Une vaste cyberattaque secoue la Suède, plongeant le pays dans un état de perturbation sans précédent. Plus de 60 000 employés touchés, 120 administrations paralysées, le rétablissement annoncé en semaines. L’entreprise Tietoevry, sous-traitant informatique, est la cible, avec des soupçons de liens russes.
La Tempête Numérique : Suède sous Attaque
Les détails de la cyberattaque qui paralyse la Suède
Une attaque majeure cible Tietoevry, affectant 60 000 employés et 120 administrations. Cinémas, magasins, services en ligne hors service. La piste russe pointée du doigt. Le rétablissement s’annonce long, laissant la Suède dans l’incertitude.
Tietoevry en Ligne de Mire : Un Acteur Central
Les implications de l’attaque sur l’entreprise Tietoevry
Tietoevry, géant suédo-finlandais des services informatiques, subit une attaque sur l’un de ses centres de données. Les conséquences se répandent à travers les services publics et privés. Les experts pointent du doigt le groupe de hackers Akira, soupçonné d’avoir des liens avec la Russie.
Les Conséquences Locales : Des Municipalités aux Commerces
L’impact de la cyberattaque sur les institutions locales
Les conséquences touchent les municipalités et les commerces locaux. Les fonctionnaires ne peuvent gérer leurs congés, heures supplémentaires ou arrêts maladie. Boutiques fermées, services publics paralysés. Une atteinte à la vie quotidienne des Suédois.
La Cybersécurité en Question : Une Sonnette d’Alarme
Les réflexions sur la cybersécurité en Suède
Les autorités suédoises considèrent l’attaque comme une alerte sérieuse. La numérisation rapide du pays souligne la nécessité d’investir davantage dans la cybersécurité. Le gouvernement réagit en faisant de la cybersécurité une priorité nationale.
Le Motif Russe : Derrière le Voile de l’Attaque
Les motivations derrière la cyberattaque et les implications géopolitiques
Les experts pointent vers le groupe Akira, lié à la Russie, suggérant un motif financier avec l’utilisation probable d’un rançongiciel. Une menace qui rappelle des incidents similaires en France. La Suède se retrouve au cœur d’une guerre numérique aux ramifications géopolitiques.
Alors que l’année 2023 progresse, une tendance indéniable émerge dans le monde de la cybersécurité : le démantèlement de réseaux criminels mondiaux. Après une série d’opérations réussies contre Breached Forums, Genesis Market, et de nombreux sites DDoS, ainsi que l’infiltration du ransomware Hive en janvier dernier, le FBI ajoute un autre succès impressionnant à sa liste en mettant hors d’état de nuire un botnet de longue date : QBot.
QBot : Une Menace de Longue Date Éradiquée: Depuis son apparition initiale sous le nom de Qakbot en 2007, ce botnet a fait preuve d’une résilience impressionnante. Connus sous diverses appellations telles que QBot, QuakBot, Pinkslipbo, et TA570, ses créateurs semblaient jouer au jeu du chat et de la souris avec les chercheurs en sécurité. Évoluant continuellement, le botnet ajoutait constamment de nouvelles fonctionnalités et développait des stratégies pour échapper à la détection. Cela a créé une traque perpétuelle.
Finalement, la persévérance a porté ses fruits, et grâce à la coopération acharnée entre le FBI et ses partenaires, dont la Police Française, le botnet a été mis hors d’état de nuire. C’est une victoire bienvenue, témoignant des efforts soutenus pour protéger l’écosystème en ligne contre les menaces persistantes.
Des Millions de Dollars Sauvés grâce à l’Opération Conjuguée: La Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA) et le Federal Bureau of Investigation (FBI) ont publié un avis conjoint de cybersécurité (CSA), « Identification and Disruption of QakBot Infrastructure, » pour aider les organisations à détecter et à se protéger contre les activités et les logiciels malveillants liés à QakBot.
Plusieurs nations occidentales, comprenant les États-Unis et la France, ont collaboré pour démanteler la plateforme Qakbot, une action annoncée conjointement par les autorités américaines et françaises le mardi 29 août. Selon le département de la Justice américain, « Le logiciel malveillant Qakbot a infecté plus de 700 000 ordinateurs, facilité le déploiement de rançongiciels et infligé des centaines de millions de dollars de préjudices à des entreprises, des prestataires de soins et des administrations publiques à travers le monde. »
Dans le cadre de cette coopération internationale, la procureure de la République de Paris a révélé que parmi les quelque 700 000 ordinateurs identifiés comme étant infectés, 26 000 se trouvaient en France. Laure Beccuau a ajouté que six serveurs, parmi les 170 à l’origine du logiciel malveillant, étaient situés sur le territoire français.
L’opération, menée le samedi précédent, a impliqué les autorités policières et judiciaires des États-Unis, de la France, de l’Allemagne, et des Pays-Bas. Cette collaboration a abouti à la saisie de 8,6 millions de dollars en cryptomonnaies, a indiqué la procureure de Paris.
Un Botnet Inopérant : Les Détails de l’Opération: Laure Beccuau a précisé : Dans la nuit du 26 août 2023, le FBI a procédé à la redirection du trafic vers des serveurs sous son contrôle, libérant ainsi toutes les machines du botnet et rendant celui-ci complètement inopérant. L’opération a également entraîné la désactivation d’environ cinquante serveurs répartis entre les quatre pays partenaires, suivi de la mise hors service du reste de l’infrastructure.
Conclusion: Le démantèlement du botnet QBot représente un pas de géant dans la lutte contre les menaces cybernétiques. Cette opération conjointe entre les États-Unis, la France, l’Allemagne, et les Pays-Bas a non seulement sauvé des millions de dollars en préjudices, mais elle a également renforcé la coopération internationale dans la lutte contre la cybercriminalité. C’est un rappel puissant que la persévérance et la collaboration sont des atouts essentiels dans la défense de notre écosystème en ligne.
L’univers virtuel, riche de possibilités, peut également être le terrain de jeu de nombreux escrocs, cherchant à exploiter la crédulité des utilisateurs. Récemment, une nouvelle méthode d’arnaque a fait son apparition, prenant la forme d’un courriel supposé provenir d’Interpol, l’Organisation internationale de police criminelle. Derrière cette façade officielle se cache une tentative sournoise de tromper les utilisateurs.
Qui est derrière cette arnaque ?
Plusieurs lecteurs de ZATAZ ont signalé avoir reçu un courriel suspect au cours de l’été. Le message prétendait être envoyé par Interpol, évoquant la création d’un « service d’enquête externe et interne » dédié à la lutte contre les fraudes en ligne. L’intention semblait louable : aider les victimes à obtenir justice. En réalité, il s’agissait d’une ruse élaborée.
Le courrier électronique mentionnait que cette initiative était menée en collaboration avec la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés, à la demande de l’Association des Victimes d’Escroquerie et d’Usurpation du Net. L’objectif était de mettre en place un système automatisé de collecte de données personnelles pour identifier les auteurs d’infractions sur Internet. Cependant, derrière ces mots pompeux se cachait un piège sournois.
La double peine pour les victimes
Le contenu du courriel annonçait : « Nous lançons des appels aux victimes d’escroquerie, afin d’émettre des poursuites judiciaires contre ces différents coupables peu après une saisie informatique de la Cyber-infiltration relevant les chefs d’accusation suivants ». Cette déclaration grandiloquente visait à créer une apparence de légitimité. Cependant, le véritable dessein de l’escroc derrière ce message était bien différent.
