché des courtiers d’accès et a constaté que le coût moyen d’accès au réseau était de 5.400 $, alors que le prix médian était de 1 000 $. Dollars.

Si nous croyons que les demandes de collègues de rang millions de reach aujourd’hui de dollars d’un point de vue pénal, il est un petit prix à payer.

L’équipe a examiné plus d’un millier de messages publiés sur les forums de cybercriminels web sombre dans la période allant du 1er Juillet 2020 et 30 Juin 2021 et constaté que les annonces offrant un accès inclus un certain nombre d’offres basées sur le réseau et les comptes compromis – tels que l’accès à distance à un ordinateur dans une organisation – ainsi que l’ accès aux comptes de privilèges de domaine et accès à distance-RDP et VPN.

Au total, 25% de la publicité a été libéré par les courtiers.

comptes Privilege élevés qui vendent plus cher
Sans surprise, les offres avec la valeur la plus élevée – et donc les prix les plus élevés – étaient des services d’accès offrant des privilèges au niveau de domaine dans des entreprises allant de centaines de millions de dollars de revenus.

Les plupart des services d’accès coûteux concerne une société australienne génère un chiffre d’affaires annuel de 500 millions $ pour 12 Bitcoins (BTC), soit environ 478 000 $, et l’accès à une société d’informatique aux États-Unis, par ConnectWise, dans 5 BTC (200 000 $) .

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Cybercriminels Gagabyte, AMD, Intel informatique Sécurité Service informatique Technologie

Gigabyte victime d’un ransomware, Intel /AMD ?

GigaByte a confirmé le 13/08/2021 être victime d’un cyberhack qui a forcé le développeur à fermer beaucoup de ses serveurs basés à Taiwan. Une opération d’urgence affectant le site de support de la société: les utilisateurs ne peuvent plus accéder aux informations et documents normalement fournis par le site.

Gigabyte victime d’un ransomware, Intel AMD

Le fabricant d’ordinateurs GigaByte a été victime d’une cybercrattage qui pèse de grands risques sur ses partenaires, y compris Intel et AMD. Les pirates posséderaient des documents confidentiels.
Cette situation n’est pas très agréable en soi, mais pire, c’est que cela affecte également les partenaires des gigaoctets. Les hackers posséderont en fait 112 Go de fichiers, dont certains contiennent des informations confidentielles sur les partenaires de la société, y compris Intel et AMD.

Les gigaoctets ne signifiaient pas si c’était un ransomware, mais il semble que le groupe derrière l’attaque soit Ransomexx (précédemment détenant). Parmi les victimes de cette bande de pirates, des institutions publiques, mais aussi des entreprises et des gigaoctets sont probablement les plus importantes.

Afin de faire pression sur Gigabyte, Ransomexx a déjà publié des documents sur les activités du fabricant ainsi que ses partenaires qui n’ont pas demandé quelque chose, mais sont pris dans cette tempête. Pour éviter un plus gros avion, la victime est fortement encouragé à rançon salariale … les autorités ne favorisent pas qu’ils sont touchés par ces compagnies d’attaques à abandonner les pirates, mais gigaoctet ne serait pas le premier à lâcher l’argent demandé sur le maintien ses secrets.

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COVID-19 Etude Hôpital hyères informatique Sécurité Service informatique Technologie

Menaces sur les internautes français depuis le début de la crise de la /du Covid

Au cours des dernières semaines, de nombreuses rancingres et de grandes cyber attaques, parfois dans le monde entier devenaient conscientes. Il oublierait presque les risques qui pèsent sur les individus et restent toujours très nombreux. De l’usure de l’identité à la phishing, passez à travers la ligne, pas de sécurité.

Menaces sur les internautes français depuis le début de la crise de la /du Covid

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Le coût des « piratages » professionnelles atteint un niveau record

Les grandes attaques des grandes entreprises et l’exposition de 50 à 65 millions d’enregistrements ont un prix élevé, jusqu’à 401 millions de dollars.

Selon une étude IBM, le coût moyen d’une attaque est de plus de 4 millions de dollars.

Le coût des piratages professionnelles atteint un niveau record

Le coût moyen d’une attaque a maintenant dépassé le barreau fatidique de 4 millions de dollars et a atteint un niveau record en vertu de la crise de la santé. Dans un rapport publié mercredi d’IBM, Big Blue estime que, en 2021, coûte une violation de données typique des entreprises de 4,24 millions USD. Le coût est de 10% supérieur à 2020.

En France, les secteurs les plus touchés sont des services financiers, du secteur pharmaceutique ainsi que de la technologie. Au niveau international, aux secteurs de la santé et des services financiers qui enregistrent les violations les plus chères.

Logiciels malveillants et hameçonnage

IBM estime qu’environ 60% des entreprises se sont tournées vers «Cloud» pour poursuivre leurs activités, bien que le renforcement du contrôle de la sécurité n’ait pas nécessairement suivi. Lorsque l’utilisation de travaux distants a explosé, elle était la même pour les infractions de données dont les quantités ont augmenté de 1 million de dollars – les taux les plus élevés de 4,96 millions de dollars contre 3, 89 millions de dollars.

Le vecteur d’attaque le plus courant des victimes de données d’un transfert de données est un compromis sur les informations d’identification, soit extraits des souches de données soumises, vendues ou obtenues par une attaque de force brute. Une fois que le réseau est infiltré, les informations personnelles identifiables (IPI) sont devenues des clients, notamment des noms et des adresses électroniques, volées dans près de la moitié des cas.

Services informatique Hyères

En 2021, il a fallu un total de 287 jours pour détecter et contenir une violation de données ou 7 jours de plus que l’année précédente. Au total, une organisation moyenne n’enregistrera pas d’entrer dans les 212 jours. Il ne sera donc pas capable de résoudre complètement le problème avant que 75 jours supplémentaires soient passés.

Les infractions de données dans le secteur de la santé ont été les plus chères, avec une moyenne de 9,23 millions de USD suivi des services financiers – 5,72 millions de dollars – et des médicaments, avec 5,04 millions de dollars.

Selon IBM, les entreprises qui utilisent des solutions de sécurité sont basées sur des algorithmes d’intelligence artificielle (AI), l’apprentissage automatique, l’analyse et le cryptage, ont tous diminué le coût potentiel d’une violation qui permet aux entreprises. Économisez en moyenne entre 0,1 25 et 1,49 million de dollars.

« L’augmentation des infractions de données sont une autre dépense supplémentaire pour les entreprises en fonction des changements technologiques rapides lors de la pandémie », a déclaré Chris McCurdy, vice-président de la sécurité IBM. « Bien que le coût des infractions de données ait atteint un niveau record au cours de la dernière année, le rapport a également démontré des signes positifs de l’impact des tactiques de sécurité modernes, telles que l’AI, l’automatisation et l’adoption d’une approche de confiance zéro – qui pourrait être payée en réduisant coûte ces incidents plus tard. « 

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Malware Data Destroyeur en Iran « Wiper Meteor »

Les chercheurs de la Sentinelone CyberSecurity Society ont reconstitué la récente cyberattack contre le système ferroviaire iranien dans un nouveau rapport qui découvre un nouvel acteur malveillant – qu’ils s’appellent « MeteorExpresss ».

Malware Data Destroyeur en Iran Wiper Meteor

Le 9 juillet, les médias locaux locaux ont commencé à signaler une cybercrattage sur le système ferroviaire iranien, avec des pirates qui changent d’affichage dans les stations en demandant aux passagers d’appeler « 64411 », le numéro de téléphone du guide suprême.

Les services ferroviaires ont été interrompus et aujourd’hui, plus tard les attaquants du ministère iranien des Transports. Selon Reuters, le portail et les sous-sports du ministère ont cassé une attaque sur les ordinateurs et le développement urbain de l’ordinateur.

Wiper Meteor du jamais vu!

WIPER est capable de changer de mots de passe pour tous les utilisateurs, de désactiver les épargnants d’écran, de mettre fin à un processus basé sur une liste des processus cible, d’installer un bloqueur d’écran, de la fonction de récupération de désactivation, de modifier le traitement des erreurs politiques de démarrage, de créer des tâches planifiées, de déconnecter des tâches planifiées, de déconnecter des tâches planifiées. Sessions, supprimez des copies d’ombre, modifiez des images de l’écran de verrouillage et de l’exécution. Exigences.

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Kaseya prétend avoir payé aucune rançon

L’éditeur logiciel Kaseya a refusé d’avoir payé une rançon pour un déchiffrement universel après plusieurs jours avec des questions sur la manière dont l’outil est atteint.

Le 21 juillet, la Société a annoncé qu’un outil de déchiffrement universel a été réalisé grâce à une «tierce partie» et a travaillé avec Emsisoft Security Company pour aider les victimes de l’attaque de Ransomware REvil.

Kaseya prétend avoir payé aucune rançon

Lundi, Kaseya a publié une déclaration qui refuse des rumeurs qu’elle aurait payé une rançon sur REvil, le groupe Ransomware, a lancé l’attaque. REvil a demandé à l’origine une rançon de 70 millions de dollars, mais l’aurait réduit de 50 millions de dollars avant que tous ses sites Web ne disparaissent le 13 juillet.

Theresa Payton, ancien directeur des informations de la Maison-Blanche et expert en cybersécurité, a déclaré que les accords non-informations après les attaques sont plus fréquents que vous ne pourriez penser, mais a noté que « demander un accord sur les non-renseignements aux victimes n’est pas une pratique quotidienne pour chaque incident ».

« Lorsqu’un incident affecte davantage de victimes, le conseiller juridique demande à signer un accord sur les non-renseignements pour que la solution du problème ne soit pas publiée », a déclaré Payton.

Payton a ajouté que les causes de la demande de contrat de non-publication ne sont pas toujours mauvaises et invitées à consulter leurs avocats avant de signer quelque chose.

La société et la manière dont l’outil de décryptage universel a été atteint? Selon la presse, la société a chargé un accord de non-publication aux entreprises souhaitant profiter de cet outil.

« Nous certifions clairement que Kaseya n’a pas payé la rançon, que ce soit directement ou indirectement à travers un tiers, pour obtenir du déchiffrement », déclare la déclaration de Kaseya.

« Bien que chaque entreprise devait prendre sa propre décision sur le paiement de RanSom, Kaseya a décidé après avoir consulté des experts, de ne pas négocier avec les criminels qui ont commis cette attaque et que nous n’arrêtions pas de cet engagement. »

Selon la Déclaration, l’équipe d’intervention des incidents d’Emsisoft et de Kaseya a travaillé tous les week-ends pour fournir un déchiffrement avec certaines des 1 500 victimes touchées par l’attaque, y compris une grande chaîne de supermarchés en Suède, de l’Université Virginia Tech et des ordinateurs gouvernementaux locaux à Leonardtown, dans le Maryland.

La société a déclaré qu’elle avait appelé à toutes les victimes de manifester et d’ajouter que l’outil « s’est avéré 100% pour déchiffrer les fichiers complètement cryptés lors de l’attaque ».

Si la nouvelle d’un décendrier universel a été accueillie par des centaines de victimes touchées, certains soulignent qu’il existait un accord de non-information que Kaseya audacieuse les entreprises à signer l’échange d’outils.

CNN a confirmé que Kaseya a exigé un accord de non-information (NDA) d’accéder au déchiffrement. Dana Liedholm, porte-parole de Kaseya et plusieurs sociétés de cyber-sécurité impliquées, ont déclaré à ZDN et qu’ils ne pouvaient pas commenter cet accord.

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L’espace de cybersécurité Européen hacké ?

Cet atlas, disponible sur le site officiel (cybersecurity-atlas.ec.europa.eu), est destiné à réunir des professionnels européens de la sécurité de l’information. houston Bruxelles nous avons un problème!

L’espace de cybersécurité Européen hacké

Un utilisateur est néanmoins de restaurer toutes ces données pour leur suggérer de revendre à la discorde. Les journalistes records ont réussi à mettre la main sur la base de données pour confirmer l’authenticité et confirmer que les données proposées correspondent réellement au site. Parmi les soumissions de données, nous trouvons des adresses électroniques, des adresses de contact, des détails organisationnels ou le nom des personnes à contacter. Données déjà publiées et accessibles à ceux qui ont enregistré un compte sur le site Web de Cybersecurity Atlas.

Mais plus que les données ont la saisie réalisée pour confirmer que la base de données était directement à partir des systèmes informatiques du site Web de Cybersecurity Atlas et ne provenait donc pas d’une simple « raclage » des données d’un utilisateur.

La couverture de données avait été repérée par le site de Zataz: sur un forum spécialisé dans la revente des données volées suggéré un utilisateur qui a été suggéré depuis lundi un lot de fichier du projet CybersSecurity Atlas. Ce projet de la Commission européenne vise à indiquer les adresses de contact de diverses agences et des personnes impliquées dans des questions de cybersécurité européenne. Catalogue de la cybersécurité au niveau européen, lancé en 2018. Ce dossier était disponible publiquement et autorisé des entreprises, des chercheurs et des universitaires à enregistrer et à laisser leurs coordonnées d’accès ouvert.

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Accenture et attaque de ransomware? Tout est bon!

Parmi les victimes du groupe Lockbit, Accenture, mais l’entreprise garantit que l’attaque est sous contrôle.

Accenture et attaque de ransomware Tout est bon!

Accenture a été parmi les victimes du groupe Lockbit avec un compte à rebours dont les déclencheurs étaient programmés le 11/08/2021.

Dans une déclaration, un porte-parole a minimisé l’incident et a affirmé qu’il n’avait qu’une petite influence sur les affaires de la société. Accenture a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 40 milliards de dollars l’an dernier et compte plus de 550 000 employés dans plusieurs pays.

Accenture, une entreprise de conseil à services et technologies minimise l’importance d’une prétendue attaque de Ransomware, annoncée par Lockbit Group.

De nombreux internautes interrogent le montant des données volées pendant l’attaque et note qu’il n’est pas susceptible que l’attaque vienne du groupe.

Accenture n’a pas répondu aux questions pour déterminer s’il s’agissait d’une attaque effectuée à l’aide d’un employé.

Dans un rapport d’accent publié la semaine dernière, la Société a déclaré que 54% de toutes les victimes de Ransomware ou d’APRESTORT étaient des entreprises dont le chiffre d’affaires annuel était compris entre 1 et 9,9 milliards de dollars.

Accenture propose un certain nombre de services à 91 des 100 meilleures sociétés de classification de la fortune et des centaines d’autres entreprises. Les services informatiques, les technologies de fonctionnement, les services cloudis, la mise en œuvre de la technologie et les conseils ne sont que quelques-uns des services que la société est basée en Irlande offre à ses clients. En juin, la société a acheté Umlaut, une entreprise d’ingénieurs allemands pour élargir sa présence dans le cloud, l’IA et la 5G. Elle a également acquis trois autres entreprises en février.

L’Australian Cyber ​​Security Center a publié un résumé du vendredi indiquant que le groupe Ransomware Lockbit après une petite chute d’opération a été ravivé et intensifié ses attaques.

Selon l’Agence australienne, les membres du Groupe exploitent activement les vulnérabilités existantes dans les produits FORTITITINE FORMIPROXY identifiés par le lancement de la CVE-2018-13379 pour obtenir le premier accès aux réseaux de victimes spécifiques.

« La CCCAA est consciente de nombreux événements impliquant des verrouillements et son successeur » Lockbit 2.0 « en Australie depuis 2020. La majorité des décès connus de la CCAA ont été signalés après juillet 2021, ce qui indique une augmentation nette et significative des victimes nationales par rapport à d’autres variantes de ransomware, « Ajoute le communiqué de presse.

« La CCAA a observé des filiales de lockbit ont mis en œuvre avec succès des ranesomwares sur des systèmes d’entreprise dans divers secteurs, y compris des services professionnels, de la construction, de la fabrication, de la vente au détail et du régime alimentaire. »

En juin, l’équipe de l’intelligence de la menace Poina a publié un rapport qui enquête sur le bit de verrouillage de la structure RAAS et son inclinaison d’acheter un accès au protocole de bureau externe pour les serveurs en tant que vecteur d’attaque initial.

Le groupe exige généralement 85 000 $ en moyenne des victimes et si une tierce partie revient sur les opérateurs de la RAA. Plus de 20% des victimes d’un tableau de bord consulté par les chercheurs d’énergie appartenaient au secteur des logiciels et des services.

« Les services commerciaux et professionnels ainsi que le secteur des transports sont également très ciblés par le groupe Lockbit ».

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Ce nouveau groupe de hackers vise les diplomates européens

BackdoorDiplomacy ne coupe pas les cheveux en quatre en matière de cyberespionnage.

Ce nouveau groupe de hackers vise les diplomates européens

Un groupe de cyberattaques récemment découvert cible des diplomates européens, africains et moyen-orientaux. Mis en évidence jeudi par des chercheurs d’ESET, le groupe appelé BackdoorDiplomacy, a été lié à des attaques réussies contre des ministères des Affaires étrangères dans de nombreux pays d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Europe et d’Asie ainsi que contre un petit sous-ensemble d’entreprises de télécommunications en Afrique et au moins un organisme de bienfaisance au Moyen-Orient.

Selon les chercheurs d’ESET, ce groupe est opérationnel depuis au moins 2017. Il cible à la fois les systèmes Linux et Windows et semble préférer exploiter les appareils vulnérables face à Internet comme vecteur d’attaque initial.

S’il trouve des serveurs Web ou des interfaces de gestion de réseau présentant des points faibles, tels que Des problèmes logiciels ou une mauvaise sécurité de téléchargement de fichiers affectent le groupe. Dans un cas observé par ESET, un bogue appelé F5 – CVE-2020-5902 – a été utilisé pour déployer une porte dérobée Linux, tandis que BackdoorDiplomacy dans un autre cas a adopté les vulnérabilités du serveur Microsoft Exchange pour déployer China Chopper, un webshell.

Bien que BackdoorDiplomacy ait été enregistré en tant que groupe de hackers à part entière, il semble avoir des connexions ou au moins quelque chose en commun avec d’autres groupes. Le protocole de chiffrement du réseau utilisé par APT est presque identique à celui utilisé par la porte dérobée Whitebird du groupe Calypso, et ce malware a été déployé contre des cibles diplomatiques au Kazakhstan et au Kirghizistan dans les années 2017-2020.

En outre, ESET pense avoir des points communs avec CloudComputating / Platinum, qui a ciblé les organisations diplomatiques, gouvernementales et militaires en Asie au cours des années précédentes. D’autres index de codage et de mécanisme sont similaires à Rehashed Rat et MirageFox – également connus sous le nom d’APT15.

Dans le cadre d’autres recherches menées ce mois-ci, Check Point Research a découvert une nouvelle porte dérobée développée par des acteurs chinois de la menace pour une période de trois ans. Le malware, appelé VictoryDll_x86.dll, a été utilisé pour compromettre un réseau appartenant au département d’État d’un gouvernement d’Asie du Sud-Est.

