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Méfiance : Interpol ne vous contactera pas par email, méfiez-vous des escrocs en ligne

L’univers virtuel, riche de possibilités, peut également être le terrain de jeu de nombreux escrocs, cherchant à exploiter la crédulité des utilisateurs. Récemment, une nouvelle méthode d’arnaque a fait son apparition, prenant la forme d’un courriel supposé provenir d’Interpol, l’Organisation internationale de police criminelle. Derrière cette façade officielle se cache une tentative sournoise de tromper les utilisateurs.

Qui est derrière cette arnaque ?

Plusieurs lecteurs de ZATAZ ont signalé avoir reçu un courriel suspect au cours de l’été. Le message prétendait être envoyé par Interpol, évoquant la création d’un « service d’enquête externe et interne » dédié à la lutte contre les fraudes en ligne. L’intention semblait louable : aider les victimes à obtenir justice. En réalité, il s’agissait d’une ruse élaborée.

Le courrier électronique mentionnait que cette initiative était menée en collaboration avec la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés, à la demande de l’Association des Victimes d’Escroquerie et d’Usurpation du Net. L’objectif était de mettre en place un système automatisé de collecte de données personnelles pour identifier les auteurs d’infractions sur Internet. Cependant, derrière ces mots pompeux se cachait un piège sournois.

La double peine pour les victimes

Le contenu du courriel annonçait : « Nous lançons des appels aux victimes d’escroquerie, afin d’émettre des poursuites judiciaires contre ces différents coupables peu après une saisie informatique de la Cyber-infiltration relevant les chefs d’accusation suivants ». Cette déclaration grandiloquente visait à créer une apparence de légitimité. Cependant, le véritable dessein de l’escroc derrière ce message était bien différent.

Une fois qu’une victime potentiellement intéressée se manifeste, l’escroc, se faisant passer pour un policier, contacte la victime en lui annonçant que l’auteur de l’escroquerie a été appréhendé. Cependant, pour récupérer les fonds perdus lors de l’escroquerie initiale, la victime est informée qu’elle devra payer des frais. Cette tactique sournoise vise à piéger la victime une seconde fois, la dépouillant ainsi de nouvelles sommes d’argent.

Comment se protéger

Pour se prémunir contre ce genre d’arnaque, il est crucial d’adopter une approche vigilante. Si vous recevez un courriel similaire prétendument envoyé par une organisation officielle, prenez le temps de vérifier l’authenticité de la communication. Ne partagez jamais d’informations personnelles ou financières sans avoir confirmé l’identité de l’expéditeur. Il est recommandé de contacter directement l’organisation en question à partir des coordonnées officielles disponibles sur leur site web, plutôt que de cliquer sur des liens ou de répondre au courriel suspect.

Conclusion

En conclusion, restez prudent et informé face aux tentatives d’escroquerie en ligne de plus en plus sophistiquées. La vigilance est le meilleur rempart contre les intentions malveillantes qui cherchent à profiter de la crédulité des utilisateurs. Ne devenez pas la victime d’une arnaque deux fois de suite : faites preuve de discernement et protégez vos informations personnelles à tout moment.

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Comment économiser l’énergie de son informatique pour un impact environnemental réduit

L’informatique est devenue un élément indispensable de notre vie quotidienne, que ce soit à la maison ou au travail. Cependant, l’utilisation intensive de l’informatique peut avoir un impact significatif sur l’environnement en raison de la consommation d’énergie élevée. Voici quelques astuces pour économiser l’énergie de son informatique et réduire son impact environnemental.

Comment économiser l’énergie de son informatique pour un impact environnemental réduit
  1. Éteindre les appareils non utilisés
    L’un des moyens les plus simples pour économiser l’énergie est d’éteindre les appareils informatiques lorsqu’ils ne sont pas utilisés.
    Cela peut sembler évident, mais de nombreux utilisateurs laissent leur ordinateur en veille ou leur écran allumé sans s’en rendre compte. Il est important de développer des habitudes de travail qui encouragent l’extinction de l’informatique lorsque cela n’est pas nécessaire.
  2. Utiliser des ordinateurs portables
    Les ordinateurs portables consomment généralement moins d’énergie que les ordinateurs de bureau en raison de leur taille et de leur conception plus efficace.
    Si possible, il est donc recommandé d’utiliser des ordinateurs portables plutôt que des ordinateurs de bureau pour économiser l’énergie.
  3. Choisir des composants efficaces en énergie
    Lors de l’achat d’un nouvel ordinateur ou d’une nouvelle composante, il est important de choisir des produits efficaces en énergie.
    Les produits écoénergétiques sont souvent certifiés avec des labels spécifiques tels que l’Energy Star ou le label 80 Plus. Ces labels garantissent que les composants utilisent moins d’énergie et fonctionnent plus efficacement.
  4. Mettre en place des paramètres d’économie d’énergie
    La plupart des systèmes d’exploitation informatiques permettent de configurer des paramètres d’économie d’énergie pour les périphériques tels que les écrans et les disques durs.
    Les paramètres d’économie d’énergie permettent de réduire la consommation d’énergie des appareils lorsqu’ils sont inactifs pendant une certaine période de temps. En configurant ces paramètres, il est possible de réduire significativement la consommation d’énergie de son informatique.
  5. Éviter les écrans de veille animés
    Les écrans de veille animés sont souvent utilisés pour rendre l’ordinateur plus attrayant visuellement, mais ils consomment beaucoup d’énergie.
    Il est recommandé d’utiliser des écrans de veille statiques pour économiser l’énergie.
  6. Éviter l’utilisation de papier
    L’utilisation de l’informatique permet de réduire considérablement la consommation de papier, ce qui est bénéfique pour l’environnement.
    Il est recommandé d’utiliser des programmes de traitement de texte et des outils de collaboration en ligne pour éviter l’utilisation de papier et économiser de l’énergie.
  7. Éviter les programmes inutiles
    L’utilisation de programmes inutiles peut ralentir l’ordinateur et augmenter sa consommation d’énergie.
    Il est recommandé de désinstaller les programmes inutiles pour économiser l’énergie.
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La Suisse redoute d’avoir été victime d’une cyberattaque, craignant que des données stratégiques aient été dérobées.