Une fois qu’une victime potentiellement intéressée se manifeste, l’escroc, se faisant passer pour un policier, contacte la victime en lui annonçant que l’auteur de l’escroquerie a été appréhendé. Cependant, pour récupérer les fonds perdus lors de l’escroquerie initiale, la victime est informée qu’elle devra payer des frais. Cette tactique sournoise vise à piéger la victime une seconde fois, la dépouillant ainsi de nouvelles sommes d’argent.
Comment se protéger
Pour se prémunir contre ce genre d’arnaque, il est crucial d’adopter une approche vigilante. Si vous recevez un courriel similaire prétendument envoyé par une organisation officielle, prenez le temps de vérifier l’authenticité de la communication. Ne partagez jamais d’informations personnelles ou financières sans avoir confirmé l’identité de l’expéditeur. Il est recommandé de contacter directement l’organisation en question à partir des coordonnées officielles disponibles sur leur site web, plutôt que de cliquer sur des liens ou de répondre au courriel suspect.
Conclusion
En conclusion, restez prudent et informé face aux tentatives d’escroquerie en ligne de plus en plus sophistiquées. La vigilance est le meilleur rempart contre les intentions malveillantes qui cherchent à profiter de la crédulité des utilisateurs. Ne devenez pas la victime d’une arnaque deux fois de suite : faites preuve de discernement et protégez vos informations personnelles à tout moment.
Le Conseil Fédéral autorise une enquête administrative en réponse à la cyberattaque visant Xplain, un prestataire de services informatiques de la Confédération.
Qu’est-ce qui s’est passé ? Suite à la cyberattaque par ransomware qui a ciblé Xplain, l’un des fournisseurs de services informatiques du gouvernement, le Conseil Fédéral a pris des mesures pour enquêter sur les événements. Dans le but de comprendre les circonstances entourant l’attaque et d’identifier les lacunes potentielles, le gouvernement a donné son feu vert pour une enquête administrative.
Qui mènera l’enquête ? L’enquête sera menée par le cabinet d’avocats genevois Oberson Abels, qui a été chargé de faire la lumière sur les éventuelles défaillances administratives et de sécurité. Le Département Fédéral des Finances (DFF) jouera un rôle de soutien en coordonnant les efforts du mandataire.
Quels sont les objectifs de l’enquête ? L’objectif principal de l’enquête est de déterminer si l’administration fédérale a rempli ses obligations de manière adéquate tout au long du processus de sélection, d’instruction et de surveillance de Xplain AG. La collaboration entre le gouvernement et l’entreprise sera également examinée dans le cadre de l’enquête. Les autorités visent également à identifier les mesures nécessaires pour éviter de futurs incidents similaires.
Quelle est la portée de l’enquête ? L’enquête ne se limitera pas à un seul département ou à la Chancellerie Fédérale. Au contraire, elle s’étendra à tous les départements concernés par la relation avec Xplain, afin de garantir une évaluation complète et détaillée de la situation.
Quand l’enquête sera-t-elle achevée ? L’enquête devrait être conclue d’ici la fin du mois de mars 2024, ce qui signifie qu’une évaluation complète et minutieuse sera entreprise pour découvrir les tenants et aboutissants de l’attaque et pour formuler des recommandations appropriées.
Contexte de l’attaque Pour rappel, l’attaque par ransomware contre Xplain, qui a été révélée au grand public début juin 2023, a eu des conséquences profondes. Les pirates informatiques, également connus sous le nom de gang Play, ont exposé des données sensibles issues de plusieurs polices cantonales ainsi que de divers organismes gouvernementaux, dont Fedpol, l’armée, l’OFDF, les CFF, Ruag, le SECO et le canton d’Argovie.
Enquête Parallèle en Cours En parallèle, le Préposé Fédéral à la Protection des Données et à la Transparence (PFPDT) mène ses propres investigations concernant les offices fédéraux touchés par l’attaque ainsi que le prestataire Xplain.
Qu’est-ce qui s’est passé à la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye ?
La Cour pénale internationale (CPI) de La Haye a récemment été victime d’une attaque informatique. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cet incident ?
Comment la CPI a-t-elle réagi face à cette cyberattaque ?
Comment la CPI a-t-elle réagi à cette cyberattaque et quelles mesures a-t-elle prises pour en atténuer les effets ?
Quels sont les documents sensibles que détient la CPI et pourraient-ils avoir été compromis lors de cette attaque ?
La CPI possède des documents sensibles, tels que des preuves de crimes et des informations sur des victimes et des suspects. Peut-on en savoir plus sur la nature des documents qui ont pu être touchés ?
Qui a revendiqué cette attaque ou qui en est suspecté ?
Y a-t-il des informations sur les auteurs présumés de cette attaque ou sur leurs motivations ?
Comment cette attaque pourrait-elle affecter le fonctionnement de la CPI et ses enquêtes en cours ?
En quoi cette attaque informatique pourrait-elle avoir un impact sur les activités et les enquêtes en cours à la CPI ?
Les attaques de ransomware ont atteint un sommet alarmant en juillet, selon un rapport récent de l’équipe Global Threat Intelligence du NCC Group, une société spécialisée en cybersécurité. Le nombre d’incidents signalés a augmenté de manière choquante de 154 % par rapport à l’année précédente, passant de 198 attaques en juillet 2022 à un total de 502 en juillet 2023. Cette escalade représente également une augmentation de 16 % par rapport au mois de juin de la même année, où 434 attaques ont été recensées.
Pourquoi cette augmentation spectaculaire ?
Cette flambée des attaques est en grande partie imputée à l’exploitation de la vulnérabilité MOVEit par le groupe de ransomware Cl0p, également connu sous le nom de Lace Tempest. MOVEit est un service de transfert de fichiers développé par Progress Software. Le groupe Cl0p, d’origine russophone, a été la menace la plus active en juillet, responsables de 34 % des attaques signalées, soit 171 attaques au total. Jusqu’à présent, près de 500 organisations et des millions de personnes ont été touchées par leurs activités malveillantes.
Cl0p, qui est actif depuis 2019, cible spécifiquement des organisations d’importance. Récemment, le groupe a été impliqué dans le vol massif de données d’entités telles qu’Aer Lingus, Boots, le gouvernement de la Nouvelle-Écosse, l’université de Rochester, la BBC, British Airways et Shell.
Qui est en deuxième position ?
Le deuxième acteur malveillant le plus prolifique en juillet a été Lockbit 3.0, responsable de 50 attaques, soit 10 % du total. Néanmoins, il est à noter que cela représente une baisse de 17 % par rapport aux 60 attaques du mois de juin. De nouveaux acteurs ont également émergé le mois dernier, notamment NoEscap, un groupe qui exploite les vulnérabilités des réseaux privés virtuels (VPN), et qui a réussi à intégrer le top 10 des groupes les plus actifs avec 16 attaques à son actif.
Quels sont les secteurs les plus touchés ?
En ce qui concerne les secteurs les plus ciblés, l’industrie est en tête avec 155 attaques, représentant 31 % du total, suivi des biens de consommation avec 79 attaques (16 %) et de la technologie avec 72 attaques (14 %). L’Amérique du Nord a été la région la plus visée, avec 274 actes malveillants recensés, soit 55 % de l’ensemble, ce qui représente une augmentation de 51 % par rapport au mois de juin. L’Europe arrive en deuxième position, avec 43 %, soit une augmentation de 23 % par rapport au mois précédent, suivie par l’Asie avec 36 attaques (7 %).
Les Conséquences Dangereuses de cette Montée en Puissance
Ces données records démontrent la nature « continue et omniprésente » des attaques, analyse Matt Hull, responsable mondial des renseignements sur les menaces chez NCC Group. Face à l’arrivée de nouveaux acteurs et de nouvelles tactiques de piratage, NCC Group exhorte les organisations à rester vigilantes et à se tenir informées des évolutions dans l’écosystème de la cybermenace.