De temps en temps, les attaquants analysent l’appareil pour un déplacement latéral, installent une porte dérobée personnalisée et mettent en œuvre une variété d’outils pour effectuer la surveillance et le vol de données. La porte dérobée, appelée Turian, serait basée sur la porte dérobée Quarian, un malware associé à des attaques contre des cibles diplomatiques en Syrie et aux États-Unis en 2013. L’implant principal est capable de récolter et d’exfiltrer des systèmes informatiques, de prendre des captures d’écran, mais aussi d’écraser. , déplacer/supprimer ou voler des fichiers.

Certains des outils utilisés incluent EarthWorm Network Tunnel Software, Mimikatz, NetCat et des logiciels développés par la National Security Agency (NSA) des États-Unis et dévoilés par ShadowBrokers, tels que EternalBlue, DoublePulsar et EternalRocks. VMProtect a dans la plupart des cas été utilisé pour essayer de cacher les activités du groupe.

Les diplomates peuvent avoir besoin de gérer des informations sensibles transmises via des disques et des supports de stockage amovibles. Pour étendre la portée de ses activités de cyber-espionnage, BackdoorDiplomacy recherche les clés USB et tente de copier les fichiers qu’elles contiennent dans une archive protégée par mot de passe, qui est ensuite envoyée à un centre de commande et de contrôle (C2) via la porte dérobée.

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Air India annonce le vol des données de 4,5 millions de passagers

Les noms, les numéros de carte bancaire et les informations de passeport font partie des informations volées, a déclaré la société d’État dans un communiqué.

Air India a assuré qu’elle «sécurisait» les serveurs informatiques touchés par ce vol massif tout en faisant appel à des experts en sécurité informatique. La société a également contacté les sociétés de cartes bancaires concernées.

« Nous regrettons profondément les problèmes causés et sommes satisfaits du soutien et de la confiance de nos passagers », a ajouté la compagnie.
Des pirates informatiques ont réussi à voler les données à environ 4,5 millions de passagers de la compagnie aérienne Air India, a déclaré ce dernier vendredi.

Plusieurs compagnies aériennes ont été victimes d’attaques informatiques ces dernières années. Parmi eux, British Airways a été condamnée à une amende de 28 millions de dollars l’année dernière par le régulateur britannique après avoir perdu des données à environ 400000 passagers en 2018 à la suite d’une cyberattaque.

Une amende de 700 000 $ a également été infligée à la société asiatique Cathay Pacific après une perte de données d’env. neuf millions de clients en 2018.
En mars, Air India a annoncé avoir été informée en février d’une cyberattaque par sa société de traitement de données SITA PSS. Cela concernait les données personnelles enregistrées par les passagers entre août 2011 et février 2021.

Dépannage informatique sur l’aéroport de Toulon-Hyères

La SITA, qui sous-traite une partie de l’informatique à une grande partie de l’industrie aéronautique, a déclaré à l’époque qu’elle avait été la cible d’une « attaque très sophistiquée » qui avait touché plusieurs entreprises.

Air India fait partie du groupe de compagnies aériennes Star Alliance, où SITA gère le fonctionnement de son programme de fidélité.

D’autres compagnies avaient averti leurs passagers en mars de cette cyberattaque, mais seuls les noms et le nombre de passagers membres du programme de fidélité avaient été volés.

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Le président des États-Unis Joe Biden signe le décret sur la cybersécurité

Cette semaine, le président des États-Unis a ordonné la création d’un comité dédié aux cyberattaques ainsi que la création de nouvelles normes de sécurité logicielle pour les agences gouvernementales.

En matière de cybercriminalité, les États-Unis ont été confrontés à une cyberattaque massive menée par le groupe Darkside. En utilisant un ransomware, les pirates ont pu fermer l’opérateur pétrolier Colonial Pipeline, qui transporte généralement près de la moitié du carburant du pays. Une attaque qui a fait souffler un vent de panique chez les Américains. Les stations-service à travers le pays ont été prises d’assaut si loin qu’elles commencent une pénurie nationale.

Si la panique n’a pas duré longtemps car le problème a été rapidement résolu, ce nouvel incident démontre clairement la fragilité de l’Oncle Sam face aux cyberattaques. C’est dans ce contexte que le président américain Joe Biden a signé mercredi 12 mai 2021 un décret qui renforcerait la sécurité du pays contre les cyberattaques.

Pour renforcer la cybersécurité aux États-Unis, Joe Biden a annoncé la création d’un comité chargé d’examiner les cyberincidents. Plus précisément, l’organisation enquêtera sur les principaux hacks qui se sont produits dans le pays pour mieux comprendre les détails de l’affaire. Ce nouveau conseil est modelé par le National Transportation Safety Board, qui est chargé d’enquêter sur les accidents aériens, ferroviaires et maritimes, et peut aider à identifier les coupables potentiels en cas d’attaques supplémentaires. Pour rappel, ce n’est pas la première fois que le gouvernement américain est confronté à une cyberattaque. En décembre dernier, un groupe de pirates informatiques a ciblé le gouvernement avec le piratage massif de SolarWinds. Sans divulguer tous les détails de l’incident, Donald Trump affirmait à l’époque avoir des preuves de l’implication russe. Il y a quelques mois à peine, c’était la Chine qui, cette fois, était soupçonnée d’avoir ordonné une cyberattaque visant le géant Microsoft.

Outre la création d’un comité dédié, Joe Biden a également annoncé la création de nouvelles normes logicielles conçues pour sécuriser plus efficacement les agences gouvernementales américaines et empêcher de nouveaux piratages. Ces nouvelles normes comprendront l’utilisation de l’authentification multifactorielle, mais également le renforcement de la sécurité des échanges entre le gouvernement et les entreprises privées.

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Les forums de cybercriminalité des plus élitistes ont été complètement piratés

Le forum cybercriminel de Mazafaka, qui abrite des gangs d’élite, a lui-même été piraté et pas seulement un petit peu. Les attaquants ont pris le contrôle total du site, le supprimant et le défigurant, comme l’a noté The Record. Le site affiche désormais un document contenant les données des près de 3 000 utilisateurs du forum, avec un message d’avertissement: «Vos données ont été divulguées, ce forum a été piraté».

Outre Maza, d’autres forums sur la cybercriminalité ont dû faire face à des incidents de sécurité ces derniers mois: Verified, un pilier de l’industrie, a dû fermer temporairement après avoir volé son nom de domaine; Pendant ce temps, l’exploitation d’une violation de données a souffert; enfin, le criminel a réussi à s’emparer du compte d’un modérateur de Club2crd pour envoyer de fausses publicités. Ces noms de plates-formes ne vous parlent peut-être pas, mais ils font tous partie des marchés les plus populaires. Une chose ressort: les forums de cybercriminalité se battent de plus en plus pour protéger leurs utilisateurs. Cependant, comme il s’agit d’activités illégales, les utilisateurs n’hésiteront pas à les quitter si les utilisateurs ne font pas confiance à l’administration des forums. Le manque de confiance conduit ainsi à la fermeture des forums.

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L’Europe frappé après les États-Unis par une cyberattaque d’échange

Les États-Unis semblent être la principale cible des attaques sur les serveurs Exchange, mais il y a aussi des victimes en Europe.

Une semaine après les révélations sur les attaques sur les serveurs Exchange, il est encore difficile de donner une estimation du nombre de victimes. D’autant plus que les failles qui ont permis ces attaques sont désormais publiques et facilement exploitables.

Dans l’état actuel des choses, les cibles semblent être situées principalement aux États-Unis. Mais l’Europe n’est pas épargnée. Une marque victime a été signalée sur place: l’Autorité bancaire européenne. Elle a dû fermer ses systèmes de messagerie. Ses recherches n’ont révélé, dit-elle, ni filtrage de données ni propagation sur son réseau.

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Comment la vulnérabilité informatique est-elle mesurée?

Le score CVSS est utilisé presque systématiquement pour évaluer le danger des vulnérabilités. Mais savez-vous quel calcul se cache derrière le score sur 10?

Il faut dire que la cybersécurité regorge de termes spécifiques et autres acronymes (et anglophones, d’ailleurs) pour qualifier les scénarios d’attaque. On parle de RCE, XSS, de « web shell » ou même d’élévation de privilèges. Les balles d’avertissement sont le plus souvent destinées aux spécialistes et n’utilisent que du jargon. Ils soulignent rarement les risques concrets qu’une nouvelle vulnérabilité pose au public.

SUITE… Avec Numerama.com

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L’Etat alloue 350 millions d’euros au renforcement de la sécurité informatique des structures hospitalières.

«Depuis le début de l’année, un établissement de santé est victime d’une cyberattaque chaque semaine», a déploré Olivier Véran, avant de laisser entendre que l’État utiliserait «très rapidement» 350 millions d’euros pour renforcer les systèmes de protection informatique des hôpitaux français. groupes, un montant prélevé sur «l’enveloppe numérique» de Ségur de la Santé supérieur à 25 millions d’euros alloué à l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (ANSSI) pour réaliser des audits et accompagner les établissements de santé.

Cybersécurité dans les hôpitaux

Bien que la pandémie de coronavirus ait secoué la majorité des gens, des industries et même l’État … à l’exception des pirates. En fait, même en pleine crise sanitaire, ces personnes sans scrupules se sont multipliées par les cyberattaques.

Les hôpitaux de Dax (Landes) et de Villefranche-sur-Saône font partie des hôpitaux qui ont subi des cyberattaques. Pire encore, ils ont perturbé les chirurgies et même l’accès des patients aux urgences. Face à ce fléau, le ministre des Solidarités et de la Santé Olivier Véran et le secrétaire d’Etat au Numérique, Cédric O, se sont rendus à l’hôpital de Villefranche-sur-Saône pour rencontrer le personnel soignant et présenter des mesures de sécurisation des réseaux informatiques des hôpitaux.

Cybersécurité Hyères

Le gouvernement aurait effectivement débloqué un budget de 350 millions d’euros de Ségur de Santé, une consultation qui a eu lieu en mai 2020, qui portait sur la révision du secteur de la santé et les mesures de sécurité à prendre pour protéger les hôpitaux contre les cyberattaques.

Apparemment, l’État a l’intention de procéder d’abord à des audits pour soutenir les hôpitaux dans leur processus de sécurité. Par ailleurs, le gouvernement souhaite également accélérer la mise en place du service national de cybersurveillance en coopération avec l’Agence du Numérique en Santé (ANS). Pour rappel, ce dispositif vise à détecter les points faibles du système d’information de l’hôpital afin d’y remédier au plus vite.

1 milliard de l’État

Emmanuel Macron souhaite renforcer la sécurité des entreprises, des hôpitaux et des administrations tout en augmentant le nombre de cyberattaques dans le monde. Le secteur est exhorté par l’État à doubler ses effectifs en quatre ans

Ce service a été mis en place en 2020 et priorise les demandes de 136 groupes hospitaliers de territoire (GHT).

Bien que l’État ait mis en place des mesures pour protéger les hôpitaux contre les cyberattaques, les conditions d’obtention des aides d’État sont nombreuses. D’autant plus que cette aide suscite au final plus de critiques car elle ne garantit finalement aucune protection des établissements de santé.

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Les cyberattaques contre le fournisseur Sita affectent les compagnies aériennes du monde entier

Sita, fournisseur de services informatiques pour 90% des compagnies aériennes, met en garde contre un « incident de sécurité des données » après avoir été victime d’une « attaque très sophistiquée ».

Sita, le fournisseur informatique de l’industrie aéronautique mondiale, confirme avoir été victime d’une cyberattaque. Les attaquants ont eu accès aux informations personnelles des passagers aériens.

La société de technologie de l’information et de la communication, qui prétend desservir environ 90% des compagnies aériennes du monde, affirme que le 24 février 2021, une cyberattaque a entraîné un « incident de sécurité des données » impliquant des données de passagers stockées sur les serveurs SITA Passenger. Service System Inc. (qui gère le traitement des données des billets d’avion et des passagers) à Atlanta, Géorgie, États-Unis.

Dans un communiqué, la société a décrit l’incident comme une « attaque très sophistiquée » et a déclaré qu’elle « avait agi rapidement » pour contenir l’incident, qui fait toujours l’objet d’une enquête par l’équipe de sécurité de Sita avec des experts externes en cybersécurité.

Certaines compagnies aériennes ont détaillé les informations auxquelles les attaquants avaient accès pendant l’attaque, en mentionnant que des données sur les voyageurs fréquents – telles que leur nom, leur statut et leur numéro de membre – ont été volées.

Un e-mail envoyé aux clients d’Air New Zealand indique que la violation de données n’inclut pas les mots de passe, les informations de paiement, les informations de passeport ou les adresses de contact.

Le chiffre exact du nombre de passagers touchés par l’infraction reste incertain car Sita n’a pas encore répondu publiquement à la question. Mais un article publié dans The Guardian suggère que des centaines de milliers de passagers auraient pu se faire voler leurs informations.

«Nous reconnaissons que la pandémie de Covid-19 a soulevé des inquiétudes quant aux menaces à la sécurité, et que dans le même temps, les cybercriminels sont devenus plus sophistiqués et plus actifs», affirme la société.

Les compagnies aériennes unies dans le cadre de la Star Alliance, notamment Singapore Airlines, Air New Zealand et Lufthansa, ont mis en garde les passagers contre les violations de données Sita. C’est également le cas de certaines compagnies aériennes de la One World Alliance, notamment Malaysia Airlines, Finnair, Japan Airlines et Cathay Pacific. La compagnie aérienne sud-coréenne JeJu Air a également envoyé un e-mail à ses passagers au sujet de l’incident.

Sita n’a pas confirmé la nature exacte des informations auxquelles les pirates ont accès.

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Des auteurs de ransomwares arrêtés en Ukraine

La police ukrainienne a arrêté le 9 février plusieurs membres d’un groupe de cybercriminels à l’origine de plusieurs attaques informatiques dans le monde, dont le quotidien Ouest France, la police et des sources proches ont raconté l’affaire ce jeudi.

Cette « opération internationale », menée en coordination avec les policiers français et ukrainiens ainsi qu’avec le FBI, a mis un terme à la diffusion du ransomware appelé « Egregor », décrit la police dans un communiqué.

Piratage informatique

Au moins 150 entreprises ont été attaquées, principalement aux États-Unis et en Europe, avec des pertes estimées à environ 66 millions d’euros, selon les premiers éléments de l’étude publiée par les services de sécurité ukrainiens (SBU). Selon une source proche du dossier, au moins trois personnes ont été arrêtées dans cet acte. Les domiciles des suspects ont été perquisitionnés et le matériel informatique saisi est « toujours utilisé » par les enquêteurs français envoyés sur les lieux, selon la police.

Les solutions de sécurité informatique Hyères

C’est un rapport d’Europol en septembre qui a conduit le parquet de Paris à ouvrir une enquête en France, remise à la sous-direction cybercriminalité (SDLC). Le groupe a pratiqué la technique de la « double extorsion »: d’une part le cryptage et le vol des données de l’entreprise ciblée, d’autre part la menace de publier ces données compromises sur un site internet si l’entreprise refusait de payer une rançon en bitcoins, le la plus célèbre des monnaies virtuelles.

Le ransomware s’est propagé par pré-intrusion « via l’envoi d’e-mails de phishing et un accès à distance Windows mal sécurisé au bureau », a déclaré la police française. Particulièrement sophistiqué, « Egregor » pourrait prendre le contrôle des imprimantes connectées aux ordinateurs infectés et imprimer la rançon, « amplifiant encore l’impact psychologique de l’extorsion », a déclaré la même source.

Plusieurs entreprises françaises ont été visées par «Egregor», dont le quotidien Ouest France, le transporteur Gefco et le géant du jeu vidéo Ubisoft. Deux attaques de ransomware ont été ciblées ces derniers jours contre des hôpitaux de Villefranche-sur-Saône (Rhône) et de Dax (Landes), mais elles ne portent pas la signature «Egregor». Il a travaillé sur le modèle du logiciel à la demande (Raas, Ransomware as a Service): ses créateurs l’ont mis à disposition d’autres hackers, «affiliés», qui ont pris la responsabilité des attaques avant de partager les bénéfices.

Les détenus font partie « plutôt que de l’équipe de conception et de production », a déclaré Catherine Chambon, directrice adjointe de la lutte contre la cybercriminalité à la magistrature centrale. Si Catherine Chambon qualifie l’opération contre «Egregor» de «démantèlement assez efficace», elle exhorte à rester «très prudente et modeste» sur ce qui ressemble à «un brouillard».

L’origine du mal

Selon l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi), « Egregor serait lié à la fin de l’activité du groupe d’attaquants derrière le ransomware Maze », notamment à l’origine d’une attaque contre Bouygues Construction en janvier 2020. À son tour,  » Egregor « pourrait-il renaître sous une autre forme? « Il est possible que ce soit la vie d’un ransomware », a répondu Catherine Chambon. «L’idée est de mettre progressivement en sécurité les cybercriminels afin qu’ils se sentent moins impunis. Même si, une fois qu’il y a un crime, il a peu de chances de disparaître ».

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Une entreprise chinoise divulgue 400 Go d’informations personnelles

Socialarks, une entreprise chinoise, a subi une énorme fuite d’informations personnelles. Safety Detective, qui l’a découvert, rapporte que 214 millions de comptes Instagram, Facebook et LinkedIn sont concernés.

Socialarks

214 millions de comptes Facebook, Instagram et LinkedIn ont été compromis. Un détective de sécurité, dont la mission est d’identifier les vulnérabilités de sécurité des serveurs, a découvert que la société chinoise Socialarks était responsable d’une fuite massive de données personnelles. La société, spécialisée dans la gestion des réseaux sociaux et le développement de marques en Chine, a stocké les données de millions d’utilisateurs, plus de 400 Go, sur un serveur non sécurisé appartenant à Tencent. Dans son article, l’équipe de sécurité détective explique « que le serveur ElasticSearch a été exposé publiquement sans protection par mot de passe ni cryptage ». Plus précisément, le manque de sécurité a permis à chacun d’accéder aux informations sur les utilisateurs concernés. Selon Safety Detective, ceux-ci ont été récupérés grâce au « Datascrapping ». C’est l’ambition des données personnelles disponibles sur les réseaux sociaux. Si l’approche est légale et déjà utilisée par de nombreuses entreprises, c’est le manque de mesures de sécurité nécessaires pour protéger les données collectées qui pose problème. Ce n’est pas la première fois que Socialarkas est touché par une telle violation de données, car il avait déjà révélé les informations sur 150 millions de comptes en août de l’année dernière.

Données sensibles
Parmi les données collectées par l’entreprise, on retrouve principalement des informations qui sont communiquées par les utilisateurs directement sur les différents réseaux sociaux. Ainsi, les noms, les noms des utilisateurs, les liens vers les profils, les surnoms des différentes plateformes, les photos de profil et la description des comptes dans le fichier sont saisis. D’autre part, Safety Detective a également remarqué qu’il y avait également des informations plus sensibles sur le serveur. En fait, pour Instagram, par exemple. 6 millions d’adresses e-mail d’utilisateurs ont été enregistrées, alors que ces informations n’avaient pas été diffusées sur les différentes plateformes par les internautes. Les experts ne peuvent expliquer leur présence.

