Arrêt sur Image, Mediapart, l’ADN ou encore Reflets sont également attaqués par cette société.
L’effet Streisand désigne un phénomène médiatique involontaire. Cela survient lorsque nous voulons empêcher la divulgation d’informations que nous aimerions cacher – qu’il s’agisse d’une simple rumeur ou d’un fait véridique – nous déclenchons le résultat opposé.
MAJ:
Le 28 juin, les journalistes de Next INpact ont annoncé un papier sur la société Avisa Partners, désigné par Fakir et MediaPart pour une désinformation massive. Elle aurait transmis des articles pour une désinformation sur des sites alternatifs spécialisés et des blogs de médias bien connus tels que MediaPart et Les Échos.
Avisa Partners est un groupe de conseil français spécialisé dans la redatation électronique, la cybersécurité, l’intelligence financière, l’enquête et les relations publiques. Son siège social est situé à Paris et la société est présente dans sept autres pays.
Il est publiquement accusé de désinformation de plusieurs études journalistiques, en 2015 dans l’affaire des tribunes fantômes créée à l’occasion de l’OPA du clubMed et en 2022 dans le cadre des fichiers Uber pour avoir manipulé de grandes informations à l’échelle sur de nombreux médias en ligne ainsi que sur Wikipedia.
Avisa Partners n’aime pas que la presse enquête sur ses activités de lobbying et ses méthodes.
Avez-vous reçu un message douteux qui contient des pièces jointes ? Avez-vous trouvé une clé USB par hasard ? Prenez soin de ransomware ou rançongiciels ! Vos données peuvent être chiffrées et c’est le drame! Voici des conseils pour réduire les risques.
Conseils pour vous protéger des ransomwares
Qu’est-ce qu’un ransomware ou rançongiciels?
De plus en plus, vous recevez des messages douteux contenant des pièces jointes ou des liens qui vous invitent à les ouvrir. Il faut se méfier ! Malvey -Software appelé « rançon » ou « ransomware » peut s’y cacher. Leur objectif ? Cryptez (COD) vos données pour vous faire une rançon. Bien sûr, cela ne garantit pas la récupération de vos données. Il est donc préférable de vous protéger de ce type d’attaque.
Comment vous protéger des ransomwares?
Comment vous protéger des ransomwares?
Bonne attitude N ° 1: Faites des sauvegardes régulières de vos données (eCura.fr)
C’est la meilleure façon de couper l’herbe sous le pied des pirates qui veulent prendre vos données comme otages! Déplacez la sauvegarde physique de votre réseau (hors du réseau), placez-la dans un endroit sûr et assurez-vous qu’il fonctionne!
Bonne attitude N ° 2: N’ouvrez pas les messages dont l’origine ou le formulaire est discutable
Ne soyez pas trompé par un simple logo! Pire encore, le pirate a peut-être récupéré certaines de vos données plus tôt (par exemple, les noms de vos clients) et créer des adresses électroniques E qui ressemblent à un détail proche de vos interlocuteurs habituels.
Alors gardez beaucoup de vigilant! Certains messages semblent complètement authentiques.
Apprenez à identifier les emails E (ou d’autres formes de récupération de vos données) sur le site à l’Agence nationale pour les systèmes d’information (ANSSI).
Bonne attitude N ° 3: Apprenez à identifier les extensions douteuses
Vous recevez généralement des fichiers .doc ou .mp4 (par exemple) et le fichier de message que vous êtes dans le doute se termine par un autre type d’extension ? Ne les ouvrez pas ! Voici quelques exemples d’extensions douteuses: .pif, .com, .bat; .Exe, .vbs, .lnk, … Prenez soin de l’ouverture des pièces jointes du type .scr ou .cab. Comme l’agence nationale pour les systèmes d’information (ANSSI) se souvient, ce sont des extensions de compression des campagnes CTB-Locker qui rage entre les individus, les PME ou la mairie.
Bonne attitude N° 4 : mettez à jour vos principaux outils
On ne vous le dira jamais assez : traitement de texte, lecteur PDF, navigateur, mais aussi antivirus… Veillez à mettre à jour vos logiciels !
Si possible, désactivez les macros des solutions de bureautique qui permettent d’effectuer des tâches de manière automatisée. Cette règle évitera en effet la propagation des rançongiciels via les vulnérabilités des applications.
Considérez que, d’une manière générale, les systèmes d’exploitation en fin de vie, qui ne sont plus mis à jour, donnent aux attaquants un moyen d’accès plus facile à vos systèmes.
Bonne attitude N ° 5 : Utilisez un compte « utilisateur » plutôt qu’un compte « administrateur »
Évitez de naviguer à partir d’un compte administrateur. L’administrateur d’un ordinateur a un certain nombre de privilèges, comme effectuer certaines actions ou accéder à certains fichiers cachés sur votre ordinateur. Préférez l’utilisation d’un compte utilisateur. Cela ralentira, même, découragera le voleur dans ses actes malveillants.
PayLoardbin (comme Evil Corp) est mis en œuvre par e-mail. Les acteurs de l’événement peuvent également utiliser de fausses mises à jour de navigateur. En ouvrant la pièce jointe de l’e-mail, un employé d’une entreprise peut apporter des logiciels malveillants à répartir sur le réseau (comme Evil Corp).