L’aéroport de Montpellier a été victime d’une cyberattaque qui a entraîné des retards de vols. Les systèmes informatiques de l’aéroport ont été ciblés par des cybercriminels lors d’une opération menée dans la nuit du samedi 1er au dimanche 2 juillet 2023. Selon une source bien informée, le fonctionnement du site a été perturbé pendant plusieurs heures. Cette attaque a été qualifiée de « très violente » par un responsable de l’aérogare. Tous les programmes et outils numériques internes essentiels au bon fonctionnement de l’aéroport ont été affectés.
Les autorités locales ont rapidement réagi en mobilisant une équipe d’experts en cybersécurité pour évaluer l’ampleur des dégâts et rétablir les services affectés.
Malgré ces problèmes, aucun vol n’a été annulé. Cependant, selon une source travaillant pour l’aéroport, les systèmes ont été hors service pendant plusieurs heures. Emmanuel Brehmer, président du directoire de la société aéroportuaire, n’a pas confirmé explicitement que son organisation avait été visée par des pirates, mais a reconnu des difficultés informatiques ayant entraîné de légers retards dans le trafic.
Les investigations préliminaires ont révélé que l’attaque provenait d’un groupe de hackers sophistiqués, dont les motivations restent encore inconnues.
Le ministère de l’Intérieur et les services de sécurité ont été informés de la situation et des enquêtes devraient être ouvertes afin d’identifier les responsables de cette attaque malveillante. Aucune information n’a été communiquée concernant une éventuelle demande de rançon. L’attaque a contraint le personnel de l’aéroport à effectuer manuellement des opérations normalement automatisées.
Malgré les efforts déployés, la remise en état des systèmes a pris du temps, causant des désagréments considérables aux voyageurs et aux compagnies aériennes.
Heureusement, aucun vol n’a été annulé le dimanche 2 juillet 2023, bien que des retards et des perturbations aient été observés. Selon le quotidien régional, ces problèmes devraient prendre fin le lundi 3 juillet 2023. La source proche de la direction a également assuré que le fonctionnement informatique interne de l’aéroport de Montpellier devrait revenir à la normale dans l’ensemble des services concernés « dans le courant de la semaine ».
Cet incident a souligné la nécessité d’accroître les mesures de sécurité dans les infrastructures critiques afin de prévenir de telles attaques à l’avenir.
Dans la nuit du samedi 1er au dimanche 2 juillet 2023, l’aéroport de Montpellier a été la cible d’une attaque informatique d’envergure, entraînant d’importants retards de vols et perturbations. Cette cyberattaque, d’une violence inouïe, a visé les systèmes informatiques de l’aéroport, paralysant ainsi le bon fonctionnement de ses activités pendant plusieurs heures.
L’aéroport de Montpellier a été la cible d’une attaque informatique, mettant en péril la sécurité des systèmes et des données sensibles.
Des sources bien informées ont confirmé que le site de l’aéroport a été sérieusement perturbé par cette attaque. Les programmes et outils numériques internes, qui sont indispensables au bon déroulement des opérations aéroportuaires, ont été gravement affectés. Toutefois, malgré ces problèmes majeurs, aucun vol n’a été annulé, ce qui est une lueur d’espoir pour les voyageurs.
Suite à l’attaque informatique, les autorités ont immédiatement réagi en mobilisant des experts en cybersécurité pour identifier l’origine de l’attaque et rétablir la situation.
Emmanuel Brehmer, président du directoire de la société aéroportuaire, a admis les difficultés rencontrées par l’aéroport, sans toutefois confirmer explicitement qu’il s’agissait d’une attaque de pirates. Les systèmes ont été hors service pendant plusieurs heures, ce qui a entraîné quelques légers retards dans le trafic. La situation a été signalée au ministère de l’Intérieur et aux services de sécurité, qui ont promis d’ouvrir des enquêtes pour identifier les responsables de cette attaque malveillante.
L’aéroport de Montpellier a renforcé ses mesures de sécurité et sa vigilance pour prévenir de futures attaques informatiques et assurer la protection des voyageurs et des infrastructures aéroportuaires.
À ce stade, aucune information n’a été communiquée concernant une éventuelle demande de rançon de la part des cybercriminels. Cependant, les experts en cybersécurité et les autorités compétentes travaillent activement pour rétablir la situation et prévenir de nouvelles attaques. Les employés de l’aéroport ont dû effectuer manuellement certaines opérations qui étaient normalement automatisées, afin de minimiser les conséquences de cette cyberattaque.
L’aéroport de Montpellier a été la cible d’une attaque informatique, entraînant des perturbations dans ses opérations.
Heureusement, aucun vol n’a été annulé le dimanche 2 juillet 2023, bien que des retards et des perturbations aient été observés. Selon les informations rapportées par le quotidien régional, ces problèmes devraient prendre fin le lundi 3 juillet 2023. La direction de l’aéroport, proche des événements, a également rassuré les voyageurs en affirmant que le fonctionnement informatique interne de l’aéroport de Montpellier devrait revenir à la normale dans l’ensemble des services concernés « dans le courant de la semaine ».
Suite à l’attaque informatique, les autorités de l’aéroport de Montpellier ont pris des mesures d’urgence pour contrer la menace.
L’aéroport de Montpellier a été victime d’une cyberattaque d’envergure qui a entraîné des retards de vols et des perturbations importantes. Les autorités compétentes sont mobilisées pour identifier les responsables de cette attaque et renforcer la sécurité informatique de l’aéroport. Les voyageurs sont invités à rester vigilants et à suivre les instructions des compagnies aériennes concernant les éventuels changements ou retards dans les vols. L’aéroport de Montpellier met tout en œuvre pour rétablir la situation dans les meilleurs délais et garantir la sécurité de ses opérations.
Les rançongiciels sont un type de logiciel malveillant qui peut causer des dommages considérables aux entreprises et aux organisations en les bloquant l’accès à leurs données et en demandant une rançon pour les libérer. Cependant, il existe des moyens pour aider à limiter le risque de rançongiciels.
Conseils pour aider à limiter le risque de rançongiciel
Sensibilisation à la sécurité
La sensibilisation à la sécurité est l’un des moyens les plus importants de prévenir les attaques de rançongiciels.
Les employés doivent être formés sur les techniques d’ingénierie sociale et comment repérer les e-mails de phishing et autres messages suspects.
Les employés doivent également être conscients de l’importance de ne pas ouvrir de fichiers joints provenant de sources inconnues ou de télécharger des logiciels non approuvés.
Cela inclut des outils tels que des pare-feu, des logiciels antivirus et des logiciels de détection d’intrusion.
Ces outils doivent être mis à jour régulièrement pour assurer leur efficacité contre les nouvelles menaces.
Sauvegarde des données
Les entreprises doivent sauvegarder régulièrement leurs données pour minimiser les dommages causés par les attaques de rançongiciels. Les sauvegardes doivent être stockées sur des serveurs distants ou sur des disques durs externes protégés par mot de passe. Il est important de tester régulièrement les sauvegardes pour s’assurer qu’elles peuvent être restaurées en cas de besoin.
Mise à jour des systèmes
Les systèmes informatiques doivent être régulièrement mis à jour pour inclure les dernières mises à jour de sécurité et correctifs de vulnérabilité.
Les rançongiciels exploitent souvent des failles de sécurité dans les systèmes non mis à jour pour pénétrer dans les réseaux et causer des dommages.