Plus de 810 000 comptes Français concernés

Une telle fuite de données est forcément très dangereuse pour les utilisateurs concernés. L’exposition à ces informations les rend vulnérables aux attaques en ligne telles que le vol d’identité, la fraude financière sur d’autres plateformes, y compris les services bancaires en ligne. Les informations de contact de l’utilisateur peuvent également être utilisées pour envoyer des e-mails personnels. Nous devons donc accorder une attention particulière. .

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Plusieurs unités françaises touchées par une cyberattaque de 2017 à 2020

Des entreprises françaises ont été victimes d’une longue campagne de cyberattaques. Une intrusion via la solution de surveillance Centreon et un état de fonctionnement de sandworm faisant référence à un groupe de cyberespionnage russe.

MAJ:  » L’attaque concerne une version open source obsolète du logiciel, déployée sans respect des recommandations d’hygiène de l’Anssi. Les clients de Centreon ne sont pas concernés.  »

L’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi) a mis en garde lundi contre la découverte d’un piratage informatique « affectant plusieurs appareils français » via le logiciel français Centreon, qui compte parmi ses clients de grandes entreprises et le ministère de la Justice. LIEN

L’attaque, qui a duré de fin 2017 à 2020, « rappelle les méthodes déjà utilisées par le groupe de renseignement russe Sandworm, mais elle ne garantit pas qu’il s’agit bien de lui », a déclaré Gérome Billois, spécialiste de la cybersécurité de Wavestone. . La durée de l’attaque avant sa découverte suggère que les attaquants sont « extrêmement discrets, plutôt connus pour être dans la logique du vol de données et de renseignements », a-t-il ajouté.

Air France, Airbus, EDF, Orange, RATP, Thales ou encore Total sont quelques-uns des noms utilisant Centreon, ainsi que le ministère de la Justice. Centreon revendique plus de 600 clients dans le monde, dont 70% ont leur siège en France.

Le policier de la cybersécurité en France fait des compromis qui ont été identifiés fin 2017 et jusqu’en 2020. C’est donc une découverte tardive qui indique une campagne de cyberattaque particulièrement discrète.

L’affaire rappelle l’énorme cyberattaque attribuée à la Russie, qui visait les États-Unis en 2020, alors que des pirates informatiques exploitaient une mise à jour d’un logiciel de surveillance développé par une société texane, SolarWinds, et utilisé par des dizaines de milliers d’entreprises et d’administrations à travers le monde.

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Les groupes ciblent les victimes qui ne cèdent pas à leur ransomware (avec des DDos)

Les ransomwares ou ransomwares étaient déjà de loin la plus grande menace cybernétique en 2020, et ils continuent de croître à un rythme alarmant.

« 10 jours pour changer leur décision. » C’est l’avertissement que le gang Avalon a envoyé à l’une de leurs victimes via leur blog. Le groupe criminel informatique a paralysé le système informatique d’une organisation avec son ransomware, et maintenant ils veulent forcer leur victime à payer une rançon en échange d’une promesse de revenir à la normale.

Augmenter la pression sur la victime

Pour y parvenir, les voyous utilisent une méthode d’extorsion qui est malheureusement populaire depuis plus d’un an: les menaces contre les violations de données. L’entreprise ne souhaite-t-elle pas récompenser les cybercriminels en payant une rançon? Eh bien, il devra gérer la crise provoquée par la fuite ou la vente de ses données clients: un incident qui risque de ternir encore plus son image et d’entraîner la résiliation de contrats encore nécessaires à sa survie.

Attaque DDoS

Comme si ce double chantage ne suffisait pas, Avalon ajoute une autre couche: « Le site est actuellement sous attaque DDoS et nous l’attaquerons jusqu’à ce que la société nous contacte. » En d’autres termes, même si la victime parvient à récupérer progressivement certains de ses outils et services, les cybercriminels sont obligés de les faire dysfonctionner d’une manière différente. Une attaque DDoS consiste à surcharger un site Web en lui envoyant un grand nombre de requêtes au point qu’il s’exécute lentement ou même cesse de fonctionner. Pour les cybercriminels aussi riches que les opérateurs de ransomwares, il s’agit d’une attaque bon marché car il vous suffit de louer quelques machines. Bien sûr, il existe de nombreux outils et méthodes pour gérer et absorber ce type d’attaque, mais c’est un autre problème auquel les victimes doivent faire face si les équipes de sécurité sont déjà débordées par la gestion des ransomwares.

Comme le souligne Bleeping Computer, Avalon n’est pas le premier gang à utiliser ce type de menace – deux autres l’ont fait dès octobre 2020 – mais cela pourrait être un signe que cette tendance se généralisera parmi les cybercriminels.

Cette pratique est une autre mauvaise nouvelle pour les victimes, confrontées à des voyous dont les moyens et l’imagination croissent à un rythme excessif. Certains commencent à harceler leurs victimes par téléphone, d’autres contre-communiquent en achetant des paris publicitaires sur Facebook. d’autres encore impriment leur note de rançon sur tous les photocopieurs de leurs victimes

Comment ne pas être tenté de payer la rançon quand la pression est forte? Aujourd’hui, tout le monde est d’accord sur le principe: les mauvais ne doivent pas être payés. Céder à leurs demandes, c’est les encourager à poursuivre leurs opérations; la rançon finance leur développement, de sorte qu’à chaque fois ils reviennent avec un modus operandi plus sophistiqué; et de plus, il n’y a aucune garantie que les cybercriminels respecteront leur résiliation du contrat: Parfois, les rançons doublent le montant demandé après une première validation de leur victime.

Beaucoup paient.

Parce qu’il est long et coûteux de restaurer votre système d’une autre manière et peut augmenter le fardeau de l’entreprise bien plus que payer une rançon. Parce que la pression est trop forte aussi. Menaces de fuite, pression sur les employés et maintenant DDoS, c’est trop de problèmes à gérer, trop de dommages potentiels pour l’entreprise.

Certes, les entreprises de sécurité réalisent parfois de petits gains par rapport aux cybercriminels. Mais parviendront-ils un jour à freiner le cercle vicieux qui équilibre leurs relations de pouvoir avec les gangs?

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Des fuites de données critiques détruisent la vie de presque tous les citoyens brésiliens

C’est l’une des plus grosses fuites, gigantesque, dangereuse dans les détails des données et très facile à obtenir.

Des fuites de données critiques détruisent la vie de presque tous les citoyens brésiliens

Il est difficile d’imaginer un pire désastre. Mardi 19 janvier, la société de sécurité PSafe a identifié une fuite très inquiétante car elle permettait d’accéder à des données plus critiques de plus de 220 millions de Brésiliens, plus que la population dans son ensemble (et pour cause: la base de données contient également des données sur les personnes décédées. ).

Trois jours plus tard, le site spécialisé Tecnoblog a découvert que non seulement un voleur avait découvert la fuite et téléchargé les données (en août 2019), mais qu’il les avait également postées sur un forum de vente accessible à tous. Certaines des données peuvent être téléchargées gratuitement, le reste peut être acheté au détail.

L’une des raisons pour lesquelles nous parlons de données critiques est que la base de données contient le « Cadastro de Pessoas Físicas » (CPF) des victimes et, dans certains cas, même une photocopie de la carte où ce numéro est écrit. En France, le CPF correspond au numéro fiscal, l’identifiant associé au paiement de la taxe. La simple présence de CPF suffit pour considérer le risque de fraude ou d’usurpation d’identité.

Mais en plus, il est livré avec un certain nombre de données terriblement précises. Respirez profondément, voici une liste non exhaustive de ce que contient la base de données pour chacun, ou presque:

Nom, prénom, date de naissance, nom des deux parents, état matrimonial, niveau de scolarité.
Email, numéro de téléphone, adresse (nom exact de la rue, mais aussi coordonnées GPS).
Plusieurs équivalents du numéro de sécurité sociale et détail de certaines prestations régulières correspondant aux caisses complémentaires familiales françaises.
Détails sur le ménage: nombre de personnes, niveau de revenu.
Informations sur l’emploi: nom légal et pièce d’identité de l’employeur, type d’emploi, statut d’emploi, date d’emploi, salaire, nombre d’heures par La semaine.
Estimation du revenu: ce calcul prend en compte le salaire, le loyer ou encore l’encaissement d’une éventuelle rente. Ces données sont utilisées pour classer les personnes par niveau de classe sociale (faible, moyen, élevé) et par niveau de revenu.
Toutes sortes de données financières: détails de la cote de crédit; le nom du débiteur et l’ID du statut de la dette de la banque du mauvais payeur.
Avec tous ces éléments, le fichier, même au format texte, pèse plus de 14 gigaoctets. Dans le détail, il contient 37 bases de données distinctes, signe que l’auteur de l’infraction avait accès à l’ensemble du système d’une entreprise et pas seulement à une ou deux bases de données mal sécurisées.

Qui peut posséder une telle quantité de données critiques? Le détaillant a appelé le fichier « Serasa Experian », le nom d’une société de crédit brésilienne. Bien que la cybercriminalité ne puisse être tenue pour acquise, la base de données contient plusieurs calculs économiques utilisés par Seresa Experian, dont Mosaic, l’un de ses services de classification dédié au ciblage publicitaire. La société contrevenante a déclaré qu’elle avait ouvert une enquête mais n’avait jusqu’à présent trouvé aucune preuve de cambriolage dans son système.

En attendant d’en savoir plus sur les événements qui ont conduit à la fuite, le Brésil doit faire face à une crise nationale de cybersécurité et à une véritable crise de confiance dans les communications. La base de données est une opportunité en or pour les cybercriminels, petits et grands. Il permettra d’établir des hameçonnages massifs et de sélectionner les cibles les plus pertinentes parmi la quasi-totalité de la population. Plus précisément, les criminels peuvent cibler les personnes peu scolarisées, celles qui vivent dans une région particulière ou même s’attaquer aux revenus élevés. Pas besoin de chercher un moyen de les contacter, tout est dans la base de données. Ils peuvent repousser leur attaque par e-mail, téléphone ou lettre en fonction de leur cible.

D’autres utilisations peuvent avoir des conséquences encore plus importantes. Alors que la menace des ransomwares envahit les entreprises, ce type de fuite augmente considérablement le risque. Pour rappel, ce malware se propage aux victimes des systèmes d’entreprise et crypte tout ce qu’il trouve. Les logiciels d’entreprise (e-mails, progiciel bureautique, outils professionnels, etc.) deviennent inutilisables, tout comme les équipements informatiques (ordinateurs, copieurs, ports de sécurité, etc.) et les documents confidentiels ne peuvent plus être lus. C’est alors que les criminels exigent une rançon – allant de quelques centaines de milliers à des dizaines de milliers de millions d’euros – pour une promesse de lever le blocus des systèmes.

Pour pénétrer par effraction dans leur domicile, les intimidateurs ciblent les employés de l’organisation cible qui ont un niveau élevé de responsabilité et d’accès au réseau. L’objectif: infecter le patient zéro, qui infectera très probablement rapidement le reste du réseau. Ils créent donc des phishings sur mesure, qu’ils vivent de données collectées par eux-mêmes ou de fuites. C’est là que réside l’intérêt de la base de données attribuée à Serasa Experian. Il permet un ciblage direct des personnes d’intérêt telles qu’elles sont répertoriées comme telles dans le fichier. Mieux encore, il fournit plus que suffisamment de détails pour créer une arnaque de phishing très convaincante.

Bien que toutes les violations de données n’aient pas de conséquence, elles pourraient façonner les prochaines années avec la cybersécurité brésilienne.

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à La Rochelle et Annecy on ne chante pas!

Entre Noël et le jour de l’an, la ville de La Rochelle et la ville d’Annecy ont été victimes de cyberattaques. Malgré la paralysie des services et l’affichage des preuves de piratage, les deux administrations ont choisi de ne pas payer de rançon pour accéder aux données.

C’est la nouvelle star des malwares, les «ransomwares». Les hackers n’endommagent ni ne volent plus de données, ce qui les motive maintenant, c’est de l’argent, et pour débloquer une cyberattaque, ils exigent une rançon, d’où le terme «ransomware» ou «ransomware». vécu plus d’une semaine.

Lundi, les hackers du groupe Netwalker ont revendiqué la responsabilité de l’attaque, et il ne sera pas surprenant d’apprendre qu’ils sont russes. Pour prouver qu’ils étaient en fait les auteurs de cette cyberattaque, ils ont téléchargé des visuels comme preuve des données «récupérées». Cité par France Bleu, celui choisi garantit qu’il ne s’agit que « d’une capture d’écran de fichiers qui ne signifie pas que les informations qu’il contient sont extraites et exploitées ».

Cependant, les hackers demandent une rançon et ils menacent de publier les données «récupérées» sur une trentaine de serveurs de la ville. Leur ultimatum est de 14 jours, et un compte à rebours est mis sur les serveurs lorsque les employés de la mairie tentent d’accéder aux données. «Nous ne savons pas exactement ce qu’ils ont pris et nous n’avons actuellement aucune preuve qu’ils détiennent des données importantes», précise le Parisien des techniciens chargés de rétablir l’accès aux différents services, comme le civil statut, DRH ou services généraux.

Ils menacent de publier les données «récupérées»

Du côté de la ville, nous avons porté plainte et une enquête judiciaire est en cours. Et si jamais les données étaient vraiment mises en ligne, la mairie assure qu’elle avertira ses citoyens, mais dans l’immédiat, l’objectif n’est pas de céder au chantage. Un accident qui touche aussi l’urbanité d’Annecy, et bien que les 1.200 fonctionnaires n’aient plus accès à leurs emails et que les services n’aient pas été rétablis, nous avons également choisi de ne pas céder au chantage, et nous sommes surtout étonnés que être la cible des pirates.

Ceci est d’autant plus dommageable en cette période de pandémie que les services ne sont proposés qu’en ligne, notamment pour les personnes âgées. À l’heure actuelle, cette attaque n’a pas été revendiquée, mais le modus operandi semble être identique. D’ailleurs, le groupe Netwalker avait déjà frappé en France plus tôt, et cet été il était soupçonné d’être à l’origine de la cyberattaque contre les compagnies d’assurance MMA.

Netwalker avait déjà frappé en France plus tôt

Plusieurs grandes entreprises françaises avaient subi des attaques de la part de ce groupe russophone, et l’un des points d’entrée était un PC sous Windows 7, qui n’avait pas été mis à jour. Qu’il s’agisse de logiciels ou de matériel, les pirates sont plus que souvent heureux d’exploiter des vulnérabilités non corrigées. Autre passerelle: le courrier électronique via le phishing et la période des fêtes est la raison idéale pour envoyer de fausses cartes de vœux qui cachent des logiciels malveillants.

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Les pirates de SolarWinds ont infiltré les systèmes en septembre 2019

CrowdStrike a découvert un autre malware impliqué dans l’attaque de SolarWinds, appelé Sunspot. Il a permis au code Sunburst d’être inséré dans le code source d’Orion, le logiciel SolarWinds compromis par des pirates.

SolarWinds compromis par des pirates.

Un par un, les mystères restants du piratage d’entreprise de SolarWind ont été résolus. CrowdStrike, l’une des sociétés chargées d’enquêter sur l’incident, a publié le 11 janvier un rapport sur des logiciels malveillants jusque-là inconnus impliqués dans la cyberattaque. Ce malware appelé « Sunspot » serait le premier maillon de l’attaque avant le désormais célèbre « Sunburst ».

Il aurait été introduit sur le serveur d’une entreprise dès septembre 2019. Plus précisément, Sunspot a infecté le moteur de production de SolarWind, le système responsable de l’assemblage des logiciels du groupe. Son objectif: espionner l’usine du logiciel Orion, le logiciel de gestion de réseau de l’entreprise.

Comme le note ZDNet, après une phase d’observation, Sunspot a inséré le code nécessaire pour créer le cheval de Troie Sunburst dans le code source d’Orion. Résultat: entre mars et juin 2020, si un client SolarWinds a installé la mise à jour logicielle, Sunburst s’est installé via le même canal. Ce dernier a ouvert une porte aux serveurs des victimes – plus de 18 000 organisations – dans laquelle les hackers pouvaient pénétrer.

Ils ont ensuite dû déposer manuellement un troisième logiciel malveillant, encore plus puissant, appelé « Teardrop », sur des systèmes proches des organisations qu’ils avaient en vue. Ils ont continué à espionner 250 organisations, dont de nombreux départements et agences du gouvernement américain: armée, renseignement, énergie… Ce sont des domaines critiques compromis par des hackers, « probablement » russes selon les autorités américaines.

L’attaque sur SolarWinds a donc duré de septembre 2019 à juin 2020 et n’a été découverte qu’en décembre 2020. C’est un constat d’échec pour l’entreprise victime, qui a désormais confié l’amélioration. de sa sécurité aux grands noms du secteur.

De leur côté, les enquêteurs ont presque atteint le bout de la chaîne des attaques. Il ne leur reste plus qu’à comprendre comment les pirates ont réussi à implémenter Sunspot sur le moteur de production SolarWinds. Les hypothèses sont répandues, mais cet élément reste un mystère pour le moment. Ensuite, ils devront décider qui a organisé l’attaque: les Russes, mais qui exactement? Certains médias, dont le Washington Post, évoquent APT29, surnommé Cozy Bear, un groupe de hackers d’élite affiliés à l’une des agences de renseignement russes.

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Et une cyberattaque pour Fareva « abricant pharmaceutique ».

La société Fareva, qui travaille principalement sur la commercialisation d’un vaccin contre Covid-19, est paralysée depuis le 15 décembre par une cyberattaque de type ransomware. On espère que les systèmes seront à nouveau utilisés avant la fin de la semaine.

Leader mondial de la sous-traitance industrielle

Le sous-traitant pharmaceutique Fareva lutte contre les ransomwares depuis le 14 décembre, et le redémarrage de son unité de production se fait lentement, selon les informations de France Bleu Touraine.

L’attaque a été annoncée dans la presse le 17 décembre: selon Les Echos, c’est le centre de données de l’entreprise basé à Savigny-le-Temple qui a été touché. En effet rebond, plusieurs usines du groupe spécialisées dans le transport et le conditionnement de produits pharmaceutiques et cosmétiques ont été fermées par l’attaque, selon le quotidien. Un reportage que la direction termine avec Les Echos, indiquant que seuls les sites français seraient concernés par l’attaque.

La direction du groupe a alors confirmé que la réponse rapide de l’équipe informatique avait permis de limiter les pertes de données et prévoyait le retour des sites de production à partir du 4 janvier. Mais selon France Bleu Touraine, citant des sources syndicales, les machines de l’usine d’Amboise sont toujours restées immobiles lundi, la quasi-totalité des ouvriers de l’usine étant en emploi de courte durée depuis le 22 décembre. La reprise progressive de l’activité sur place est désormais attendue ce week-end.

Fareva est une société basée au Luxembourg. Il a notamment été choisi par le groupe allemand CureVac pour conditionner le vaccin contre Covid-19. Pour le président du groupe Bernard Fraisse, le lien entre l’attentat et l’annonce serait « évident ».

Et l’hôpital de Hyères?

