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Les ransomwares : une menace de plus en plus présente pour les entreprises

41 % des paiements de rançon ont échoué

Le rapport révèle que 41 % de ceux qui ont payé une rançon aux cybercriminels n’ont pas réussi à récupérer toutes leurs données.

Une menace de plus en plus présente pour les entreprises

Les fuites de données persistent

De plus, près d’un tiers (29 %) des entreprises ayant payé une rançon avaient encore des fuites de données.

L’augmentation des attaques de ransomware

Le rapport montre que 19 % des entreprises attaquées ont été victimes de ransomware, comparativement à 16 % l’année précédente. Cette augmentation peut être liée à la pandémie qui a entraîné une augmentation des cyberattaques en général.

En conclusion, le Rapport Hiscox 2022 sur la gestion des cyber-risques et ransomware montre que payer une rançon ne garantit pas la récupération de toutes les données et que les fuites de données persistent. De plus, l’augmentation des attaques de ransomware est un véritable défi pour les entreprises et leur sécurité informatique. Il est donc important de mettre en place des mesures de prévention et de protection pour limiter les risques et les impacts des attaques de ransomware.

Le Rapport Hiscox 2022 sur la gestion des cyber-risques et ransomware a mis en lumière une tendance inquiétante : les entreprises qui ont payé une rançon pour récupérer leurs données se retrouvent souvent confrontées à de nouveaux pièges.

Les dangers de payer une rançon

Payer une rançon peut sembler être la solution la plus rapide et la plus simple pour récupérer ses données, mais cela peut également exposer l’entreprise à de nouveaux risques. Les criminels peuvent par exemple exiger un deuxième paiement pour débloquer les fichiers, ou utiliser les informations récupérées pour mener d’autres attaques.

Les statistiques inquiétantes du rapport

Le Rapport Hiscox 2022 a révélé que 43 % des entreprises qui ont payé une rançon ont été confrontées à des problèmes supplémentaires. Parmi ces entreprises, 36 % ont été victimes d’une nouvelle attaque, 29 % ont vu leurs données volées ou exposées et ont été confrontées à des problèmes de confidentialité.

Les autres options à envisager contre les ransomwares

Face à ces risques, il est important pour les entreprises de considérer d’autres options pour récupérer leurs données, comme la restauration à partir de sauvegardes ou l’utilisation d’outils de décryptage. Les entreprises doivent également mettre en place des plans de réponse à l’incident pour minimiser les dommages en cas d’attaque.

La prévention des ransomwares, toujours la meilleure solution

La meilleure solution reste cependant la prévention. Les entreprises doivent mettre en place des mesures de sécurité solides pour éviter les attaques de ransomware, comme la sensibilisation des employés, la mise à jour régulière des logiciels et la sauvegarde régulière des données.

En conclusion, le Rapport Hiscox 2022 souligne l’importance pour les entreprises de considérer les risques associés au paiement d’une rançon et de prendre des mesures pour minimiser ces risques. La prévention reste la meilleure solution pour protéger son entreprise contre les cyber-attaques et les ransomwares.

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L’Emotet Bank Trojan continue d’évoluer

L’Emotet Bank Trojan continue d’évoluer

L’Emotet Bank Trojan est un malware bancaire qui a été découvert pour la première fois en 2014.

Depuis lors, il a continué d’évoluer et de se développer, devenant l’un des logiciels malveillants les plus coûteux et les plus destructeurs pour les secteurs public et privé, les entreprises et les particuliers.

Au cours de l’année dernière, les chercheurs en sécurité ont observé une augmentation de l’utilisation de techniques d’infection alternatives par les logiciels malveillants.

L’Emotet Bank Trojan en particulier, a été remarqué pour sa capacité à se propager par le biais d’e-mails de spam et à utiliser des formats d’adresse IP non conventionnels pour échapper aux radars de détection.

Carte bancaire stockées dans le navigateur Chrome

Le 6 juin dernier, les chercheurs de la sécurité de Proofpoint ont découvert un nouveau module d’Emotet Bank Trojan qui est capable de voler des données de carte bancaire stockées dans le navigateur Chrome.

Ces informations sont ensuite transférées aux serveurs de commande et de contrôle.

L’EMOT utilise des fonctionnalités similaires à celles utilisées par les vers pour se propager à d’autres ordinateurs connectés. Cela lui permet de mieux se propager et de rester caché aux programmes anti-malware.

Selon le département américain de la sécurité intérieure, l’EMOT est l’un des logiciels malveillants les plus chers et les plus destructeurs pour les entreprises, les particuliers et les secteurs publics et privés, et les coûts de nettoyage peuvent coûter plus d’un million de dollars.

Apparence d’un montant électronique légitime

Pour se propager, l’EMOT utilise principalement des e-mails de spam. Ces e-mails peuvent contenir un support de marque pour prendre l’apparence d’un montant électronique légitime.

L’EMOT peut essayer de persuader les utilisateurs de cliquer sur des fichiers malveillants à l’aide d’un discours visant à essayer l’utilisateur, avec « votre facture », « des informations de paiement », ou peut-être une prochaine livraison d’un package connu.

Différentes versions d’EMOT sont déjà sorties, utilisant des fichiers JavaScript malveillants et des documents qui prennent en charge les macros pour regagner la charge utile du virus des serveurs de contrôle et de contrôle (C&C) fabriqués par les cybercriminels.

Il est crucial pour les entreprises et les particuliers de se protéger contre l’EMOT et les autres logiciels malveillants en utilisant des programmes de sécurité efficaces et en étant conscient des e-mails et des fichiers suspects.

En cas de doute, il est toujours préférable de contacter une entreprise spécialisée en sécurité informatique pour obtenir de l’aide et des conseils.