Gestion des privilèges
La gestion des privilèges est importante pour empêcher les attaquants d’accéder à des informations sensibles ou à des fichiers critiques.
Les comptes utilisateur doivent être configurés avec les privilèges minimum nécessaires pour effectuer leurs tâches, afin de limiter les risques d’accès non autorisé aux données.
Pour aider à limiter le risque de rançongiciel, les entreprises doivent mettre en place une stratégie globale de sécurité informatique qui comprend la sensibilisation des employés, l’utilisation de logiciels de sécurité efficaces, la sauvegarde régulière des données, la mise à jour des systèmes et la gestion des privilèges.
En prenant ces mesures, les entreprises peuvent réduire considérablement le risque de rançongiciels et protéger leurs données et leur réputation.
La numérisation croissante des opérations commerciales a permis aux entreprises d’assurance de simplifier les processus d’administration des polices, de gestion des sinistres et de paiement des prestations. Toutefois, cette numérisation accrue a également entraîné une augmentation des risques de cyberattaques et de violations de données pour les compagnies d’assurance.
La cyber sécurité par les compagnies d’assurance
Vulnérabilité des données sensibles
Les compagnies d’assurance gèrent une grande quantité de données sensibles telles que les informations personnelles des clients, les données de santé et les données financières. Les cybercriminels ciblent ces informations pour les utiliser dans des activités frauduleuses ou pour les revendre sur le marché noir. Les violations de données peuvent également entraîner des pertes financières importantes pour les entreprises d’assurance, notamment en raison des coûts liés à la notification des clients et des autorités, des amendes réglementaires et des pertes de réputation.
Risque de perturbation des opérations commerciales
Les cyberattaques peuvent également perturber les opérations commerciales des compagnies d’assurance en provoquant une interruption des services en ligne ou en rendant les données inaccessibles. Cela peut entraîner des perturbations importantes pour les clients et des pertes financières pour l’entreprise. Les attaques par ransomware, qui verrouillent les données de l’entreprise et exigent une rançon pour leur restitution, sont devenues particulièrement courantes ces dernières années.
Besoin de conformité réglementaire
Les compagnies d’assurance sont soumises à de strictes réglementations en matière de protection des données, notamment la loi sur la protection des données personnelles (RGPD) en Europe et la loi sur la confidentialité des renseignements personnels et électroniques (PIPEDA) au Canada. Les violations de ces réglementations peuvent entraîner des amendes importantes et des poursuites judiciaires, ainsi que des pertes de réputation.
Nécessité de la mise en place de mesures de sécurité
Les compagnies d’assurance doivent prendre des mesures pour protéger leurs données sensibles et leurs systèmes contre les cyberattaques. Cela peut inclure l’utilisation de technologies de pointe telles que la détection des intrusions, la protection contre les logiciels malveillants et la gestion des vulnérabilités. Les entreprises doivent également mettre en place des politiques et des procédures strictes pour gérer les risques de cybersécurité et former leur personnel pour identifier et signaler les menaces potentielles.
Problème de cyber sécurité et les compagnies d’assurance
La cybersécurité est un défi croissant pour les compagnies d’assurance, qui sont chargées de protéger les données sensibles de leurs clients tout en garantissant la continuité de leurs opérations commerciales. Les attaques par ransomware, les violations de données et les perturbations des opérations commerciales peuvent avoir des conséquences graves pour les entreprises d’assurance. Il est donc essentiel que les compagnies d’assurance prennent des mesures de sécurité adéquates pour protéger leurs systèmes et leurs données et garantir leur conformité réglementaire.
Elles comportent également des risques considérables pour la sécurité et la vie privée des utilisateurs. Dans cet article, nous examinerons les différents risques associés à la collecte de données sur mobile et les mesures que les utilisateurs peuvent prendre pour protéger leurs données.
Les données collectées sur mobile sont devenues une source précieuse d’informations pour de nombreuses entreprise
Risque de piratage et d’exploitation des données Les données collectées sur mobile peuvent inclure des informations sensibles telles que les noms, les numéros de téléphone, les adresses e-mail, les données de géolocalisation et les informations financières. Ces informations peuvent être piratées ou exploitées par des tiers malveillants, ce qui peut entraîner des pertes financières ou des atteintes à la vie privée.
Risque de violation de la vie privée Les données collectées sur mobile peuvent également inclure des informations sur les habitudes de navigation, les préférences et les comportements des utilisateurs. Ces informations peuvent être utilisées pour créer des profils détaillés des utilisateurs, qui peuvent être utilisés à des fins publicitaires ou de surveillance. Les utilisateurs peuvent être soumis à des publicités ciblées et invasives ou à une surveillance sans leur consentement.
Risque de collecte et de partage des données par les applications De nombreuses applications collectent des données sur les utilisateurs, souvent sans leur consentement ou leur connaissance. Certaines applications peuvent également partager ces données avec des tiers à des fins publicitaires ou de marketing. Les utilisateurs doivent être conscients de ces pratiques et prendre des mesures pour protéger leurs données, telles que la lecture des politiques de confidentialité et la désactivation des autorisations d’accès inutiles.
Risque de vol d’identité Les informations personnelles collectées sur mobile peuvent être utilisées pour voler l’identité des utilisateurs. Les pirates informatiques peuvent utiliser ces informations pour accéder aux comptes bancaires, aux réseaux sociaux et à d’autres informations sensibles. Les utilisateurs doivent être prudents lorsqu’ils partagent des informations personnelles et s’assurer que les sites et les applications qu’ils utilisent sont sécurisés.
Risque de tracking et de géolocalisation Les données de géolocalisation collectées sur mobile peuvent être utilisées pour suivre les déplacements des utilisateurs et pour surveiller leur comportement. Les utilisateurs doivent être conscients des applications et des services qui utilisent la géolocalisation et être prudents lorsqu’ils partagent leur emplacement.
En conclusion, les données collectées sur mobile peuvent être utiles pour les entreprises, mais elles comportent également des risques pour la sécurité et la vie privée des utilisateurs.
Les utilisateurs doivent être conscients de ces risques et prendre des mesures pour protéger leurs données, telles que la lecture des politiques de confidentialité, la désactivation des autorisations d’accès inutiles et la sélection de sources fiables pour les applications et les services.
Le groupe COSMOBILIS qui a intégré Ucar à son portefeuille d’entreprises, le regrette déjà ?
Les pirates d’Unsafe sont de retour et ont de nouveau piraté le loueur UCAR
L’entreprise UCAR France, spécialisée dans la location de véhicules, a-t-elle été piratée à plusieurs reprises ? Le groupe de pirates informatiques Unsafe a récemment diffusé des milliers d’identifiants de connexion qui appartiendraient à des clients de cette entreprise.
Selon le service de veille de ZATAZ, les pirates connus sous le nom d’Unsafe sont en réalité des collecteurs d’informations de cyberattaques qu’ils n’ont pas eux-mêmes organisées. Ils mettent ces informations en vente sur leur blog caché dans le darkweb, et il est possible qu’ils négocient également avec d’autres groupes pirates qu’ils prétendent être des partenaires.
Cependant, il semble impossible selon ZATAZ qu’ils soient impliqués avec les groupes REVil/Sodinokibi. Malgré tout, il ne faut pas s’étonner de quoi que ce soit de la part des pirates.
Adecco, le géant de l’intérim, a été ciblé par un pirate informatique qui a réussi à accéder aux données personnelles de nombreux intérimaires et à voler de l’argent directement sur leurs comptes bancaires.