Outre Fareva, plusieurs hôpitaux français ont été victimes de cyberattaques en décembre: le centre hospitalier d’Albertville-Mûtier en Savoie a annoncé avoir été touché par un ransomware le 22 décembre. Le centre hospitalier a pu continuer à fonctionner dans un accident, mais plusieurs services et équipements ont été rendus inaccessibles par l’attaque. Plus tôt ce mois-ci, c’était l’hôpital de Narbonne qui avait déclaré avoir été victime d’une cyberattaque, mais cette fois, il s’agissait d’exploiter la puissance de calcul de ses équipements pour extraire de la crypto-monnaie. Si les dégâts ont été limités, les mesures prises pour désinfecter le système d’information ont contraint les salariés de l’entreprise à travailler plusieurs jours sans accès à Internet.

En décembre, les agences de cybersécurité française et allemande ont publié une déclaration commune mettant en garde le secteur contre la recrudescence des attaques contre les organismes de santé.

Le secteur de la santé a été confronté à plusieurs attaques en décembre 2020. L’attaque contre l’Agence européenne des médicaments au début du mois a permis à des tiers non autorisés d’accéder aux documents connexes. l’approbation des vaccins. IBM a également signalé une augmentation des attaques de phishing ciblant les entreprises chargées de fournir des vaccins. À l’échelle mondiale, Checkpoint confirme une tendance similaire, indiquant qu’il a connu une augmentation de 45% des attaques ciblant le secteur de la santé depuis novembre 2020.

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L’Hôpital d’Albertville subit une cyberattaque


Le centre hospitalier Albertville-Moûtiers en Savoie est victime d’une cyberattaque depuis le lundi 21/12/2020. Elle a endommagé ses serveurs informatiques.

Le directeur et le directeur délégué, Guy-Pierre Martin (à droite) et Pierre Idée

Quelques jours après l’hôpital de Narbonne, qui a été touché par une cyberattaque infectant ses serveurs, le Centre Hospitalier Albertville-Moûtiers (CHAM) en Savoie a de nouveau été confronté à un virus informatique qui a endommagé son système d’information. Découvert le lundi 21 décembre, vers 18 h. 4, la cyberattaque provoquée par un virus «ransomware» rendu inaccessible «à un certain nombre d’équipements, de serveurs, de logiciels et d’une partie du réseau informatique». Comme l’a indiqué l’hôpital dans un communiqué de presse mercredi. Outre les hôpitaux d’Albertville et de Moûtiers, deux EHPAD ont également été , soutenu par CHAM, concerné.

Dès que l’attaque a été découverte, tout le réseau informatique de l’hôpital a été fermé, rendant impossible l’accès aux dossiers des patients et aux dossiers de traitement. «C’est très compliqué pour tous les services, nous sommes limités par l’ordinateur, et ça risque de durer», explique un officier hospitalier.

Les connexions informatiques à l’hôpital voisin de Chambéry, dont la gestion est partagée avec le centre hospitalier d’Albertville-Moûtiers, ont été suspendues à partir de lundi pour éviter de propager le virus. «Nous avons été informés lundi après-midi qu’une attaque assez grave avait eu lieu à Albertville et que tous les systèmes centraux de communication avaient été cryptés par le virus», explique un membre du personnel de l’hôpital de Chambéry.

Malgré sa virulence, l’attaque ne mettrait pas en péril le fonctionnement de l’établissement. La protection respiratoire et les salles d’opération, la plateforme d’imagerie et les urgences « fonctionnent normalement », précise l’hôpital.

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Le journal Ouest France piraté par un ransomware

Le groupe Ouest France, qui a été perturbé il y a quelques jours par un « virus mystérieux », a en fait été cyber-attaqué par un ransomware.

ZATAZ peut confirmer que le groupe de presse français Ouest France, cyberattaque du samedi 21 novembre, était du groupe de hackers Egregor. Ces opérateurs de ransomwares malveillants confirment cette intrusion en communiquant, à travers la divulgation de preuves, l’intrusion et les otages 2.0

Le journal Ouest France piraté par un ransomware

Ces terroristes numériques ont téléchargé un fichier de plus de 80 Mo (1% de ce qu’ils auraient volé) pour signaler ce piratage.

Un hack qui a abouti au blocage de nombreuses machines au sein du groupe de presse et à l’obligation de réduire la publication du journal. Ouest France n’a pu sortir qu’une seule édition (au lieu de neuf) le dimanche 22 novembre.

La direction du journal n’a alors déclaré aucune fuite de données et n’avoir vu aucune demande de rançon. LIEN

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Les groupes derrière les ransomwares appellent les victimes qui les ignorent

Les cybercriminels continuent de développer à un rythme leurs méthodes intimidantes de pression sur leurs victimes. Après les menaces de fuite que le marketing téléphonique …

Les groupes derrière les ransomwares appellent les victimes qui les ignorent

« Si vous voulez arrêter de perdre votre temps et récupérer vos données cette semaine, nous vous recommandons de discuter de la situation avec nous sur le chat, sinon les problèmes avec votre réseau ne finiront jamais. » Depuis août, des firmes qui ont sacrifié des rançongiciel qui ne contactent pas leurs rançonneurs ont reçu de tels appels, rapporte ZDNet.

Sur la ligne, un agent d’un centre d’appels payé par des cybercriminels a été constamment trouvé. Il explique que les hackers soupçonnent qu’une société de cybersécurité est impliquée dans la gestion de l’incident, puis cela se transforme en menaces. Cette demande vise à mettre encore plus de pression sur les équipes de sécurité déjà débordées pour tenter de favoriser la restauration du réseau de rançon.

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Les noms les plus connus du secteur comme Conti, Ryul ou Maze (qui a depuis cessé ses activités) ont déjà utilisé cette méthode. S’il n’est pas complètement nouveau, il est systématisé pour la première fois. Selon les spécialistes interrogés par ZDNet, il semble que les hackers utilisent tous le même centre d’appels.

CHOISIR D’IGNORER L’APPLICATION DE LA SOLUTION EST DIFFICILE
Une récupération et un nettoyage complets d’un réseau infecté par un ransomware peuvent prendre des jours, voire des mois, en fonction de la propagation du malware et de l’architecture du réseau. Pendant cette période, la société offreuse fonctionnera au ralenti, ce qui affectera de manière irréversible son chiffre d’affaires.

Il peut donc être tentant de payer la rançon, même si elle est élevée (de quelques centaines de milliers d’euros à des dizaines de milliers de millions d’euros pour les grands groupes), car ce choix peut être économiquement avantageux. Si elle se conforme aux demandes des hackers, elle a la possibilité de récupérer son système en peu de temps, et en plus, certaines assurances couvrent une partie des frais.

Mais choisir de payer la rançon signifie faire confiance aux criminels, risquer de laisser des restes de logiciels malveillants sur votre système et, surtout, remplir la force de frappe du gang derrière les attaques, qui se développent à un rythme alarmant.

Pour mettre leurs victimes sous pression, les voyous ne cessent d’innover depuis deux ans. Ils ont commencé à menacer d’avertir les journalistes afin d’attirer l’attention sur l’attaque et de nuire à la réputation des victimes auprès de leurs clients. Ensuite, ils ont commencé leurs propres blogs où ils ont menacé de publier des échantillons de données volées aux victimes.

Ils commencent par télécharger quelques mégaoctets comme preuve de leurs méfaits et peuvent aller jusqu’à publier toutes les données volées. Et ce n’est pas tout: si la victime s’expose, les cybercriminels n’hésiteront pas à doubler la rançon après le temps imparti.

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Ces derniers mois, les opérateurs de ransomwares ont pris la liberté de tirer de nouveaux threads. Ragnar Locker a acheté des publicités Facebook pour décourager la communication de sa victime Campari. De son côté, Egregor a codé un script dans son malware pour imprimer automatiquement sa note de rançon sur des imprimantes liées à des appareils infectés. Et maintenant, d’autres gangs font face au harcèlement téléphonique. Alors, où s’arrête l’escalade des méthodes utilisées par les cybercriminels?

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Ransomware: un problème infinie?

Se défendre contre cette menace en constante évolution n’est pas une mince affaire, mais un bon point de départ est de comprendre où se trouvent les points faibles et comment ils sont exploités.

Ransomware: un problème infinie?

Tous les experts conviennent que les cybermenaces se sont intensifiées ces derniers mois avec l’augmentation des demandes de rançon et des tactiques que l’on peut qualifier d’impitoyables.

Personne n’est épargné par des organismes publics comme les villes de Vincennes et Aulnoye-Aymeries il y a quelques semaines aux plus grandes entreprises privées comme Bouygues Construction, CMA-CMG ou Sopra-Steria.

Les cybercriminels parviennent à trouver de nouvelles façons de contourner les défenses des entreprises grâce à des attaques plus sophistiquées et ciblées. Se défendre contre cette menace en constante évolution n’est pas une mince affaire, mais un bon point de départ est de comprendre où se trouvent les points faibles et comment ils sont exploités.

Les personnes restent le maillon faible de la cybersécurité
Il suffit d’un clic sur un lien de phishing pour faire le travail: les défenses du réseau sont brisées et les logiciels malveillants sont infiltrés.

Renforcer sa défense contre la négligence humaine nécessite non seulement de former les employés à la sensibilisation à la cybersécurité, mais aussi d’introduire des outils pour filtrer les contenus malveillants avant qu’ils ne causent des dommages. Mais comme la cybersécurité n’est pas une science exacte, même les plans les mieux conçus doivent être continuellement revus et adaptés afin de ne pas être dépassés par le rythme fou du développement des cybermenaces.

Prenons, par exemple, l’augmentation massive du télétravail pendant la pandémie.
Ce nouveau «standard» offre aux hackers une toute nouvelle audience et une cible facile qui n’ont pas l’habitude de se protéger des menaces. Ces nouvelles habitudes de travail ont conduit à une augmentation des attaques RDP (Remote Desktop Protocol) de Microsoft dans le monde, selon le fournisseur de sécurité Kaspersky.

Les mails comme porte d’entrée

Les cybercriminels sont bien conscients que chaque industrie présente des vulnérabilités spécifiques. Ils exploitent ces vulnérabilités en passant de campagnes de phishing massives à des attaques plus ciblées. Par exemple, certaines se concentrent sur des entreprises individuelles, généralement de haut niveau, car elles ont souvent beaucoup à perdre, tandis que d’autres ciblent un secteur particulier en utilisant des logiciels malveillants adaptés aux technologies utilisées dans ce secteur.

Dans certains cas, ils utilisent les deux, comme lors de la récente attaque Honda. Le piège dans ce cas était une variante du ransomware Snake qui pouvait à la fois désactiver les mesures de protection et cibler les systèmes d’exploitation SCADA industriels utilisés dans la fabrication de véhicules.

Les attaques de ransomwares deviennent rapidement une «entreprise» de plus en plus diversifiée. Les victimes risquent désormais de voir leurs données sensibles collectées lors d’une attaque de cryptage. Il devient également de plus en plus clair que les ransomwares ciblent régulièrement les systèmes de sauvegarde et de reprise après sinistre ainsi que les données en temps réel. Du moins en apparence car il faut du temps pour vérifier l’intégrité de ces défenses …

Suivez l’actualité de ransomware

Que peut faire une entreprise pour se protéger de ce qui est aujourd’hui l’une des plus grandes menaces pesant sur son système informatique? Il n’y a pas de réponses faciles ou d’outils simples qui peuvent résoudre le problème.

Plutôt qu’une solution miracle, c’est plutôt une approche méthodologique qu’il faut privilégier: sensibiliser et éduquer les utilisateurs finaux sur la sécurité, mettre à jour les outils anti-malware sur les postes de travail et l’infrastructure, et s’assurer que les stratégies et outils de sauvegarde sont suffisamment robustes pour faire face aux menaces contre les ransomwares et permettre un retour rapide à la normale.

Toutes ces mesures méritent d’être envisagées, mais en tant que dernière ligne de défense, c’est la protection qui est la plus importante. D’autant que l’utilisation de périphériques NAS (Network Attached Storage) pour la sauvegarde et l’archivage est répandue et qu’ils sont en eux-mêmes une cible facile. C’est la «partie réseau» qui expose les périphériques NAS au plus grand risque, les rendant faciles à identifier et, une fois trouvés, faciles à attaquer. Souvent sans que personne ne le sache jusqu’à ce que les demandes de rançon arrivent dans la boîte de réception.

La première approche consiste à verrouiller le réseau auquel les périphériques NAS sont connectés, tout en s’assurant que le micrologiciel du NAS est à jour avec toutes les dernières mises à jour de sécurité. Au-delà, il est intéressant de profiter de l’authentification à deux facteurs lorsqu’elle est disponible, et de SSL pour mieux sécuriser l’accès à distance si nécessaire.

Les bonnes pratiques contre les ransomwares

D’autres bonnes pratiques incluent le blocage automatique des adresses IP après l’échec répété d’attaques de connexion par «force brute», ainsi que l’utilisation du cryptage des données et des pare-feu spécifiques au NAS.

En matière de cybersécurité, il vaut mieux être très prudent. Autrement dit, effectuez des sauvegardes fréquentes et régulières du stockage NAS et stockez ces copies à distance (de préférence hors site) et sans connexion au réseau. C’est le seul moyen de garantir qu’il existe une version propre et récupérable des données qui n’est pas obsolète.
Sans oublier, cependant, que cela doit être combiné avec des contrôles d’intégrité réguliers et des analyses de logiciels malveillants pour s’assurer que les données copiées ne sont pas déjà compromises.

La menace du ransomware cessera-t-elle un jour de planer? Possible, mais sûr, de faire de la place à une menace au moins aussi grande. C’est pour cette raison que de nombreuses entreprises cherchent à le désinfecter au niveau du stockage de données avec les capacités de stockage d’objets, de contrôle de version, de technologie WORM (Write Once Read Many) et de systèmes de fichiers immuables.

Gartner prédit qu’env. 20% des données de l’entreprise d’ici 2021 seront stockées en mode scaling contre 30% aujourd’hui. La fin du ransomware n’est pas a priori pour demain, il semblerait que ce soient ces technologies associées au stockage de données qui permettent de désarmer ce type d’attaque et de voir un peu de lumière au bout du tunnel!

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Ryuk LE ransomware 2020?

Anssi a publié un nouveau rapport, cette fois axé sur l’activité ransomware de Ryuk. Particulièrement impliqué dans l’attaque de Sopra Steria en France, ce logiciel malveillant se distingue de la concurrence et ne se contente pas de dupliquer les méthodes de ses concurrents.

Ryuk LE ransomware 2020?

Ryuk est un ransomware actif depuis 2018 et dont les opérateurs sont particulièrement actifs. C’est ce qui a valu le titre de «ransomware le plus rentable» selon le FBI en 2018 et généré plus de 61 millions de dollars de rançon entre février 2018 et octobre 2019.

Cependant, Ryuk n’aborde pas les méthodes qui ont fait le succès de groupes malveillants comme Maze ou Revil: pas de chantage pour le vol de données, pas de place pour montrer les victimes ou les communiqués de presse ici. Pourtant, ce ransomware, qui est actif depuis deux ans maintenant, reste une menace majeure, et Anssi a publié un rapport de statut.

Ryuk est un ransomware dont le but est de crypter les données de la victime pour exiger une rançon. Anssi indique que les cibles privilégiées des opérateurs de ce ransomware sont les grandes entreprises capables de payer les grosses rançons requises, principalement aux États-Unis et au Canada. L’agence note également que les opérateurs de Ryuk ne réservent pas d’autres groupes vis-à-vis des établissements de santé: « en octobre 2020, Ryuk serait responsable de 75% des attaques sur le secteur de la santé qu’il attaquerait depuis le premier semestre 2019 ». Des dizaines d’hôpitaux américains ont été victimes d’une campagne de Ryuk au début d’octobre visant les services dans les hôpitaux de l’UHS. Le FBI et le CISA américain ont également mis en garde contre le risque de nouvelles attaques basées sur Ryuk dans un nouveau communiqué d’information publié fin octobre.

Trickbot, Emotet et le bazar
Comme de nombreux ransomwares, Ryuk n’est que la dernière étape d’une chaîne d’infection multi-malware. Les auteurs du rapport indiquent que l’infection Trickbot, au moins jusqu’en septembre 2020, aurait été le point d’entrée privilégié des opérateurs Ryuk pour s’implanter dans les réseaux d’entreprise. Trickbot, avec Emotet et bien d’autres, est un malware de type chargeur qui se propage généralement via des campagnes de courrier électronique malveillantes pour infecter un appareil cible, puis se propager à travers le réseau interne d’une victime et se déplacer jusqu’à ce qu’il compromette un contrôleur de domaine. La dernière étape est la mise en œuvre du ransomware, le cryptage des machines et la demande de rançon. Et si ce type d’attaque prend généralement du temps, certains opérateurs Ryuk se démarquent par leur rapidité: Anssi indique ainsi que dans certains cas le temps de la première infection et du cryptage est réduit de quelques jours. (2 à 5) en trois heures ».

En 2020, cependant, les opérateurs de Ryuk semblent s’être progressivement tournés vers un nouveau chargeur, connu sous le nom de BazarLoader, actif depuis mars 2020. «Comme TrickBot, Bazar serait utilisé comme un accès en tant que service pour faire des compromis ou même qualifier un SI pour le compte d’autres groupes d’attaquants. On ne sait pas si BazarLoader, comme TrickBot, fonctionne également sur un modèle d’affiliation », précise l’agence, qui précise que le logiciel est principalement distribué par le groupe derrière Trickbot. D’autres chargeurs ont également été identifiés dans des attaques impliquant le malware Ryuk: Buer et Le logiciel Silent Night a également été utilisé dans l’attaque qui a implémenté Ryuk.

Raas ou pas Raas, c’est la question
L’un des points qui sépare Ryuk du reste de l’écosystème de la cybercriminalité des groupes de ransomware est la question du modèle commercial de Ryuk. Pour de nombreux ransomwares apparus ces derniers mois, le modèle économique utilisé est généralement celui de RaaS (Ransomware as a service): le groupe à l’origine des ransomwares commercialise ses logiciels sur des forums clandestins auprès d’autres groupes, qui s’assurent ensuite de les diffuser réseaux informatiques de leurs victimes.

Pour Anssi, Ryuk n’est « pas officiellement un RaaS »: l’agence déclare ainsi qu’elle n’a observé aucune promotion des opérateurs Ryuk sur les forums clandestins. Ryuk est néanmoins exploité par plusieurs acteurs malveillants, selon Anssi. S’il n’est pas vendu au public, il pourrait être mis à la disposition de partenaires de confiance par le créateur du code malveillant, ou il pourrait être exploité indépendamment par plusieurs groupes à l’aide d’outils et de formes de propagation communs. .

Il est donc difficile de savoir qui tire exactement les fils de Ryuk: le rapport de l’agence met en évidence le rôle central joué par deux acteurs malveillants, le groupe WizardSpider derrière Trickbot et le groupe identifié comme UNC1878. Selon FireEye, ce dernier groupe est responsable de 83% des attaques impliquant Ryuk. L’agence note également l’implication d’autres groupes tels que FIN6 dans la prolifération du ransomware Ryuk ainsi que du code et des méthodologies entre Ryuk et un autre ransomware connu sous le nom de Conti. Si Ryuk n’est pas «officiellement un RaaS», il n’en est pas moins un acteur profondément enraciné dans la sphère de la cybercriminalité et avec de nombreux liens avec des groupes tiers.