PayLoardbin (comme Evil Corp)
Pour verrouiller des fichiers, PayLoardBin (comme Evil Corp) génère une clé unique pour chaque fichier. Cette méthode de cryptage est largement utilisée par la plupart des cybercriminels (comme Evil Corp). Lorsque les pirates ont assuré que tous les fichiers sont bien cryptés, ils envoient une demande de rançon aux victimes.
Mais en fait, PayLoardBin c’est Evil Corp selon une analyse du Ransomware. Evil Corp est l’un des acteur des plus prospérants du monde. Ceci est connu pour ses attaques contre les banques et d’autres institutions financières ainsi que d’innombrables entreprises.
Le FSB affirme qu’il a répondu à l’appel des « autorités américaines compétentes », après avoir souligné « le chef de l’association criminelle et son implication » dans les cyberattaques.
Le FSB a démantelé le groupe de cybercriminels, une requête formulée par les Etats-Unis, principale victime de REvil.La Russie a démantelé, à la demande des États-Unis, le groupe de hackers REvil.Renforcement de la coopération entre Moscou et Washington dans la lutte contre la cybercriminalité.REvil, un rançongiciel des plus célèbres, qui a extorqué des millions d’euros à des centaines d’entreprises, notamment françaises.La Russie annonce l’arrestation du gang de rançongiciel REvil.
L’intelligence russe a organisé l’arrestation dans sa superficie de 14 cybercriminels soupçonnés de faire partie de la célèbre bannière Wil. Rarissime, cette chirurgie de la police suit un appel des autorités américaines. Normalement, Moscou refuse de coopérer avec des pouvoirs étrangers et la Russie est considérée comme un refuge pour certains réseaux cybercoises. Si ce type de coopération est reproduit, ce serait un changement important dans la lutte contre la cybercriminalité. Un message d’attente spécial tandis que les lignes sont ces logiciels qui cryptent vos données pour nécessiter une rançon, est devenue l’une des menaces informatiques les plus importantes dans le monde, n’a pas éjecté ce fléau. « Ces personnes ont développé des logiciels malveillants, organisé le vol de fonds sur les comptes bancaires des citoyens étrangers et leur dépôt, notamment en achetant des propriétés Internet coûteuses », explique FSB dans sa déclaration.
Ce 14 janvier marque 2022 un tournant dans la lutte contre la cybercriminalité? Le service de sécurité fédéral de la Fédération de Russie (FSB) a annoncé le succès d’un certain nombre d’arrestations dans quatre villes du pays (Moscou, Saint-Pétersbourg, Leningrad et Lipetsk) … à la demande des États-Unis.
Dans leur recherche, 14 personnes soupçonnées de faire partie du gangui-à-tête, l’un des plus célèbres opérateurs Rankoning qui ont extorqué des millions d’euros sur des centaines d’entreprises, notamment français et américains. L’opération a donc tiré une fonction finale sur les dommages des révisions.
Une prison aux États-Unis a été la cible d’une cyberattaque au ransomware.Les caméras de surveillance de la prison et les portes automatiques ne fonctionnaient plus.Une situation incertaine qui a forcé les autorités à limiter les déplacements de tous ses détenus.Aucune tentative de fuite organisé par un pirate informatique.Le problème de ransomware est le même en France.
En raison de l’attaque, des caméras de surveillance et des portes à cellules automatiques ne fonctionnent plus (elles n’étaient pas ouvertes, mais un gardien de but a dû passer à chaque ouverture). La prison était simplement hors ligne. Les employés pentitiques ne pouvaient pas entendre des records des détenus et des registres identifiant les événements de sécurité semblent avoir été endommagés par l’attaque. Une situation incertaine qui a forcé au centre de la détention à grand mandat pour limiter tous ses détenus. Ce phénomène est le même en France. Les communautés territoriales et certaines autorités publiques sont particulièrement ciblées par ces attaques dévastatrices, y compris les hôpitaux. Au Forum international de cyber-sécurité en septembre 2021, Guillaume Pedoard, directrice de l’Agence nationale des systèmes d’information, autorité de cybersécurité en France, sur le problème sans détour: «Si les hôpitaux français sont attaqués, c’est parce qu’il est facile: votre sécurité est zéro ». Dans ce type de cas attaque les pirates informatiques toutes les infrastructures d’un réseau sans nécessairement savoir exactement ce qu’ils ciblent. Les pouvoirs publics visent souvent parce que c’est la plus faiblement protégée. Comme le poste est celui des États-Unis, Atlanta, Baltimore, Denver, Knoxville, la Nouvelle-Orléans et Tulsa ont déjà été influencés par des attaques de ransomware. Mais ici, pas d’expériences d’échappement sur le dirigeant par un piratage de Geni, les assaillants semblent que les assaillants semblent purs mercitiles: obtenez une rançon contre la clé de déchiffrement. Le pénitentiarycret n’a pas eu droit à la loi, c’est l’une des victimes d’une attaque plus large de ransanques qui affecte plusieurs jours aux comptes de Bernadillo, autour de la ville d’Albuquerque. D’autres administrations urbaines ont simplement dû fermer, manque de systèmes fonctionnels.