Des données bancaires d’intérimaires d’Adecco ont été volées
Au début du mois de novembre, Adecco a été victime d’une attaque de piratage. Par la suite, de nombreux intérimaires des agences d’emploi Adecco ont signalé avoir subi des prélèvements de 49,85 euros sur leur compte bancaire, comme l’ont rapporté plusieurs médias.
Entreprise suisse de travail temporaire
Adecco, une entreprise suisse de travail temporaire, a été victime d’une attaque de piratage en novembre. Dans un courriel envoyé avant Noël, l’entreprise a averti certaines de ses personnes intérimaires que leurs données personnelles, y compris leurs coordonnées bancaires, avaient été volées par un tiers.
Il y a eu un piratage de l’entreprise le mois dernier, ce qui a été confirmé par un communiqué de la CGT Adecco qui a souligné la nécessité d’améliorer la protection des données personnelles de l’agence d’intérim.
Des prélèvements non autorisés ont été signalés sur les comptes en banque de certains intérimaires après un piratage informatique.
Solfex France SASU
Selon une centaine de témoignages, une entreprise appelée Solfex France SASU a retiré 49,85 euros de différents comptes bancaires. Solfex France SASU, basée à Paris et créée en août 2022, est suspectée d’être liée à cette arnaque. Adecco a déclaré dans un communiqué que, suite à une enquête interne, aucun lien n’a pu être établi « entre ces prélèvements frauduleux effectués par une société tierce et les missions de nos intérimaires ». La CGT Adecco affirme que cette arnaque est évidemment liée au piratage des données de la société.
Des nouvelles récentes ont été riches en cyber-attaques « ransomware ». L’interdiction de payer les rançons peut-elle résoudre le problème?
En finir avec les Ransomware en interdisant le paiement de la rançon?
Les serveurs de votre entreprise refusent soudainement de travailler. Toutes les données (y compris vos sauvegardes) sont cryptées et que personne ne peut y accéder. C’est l’arrêt total de l’activité. Le diagnostic tombe rapidement: c’est un ransomware (ransomware). Les pirates vous appellent cryptos en échange d’un remède qui vous permet d’accéder à nouveau à vos données. De plus, les pirates menacent de commencer à révéler vos données si vous ne payez pas. SUITE
Le récent piratage de Thales prend maintenant un renversement beaucoup plus problématique. Bien que Locbkit n’ait apparemment pas fait de demande de rançon au groupe français, les données récupérées lors du piratage sont maintenant en ligne sur le forum collectif. Les experts en cybersécurité de l’entreprise cherchent désormais à évaluer l’étendue des dommages.
Cyberattaques de Thales: Lockbit publie les données volées de Thales sur le web
Il n’a fallu que quelques jours aux pirates les plus productifs pour le moment pour effectuer leur menace. Le 2 novembre, nous avons appris que Lockbit 3.0, qui a acquis une certaine réputation en 2022, a attaqué le navire amiral des armes françaises. Les éléments de l’affaire étaient encore relativement vagues. Thales affirme avoir reçu une requête de rançon à ce jour.
Lockbit, à son tour, prétend être à l’origine de l’attaque, mais n’avait encore fourni aucune preuve de ces réclamations. Cela se fait maintenant comme l’ont découvert nos collègues de Franceinfo. Ce dernier a en fait trouvé la trace des données volées sur le groupe sur le forum collectif russe. Cela signifie analyser lesdites données pour évaluer l’étendue des dommages. Les données concernant les Thales, que le groupe Lockbit 3.0 avait réclamé le vol, a été envoyée en ligne à Darkweb jeudi, nous avons appris vendredi de Defense and Technology Group, pour qui il n’y a pas de « influence sur ses activités ». « Le 10 novembre 2022, un groupe d’extorsion et ransomicine (Lockbit 3.0) a publié des données relatives à Thales sur sa plateforme », a déclaré ce dernier dans un communiqué, confirmant les informations de Franceinfo. Ils ont mis leurs menaces. Le groupe de pirates russes Lockbit 3.0 a publié vendredi sur le sombre Web de données confidentielles concernant la société Thalès, victime d’une cyberattaque le 31 octobre, selon France Info. Cela n’a aucune « influence sur les activités de l’entreprise », dit-elle.
Il n’y a «aucune contribution» dans les systèmes d’information du groupe, a déclaré Thales
Les pirates avaient indiqué de leurs cyberattaques que « toutes les données disponibles seraient publiées » après un défilé compte jusqu’au 7 novembre. Le groupe électronique français spécialisé dans l’espace, la défense et la sécurité a assuré que la France n’a pas reçu de demande de rançon.
Pour le moment, ils semblent relativement modérés. En fait, Thales ne montre pas un véritable signe de préoccupation et préfère plutôt montrer un look pour une nouvelle violation « en mobilisant systématiquement ses équipes d’experts en sécurité, la protection des données de nos parties prenantes est notre priorité absolue. Cependant, la société a déclaré qu’aucune de ses activités n’a été affectée par l’attaque.
De sa part, la carte Insolence Lockbit joue comme d’habitude. Le groupe avait annoncé la publication des données le 7 novembre, il est clair qu’il tenait une promesse. À partir de maintenant, ce dernier offre son aide aux clients de Thalès et appelle une plainte contre la société et soutient qu’elle a « largement négligé les règles de confidentialité ». Plus que jamais, le collectif est toujours le groupe de pirates le plus important pour le moment, absolument pour regarder de près.
C’est la deuxième fois cette année que la société française, spécialisée dans l’aérospatiale, est victime du partage de données après un piratage du groupe Lockbit 3.0.
Il n’y a « aucune pénétration » dans les systèmes d’information du groupe, a déclaré Thales, qui induit « deux sources probables de vol d’information ». Le premier a été identifié: il s’agit de « l’histoire d’un partenaire sur un portail d’échange dédié » créé avec Thales, selon le groupe, pour qui cela a conduit au dévoilement d’une information de volume « limitée ». La recherche pour identifier la deuxième source de vol se poursuit.
Minimiser l’influence potentielle sur les clients « Thales travaille en étroite collaboration avec le partenaire en question et fournit les ressources et le soutien technique nécessaires pour minimiser tout impact potentiel sur les clients et les parties prenantes affectées », a ajouté la clôture.
Le groupe russe de Lockbit 3.0 avait perturbé la fonction du centre hospitalier du sud-francilais (CHSF) à Corbeil-Esonnes en lançant une cyberattaque spectaculaire en août. Il a demandé une rançon de 10 millions de dollars, puis a publié des données de patients, de personnel et de partenaires.
Pas de rançon -request Pour l’attaque contre Thales, les pirates ont menacé de publier « toutes les données disponibles » le 7 novembre, selon eux « très sensible, confidentiel, à haut risque », citant le fonctionnement de la société, Documents commerciaux, des dossiers comptables, client , Fichiers clients, logiciels. Thales dit qu’il a « fait l’objet de toute nouvelle rançon ».
L’annonce du dévoilement des données volées semblait être des investisseurs alarminants: le cours Thales -Aktie était en baisse de 7,57%, à 113,55 euros, vendredi après-midi à la Bourse de Paris, sur un marché ascendant. C’est la deuxième fois cette année que la société française est victime d’un piratage massif, après une première attaque en janvier. Les mêmes cybercriminels avaient déjà été capables de données appropriées, et Thales ne semblait pas avoir à faire chanter la demande de rançon. Des centaines de fichiers zip, le dernier daté du 1er janvier 2022, avaient été publiés par des pirates informatiques. C’étaient des outils internes, y compris le code informatique.