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Titan informatique annonce le lancement de ses forfaits 5H dans la commune de Toulon

Pas de moins de 93 000 logements sont désormais éligibles aux Forfaits 5H de Titan-informatique. Le prestataire de service informatique débarque officiellement sur Toulon.

Titan informatique annonce le lancement de ses forfaits 5H dans la commune de Toulon

Plus vite que prévu, Titan-informatique annonce ce matin l’arrivée de ses Forfaits 5H pour les habitants de Toulon, l’objectif est de couvrir les communes de Toulon, la Garde, la Valette du Var par des services informatique d’ici 2022.

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Un ransomware kidnappe les données des smartphones

Les ransomwares se propagent via des applications Android publiées sur des forums ou des sites Web tiers.

Un ransomware kidnappe les données des smartphones

Un nouveau virus particulièrement sophistiqué fait actuellement rage sur les smartphones Android. Ce dernier fait partie d’un ransomware, un malware qui crypte les données pour que les victimes en extraient de l’argent en détenant une clé de décryptage. Ce type de virus tue régulièrement de nombreuses personnes dans le monde, à la fois sur les ordinateurs et les smartphones.

Le nouveau malware découvert par les chercheurs en cybersécurité de Microsoft est connu sous le nom d’AndroidOS / MalLocker.B. Il fait partie d’une toute nouvelle souche de ransomwares et se propage via des applications Android publiées sur des forums et des sites tiers en dehors du Play Store. Une fois installés sur le téléphone, les logiciels malveillants utilisent le mécanisme de notification des appels entrants ainsi que le bouton Accueil pour verrouiller l’accès au téléphone. Sur Android, la plupart des ransomwares bloquent simplement l’accès aux fichiers stockés sur l’appareil au lieu de les crypter.

Une fois mis en œuvre, le virus MalLocker.B affiche un message persistant sur l’écran du téléphone, prétendument émanant des forces de l’ordre locales, une technique largement utilisée par les auteurs de ransomwares. L’avis indique ainsi que ce dernier doit payer une amende pour un crime commis par la victime.

En détruisant le système d’appel entrant, le ransomware peut afficher son message sur tout l’écran du smartphone. De plus, il est capable d’afficher son message en permanence même si l’utilisateur appuie sur le bouton ou tente de basculer vers une autre application ouverte, car il a également la main sur la fonction du bouton Accueil.

Cette double fonction du ransomware est nouvelle et sans précédent. Malheureusement, il est presque toujours impossible de contourner ces types d’attaques. Et même s’ils paient, les fabricants de ransomwares risquent de ne pas redonner aux victimes l’accès au téléphone. Dans certains cas, ils peuvent partager ou détruire les fichiers kidnappés même si la victime a payé la rançon.

La seule solution pour éviter ce genre de mauvaise surprise est de ne pas télécharger une application en dehors du Play Store et de privilégier les applications de développeurs renommés. Assurez-vous de lire les commentaires ci-dessous la description des applications pour vous assurer qu’elles sont fiables.

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Le Cigref s’inquiète de la reprise des attaques par ransomware

Dans un communiqué de presse publié cette semaine, le Cigref met en garde contre la montée des cyberattaques et la menace que cette hausse fait peser sur l’économie française. Et ce alors que de plus en plus d’entreprises en France sont concernées par les attaques de ransomwares.

Le Cigref s’inquiète de la reprise des attaques par ransomware

Un risque informatique pour les entreprises Francaises:

Depuis le début de l’année scolaire, les assaillants n’ont pas désarmé et l’épidémie de rançon commence à se manifester. Le Cigref, organisation qui regroupe un réseau de grandes entreprises et administrations françaises sur le thème du numérique, indique avoir adressé une lettre au Premier ministre l’avertissant de «l’augmentation du nombre et de l’intensité des cyberattaques» et de l’impact de cette situation sur l’économie française.

« Les pertes d’exploitation des centaines d’entreprises, grandes et petites, qui ont subi une cyberattaque ne sont plus anecdotiques, comme le montre trop souvent l’actualité », a déclaré Cigref dans son communiqué de presse. L’organisation reconnaît les efforts déjà consentis par l’Etat à travers Anssi, mais note «l’insuffisance des réponses de la communauté internationale et des Etats face à la réalité d’une menace qui se déploie à l’échelle mondiale.» Le Cigref saisit également l’occasion pour pour pointer du doigt les fournisseurs de systèmes numériques dont les pratiques sont jugées inadéquates: le Cigref appelle à une régulation de ces acteurs pour améliorer la sécurité globale des entreprises utilisant ces outils.

Covid + ransomware = pas bon!

Le contexte est en effet délicat pour les entreprises déjà touchées par la crise sanitaire et les mesures d’endiguement mises en place par le gouvernement. Mais la période a également été marquée par une vague d’attaques de ransomwares qui a frappé les entreprises françaises. Nous avions publié des retours de Paris Habitat, mais de nombreuses autres victimes d’attaques de ransomwares ont été touchées ces dernières semaines.

On peut citer le quotidien Paris Normandie, la société de services informatiques Umanis, Scutum ou encore Siplec. Il y en a beaucoup d’autres dont les attaques ont été revendiquées par des groupes de cybercriminalité mais non confirmées par les victimes. Et on ne parle que des victimes qui ont été déclarées depuis début novembre, mais beaucoup passent sous le radar et ne communiquent pas et espèrent que les assaillants ne communiquent pas non plus (ce qui est loin d’être évident).

Outre les entreprises, de nombreuses administrations et collectivités locales sont également touchées: les chambres d’agriculture du Centre-Val de Loire et de la Nouvelle-Aquitaine ont ainsi porté le poids de ces attaques, ainsi que Vincennes ou la ville de Bondy, qui rapporte avoir été touchée deux fois de suite. une attaque informatique en dix jours. Une nouvelle typologie des victimes préoccupe particulièrement Anssi, qui publie désormais un guide de sécurité pour les communes et envisage de profiter du plan de relance pour lancer un plan de sécurisation des systèmes informatiques des collectivités locales.

La tendance à la hausse des cyberattaques est observée depuis plusieurs mois maintenant: leMagIt avait réalisé un premier recensement des cyberattaques en septembre, laissant supposer avoir identifié des dizaines de victimes en France et plus de 700 dans le monde. . Cigref n’est donc pas déplacé pour rien: la facture (ou rançon) de l’économie française peut s’avérer salée.

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L’incident technique de Paris Habitat était en fait un ransomware

La firme Paris Habitat confirme avoir été touchée par des ransomwares, ce qui a conduit à la paralysie de ses services pendant plusieurs jours. Cependant, Paris Habitat a refusé de payer la rançon et a reconstruit son système sur la base de sauvegardes.

Après près de trois semaines de silence radio, Paris Habitat fournit des détails sur la cyberattaque qui a paralysé ses services. Comme l’ont mentionné MagIT et plusieurs sources internes, c’est en fait un ransomware qui a affecté les services informatiques du bailleur social parisien. «L’attaque a eu lieu dans la soirée du 27 octobre et a été détectée par nos systèmes informatiques le 28 au matin», explique Marie Godard, directrice adjointe de Paris Habitat. «On pense que le vecteur d’intrusion est une attaque de phishing, mais notre enquête n’est pas encore terminée. Cependant, le groupe derrière l’attaque a été identifié comme étant Sodinokibi. « 

Il y a donc eu une demande de rançon, mais Marie Godard explique que « la question ne s’est pas posée. On s’est rendu compte que nous avions des sauvegardes audio remontant au mardi 27 octobre, ce qui nous a évité d’avoir à envisager de payer une rançon. » Paris Habitat garantit qu’il n’y a pas eu de perte ou de vol de données. Quinze jours après la première attaque, Sodinokibi n’a en fait publié aucune donnée sur son site Internet Paris Habitat, suggérant que les données des utilisateurs n’ont pas été effectivement volées.

Pour limiter l’attaque, la direction a choisi d’arrêter tout son système informatique mercredi avant de redémarrer progressivement les systèmes à partir de vendredi. « Nous avons immédiatement alerté nos partenaires directs de la situation », a déclaré le directeur adjoint. Paris Habitat héberge en effet un data center à Paris, qui héberge également AP-HP et Eau de Paris. Mais «la partition entre les différents SI a permis de limiter le risque de reproduction», assure Marie Godard.

En reconstruction
La continuité du service a été assurée en s’appuyant sur le réseau de gardiens d’immeubles de Paris Habitat: le site internet sur place a ainsi référé les locataires à leur concierge ou à un numéro de téléphone unique permettant l’Information. Un site Internet du personnel a également été mis en place pour leur fournir des informations sur le redémarrage des systèmes et les mesures à mettre en œuvre pour le confinement. Lorsque l’attaque a été déclarée quelques jours avant l’annonce du confinement, il valait mieux tuer deux oiseaux d’une pierre. «Le problème maintenant est de récupérer en s’assurant que tout est fiable», a déclaré le directeur adjoint, qui a déclaré que le groupe travaillait avec Frame IP pour remettre les systèmes en marche.

«Nous devons nous assurer que toutes les données sont fiables et que les machines des employés le sont également. Au total, donc, plus de 1 500 ordinateurs portables doivent être ciblés pour s’assurer qu’ils ne sont pas compromis. Selon le directeur adjoint, il y a déjà eu plus de 1 200 unités. Elle explique que les services sont progressivement redémarrés, puisque le site doit être de nouveau en ligne « avant la fin de la semaine ». Le groupe a déposé une plainte et BEFTI et OCLCTIC sont chargés de l’enquête. Un rapport a également été fait à la CNIL. Paris Habitat explique également avoir prévenu Anssi de l’attaque.

Sodinokibi ou Revil fait référence à un groupe de cybercriminalité particulièrement actif, spécialisé dans les attaques de ransomwares. Apparu en avril 2019, ce ransowmare fonctionne sur le modèle de RaaS (Ransomware as a Service), ce qui signifie qu’il loue ses malwares à des groupes tiers, «affiliés», responsables de la réalisation des attaques, alors que les créateurs du malware sont normaux responsable de la négociation et de la récupération de la rançon puis de la redistribution des gains. Revil est un groupe connu pour télécharger et revendre les données qu’il vole à ses victimes via un site dédié. Mais jusqu’à présent, le groupe n’a pas revendiqué la responsabilité de l’attaque ou téléchargé des données appartenant à Paris Habitat.

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Capcom confirme le ransomware et le vol des données

La cyberattaque contre Capcom était en fait une cyberattaque par ransomware combinée à un vol des données. Les données de centaines de milliers de personnes sont compromises.

Plus tôt ce mois-ci, l’éditeur de jeux vidéo japonais Capcom – surtout connu pour ses franchises Street Fighter et Resident Evil – a déclaré avoir été victime d’une cyberattaque avec un piratage de son système d’information.

Les communications de Capcom étaient censées être assez rassurantes, tandis que des rapports commençaient simultanément à circuler sur une cyberattaque de ransomware (Ragnar Locker) et un filtrage de données à partir de réseaux au Japon, aux États-Unis et au Canada.

Plus tôt cette semaine, Capcom a fait une nouvelle communication. L’éditeur confirme avoir été victime d’une cyberattaque par ransomware et ajoute que des données personnelles ont été compromises.

Capcom a pu vérifier que les informations personnelles de neuf employés (anciens et actuels) étaient compromises, ainsi que les informations financières et les rapports de vente. Dans une section de données potentiellement compromise, Capcom classe les cas pour près de 350 000 personnes.

Dans ce cas, il s’agit de clients, de partenaires commerciaux, d’actionnaires ou même d’anciens salariés. Essentiellement au Japon et en Amérique du Nord, ce sont principalement des noms, des adresses électroniques et postales, des numéros de téléphone, des dates de naissance et même des photos.

Toujours dans le registre des données potentiellement compromises, Capcom ajoute que près de 14 000 personnes sont associées aux ressources humaines ainsi qu’à tout un ensemble de documents internes confidentiels.

Une combinaison de ransomware et de vol des données
Rappelons que Capcom avait initialement précisé qu’il n’y avait actuellement aucune indication d’un compromis sur les données clients. Le discours a considérablement changé. En revanche, Capcom – qui s’excuse – évite le risque de compromis avec les données bancaires ou de paiement. Tout simplement parce que Capcom ne stocke pas ces informations en interne.

Capcom travaille avec les forces de l’ordre au Japon et aux États-Unis. Les attaquants derrière le ransomware Ragnar Locker avaient en fait adressé une demande de rançon à Capcom pour le retour de données volées et la fourniture d’un outil de décryptage.

L’enquête sur l’incident de sécurité et les données exfiltrées a été entravée par le cryptage des données sur les serveurs et la suppression des journaux d’accès lors de la cyberattaque. Capcom a visiblement décidé de ne pas céder au chantage des attaquants. Ce n’est pas toujours le cas. En retour, les données exfiltrées sont mises en ligne.

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Mattel a été victime cet été d’un ransomware

Le fabricant de jouets a été victime d’une attaque de ransomware l’été dernier. L’attaque a été rapidement interrompue et n’a eu aucun impact significatif sur l’entreprise.

Mattel a contenu l’attaque d’un ransomware

Le fabricant de jouets américain Mattel a révélé mercredi qu’il avait subi une attaque de ransomware qui paralysait certaines fonctions commerciales. Néanmoins, la société affirme s’être remise de l’attaque sans pertes financières importantes.

Mattel a contenu l’attaque
L’incident a eu lieu le 28 juillet, selon un formulaire trimestriel 10-Q, que la société a déposé plus tôt dans la journée auprès de la Securities and Exchange Commission des États-Unis.

Mattel a déclaré que l’attaque par ransomware avait initialement réussi et chiffré certains de ses systèmes.

«Après la découverte de l’attaque, Mattel a commencé à mettre en œuvre ses protocoles de réponse et à prendre une série d’actions pour arrêter l’attaque et restaurer les systèmes affectés. Mattel a contenu l’attaque et, bien que certaines fonctions commerciales aient été temporairement affectées, Mattel a rétabli les opérations », explique la société.

Aucun impact sérieux
Depuis plus d’un an, les gangs de ransomwares volent des données et se lancent dans un double stratagème d’extorsion qui menace de publier les données de l’entreprise piratée sur des sites Web publics appelés «sites de fuite» à moins que les victimes ne paient la rançon souhaitée.

Cependant, le fabricant de jouets explique qu’une enquête ultérieure a conclu que le gang de ransomwares derrière le cambriolage de juillet n’avait volé « aucune donnée commerciale sensible ou des données sur les clients, fournisseurs, consommateurs ou employés ». .

Dans l’ensemble, Mattel semble avoir échappé à l’incident avec seulement un bref temps d’arrêt et sans aucune blessure grave, ce qui est rarement suffisant pour être stressé. De nombreux exemples montrent des pertes financières de plusieurs dizaines de milliers de millions de dollars, comme c’est le cas avec Cognizant ou Norsk Hydro. Mattel souligne que l’attaque du ransomware a légèrement « eu aucun impact significatif sur ses opérations ou sa situation financière. »

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EteSync, sortie du protocole version 2

Synchronisation sécurisée, cryptée de bout en bout et respectueuse de la confidentialité de vos contacts, calendriers et tâches (à l’aide de Tasks.org et OpenTasks) et EteSync Notes pour les notes .

EteSync, sortie du protocole version 2

Le protocole vous permet de gérer vos contacts, événements et tâches, qui sont tous cryptés de bout en bout. On pourrait donc comparer l’utilisation de ce protocole avec CalDAV et CardDAV, mais avec l’impossibilité du serveur distant de savoir ce qui est stocké. De plus, ce protocole est journalisé, c’est-à-dire que chaque action effectuée (création, modification et suppression) est enregistrée. Cela donne par exemple Possibilité de revenir facilement en arrière (un contact supprimé, trouver et annuler par exemple la suppression).

Notez que le protocole dans sa version actuelle permet déjà des applications intéressantes comme le partage de calendrier entre différents utilisateurs. LIEN

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Le RGPD contre les ransomwares?

Une norme de cybersécurité doit être traitée comme les règles de la loi sur la protection des données en réponse aux cyberattaques, y compris les incidents de ransomware, suggère un expert en sécurité.

Le phénomène des ransomwares est passé d’individus à une menace réelle et fréquente qui peut entraîner des dommages catastrophiques aux réseaux d’entreprise, la perte des dossiers clients et la fuite potentielle d’informations confidentielles. Les variantes de ransomware incluent des logiciels comme WannaCry, Petya, Ryuk et Gandcrab, mais il y en a beaucoup, beaucoup plus. Lorsqu’un système informatique est compromis, ce type de malware crypte les disques et les fichiers et exige le paiement d’une rançon en échange d’une clé de décryptage.

Selon Check Point, le nombre d’attaques quotidiennes de ransomwares dans le monde a diminué de moitié au cours des trois derniers mois, les pirates tirant parti des perturbations opérationnelles et du passage rapide au travail depuis leur domicile causés par Covid-19.

Après cette période de reconnaissance, les opérateurs de logiciels malveillants sont désormais plus susceptibles d’aller directement contre les sauvegardes. Si ceux-ci peuvent être chiffrés avant que les administrateurs informatiques ne soient avertis d’une infection, cela supprime le réseau de sécurité et les cyber-attaquants sont plus susceptibles d’être soumis à un chantage.
Le problème est que peu de victimes de ransomwares choisissent d’aller à la police, et certaines organisations paient juste pour couvrir l’incident, selon Europol. Plus les victimes paient, plus l’activité criminelle devient lucrative, et l’industrie des ransomwares continue de gagner du terrain à mesure que de plus en plus de pirates adoptent ce type d’attaques.

Combinez la sous-déclaration d’un incident, l’acceptation de l’extorsion et le nombre croissant de hackers intéressés par cette activité et vous avez un problème. Ce défi a été récemment soulevé par l’Office of Foreign Assets Control (OFAC) du Trésor américain, qui a publié des directives sur le moment où le paiement d’une rançon peut violer les sanctions américaines. «Les entreprises qui facilitent le paiement de rançons aux cyberacteurs au nom des victimes, y compris les institutions financières, les compagnies d’assurance qui proposent une cyberassurance et les entreprises qui pratiquent la réponse aux incidents, encouragent les demandes de paiements de rançon à la victime.

Une solution pourrait être de revenir à l’essentiel et de «mettre tout le monde sur un pied d’égalité», déclare Ezat Dayeh en imposant des audits de sécurité qui modélisent la manière dont le règlement général sur la protection des données (RGPD) de l’UE traite les responsables du traitement.

«Tout doit être contrôlé», ajoute Ezat Dayeh. «Vous devez être audité pour savoir ce que vous pouvez faire. Parce que cela donne au moins à l’entreprise une chance de se battre et lui permet de réfléchir à la manière de s’attaquer aux problèmes. Et s’ils ne le font toujours pas, et qu’on leur a dit «vous êtes vulnérable», cela devrait aller jusqu’au PDG, à mon avis. « 

Le RGPD s’efforce de traiter les organisations et les contrôleurs de données sur un pied d’égalité, et avec des lacunes, il y a la possibilité d’amendes basées sur le chiffre d’affaires annuel d’une entreprise.

Si les audits de sécurité étaient traités de la même manière avec des règles que tout le monde peut essayer de suivre, cela pourrait promouvoir un meilleur niveau de cybersécurité ainsi qu’une prise de conscience de la manière dont les organisations devraient se maintenir. une position de sécurité raisonnable – ce qui est particulièrement important à un moment où les attaques potentiellement destructrices, y compris les demandes de rançon, sont en augmentation.

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Le ransomware RansomEXX attaque désormais les systèmes Linux

Particulièrement actif ces derniers mois, le ransomware RansomEXX a subi un développement de son code, qui compromet désormais les systèmes Linux.

Un ransomware qui compromet les systèmes Linux

Les systèmes Windows ne sont pas les seules cibles des cyberbackers et de leurs campagnes de phishing. La preuve avec RansomEXX, un ransomware dont on avait parlé ces derniers mois en attaquant de nombreuses entreprises et organismes publics tels que le US Department of Transportation, Konica Minolta, IPG Photonics ou encore les systèmes de transports en commun de Montréal et le tribunal brésilien. Comme nous pouvons le voir dans un récent rapport du fournisseur de solutions de sécurité Kaspersky, RansomExx, un développement de son code offre désormais la possibilité de cibler les systèmes Linux.

«Nous avons récemment découvert un nouveau cheval de Troie de cryptage de fichiers construit comme un exécutable ELF et conçu pour crypter les données sur des machines exécutées par des systèmes d’exploitation basés sur Linux», a déclaré Kaspersky. « Après l’analyse initiale, nous avons remarqué des similitudes dans le code du cheval de Troie, le texte de la rançon et l’approche générale de l’extorsion, suggérant que nous avions effectivement rencontré une version Linux de la famille de ransomwares RansomEXX. »

Selon l’analyse de Kaspersky, ce cheval de Troie implémente son schéma cryptographique en utilisant les fonctionnalités de la bibliothèque open source mbedtls. Une fois lancé, Trojan génère une clé de 256 bits et l’utilise pour crypter tous les fichiers appartenant à l’organisation ciblée auxquels il peut accéder en utilisant le chiffrement par bloc AES en mode ECB. La clé AES est chiffrée par une clé publique RSA-4096 bits intégrée dans le corps du cheval de Troie et ajoutée à chaque fichier chiffré.

De plus, les logiciels malveillants lancent un thread qui régénère et re-crypte la clé AES toutes les 0,18 secondes. Sur la base d’une analyse de l’implémentation, les clés ne diffèrent en réalité qu’à chaque seconde », prévient l’éditeur. Bien que les versions PE précédemment découvertes de RansomEXX utilisent WinAPI (fonctionnalités spécifiques du système d’exploitation Windows), la conception du code de ce cheval de Troie et la méthode d’utilisation des fonctionnalités spécifiques de la bibliothèque mbedtls indiquent que ELF et PE peuvent provenir du même code source. LIEN lemondeinformatique.fr

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Attaque Mairie Ransomware Sécurité Technologie

Les mairies de Vincennes et d’Alfortville attaqué par des ransomwares

Les systèmes informatiques des mairies de Vincennes et d’Alfortville ont été cryptés avec des ransomwares. Leurs services administratifs ont été durement touchés par ces incidents. Les Emails de la municipalité d’Alfortville ne fonctionnent toujours pas.

Les mairies de Vincennes et d’Alfortville attaqué par des ransomwares

Les mairies de Vincennes et d’Alfortville ont été victimes d’une cyberattaque, rapporte RTL. Les systèmes informatiques des deux communes du Val-de-Marne ont été touchés à quelques jours d’intervalle, sans qu’aucune connexion n’ait encore été établie entre les deux attentats.

UNE ATTENSION INUTILISÉE À L’INTENSITÉ
La première victime était la mairie de Vincennes, qui a déclaré avoir été agressée dans la nuit du 2 au 3 novembre. L’incident n’a pu être évité « malgré l’intensification des mesures de sécurité appliquées quotidiennement », la ville qui qualifie cette attaque sans précédent indique « de son intensité ».

Quant aux conséquences, la centrale téléphonique de la mairie a été indisponible pendant plus de 24 heures et certaines formalités administratives n’ont pu être accomplies. Ces derniers jours, la situation s’est éclaircie. « Les sauvegardes ont fonctionné. Nous avons encore beaucoup de données à récupérer sur certains logiciels, mais la plupart de nos services de télécommunications sont à nouveau opérationnels. Rien n’a été perdu dans l’affaire sauf du temps pour nous et nos citoyens », explique la municipalité, sollicitée par RTL.

Selon des enquêtes internes toujours en cours, il s’agirait d’une attaque «ransomware» visant à paralyser un système d’information en chiffrant tous les fichiers qu’il contient. En échange d’une rançon à payer en bitcoins, les hackers promettent de remettre une clé qui décryptera ces données.

ALFORTVILLE EST TOUJOURS AFFECTÉ
La mairie d’Alfortville a également été touchée par un ransomware plus tôt dans la semaine. Les services d’urbanisme et de soutien à la population sont les plus touchés, et les boîtes aux lettres ne fonctionnent plus, révèle Le Parisien. La municipalité a déclaré qu’elle ne paierait pas la rançon, comme recommandé par les instructions officielles, et prévoit de redémarrer son système informatique d’ici le milieu de la semaine prochaine.

«Nous sommes en train de tout remettre en ordre dans une entreprise spécialisée. Entre-temps, nous sommes tous revenus à la plume, mais avons pu continuer certaines de nos activités, comme notre cellule de crise ou des réunions via Zoom ou WhatsApp. les candidatures », a déclaré Luc Carvounas, le maire d’Alfortville.

LES ORGANISMES PUBLICS MAL PROTÉGÉ
Les organismes publics ne sont pas à l’abri des cyberattaques. On peut citer le conseil de branche d’Eure-et-Loir, l’Agence nationale de la formation professionnelle des adultes (Afpa), les services administratifs du Grand Est, le groupe hospitalier AP-HP … Preuve que le thème de la cybersécurité est encore très mal compris.

Cependant, l’Agence pour la sécurité des systèmes d’information (Anssi) met régulièrement en garde sur ce sujet et donne de précieux conseils. Elle réitère l’importance de sauvegarder régulièrement les données en dehors du système d’information, de surveiller les vulnérabilités des logiciels, de sensibiliser les employés par la formation … Elle ajoute qu’en cas d’incident, les organisations doivent isoler les équipements infectés, porter plainte et ne jamais payer la rançon.

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Les attaques de ransomwares en France selon le directeur de l’ANSSI(Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information)

Les attaques de ransomwares en France

Scutum, Sopra Steria, Mairie de Vincennes, Mairie d’Alfortville, Software AG, le Groupe ENEL … En France, comme partout en Europe, les grandes entreprises et les administrations voient leur activité très perturbée pendant de nombreux jours après des attaques de ransomwares.
Une situation qui inquiète évidemment les pouvoirs publics. La semaine dernière, la commission sénatoriale des affaires étrangères, de la défense et des forces armées a interviewé Guillaume Poupard, directeur de l’ANSSI (Agence nationale pour la sécurité des systèmes d’information).

« Le crime organisé a pris le cyber-outil pour s’occuper des victimes », a expliqué Guillaume Poupard aux sénateurs, notant une explosion de crimes graves et d’attaques de ransomwares. L’ANSSI n’intervient que sur des événements ayant un impact fort sur la sécurité nationale ou la sécurité économique. Mais Guillaume Poupard note que «nous étions à 54 attaques à la fin de 2019, et il y en avait 128 par. 30 septembre cette année. Au cours d’une année, il triple ou quadruple constamment, donc c’est quelque chose de particulièrement inquiétant, et je ne vois aucune raison pour que cela change à court terme. « 

Le schéma est toujours le même: une attaque (souvent du phishing) qui conduit à une intrusion informatique suivie d’un cryptage qui bloque les données des victimes et une extorsion pour débloquer la situation. Rançon qui coûte cher: «On parle aujourd’hui de millions ou dizaines de milliers d’euros», assure Guillaume Poupard.

En septembre, une patiente en Allemagne est décédée après qu’une opération vitale qu’elle devait subir n’a pas pu avoir lieu après une paralysie informatique à l’hôpital universitaire de Düsseldorf causée par un ransomware.
Fin septembre, le géant hospitalier UHS (Universal Health Services) a également été victime des effets disruptifs des ransomwares.
Fin octobre, le FBI a émis une alarme prétendant disposer d’informations concrètes sur les préparatifs d’une vague d’attaques de ransomwares contre le système hospitalier et les prestataires de soins de santé américains.

Interrogé sur ces événements en pleine crise sanitaire et les attentats contre les hôpitaux français, Guillaume Poupard a précisé que « les attentats n’ont pas explosé, ils n’ont pas augmenté en volume ou en virulence » avant d’ajouter que « les grands groupes criminels ont publié un communiqué au début de La crise de dire qu’ils ont temporairement suspendu les attaques contre les hôpitaux (…) et s’y sont effectivement collés. « . Grands groupes peut-être, mais à en juger par les événements en Allemagne et aux États-Unis, certains groupes n’ont eu aucune inquiétude.
Il note également que les attentats ne cherchent plus à « jeter un large filet », mais sont de plus en plus ciblés et ciblés principalement sur « les victimes sous pression et qui peuvent se permettre de payer ».

Il a défendu le passage de Sopra Steria et leur a même donné comme exemple des entreprises qui ont su réagir rapidement et ont réussi à limiter l’impact de l’attaque ransomware dont elles ont été victimes: «Ils ont pu pour détecter l’attaque, qui n’a touché très tôt que quelques dizaines d’ordinateurs, et la bloquer. Ils ont pris soin d’arrêter complètement les grands systèmes pour ne pas faciliter son expansion et polluer leurs clients ». Guillaume Poupard note également que parmi certaines victimes fortement touchées par les ransomwares d’ici 2020, «nous arrivons désormais avec des prestataires privés intégrés dans l’équation pour réparer les systèmes en quelques jours, au plus quelques semaines pour un redémarrage complet. a parlé il y a un an pendant des semaines et des mois ».

En revanche, Guillaume Poupard n’a pas caché ses inquiétudes quant aux risques supplémentaires que comporte le télétravail. «Nous sommes encore assez préoccupés par toutes les violations que la pratique rapide du télétravail a ouverte dans les systèmes d’information. Le risque est que nous nous en rendions compte dans quelques mois», souligne Guillaume Poupard. Avant, nous encourageons les entreprises à introduire plus de contrôle et de surveillance autour du libre accès pour permettre la pratique à distance. LIEN

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Attaque Hôpital hyères informatique Ransomware Sécurité Technologie

Le ransomware prend d’assaut la filiale française du spécialiste de la sécurité Scutum

Les pirates informatiques Netwalker revendiquent une cyberattaque contre Scutum. Des données sensibles auraient été téléchargées.

cyberattaque contre Scutum

Ce dernier raconte à ses partenaires qu’il a été victime d’une « cyberattaque par stockage cryptographique dans la nuit de dimanche à lundi 2 novembre ». Pendant plusieurs mois, il a exposé des systèmes affectés par la vulnérabilité dite Shitrix.

SCUTUM est un acteur mondial de la sécurité et de la sûreté en Europe. Cette société fournit des solutions technologiques pour la protection et la prévention des risques pour les infrastructures, les biens, les personnes et les données. Le groupe exploite une plateforme européenne de traitement et d’analyse des informations critiques permettant une gestion précoce des risques et la mise en place de services de secours locaux.

Les pirates du groupe Netwalker commencent à distribuer des données volées à cette société. Les pirates ont donné à la société française 10 jours pour payer le silence des pirates. Ils ont volé des centaines de fichiers.

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Apple Attaque Entreprise de construction informatique Mac MacOS prix Ransomware Sécurité Technologie

Le deuxième fabricant mondial d’ordinateurs portables Compal touché par les ransomwares

ROCK HSU Président-RAY CHEN Vice-président et CSO-MARTIN WONG Président et PDG

Compal, une société taïwanaise qui fabrique des ordinateurs portables pour certaines des plus grandes marques d’ordinateurs, a été victime d’une attaque de rançon au cours du week-end. L’attaquant était soupçonné d’être le gang DoppelPaymer, selon une capture d’écran de la rançon partagée par des employés de Compal avec des journalistes de Yahoo Taiwan.

Les usines de Compal fabriquent des ordinateurs portables pour Apple, Acer, Lenovo, Dell, Toshiba, HP et Fujitsu.

Le patron de Compal nie les attaques de ransomware et admet le piratage
Malgré les rapports des médias locaux, Qingxiong Lu, PDG adjoint de Compal, a admis lundi dans un communiqué à United News Network que la société avait subi une faille de sécurité, mais a nié que la récente interruption du service ait été causée par un ransomware. « Compal ne fait pas l’objet de chantage de la part de pirates informatiques, comme le dit la rumeur », a déclaré le directeur de Compal aux journalistes.

En outre, Qingxiong a déclaré que l’incident n’avait affecté que le réseau de bureaux interne de l’entreprise et que les lignes de production de Compal qui fabriquent des ordinateurs portables pour d’autres entreprises n’avaient pas été affectées. Monsieur. Qingxiong pensait que l’état de l’entreprise reviendrait à la normale une fois que le personnel aurait fini de restaurer tous les systèmes affectés par ce qu’il a décrit comme des «anomalies».

Compal est aujourd’hui le deuxième plus grand fabricant d’ordinateurs portables au monde après Quanta Computer, une autre société taïwanaise. Dans le passé, Compal a produit des ordinateurs portables pour des entreprises telles que Apple, Acer, Lenovo, Dell, Toshiba, HP et Fujitsu. Outre les ordinateurs portables, l’entreprise fabrique également des moniteurs, des tablettes, des montres intelligentes, des téléviseurs intelligents et d’autres périphériques pour ordinateurs.

Compal est la troisième grande usine taïwanaise à être touchée par les ransomwares cette année. La société d’énergie publique taïwanaise CPC Corp. a été touchée par le ransomware ColdLocker en mai, tandis que l’usine taïwanaise du fabricant américain de montres intelligentes Garmin a été touchée par le ransomware WastedLocker en juillet.

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Saisi dans un résumé par le collectif Santenathon, le Conseil d’Etat reconnaît que le gouvernement américain peut accéder de manière incontrôlée aux données de santé françaises hébergées par le Health Data Hub de Microsoft

Un groupe de 18 candidats issus du monde du logiciel libre, d’associations de patients, de médecins et de syndicats et de journalistes a demandé au gouvernement de suspendre le traitement et la centralisation des données de santé de plus de 67 millions de personnes au sein du Health Data Hub, hébergé par Microsoft Azure, le géant américain nuage.

Ce collectif a condamné le choix de Microsoft principalement en raison de l’absence d’appel d’offres et des effets de l’extraterritorialité du droit américain. En fait, la Cour européenne de justice («la Cour européenne de justice») a récemment révélé que le service de renseignement américain (via la FISA et l’ordonnance 12 233) n’a aucune restriction sur l’utilisation des données européennes. .ne.s.

Suite à un mémoire important de la CNIL, et malgré un décret urgent du gouvernement au lendemain de l’audience, le Premier ministre a pris une décision reconnaissant que le Health Data Hub hébergé par Microsoft ne protège pas les données de santé françaises de l’intrusion américaine, et cela contredit tout ce qui a été dit depuis plusieurs mois par le ministère de la Santé.

Cependant, preuve de la gravité des infractions constatées, ce refus de suspension n’est qu’une décision prise «à très court terme», notamment pour éviter une interruption brutale des quelques projets en cours sur le Health Data Hub.

En revanche, le Département d’Etat demande au Health Data Hub et à Microsoft d’apporter de nouvelles modifications à leurs contrats et de prendre des précautions supplémentaires sous la supervision de la CNIL.

Surtout, au-delà du «très court terme», le Département d’Etat déclare attendre une solution qui éliminera tout risque d’accès aux données personnelles des autorités américaines, notamment en référence à un recours. les offres d’un prestataire français ou européen telles qu’annoncées par le secrétaire d’État au numérique et évoquées par la CNIL dans ses commentaires au Conseil.

En d’autres termes, le Health Data Hub tel qu’il existe aujourd’hui ne devrait pas pouvoir être utilisé tel qu’il est au-delà des quelques projets existants, car les nouveaux ne risquent pas d’être violés.

Et comme le demandait la CNIL dans sa mission d’observation, les données de santé françaises ne devraient pas pouvoir héberger Microsoft à l’avenir et devraient se pencher sur l’une des nombreuses alternatives existantes.

Avec l’urgence prise par le gouvernement ainsi que les constats importants de la CNIL, c’est donc une victoire dont le collectif SanteNathon et ses adhérents sont fiers.

Mais compte tenu de l’absence de suspension effective et de la persistance de la mauvaise foi du gouvernement et du ministère de la Santé en la matière, la lutte doit se poursuivre.

C’est pourquoi, face à l’urgence d’empêcher le transfert irréversible des données de santé aux États-Unis, maintenant que le groupe veut saisir le Conseil d’État pour prendre des mesures pouvant dépasser le «très court terme» ainsi que la CNIL en termes d’actuel et de passé délits.

D’autres actions sont également à l’étude, notamment au niveau européen.

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Ransomware de la semaine- octobre 2020 – Des hôpitaux assiégés

Ransomware de la semaine- octobre 2020 – Des hôpitaux assiégés

Cette semaine, nous avons assisté à une attaque concertée contre le secteur de la santé par des groupes de piratage utilisant le ransomware Ryuk. En outre, nous avons vu certaines grandes entreprises bien connues souffrir d’attaques de ransomwares, qui ont affecté leurs activités commerciales.

La plus grande nouvelle cette semaine est que le gouvernement américain a averti le secteur de la santé qu’il existe « des informations crédibles sur une menace accrue et imminente de cybercriminalité pour les hôpitaux et les prestataires de soins de santé américains ». À la suite de ces attaques, nous avons vu six hôpitaux ciblés cette semaine, dont l’hôpital Wyckoff, l’Université du Vermont Health Systems, le Sky Lakes Medical Center et St. Louis. Lawrence Health System.

Nous avons également été informés d’attaques de ransomwares contre des sociétés bien connues, telles que le fabricant de meubles SteelCase, la société de conseil informatique française Sopra Steria et la société d’électricité italienne Enel Group.

Enfin, un représentant de REvil connu sous le nom de UNKN a déclaré qu’ils avaient gagné 100 millions de dollars en un an et que le tristement célèbre gang de labyrinthe avait commencé à fermer son opération de ransomware.

Maintenant que le week-end approche, il est important que toutes les entreprises surveillent les activités suspectes sur leur réseau Windows et leurs contrôleurs de domaine et réagissent de manière proactive si quelque chose est découvert.

LIEN

Les contributeurs et ceux qui ont livré de nouvelles nouvelles et histoires sur les ransomwares cette semaine incluent: @PolarToffee, @VK_Intel, @struppigel, @BleepinComputer, @malwrhunterteam, @malwareforme, @ demonslay335, @jorntvdw, @Seifreed, @FourOctets , @, @Ionut_Ilascu, @DanielGallagher, @fwosar, @MarceloRivero, @Malwarebytes, @Amigo_A_, @GrujaRS, @ 0x4143, @ fbgwls245, @siri_urz, @Mandiant et @IntelAdvanced.