Le groupe de pirates Lockbit 3.0 a déjà fait plusieurs victimes en France. Ils sont particulièrement à l’origine d’une importante cyberattaque contre l’hôpital Corbeil-Assonnes, où ils ont demandé une rançon en échange de non-publication des données volées. Récemment, l’hôtel de ville de Chaville (Hauts-de-Seine) a également été touché.
Les données récemment publiées, mettent en évidence la croissance des attaques de ransomware, selon cybermalveillance.gouv.fr.
Ransomware Les dépôts de plaintes ne sont pas encore au top!
Le 24/11/2021 Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) publie pour la première fois une étude sur les attaques de classement des entreprises et des institutions. Les résultats présentés dans cette étude proviennent d’un premier travail exploratoire. La cyberdelinquance ne correspond pas à une infraction ou à l’un de l’indice d’état 4001 (série historique suivie du ministère de l’Intérieur), mesurant le phénomène développé.
Entre 2016 et 2020 enregistré des services de police et de la gendarmerie nationale entre 1.580 et 1.870 procédures relatives aux attaques de logiciels malveillants (classement d’une rançon d’un accès à l’accès aux données). Les entreprises et les institutions. Quelle que soit l’estimation conservée, la tendance est la même.
En particulier, conformément à l’estimation haute, le nombre de procédures ouvertes dans le cadre d’attaques de rang plus 3% par an jusqu’à 2019, avec une accélération entre 2019 et 2020 (+ 32%).
Bien que ce phénomène est en place, les procédures en rapport avec les attaques et les institutions des entreprises ne représentent que 15% des attaques sur les systèmes de traitement automatisé des données enregistrées entre 2016 et 2020.
Certains secteurs d’activité sont plus ciblés que d’autres. Le secteur industriel est particulièrement touché: Elle équivaut à 15% des victimes enregistrées contre 7% de la substance économique en France. De même, le secteur de l’administration publique, l’éducation, la santé humaine et de l’action sociale est surreprésenté: 20% des victimes de 13% des institutions en France.
A propos SSMSI. SSMSI est le service statistique responsable de la sécurité intérieure, le ministère de l’Intérieur. Sa mission est de produire et de rendre publics à la disposition des statistiques publiques et des analyses sur la sécurité intérieure et de la criminalité. Il compose avec l’Insee et 15 autres services statistiques du département service statistique public. En tant que tel, SSMSI respecte un certain nombre de règles pour maintenir la confiance dans les informations produites et diffusées, en particulier l’indépendance professionnelle, la fiabilité, la neutralité, la qualité des processus, la méthode solide, la disponibilité.
Comme les autres membres de services statistiques publics, son programme de travail fait l’objet d’une consultation de tous les utilisateurs du Conseil national de l’information statistique (CNIS), et son activité est évaluée par la statistique publique (ASP).
Informations bancaires, papiers d’identité, adresses électroniques etc … Plus de 80 000 membres de l’assurance EMOA du Var piratées. Vous étiez ainsi parmi les personnes voyants leurs données personnelles fuiter sur Internet, rapporte libération ce vendredi. En mars 2022, des informations confidentielles avaient déjà été divulguées en ligne et la mutuelle avait informé les abonnés en question.
Données personnelles d’environ 80 000 membres de l’assurance Varoise mutuelle EMOA ont été piratées
Mais selon le journal, il y a eu une fuite encore plus massive en avril. La compagnie d’assurance mutuelle a été informée par le journal que des informations personnelles sur plus de 80 000 de ses membres étaient en ligne sur des plateformes cybercriminelles. Elle n’était pas au courant de la fuite de données. Devis installation informatique
Pour la plupart des victimes, seuls les noms et noms de famille, les dates de naissance, les codes postaux et les adresses e-mail E ont été révélées sur des sites illégaux. Les numéros de sécurité sociale de près de 3 000 membres ont été partagés sur le marché Internet noir. Pour une partie mineure, les photocopies de leurs passeports ou leurs coordonnées bancaires (Rib, Iban, BIC) trouvées en ligne, mises à disposition sur les forums cybercriminels. Enfin, des données sensibles liées aux employés mutuelles ou aux contrats clients ont également été volées. Une première fuite de données a eu lieu en mars 2022. Il existe alors un fichier de vente qui contient des informations personnelles sur 74 000 membres d’Emoa Mutual. Cette première attaque contre les serveurs a permis de collecter les noms des clients ainsi que de leur numéro d’adhésion, de leur adresse, de leur date de naissance et de leur e -mail. Mais les choses ont empiré. L’un des fichiers contient une certaine quantité de liens hypertextes qui rapportent aux contrats des membres. C’est alors une mine d’or pour le pirate qui s’ouvre. Sans protection, nous trouvons tous les documents qui vous permettent de vous inscrire à l’organisation de protection de la santé. Nous pouvons donc compter les côtes, des lettres sur la démission, des certificats d’assurance maladie (donc le numéro de sécurité sociale) et même des certificats d’enregistrement d’entreprise. Il y a encore pire… les copies d’une vingtaine de documents d’identité sont dans un accès gratuit absolu. Selon la libération qui a mené l’étude : « En réalité, sans même avoir le fichier vendu par les pirates, des outils simples fourniraient des étirements pour scanner l’endroit entier et réaliser facilement tous les précieux documents mal protégés. » Une erreur qui semblait refléter ce que l’on se demande comment une mutuelle pourrait la laisser partir pendant des années.
Six ans après le lancement, Europol vient de publier son évaluation de « No More Ransom« . Lancé en 2016 avec la police néerlandaise et les SSI/SOC, cette agence européenne, coordonnant les polices de l’Union européenne.
Dans son dernier communiqué de presse, Europol ne mentionne pas une estimation des économies autorisées par les décrypts. Cependant, lors d’une conférence de presse, cependant, l’agence a parlé d’un déficit potentiel d’environ 1,5 milliard de dollars, comme de nombreux euros. Une estimation basée sur une rançon rémunérée moyenne de 1 000 $.
« Plus de 188 partenaires publics et privés ont rejoint le programme et ont régulièrement fourni de nouveaux outils de décryptage pour les dernières tribus malveillantes », a déclaré Europol. L’Agence européenne met l’accent sur les débris en magasin contre Gandcrab ou Revil / Sodinokibi.
En 2021, 15 nouveaux décrypteurs ont été mis à disposition. Ces derniers mois, Emsisoft a par exemple publié à la fin décembre un outil contre NoWay. Cet éditeur a également publié des décrypteurs pour Diavol, Maze, Egregor et Sekhmet. La société Avast avait quant à elle sorti des parades à TargetCompany et à HermeticRansom. LIEN
« En seulement quatre mois, le nombre d’entreprises attaquées par des ransomware est déjà égal à 50% de 2021. La menace de ransomware reste également élevée avec 35 à 40 groupes actifs », avertit Alban Ondrejeck, expert en cyberdéfense et co-fondateur de Anozr Way, une startup française spécialisée dans l’analyse des données exposées sur le Web, Darkweb et la protection des personnes à la lumière des cyber risques, à l’origine du baromètre. Son étude montre 1 142 attaques représentant 80 pays influencés par 42 groupes de ransomwares entre janvier et avril 2022.
Plus de 650 millions € de chiffre d’affaires perdu par les entreprises Françaises sur 4 mois.
Plus de 650 millions € de chiffre d’affaires perdu par les entreprises Françaises sur 4 mois.
Les autres points forts de la période sont le secteur de l’énergie, particulièrement ciblé par les cyberattaques dans le monde. En quatre mois, « il y a déjà +138% des sociétés énergétiques victimes de ransomwares par rapport à l’ensemble de 2021 ».
Les données de presque 170 000 Français rendu disponible sur internet suite aux attaques.