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Le Trésor américain traite les victimes de ransomwares comme des collaborateurs

Le Trésor américain traite les victimes de ransomwares comme des collaborateurs

Dans une directive émise par le département du Trésor américain, le gouvernement déclare que des sanctions peuvent être envisagées pour les entreprises qui paient une rançon après une attaque de ransomware. L’idée de sanctionner les paiements de rançon gagne du terrain outre-Atlantique.

Tout le monde déconseille fortement de payer la rançon, mais beaucoup le font. Aux États-Unis, un rappel du département du Trésor américain pourrait encore refroidir les entreprises ciblées contre les ransomwares: l’OFAC (Office of Foreign Access Control) a publié une directive sur le paiement d’une rançon, déclarant que les entreprises qui acceptent de céder à l’extorsion de groupes de cybercriminalité, dans certains les cas pourraient également être sanctionnés par les autorités américaines.

Cette nouvelle mesure ne s’applique pas à tous les paiements de rançon: la directive publiée par l’OFAC explique que seuls les paiements aux groupes concernés par des sanctions prononcées par l’OFAC sont concernés par cette mesure. Le document répertorie plusieurs acteurs bien connus du monde du ransomware qui ont été visés par les sanctions de l’OFAC: le créateur du ransomware Cryptolocker Eugene Bogachev, les deux développeurs iraniens du ransomware Samsam, les groupes nord-coréens Lazarus, Bluenoroff et Andariel et enfin Evil Corp groupe, connu pour avoir développé le malware Dridex et plusieurs ransomwares toujours actifs.

Pour l’OFAC, le paiement d’une rançon à ces groupes ou à leurs affiliés peut soumettre les victimes à une enquête pour contourner les sanctions gouvernementales. Les entreprises publiques, mais aussi les partenaires qui ont participé au processus de réaction à l’incident ou qui ont réalisé l’opération, pourraient donc être concernés. L’OFAC demande aux entreprises concernées par ce scénario de contacter ces équipes avant de payer une rançon. «Les paiements de rançon profitent aux acteurs malveillants et peuvent saper les objectifs de sécurité nationale et de politique étrangère des États-Unis. Pour cette raison, les demandes de licence impliquant des rançons requises du fait d’activités malveillantes rendues possibles par le numérique seront examinées par l’OFAC au cas par cas avec présomption de refus », précise l’OFAC dans sa communication.

L’affaire de piratage Garmin, qui aurait accepté le paiement d’une rançon de 10 millions de dollars en crypto-monnaie à des personnes affiliées au groupe Evil Corp, a peut-être demandé à l’OFAC d’émettre le rappel. Comme le rapporte ZDNet.com, plusieurs journalistes ont posé la question au département du Trésor américain au moment de l’annonce du paiement de Garmin.

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Un virus informatique paralyse le site de la STM (Nos cousins du Canada)

Le site Internet de la Société de transport de Montréal (STM) est indisponible depuis lundi après-midi (19/10/2020) en raison de virus informatiques.

Un virus informatique paralyse le site de la STM

En fin de compte, la STM a expliqué qu’elle était la cible d’un piratage sous forme de ransomware qui paralysait une partie de son système informatique, « malgré les différentes défenses mises en place pour contrer ce type d’attaque ». ».

Ce type de malware est utilisé pour bloquer l’accès à un système informatique. Les pirates informatiques exigent généralement une rançon pour rendre le contrôle du système à son propriétaire.

La STM a précisé que l’attaque informatique n’a eu aucun impact sur le réseau de bus et de métro. Elle affecte plutôt le site Web et les lignes téléphoniques de la STM, à l’exception de celle dédiée au transport adapté.

«Le réseau de bus et de métro fonctionne normalement. Cependant, le service de transport adapté n’honorera les déplacements que pour des raisons médicales et n’effectuera aucune réservation ou modification de déplacements », a indiqué le transporteur public dans un communiqué mardi matin.

Au lieu de cela, le voyage reprendra pour des raisons médicales et professionnelles à partir du 21 octobre.

Selon les premières analyses du transporteur, les données des clients et des employés n’ont pas été exposées.

La STM encourage les utilisateurs à utiliser des applications mobiles dans une telle situation. «Les équipes de la STM ainsi que les experts du terrain travaillent d’arrache-pied pour rétablir la situation au plus vite», a promis la société.

La STM a également mis en ligne un site Internet spécial pour informer ses clients de l’évolution de la situation: lastm.info

Malgré les circonstances, le service à la clientèle de la STM ne semble pas recevoir un plus grand nombre d’appels que d’habitude. Cela a été clarifié par un employé qui a été contacté via 24 heures à la fin de la journée mardi.

La STM a déclaré avoir mis en garde les «autorités compétentes» après ce piratage, mais souhaite néanmoins fournir des précisions sur la nature de ces autorités. « Nous ne fournirons pas plus de détails à ce sujet pour le moment compte tenu des circonstances », a simplement déclaré l’organisation.

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L’éditeur de logiciels allemand Software AG a été victime du ransomware Clop.

Une rançon pharaonique de 23 millions de dollars a été envoyée par le groupe de cyber-hackers.

L’éditeur de logiciels allemand Software AG a été victime du ransomware Clop.

Aucune entreprise n’est à l’abri des ransomwares. Fini les acteurs du secteur informatique malgré toute la vigilance naturelle dont ils peuvent faire preuve. Éditeur de longue date de middleware et de solutions d’intégration de données, Software AG – qui a également développé son activité vers la gestion et l’analyse des API – vient d’en payer le prix. La société a été ciblée le 3 octobre 2020 par le ransomware Clop, qui s’est répandu dans ses systèmes et réseaux. Une rançon de 23 millions de dollars (2083 0069 BTC selon Bleeping Computer) a été demandée par des cybercriminels qui ont commencé à envoyer des captures d’écran d’informations sensibles sur le dark web. Ceux-ci comprennent: la numérisation des passeports et des cartes d’identité des employés de Software AG, des e-mails, des documents financiers ou même des annuaires téléphoniques dans le réseau interne de l’entreprise.

Cette rançon est l’une des plus importantes jamais demandées au monde.

À titre de comparaison, le FBI estime l’étendue de l’extorsion de la part des cybercriminels à 140 millions de dollars en 6 ans. Selon les équipes de MalwareHunterTeam, cette version de Clop peut contenir un outil pour désinstaller le programme antivirus McAfee, mais à l’heure actuelle, on ne sait pas s’il a été créé et utilisé dans le cadre de cette attaque contre Software AG ou s’il l’a été présent avant. Rien d’étonnant à ce que Software AG soit le deuxième plus grand fournisseur informatique allemand, derrière SAP, avec plus de 10 000 clients professionnels dans 70 pays.

Le cyber gang Russe TA505 privilégié

Software AG a signalé l’incident le lundi 5 octobre 2020, après avoir déclaré avoir subi des perturbations de son réseau informatique interne en raison d’une attaque de malware. « Bien que les services à ses clients, y compris ses services basés sur le cloud, restent inchangés, Software AG a donc fermé les systèmes internes de manière contrôlée conformément aux règles de sécurité interne de l’entreprise », a averti l’éditeur. «L’entreprise est en train de restaurer ses systèmes et ses données pour reprendre des opérations ordonnées. Cependant, les services d’assistance et la communication interne de Software AG sont toujours affectés. « 

Clop est un ransomware bien connu utilisé principalement par les cybercriminels russes TA505, ciblant principalement la finance, la distribution, les institutions publiques, les secteurs de l’aérospatiale et de la santé. Récemment, ce ransomware aurait été utilisé dans des cyberattaques visant Go Sport et Courir ainsi qu’au CHU de Rouen.

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Mr Bricolage est affecté par les ransomwares

Mr Bricolage s’ajoute à la longue liste d’entreprises victimes de ransomwares. Depuis une semaine, les sièges sociaux de la grande chaîne de distribution sont paralysés par des malwares. L’entreprise a déposé une plainte et s’assure néanmoins qu’aucune donnée n’a été volée.

Mr Bricolage est affecté par les ransomwares

La chaîne de supermarchés M. Bricolage est victime d’une attaque de ransomware, rapporte L’Express. Ses 850 points de vente n’ont pas été touchés. C’est le siège du groupe situé à Chapelle-Saint-Mesmin, dans le Loiret, qui est paralysé. Les lignes téléphoniques, le système de messagerie électronique et les logiciels de bureau ont tous été bloqués et ont empêché les travailleurs de travailler.

« Les réseaux internes qui hébergeaient le siège ont en fait été exposés à une cyberattaque la semaine dernière », a confirmé un porte-parole de la société française aux médias. « Les équipes se mobilisent pour rétablir au plus vite la situation et redonner à tous les salariés l’accès au réseau sans aucun problème », a promis le groupe de 439 salariés. En outre, il affirme qu’aucune donnée n’a été volée à des cyber-attaquants qui réclament désormais le paiement d’une rançon, dont le montant n’est pas précisé.

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Ransomware: Septembre 2020 sans précédent

La rentrée scolaire a été marquée par un nombre sans précédent de cyberattaques connues impliquant des ransomwares. Le fruit de la connexion entre plusieurs facteurs. Et ceux-ci ne suggèrent aucun règlement réel.

Ransomware: Septembre 2020 sans précédent

En septembre, nous avons enregistré près de 270 attaques de ransomwares dans le monde, une explosion par rapport aux mois précédents, alors que juin et août ont déjà été marqués par une activité intense des cybercriminels. Mais attention aux trompe-l’œil.

En France, nous avons dénombré 10 cas confirmés, auxquels s’ajoute un cas suspect, mais non confirmé à ce moment, vers le 8 août et à peu près le même en juillet. Les attaques confirmées sont répertoriées sur la chronologie que nous mettons à jour régulièrement. Sur Intrinsec, Cyrille Barthélemy rapporte 13 cas «en crise» en septembre contre 10 en août.

Et de préciser que sa capacité d’intervention n’était évidemment pas la même en plein été qu’en début d’année scolaire. Chez I-Tracing, Laurent Besset a noté 9 interventions sur le mois dernier contre 4 en dessous de la précédente. Chez Advens, Benjamin Leroux fait 3 interventions majeures et moins de 5 interventions plus petites. Mais toujours 150 détections de menaces qui pourraient conduire à une détonation de ransomware, principalement Emotet.

Début septembre, l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi) a rapporté avoir traité 104 attaques de ransomwares depuis le début de l’année contre 54 sur l’ensemble de 2019. Et bien sûr, cela ne prend pas en compte les cas hors de son champ d’application.

Concernant la plateforme Cybermalveillance.gouv.fr, le directeur général de GIP Acyma, Jérôme Notin, a encore signalé 1.082 signalements de ransomwares début septembre depuis le lancement de la plateforme le 4 février, avec 44% d’entreprises ou d’associations et 10 % d’administrations ou de communautés. En septembre, Jérôme Notin a enregistré 131 demandes d’assistance, contre 104 en août et 122 en juillet.

En France, à ce stade, il semble difficile de parler d’une explosion. Mais si la tendance à la hausse semble moins prononcée que pour le reste du monde, la menace semble sans doute rester à un niveau élevé.

Il y a au moins deux explications possibles de la situation, qui suggèrent que la menace ne diminuera probablement pas dans un proche avenir. Nous les développons ci-dessous le long de la chronologie.

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Les attaques de ransomwares augmentent de 50% au troisième trimestre 2020

Selon un rapport récent de Checkpoint, les attaques de ransomwares au troisième trimestre 2020 ont été en moyenne de 50% par an. Aujourd’hui dans le monde et plus que doublé aux États-Unis. Parmi les ransomwares dérangeants, Ryuk arrive.

Le ransomware RYUK…Sympa! non?

Dans l’actualité de la sécurité informatique, les voyants sont rouges lorsqu’il s’agit de ransomware. Ainsi, presque chaque jour apporte son lot d’entreprises qui ont été victimes de ce type d’attaque, et ce n’est pas le dernier rapport de Checkpoint sur le sujet qui montre le contraire. À l’échelle mondiale, l’éditeur de sécurité a en fait observé une augmentation moyenne par Journée de 50% des attaques de ransomwares au T3 2020 par rapport à l’année dernière. Selon Checkpoint, les États-Unis ont connu une très forte augmentation des attaques de ransomwares (98,1%), surtout plus que la Russie (57,9%).

« Au cours du mois dernier, des attaques de ransomwares ont été signalées contre un géant du transport maritime, une société de courtage basée aux États-Unis et l’un des plus grands horlogers du monde », a déclaré Check Point. Cela signifie respectivement CMA CGM, Gallagher et Swatch. « Obtenir une nouvelle victime toutes les 10 secondes, la rançon s’est avérée être une méthode lucrative pour attaquer les cybercriminels », a déclaré le responsable de la sécurité.

Les établissements de santé sont durement touchés
Parmi les ransomwares à surveiller, Checkpoint pointe du doigt Ryuk, qui, contrairement à d’autres types plus traditionnels de ransomwares, est distribué dans le cadre d’attaques massives de campagnes de spam et les kits d’exploitation sont davantage utilisés lors d’attaques ciblées. « Il y a eu une augmentation significative des activités de Ryuk depuis juillet 2020, et il attaque environ 20 organisations par semaine », souligne Checkpoint. «Il y a eu une augmentation constante du nombre d’organisations de soins de santé ciblant Ryuk et presque doublé le nombre d’établissements de santé touchés par les ransomwares dans le monde, passant de 2,3% au T2 à 4% au T3. ».

Alors que le géant américain UHS a récemment été touché par Ryuk, d’autres ransomwares ont fait rage ailleurs dans le monde en France, notamment dans le secteur de la santé au CHU de Rouen, chez Panpharma, mais aussi en Allemagne dans un hôpital où un patient est malheureusement décédé.

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Covid-19: les essais cliniques ralentis par un ransomware

La technologie eResearch basée à Philadelphie a été victime d’une attaque de ransomware. Rédactrice d’une plateforme d’administration d’essais cliniques, elle est fortement impliquée dans la recherche d’un traitement pour Covid-19. Ses clients sont ralentis alors que la course au vaccin s’accélère.

les essais cliniques ralentis par un ransomware

La société américaine eResearch Technology, éditeur de logiciels utilisés dans les essais cliniques, a été frappée par un ransomware, révèle le New York Times. L’incident de sécurité n’a pas affecté les patients impliqués dans les essais cliniques, mais a empêché le bon déroulement des tests.

LE LOGICIEL FAIT LE TEST VACCIN ASTRAZENECA
Le logiciel de la société de biotechnologie est utilisé par de nombreuses entreprises impliquées dans la recherche sur Covid-19. Parmi eux figurent IQVIA, l’organisme de recherche à la tête de l’étude sur le vaccin AstraZeneca, et Bristol Myers Squibb, le fabricant de médicaments, qui dirige un consortium d’entreprises pour développer un test rapide pour le virus.

IQVIA a déclaré dans un communiqué que l’attaque « n’avait eu qu’un impact limité sur la conduite de nos essais cliniques ». La société américaine a ajouté qu’elle n’avait pas « connaissance de données ou d’informations confidentielles sur des patients liées à nos activités d’essais cliniques qui ont été supprimées, compromises ou volées ». Sans donner de nom, elle ajoute que certaines entreprises sont devenues beaucoup plus touchées par ce ransomware.

L’attaque contre la technologie eResearch a commencé il y a deux semaines lorsque les employés ont découvert que les données étaient bloquées par une note de rançon dont la taille n’était pas spécifiée. Pour éviter la propagation de logiciels malveillants, l’entreprise a mis ses systèmes hors ligne et s’est entourée d’experts en cybersécurité. Le FBI a également été informé.

L’attaque a été contenue
«Personne n’est satisfait de ces expériences, mais elles ont été contenues», a déclaré Drew Bustos, vice-président du marketing chez eResearch Technology. Il a déclaré que la société commençait à remettre ses systèmes en ligne et prévoyait de remettre les systèmes restants en ligne dans les prochains jours.

EResearch Technology n’a pas précisé le nombre d’essais cliniques concernés, mais le logiciel est utilisé dans des essais de médicaments en Europe, en Asie et en Amérique du Nord. Il a été utilisé dans les trois quarts des essais qui ont conduit à l’approbation du médicament par la Food and Drug Administration (FDA) en 2019, selon son site Web.

LA RECHERCHE MÉDICALE, UNE MINE D’OR POUR LES HACKERS
Ce n’est pas un hasard si les cybercriminels attaquent les entreprises de biotechnologie. Les données scientifiques liées à la recherche sur les vaccins et les médicaments sont d’une grande valeur, en particulier en période de crise sanitaire.

En juillet dernier, la biotech américaine Moderna – qui a créé le premier vaccin expérimental contre Covid-19 – a été ciblée par des pirates chinois. L’Espagne a également accusé la Chine d’être à l’origine d’une campagne de cyber-attaque visant des laboratoires de recherche. LIEN

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L’été meurtrier 2 (toujours pas le film), un ransomware.

La rentrée scolaire a été marquée par un nombre sans précédent de cyberattaques connues impliquant des ransomwares. Le fruit de la connexion entre plusieurs facteurs. Et ceux-ci ne suggèrent aucun règlement réel.

L’été meurtrier 2 (toujours pas le film), un ransomware.

En septembre, nous avons enregistré près de 270 attaques de ransomwares dans le monde, une explosion par rapport aux mois précédents, alors que juin et août étaient déjà marqués par une activité intense des cybercriminels. Mais attention aux trompe-l’œil.
En France, nous avons dénombré 10 cas confirmés, auxquels s’ajoute un cas suspect, mais non confirmé à ce moment, vers le 8 août et à peu près le même en juillet. Les attaques confirmées sont répertoriées sur la chronologie que nous mettons à jour régulièrement. Sur Intrinsec, Cyrille Barthélemy rapporte 13 cas «en crise» en septembre contre 10 en août.

Et de préciser que sa capacité d’intervention n’était évidemment pas la même en plein été qu’en début d’année scolaire. Chez I-Tracing, Laurent Besset a noté 9 interventions sur le mois dernier contre 4 en dessous de la précédente. Chez Advens, Benjamin Leroux fait 3 interventions majeures et moins de 5 interventions plus petites. Mais toujours 150 détections de menaces qui pourraient conduire à une détonation de ransomware, principalement Emotet.

Début septembre, l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi) a rapporté avoir traité 104 attaques de ransomwares depuis le début de l’année contre 54 sur l’ensemble de 2019. Et bien sûr, cela ne prend pas en compte les cas hors de son champ d’application.

Concernant la plateforme Cybermalveillance.gouv.fr, Jérôme Notin, PDG de GIP Acyma, a encore signalé début septembre 1.082 signalements de ransomwares à ce jour depuis le lancement de la plateforme le 4 février, avec 44% d’entreprises ou d’associations et 10 % d’administrations ou de communautés. En septembre, Jérôme Notin a enregistré 131 demandes d’assistance, contre 104 en août et 122 en juillet.

En France, à ce stade, il semble difficile de parler d’une explosion. Mais si la tendance à la hausse semble moins prononcée que pour le reste du monde, la menace semble sans doute rester à un niveau élevé.

Il y a au moins deux explications possibles de la situation, qui suggèrent que la menace ne diminuera probablement pas dans un proche avenir. Nous les développons ci-dessous le long de la chronologie.

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Ransomware: les groupes de hackers modifient leurs objectifs et les prix

les groupes de hackers modifient leurs objectifs et les prix

Les groupes de hackers de ransomware améliorent de plus en plus leur stratégie. Ainsi que le profil de leurs victimes potentielles, comme le souligne IBM.

Les attaques de ransomwares continuent de croître, ce qui, selon IBM, suggère que les gangs exigeant une rançon augmentent leurs demandes de rançon et deviennent plus sophistiqués sur la façon dont ils calculent la rançon qu’ils tentent de faire chanter. Le nombre d’attaques de ransomwares auxquelles l’équipe dédiée d’IBM est confrontée a triplé au deuxième trimestre 2020. Il représente désormais un tiers de tous les incidents de sécurité auxquels IBM est confronté entre avril et juin 2020.

Rien qu’en juin, un tiers de toutes les attaques de ransomware traitées par l’équipe IBM jusqu’à présent cette année se sont produites. Le rapport indique que les demandes de rançon augmentent rapidement, certaines atteignant 40 millions de dollars, révélant en outre que les attaques de Sodinokibi représentent un tiers des demandes de rançon auxquelles IBM Security X-Force a répondu au cours de l’année. Pour IBM, l’industrie a radicalement changé au cours des derniers mois.

La rançon frappe le plus durement l’industrie manufacturière, représentant près d’un quart de tous les incidents recensés par IBM aujourd’hui, suivi du secteur des services puis du secteur public. « Les attaques contre ces trois secteurs suggèrent que les acteurs de la menace recherchent des victimes avec une faible tolérance aux temps d’arrêt », a déclaré le personnel du groupe américain. « Les organisations qui nécessitent une disponibilité élevée peuvent perdre des millions de dollars chaque jour en raison de la fermeture de l’entreprise. En conséquence, elles peuvent être plus susceptibles de payer une rançon pour retrouver l’accès aux données et reprendre leurs activités. Des activités », note également. la direction d’IBM. LIEN

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L’été meurtrier (pas le film), un ransomware.

Plusieurs entreprises ont été touchées, dont certaines ont décidé de traverser Rubicon en payant une rançon. Dans le même temps, les cybercriminels se structurent et se professionnalisent.

L’été meurtrier (pas le film), un ransomware.

Il est difficile de trouver une semaine sans voir une ou plusieurs entreprises victimes de ce fléau. En juillet, Netwalker était soupçonné d’avoir gravement perturbé l’activité MMA de la compagnie d’assurance, tout comme le groupe de construction Rabot Dutilleul. Une succursale d’Orange Business Services a été attaquée par Nefilim et a volé 350 Mo de données. Comment ne pas mentionner Garmin, dont la production a été arrêtée pendant deux jours, ainsi que ses sites Web, ses applications mobiles, ses appels téléphoniques, son chat en ligne et sa messagerie.

Et le mois d’août n’a pas été plus paisible, au contraire. Les vacances ont été gâchées pour Carlson Wangonlit Travel by Ragnar Locker ransomware. 30 000 PC auraient été bloqués et 2 To de données volées. Autre spécialiste du voyage dans les troubles, l’une des marques sur la compagnie de croisière Carnival a été visée par une attaque. La litanie se poursuit avec le groupe Maze, qui regroupe plusieurs sociétés Canon, LG et Xerox. Récemment, la société coréenne de semi-conducteurs SK Hynix a été touchée par ce gang. Le groupe derrière Sodinokibi, quant à lui, a poursuivi Brown-Forman, la société mère de Jack Daniel. Le fournisseur de services complets Spie a eu du mal à se débarrasser du ransomware Nefilim. 4 sites de production ont été fermés par MOM, propriétaire des compotes Materne et des crèmes MontBlanc. LIEN

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la confirmation de l’ampleur de la menace

Selon la US Insurance Coalition, les attaques de ransomwares représentent 41% des réclamations depuis le début de l’année. Bitdefender rapporte une multiplication par 7 des rapports sur un an. LIEN

la confirmation de l’ampleur de la menace

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Panpharma touché par des ransomwares

Les opérateurs du ransomware Nefilim ont révélé avoir ciblé le spécialiste breton des antibiotiques injectables Panpharma. Des fichiers et des fichiers d’audit pour des dizaines de pays auraient été volés.

Dans le contexte d’une augmentation explosive du nombre de cybermenaces en France en cette rentrée 2020 (Léon Grosse, tribunal de Paris …) et après un été meurtrier, la tragique boule des ransomwares semble malheureusement se poursuivre. Zataz et Ransom Leaks ont en fait montré que les opérateurs malveillants derrière le ransomware Nefilim ont de nouveau frappé. Quelques semaines après l’attaque d’une filiale d’Orange ainsi que de Spie, ce groupe a probablement affronté un autre groupe français, à savoir le fabricant breton de médicaments injectables et d’antibiotiques Panpharma. LIEN

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Pourquoi la menace des Ransomwares peut s’aggraver

Le début d’année a été clairement lucratif pour les ransomwares en France. L’Anssi et la plateforme Cybermalveillance le soulignent. Surtout, ce n’est qu’un début!

L’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi) et la Direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) du ministère de la Justice viennent de publier un guide visant à sensibiliser les entreprises et les collectivités à la menace des ransomwares.

Et il semble qu’il y ait plus qu’une simple urgence: depuis le début de l’année, Anssi dit avoir traité 104 attaques de ransomwares, contre 54 en 2019 dans son ensemble. Et l’agence souligne que « ces chiffres ne donnent pas un aperçu complet des ransomwares actuels affectant le territoire national ». Comme nous le signalait le CERT de Capgemini sur Twitter – «il faut compter toutes [les attaques] gérées par les équipes du CERT en dehors d’Anssi» – mais aussi une confirmation que les cas connus, même dans les médias, ne représentent pas qu’une fraction des cyberattaques avec un ransomware. Et pourtant, ne serait-ce que pour la France, la liste des incidents connus peut déjà paraître très longue.

Concernant la plateforme Cybermalveillance.gouv.fr, Jérôme Notin, PDG de GIP Acyma, rapporte 1.082 signalements de ransomwares à ce jour depuis le lancement de la plateforme le 4 février, auprès de 44% d’entreprises ou d’associations et 10% d’administrations ou de collectivités. Hélas, plusieurs éléments convergent pour suggérer que la vague est loin d’être terminée.

La publication de ce guide par Anssi et DACG constitue un premier indice: il n’y aurait guère de raison de l’être si l’agression des cybercriminels semble être en déclin. Il est évident qu’il s’agit d’une tentative des autorités pour empêcher que la chute ne s’aggrave qu’une source déjà perceptible par rapport à fin 2019.

Trop de systèmes vulnérables
Deuxième indice: certains messages semblent encore avoir du mal à passer, laissant des routes ouvertes aux attaquants. Cela commence par un patch, en particulier pour certains équipements sensibles. Le moteur de recherche spécialisé Onyphe a récemment identifié 15 systèmes Citrix Netscaler Gateway pour les entreprises du Fortune 500 touchées par la vulnérabilité CVE-2019-19871 exposées à Internet, mais aussi 659 Cisco ASA affectés par la CVE-2020- 3452, tous les mêmes 5 serveurs VPN Pulse Secure ou près de soixante systèmes SAP affectés par la vulnérabilité CVE-2020-6287.

Au cours de l’été, nous avons même observé un groupe affecté par une attaque de cyber-ransomware exposant un système affecté par l’une de ces vulnérabilités, malgré des messages et des rappels qui ont duré plusieurs semaines. Et cela sans prendre en compte les services RDP disponibles en ligne sans authentification de la couche réseau (NLA). Autant de points d’entrée sans même parler de phishing.

Les attaques de ransomwares actuelles et la cybercriminalité économique empruntent plus généralement aux APT, a souligné Ivan Kwiatkowski des équipes de recherche et d’analyse de Kaspersky dans nos colonnes début février. Concrètement, cela signifie que l’attaque s’étend très profondément dans le système d’information jusqu’à ce qu’elle obtienne des privilèges dignes d’un administrateur et fournisse un accès très large aux données de l’entreprise compromise.

Passer d’une cible à une autre
Cela donne lieu à un premier risque: le risque de propagation – immédiate ou ultérieure – de l’attaque à des tiers en dehors de la victime d’origine, des clients ou des partenaires. Il existe un soupçon de connexion entre la cyberattaque de Maze contre Xerox et HCL Technologies, sur laquelle aucune des parties ne souhaite commenter. Mais en 2019, la start-up Huntress Labs a détaillé trois incidents dans lesquels des ordinateurs de clients de fournisseurs de services gérés ont été compromis par un ransomware via des outils de gestion à distance. Et ça ne s’arrête pas là.

Les données volées par les cybercriminels avant que leur ransomware ne soit déclenché peuvent être une mine d’or pour les futures campagnes de phishing hautement ciblées … et faciliter l’utilisation d’informations authentiques récupérées lors de l’attaque précédente. Une seule liste de milliers d’adresses e-mail avec quelques éléments personnels supplémentaires peut être un formidable point de départ.

À la mi-juillet, Brett Callow d’Emsisoft a attiré notre attention sur un cas aussi suspect: Nefilim a revendiqué la responsabilité d’une attaque contre Stadler en mai; NetWalker en a revendiqué un sur Triniti Metro début juillet; l’une des captures d’écran de ce dernier était un dossier nommé … «lettres Stadler». Pour l’analyste, «ces composés semblent trop souvent être des coïncidences». Et ce, même si NetWalker fait confiance aux «partenaires», alors que Nefilim opérerait plutôt dans le vide. Car rien ne dit qu’un des partenaires NetWalker n’a pas regardé les données que Nefilim a précédemment publiées pour les utiliser dans le cadre de l’attaque sur Triniti Metro …

Un espoir: la limitation des ressources disponibles
Récemment, de nouveaux groupes de cybercriminalité sont apparus qui combinent le cryptage et le vol de données avec la menace de divulgation pour soutenir leurs efforts d’extorsion. Mais la capacité des cybercriminels à exploiter toutes les pistes qu’ils obtiennent n’est pas illimitée. Des appels aux «partenaires» ont lieu régulièrement sur les forums qu’ils visitent. Et les profils recherchés ont un haut niveau de compétence: bien que les outils disponibles gratuitement ne manquent pas, la phase de reconnaissance manuelle avant la mise en œuvre et la détonation du ransomware nécessite une certaine expertise. Cependant, rien ne garantit que certains spécialistes des étapes intermédiaires des attaques n’interviendront pas pour différents groupes.

De toute évidence, toutes ces voies ne doivent pas être exploitées en même temps: la lenteur de nombreuses organisations à fermer les portes d’entrée qu’elles laissent ouvertes sur Internet n’aide que les cybercriminels. Attention donc: un répit peut donner l’impression de se retirer de la menace, du moment qu’il ne s’agit que d’une illusion. Et une chose semble certaine: il n’est pas temps de se détendre.

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Des ransomwares pour Tesla!

Un employé de Tesla a refusé 1 million de dollars à un espion russe pour pirater l’usine Tesla au Nevada.

Tout commence comme un mauvais roman d’espionnage. Un citoyen russe, Egor Igorevich Kriuchkov, a été arrêté le 22 août à Los Angeles alors qu’il tentait de quitter le pays. Suite à une enquête du FBI, il a été accusé de complot. Il est arrivé aux États-Unis sous le couvert d’un visa de touriste et a affirmé avoir attaqué un pot-de-vin d’un employé d’une entreprise du Nevada. Il lui aurait offert un million de dollars pour infecter le réseau de produits en vrac de l’entreprise.

Ladite société n’est autre que Tesla, comme l’a tweeté son fondateur Elon Musk. « C’était une attaque sérieuse », a déclaré le chef. Moi M. Le plan de Kriuchkov était que l’implantation de ransomwares soit en fait couverte par une attaque DDoS contre l’usine Gigafactory. Et ainsi tromper les équipes informatiques de Tesla.

Combinez sécurité informatique et sécurité
Pour s’adresser à l’employé de Tesla, Kriuchkov l’aurait contacté à l’avance via WhatsApp avant de le rencontrer physiquement à plusieurs reprises du 1er au 3 août, notamment lors d’un voyage au lac Tahos avec d’autres employés de l’entreprise. Après avoir révélé son plan, le Russe aurait donné à l’employé un appel téléphonique unique et lui aurait demandé de le laisser en mode avion jusqu’à ce que les fonds soient transférés. En contrepartie de cette compensation, l’employé devait soit introduire un ransomware via une clé USB ou en cliquant sur une pièce jointe dans un e-mail, mais aussi fournir des informations en amont sur le réseau de Tesla pour améliorer la charge.

L’acte d’accusation a enregistré une discussion entre Egor Igorevich Kriuchkov et le collaborateur de Tesla, dans laquelle le citoyen russe se vantait d’avoir été impliqué dans deux projets similaires. Les entreprises ont généralement négocié une rançon et donnent l’exemple d’une entreprise qui a finalement payé 4 millions de dollars au lieu de 6. Il peut évoquer le cas de Carlson Wagonlit Travel, soupçonné d’avoir payé 4,5 millions de dollars. dollars. L’homme peut être lié au gang derrière le ransomware Ragnar Locker. Dans tous les cas, pour avoir tenté de soudoyer un employé de Tesla, il encourt jusqu’à 5 ans de prison et une amende de 250000 $.

Cette affaire montre que les opérateurs de ransomwares tentent par tous les moyens de pénétrer les réseaux des grandes entreprises. Dans ce contexte, la sécurité informatique ne suffit pas et il est important que les services travaillent également avec la sécurité physique.

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L’UE fournit dix conseils pour protéger les hôpitaux contre les cyberattaques

Le gendarme européen de la cybersécurité a été alerté en début d’année sur la sécurité informatique dans les hôpitaux. Liste des recommandations à suivre pour assurer la sécurité de leur réseau informatique.

L’UE fournit dix conseils pour protéger les hôpitaux contre les cyberattaques

Les hôpitaux deviennent une cible de plus en plus tentante pour les cybercriminels. D’autant moins depuis la crise sanitaire, qui place le réseau hospitalier et le marché de la santé au premier plan des risques croissants de cyberattaques.

La taille des réseaux hospitaliers, l’importance vitale du parc de PC dans les réseaux qui restent opérationnels, car la manière dont une grande partie des systèmes informatiques liés à la santé fonctionnent sur des systèmes d’exploitation non pris en charge signifie que la protection des hôpitaux contre les cyberattaques devient de plus en plus compliquée tâche aujourd’hui.

Les pirates informatiques en profitent, soit pour distribuer des ransomwares, soit pour tenter de voler des informations personnelles sensibles aux patients. Pour lutter contre ces menaces croissantes, l’ENISA, l’agence européenne de cybersécurité, a publié en début d’année une liste de recommandations destinées aux responsables informatiques des hôpitaux. Bien que cette liste s’adresse principalement au secteur de la santé, la plupart des recommandations émises par Bruxelles ont une portée plus large.

« Protéger les patients et assurer la résilience de nos hôpitaux est une partie essentielle du travail de l’Agence pour rendre le secteur européen de la santé cyber-sûr », a déclaré Juhan Lepassaa, PDG de l’ENISA, entre autres. Le document intitulé «Directives pour la passation de marchés pour la cybersécurité dans les hôpitaux» recommande dix bonnes pratiques pour rendre le secteur de la santé plus résilient aux cyberattaques.

Impliquer le service informatique dans les achats
Cela semble évident, mais impliquer l’informatique dans l’approvisionnement dès le départ garantit que la cybersécurité est prise en compte dans toutes les phases du processus d’approvisionnement technologique. Ce faisant, des recommandations peuvent être faites sur la manière dont les nouvelles technologies s’intègrent dans le réseau existant et quelles mesures de sécurité supplémentaires peuvent être nécessaires.

Mettre en place un processus d’identification et de gestion des vulnérabilités
Nous vivons dans un monde imparfait, et il existe des produits qui contiennent des vulnérabilités, connues ou non encore découvertes. Avoir une stratégie en place pour faire face aux vulnérabilités tout au long du cycle de vie d’un appareil peut aider l’équipe de sécurité à se tenir au courant des problèmes de sécurité potentiels.

Développer une politique de mise à jour matérielle et logicielle
Les chercheurs en sécurité découvrent souvent de nouvelles vulnérabilités dans les appareils et les systèmes d’exploitation. Cependant, le réseau informatique de l’hôpital a toujours été incapable de garantir l’utilisation des correctifs – et c’est l’une des raisons pour lesquelles le ransomware WannaCry a eu un tel impact sur le NHS, le service public de la santé à travers le canal.

Le document, publié par Bruxelles, recommande donc aux services informatiques de déterminer le moment le plus approprié pour appliquer les correctifs dans chaque segment du réseau, ainsi que de déterminer des solutions pour les machines qui ne peuvent pas être réparées, par ex. Segmentation.

Renforcez les contrôles de sécurité pour la communication sans fil
L’accès aux réseaux hospitaliers doit être limité par des contrôles stricts, ce qui signifie que le nombre d’appareils connectés doit être surveillé et connu afin que tout appareil inattendu ou indésirable essayant d’y accéder soit identifié. Le document publié par les autorités européennes recommande que le personnel non autorisé n’ait pas accès au Wi-Fi et que les mots de passe réseau soient conçus pour être forts et difficiles à déchiffrer.

Création de politiques de test plus strictes
Les hôpitaux qui acquièrent de nouveaux produits informatiques devraient établir un ensemble minimum de tests de sécurité à effectuer sur les nouveaux appareils ajoutés aux réseaux – y compris des tests de pénétration, une fois ajoutés au réseau, pour prendre en compte les tentatives des pirates. abuser.

Créez des plans d’affaires pour la continuité
Des plans de continuité des activités doivent être élaborés chaque fois qu’une défaillance du système menace de perturber les services hospitaliers de base – qui dans ce cas sont les soins aux patients – et le rôle du prestataire dans ces cas. doit être bien défini.

Prendre en compte les problèmes d’interopérabilité
La capacité des machines à transmettre des informations et des données est essentielle au bon fonctionnement des hôpitaux, mais elle peut être compromise en cas de cyberattaque ou de temps d’arrêt. L’hôpital doit avoir des plans de sauvegarde au cas où cette opération serait compromise.

Autoriser le test de tous les composants
Les systèmes doivent être testés régulièrement pour s’assurer qu’ils offrent une bonne sécurité en combinant convivialité et sécurité – par exemple, le service informatique doit s’assurer que les utilisateurs n’ont pas changé des mots de passe complexes pour des mots de passe plus simples. Tout cela doit être pris en compte lors des tests, explique le document fourni par l’ENISA.

Autoriser l’audit des réseaux informatiques
La conservation des journaux des tests et de l’activité du réseau permet de suivre plus facilement ce qui s’est passé et comment les attaquants ont accédé au système en cas de compromission, ainsi que d’évaluer quelles informations ont été compromises. «La sécurisation des journaux est l’une des tâches de sécurité les plus importantes», explique le document.

SOURCES:

ZDNET.FR

ZDNET.COM