Les données de presque 170 000 Français rendu disponible sur internet suite aux attaques.
Toute la chaîne de production est affectée : les industries d’extraction, le transport, le stockage, la distribution.
Coût ? 128 000 € en moyenne par entreprise.
Coût ? 128 000 € en moyenne par entreprise.
Ransomware ou « Rançongiciel » en français est une technique d’attaque cybercriminel qui consiste à infiltrer l’appareil de la victime et à installer des logiciels malveillants qui interfèrent avec la fonction du système informatique et, à leur tour, les données. Seul le paiement d’une rançon de la victime de l’attaquant permettrait de faire déchiffrer la clé. L’impact financier des sociétés françaises est estimée à 660 millions d’euros de perte cumulative de revenus.
Une entreprise Française sur deux victimes de ransomwares est une TPE-PME.
Une entreprise Française sur deux victimes de ransomwares est une TPE-PME.
Les coûts comprennent la perte directe et indirecte de l’entreprise. Plus précisément, ceux correspondant au coût de la réponse à l’incident et à la gestion de la crise (ressources humaines supplémentaires pour répondre à l’attaque, aux frais juridiques, etc.), mais aussi indirectement liés à la perturbation des activités. Ce montant estimé n’inclut pas le paiement possible d’une rançon , qui peut représenter une moyenne de 128 000 € par entreprise. La France serait le troisième pays le plus touché de l’Union européenne. LIEN
Un projet conjoint sur Cybercampus avec plusieurs acteurs privés montre les attaques en Ukraine depuis le début de la guerre et propose de télécharger des fichiers pour éviter les attaques.
Une plate-forme française montre des cyber-menaces contre l’Ukraine
Nous pouvons parler d’une première initiative conjointe depuis le lancement de Cyber Campus en février. Une plate-forme de collaboration montre les cyber-menaces les plus importantes qui ont émergé depuis l’invasion de l’Ukraine de la Russie. Plus qu’un simple lieu d’information montre que ce portail est des rapports sur les derniers logiciels malveillants.
Encore mieux, tout gestionnaire informatique d’une entreprise peut télécharger des fichiers contenant des informations malveillantes utilisées en Ukraine pour sécuriser davantage le système de protection informatique. Par conséquent, un montant électronique ou un lien frauduleux utilisé auparavant dans le conflit peut être détecté par un logiciel, une fois mis à jour. Tous les rapports et fichiers à télécharger peuvent être trouvés dans la section Portal Share. LIEN
Akka Technologies, un groupe d’ingénierie et de conseil français, a été frappé par une attaque de ransomware qui affectent une bonne partie de l’entreprise et les 21 000 employés.
Le groupe d’ingénierie français Akka est affecté par une attaque au ransomware
Akka est l’un des plus grands conseils technologiques et technologiques européens. Il vient d’être acheté par le groupe suisse Adecco, qui l’a retiré début mai à la Bourse. Adecco fusionnera l’entreprise avec sa filiale MODIS, qui se spécialise également dans l’ingénierie, pour créer un nouveau géant de service en technologie capable de rivaliser avec des acteurs plus importants dans le secteur tels que Cap Gemini.
Ingénierie, pour créer un nouveau géant de service dans une technique capable de concurrencer les plus grands acteurs du secteur en tant que Cap Gemini.
Il s’agit d’une attaque de ransomware où le pirate trouve les données sur sa victime et revendique une rançon pour donner les clés pour déchiffrer. Akka Technologies ne veut pas donner de détails sur l’étendue de l’attaque pour ne pas informer l’attaquant.
Le renforcement du niveau de sécurité numérique du secteur de la santé est une priorité pour Ministère de la solidarité et de la santé. En ce qui concerne la sécurité opérationnelle, l’agence de La santé numérique joue un rôle central, d’autant plus que l’intégration de la santé cert à Inter-Fr en janvier 2021. Aujourd’hui plus que jamais, mobiliser tous les acteurs, les directions, les experts techniques et Les personnes de santé sont nécessaires pour faire face aux menaces de cybercriminalité intensifié dans un contexte général instable. 2021 ont été marqués par de nombreux incidents majeurs attachés à l’attaque par Ransomicial (CH de Dax, Villefranche-sur-Saône ou Arles), mais aussi à l’exfiltration massive de Données (AP-HP et toujours récemment CNAM1 ). Cependant, il n’y a pas eu d’attaque jusqu’à présent Les coordonnées visaient fortement à inorganiser le système de soins français. En 2021, CERT Health, qui a également obtenu la mission de prévention et d’alarme Les menaces de cybersécurité avec les services de santé et de médecine, administrées Déclarations à double événement (733) par rapport à 2020. Cette augmentation s’explique en partie par les incidents que les prestataires de services rencontrent (en particulier les hôtes) avec une part de marché importante. Des centaines de structures Ainsi, les secteurs de la santé et des médicosociaux (40% des événements signalés) ont été affectés. L’énoncé mensuel moyen de l’énoncé a également augmenté de 33% même s’il reste relativement bas en ce qui concerne le nombre de structures concernant cette obligation de annulation. La Déclaration des entreprises et services médicosociaux augmente fortement (multiplié par 4) par rapport à 2020, en particulier pour les entreprises qui accueillent les gens dans une situation avec Handicap qui atteste leur bonne compréhension de l’extension du système à leur secteur de l’activité. Avec Ségur You Digital Health and France Relatements, Ministère de la solidarité et de la santé, avec un soutien opérationnel de l’année et ANSSI a investi massivement dans l’amélioration de Sécurité des systèmes d’information sur la santé. Collaboration entre les années et ANSSI dans les questions Alerte et réponse à l’incident mis en évidence en 2021. Les deux agences travaillent à Synergi Pour aider les acteurs à gagner de la maturité et à atteindre un niveau de résilience collective Indispensable pour surmonter une attaque majeure. Depuis le début de 2022, CERT Health a renforcé son soutien et s’est amélioré Outils, Développer leur capacité à faire face à une menace de plus en plus complexe.
Comme vous le savez, l’arrivée massive des réfugiés Ukrainiens augmente de jour en jour. Les services de l’état se démènent pour assurer la gestion de toutes ces arrivées.
Tous les jours les procédures sont modifiées et parfois simplifiées, afin de mieux répondre aux impératifs.
Concert caritatif au profit des familles UKRAINIENNES DU VAR.
SI VOUS SOUHAITEZ PARTICIPER AUX ACTIONS Que ce soit pour proposer un logement, un accompagnement des familles ou le collectif, merci de remplir le questionnaire qui vous concerne ( Il n’est pas obligatoire d’avoir un compte Google ) : Questionnaire Bénévoles: https://forms.gle/nbeidSznEgDRMF718 Questionnaire Familles hébergeantes: https://forms.gle/mFqYMrgjQ86c19sE6
Le service TAXI du CŒUR destiné à accompagner une famille UKR ou un bénévole,
D’un point de départ à un point d’arrivée, des marchandises à récupérer et livrer.
Malgré le fait que la carte de transport Mistral soit gratuite pour un mois, pour les familles UKR, il peut y avoir des besoins particuliers de transport.
Florence MAYOR est chargée de gérer cette activité, contactez la, (UNIQUEMENT elle).
Parmi les sujets auxquels nous sommes confrontés en 2022, il sera nécessaire de compter sur la prévalence et d’augmenter l’intensité des attaques de ransomware qui ont une partie monopolisée de la nouvelle en 2021. En fait, ce problème est loin d’être en phase de disparition. Ces menaces deviennent susceptibles de devenir plus dangereuses dans un contexte où les cybercriminels cherchent à avoir un impact maximal. Les attaques d’escalade via des chaînes d’alimentation sont une tendance importante et troublante. Les cybercriminels cherchent à générer une destruction massive.
Ransomware sur chaîne d’approvisionnement pour 2022
Nous devons nous attendre à un plus grand nombre d’attaques visant à la chaîne d’approvisionnement numérique en 2022, d’autant plus que la déficience actuelle des talents, elle pousse les entreprises à compter encore plus sur les plates-formes, les services et les outils logiciels tiers
Les rangées sont retournées à la catégorie des « Grandes personnes à la chasse ». L’importance de leur objectif continue de croître et des dommages dépassant la simple perte de données ou de paiement d’une rançon (productivité, revenus, réputation et responsabilité). Quels sont les outils légaux, les droits et les obligations de savoir?
L’entreprise et le ransomware
Par Me Pierre-Randolph Dufau Avocat à la cour, fondateur de la SELAS PRD avocats
Le juge français ne semble pas être déterminé à permettre aux entreprises, aux victimes d’une telle attaque, de tirer parti de la force majeure pour débarrasser leurs responsabilités contractuelles (Cour d’appel de Paris, le 7 février 2020). Au contraire, la tendance de la jurisprudence est d’exiger davantage de prévention, d’obligations et de responsabilités. SUITE ET LIEN
Le ministère de la Défense belge a confirmé identifié une attaque informatique de type Log4j.
Les autorités belges subissent une cyberattaque de Log4jLog4Shell
Le ministère Belge de la Défense joue une transparence en admettant une victime d’un piratage basé sur l’erreur Log4Shell. Le fonctionnement de ce dernier intégrant des logiciels malveillants Dridex.
Aujourd’hui, le ministère belge de la Défense a annoncé qu’elle avait été victime d’une attaque contre la vulnérabilité de Log4Shell. Le piraterie aurait eu lieu la semaine dernière et « certaines activités de département de la Défense ont été paralysées depuis plusieurs jours. »
Le porte-parole du Fonds a confirmé ces informations. « La défense a découvert jeudi une attaque sur son réseau informatique reporté sur Internet. Des mesures de quarantaine ont été rapidement prises pour isoler les parties touchées. La priorité est de garder le réseau de défense opérationnelle. En outre, il est dit: » Cette attaque suit l’exploitation de la vulnérabilité log4j, publiée la semaine dernière. «
Les chercheurs de la sécurité ont mis en évidence des personnes qui constituent une partie importante de l’écosystème de cybercrimination
Les intermittent de la cybercriminalité
Programmes de phishing, campagnes de logiciels malveillantes et autres opérations utilisent un nombre total de travailleurs ombragers. Pour leur offrir de meilleures opportunités de travail légitimes pourraient aider à réduire le crime?
Une collaboration de recherche avec l’Université technique tchèque à Prague et GoSecure et SecureWorks entreprises de sécurité Cyber a analysé les activités des personnes en marge de la cybercriminalité, les projets sous – jacents tels que la création de sites Web, finissent par être utilisés pour des attaques de phishing, les affiliés Systèmes pour diriger le trafic sur les sites Web compromis ou contrefaits ou écrire sur le code trouvé dans les logiciels malveillants.
Les gens sur l’origine de ces projets font parce qu’il est un moyen facile de gagner de l’argent. Mais faire ce travail, ils jettent les bases de campagnes malveillantes pour les cyber-criminels.
Un regard sur le web L’étude, Mass Effect: Comment Opporitistic travailleurs conduisent dans la cybercriminalité et présenté au Black Hat États-Unis, trouve ses origines dans une analyse de l’Université technique tchèque qui a révélé des roues geost, un botnet et une campagne de logiciels malveillants Android comme des centaines infectés de milliers d’utilisateurs. Ce travail a permis aux chercheurs d’examiner les journaux pour certaines des personnes impliquées.
Ils ont pu trouver des traces de personnes dans ces journaux sur des forums en ligne et d’autres plates-formes de discussion et avoir une idée de leurs motivations.
«Nous avons commencé à comprendre que même s’ils étaient impliqués dans la diffusion de programmes malveillants, ils n’étaient pas nécessairement cerveaux, mais plutôt des travailleurs informels, ceux qui travaillent sur de petits projets», a déclaré Masarah Forfait-Clouston, chercheur de sécurité à Gosécur.
Bien que ces personnes sont au bas de la hiérarchie, ils exécutent des tâches utiles pour les cyber-criminels à des sites d’utilisation et d’outils, ils créent des activités malveillantes, y compris le phishing et les logiciels malveillants communication.
« Ils essaient de gagner leur vie et peut – être le salaire du crime mieux, donc ils vont là – bas, » a déclaré Sebastian Garcia, professeur adjoint à l’Université technique tchèque, affirmant que nous devons accorder plus d’ attention aux personnes qui oscillent entre la cybercriminalité et l’ activité juridique.
« Il y a beaucoup de gens dans ces forums publics que les sociétés de sécurité ne se rapportent pas, mais ce sont ceux qui soutiennent la majorité du travail, la création de pages web pour les e – mails de phishing, l’ APK, le cryptage, les logiciels malveillants, mulet, » dit – il.
L’arbre qui dissimule la forêt « Si nous nous concentrons toujours sur des cerveaux » délinquants motivés « qui ont vraiment développé le Botnemetten et les moyens de gagner de l’argent avec tout cela, nous oublions les travailleurs », avertit M. Paquet-Clouston. « En tant que société, nous oublions souvent que beaucoup de gens sont impliqués et que ce n’est pas nécessairement des personnes très motivées, mais plutôt ceux qui finissent par faire l’activité », a-t-elle déclaré.
Mais cela ne signifie pas nécessairement que les personnes impliquées dans ces systèmes doivent être traitées comme des cybercriminels de vol élevé, en particulier lorsque certains ne savent même pas que leurs compétences sont utilisées pour la cybercriminalité.
En fait, il serait possible de donner à bon nombre de ces personnes la possibilité d’utiliser leurs avantages de compétences plutôt que de les utiliser pour l’aider à la criminalité.
Cet atlas, disponible sur le site officiel (cybersecurity-atlas.ec.europa.eu), est destiné à réunir des professionnels européens de la sécurité de l’information. houston Bruxelles nous avons un problème!
L’espace de cybersécurité Européen hacké
Un utilisateur est néanmoins de restaurer toutes ces données pour leur suggérer de revendre à la discorde. Les journalistes records ont réussi à mettre la main sur la base de données pour confirmer l’authenticité et confirmer que les données proposées correspondent réellement au site. Parmi les soumissions de données, nous trouvons des adresses électroniques, des adresses de contact, des détails organisationnels ou le nom des personnes à contacter. Données déjà publiées et accessibles à ceux qui ont enregistré un compte sur le site Web de Cybersecurity Atlas.
Mais plus que les données ont la saisie réalisée pour confirmer que la base de données était directement à partir des systèmes informatiques du site Web de Cybersecurity Atlas et ne provenait donc pas d’une simple « raclage » des données d’un utilisateur.
La couverture de données avait été repérée par le site de Zataz: sur un forum spécialisé dans la revente des données volées suggéré un utilisateur qui a été suggéré depuis lundi un lot de fichier du projet CybersSecurity Atlas. Ce projet de la Commission européenne vise à indiquer les adresses de contact de diverses agences et des personnes impliquées dans des questions de cybersécurité européenne. Catalogue de la cybersécurité au niveau européen, lancé en 2018. Ce dossier était disponible publiquement et autorisé des entreprises, des chercheurs et des universitaires à enregistrer et à laisser leurs coordonnées d’accès ouvert.