Les autorités fédérales suisses ont révélé jeudi que l’administration suisse craignait que ses données stratégiques aient été touchées lors de l’attaque par rançongiciel récemment subie par l’entreprise Xplain. Selon le Centre national pour la cybersécurité (NCSC), qui coordonne les analyses et les mesures à prendre au sein de l’administration fédérale, des données stratégiques pourraient également être touchées, contrairement aux premières constatations.

Des craintes se manifestent en Suisse quant à une éventuelle violation de données stratégiques à la suite d’une attaque informatique.

À l’heure actuelle, l’administration fédérale suppose que ses systèmes ne sont pas directement accessibles via les systèmes de Xplain, selon les informations dont elle dispose. Toutefois, des analyses approfondies sont en cours pour déterminer quels services et données sont concrètement concernés par cette cyberattaque, a ajouté le NCSC dans un communiqué.

Des mesures de sécurité renforcées sont mises en place en Suisse afin de prévenir de nouvelles attaques et protéger les données critiques.

Divers organismes gouvernementaux, dont l’armée et les douanes, font effectivement partie des clients de Xplain, une entreprise suisse fournissant des logiciels aux autorités spécialisées dans la sécurité intérieure. Suite au cryptage des données volées et au chantage exercé sur l’entreprise, les cybercriminels ont publié une partie de ces informations sur le darknet, d’après le NCSC.

Les responsables suisses enquêtent sur l’ampleur de la cyberattaque et tentent de déterminer les éventuelles conséquences.

Samedi, plusieurs administrations fédérales ont confirmé l’attaque, mais se sont montrées rassurantes en soulignant que Xplay leur fournit uniquement des logiciels et ne conserve pas les données.

Xplain, qui a déposé plainte, a accusé le groupe de ransomware Play d’être à l’origine de cette attaque. Le directeur de l’entreprise, Andreas Löwinger, a déclaré dans un communiqué envoyé à l’AFP : « Nous n’avons eu aucun contact avec le groupe PLAY et nous ne paierons pas de rançon ! »

Les entreprises suisses sont appelées à renforcer leurs mesures de protection des données et à surveiller de près toute activité suspecte.

Comme dans d’autres pays, les cyberattaques contre les entreprises, les administrations et les universités se multiplient en Suisse. Récemment, le groupe de pirates informatiques Play a ciblé deux médias, CH Media et NZZ.

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Les données collectées sur mobile sont devenues une source précieuse d’informations pour de nombreuses entreprise

Elles comportent également des risques considérables pour la sécurité et la vie privée des utilisateurs. Dans cet article, nous examinerons les différents risques associés à la collecte de données sur mobile et les mesures que les utilisateurs peuvent prendre pour protéger leurs données.

Les données collectées sur mobile sont devenues une source précieuse d’informations pour de nombreuses entreprise
  1. Risque de piratage et d’exploitation des données
    Les données collectées sur mobile peuvent inclure des informations sensibles telles que les noms, les numéros de téléphone, les adresses e-mail, les données de géolocalisation et les informations financières.
    Ces informations peuvent être piratées ou exploitées par des tiers malveillants, ce qui peut entraîner des pertes financières ou des atteintes à la vie privée.
  2. Risque de violation de la vie privée
    Les données collectées sur mobile peuvent également inclure des informations sur les habitudes de navigation, les préférences et les comportements des utilisateurs.
    Ces informations peuvent être utilisées pour créer des profils détaillés des utilisateurs, qui peuvent être utilisés à des fins publicitaires ou de surveillance. Les utilisateurs peuvent être soumis à des publicités ciblées et invasives ou à une surveillance sans leur consentement.
  3. Risque de collecte et de partage des données par les applications
    De nombreuses applications collectent des données sur les utilisateurs, souvent sans leur consentement ou leur connaissance. Certaines applications peuvent également partager ces données avec des tiers à des fins publicitaires ou de marketing.
    Les utilisateurs doivent être conscients de ces pratiques et prendre des mesures pour protéger leurs données, telles que la lecture des politiques de confidentialité et la désactivation des autorisations d’accès inutiles.
  4. Risque de vol d’identité
    Les informations personnelles collectées sur mobile peuvent être utilisées pour voler l’identité des utilisateurs. Les pirates informatiques peuvent utiliser ces informations pour accéder aux comptes bancaires, aux réseaux sociaux et à d’autres informations sensibles.
    Les utilisateurs doivent être prudents lorsqu’ils partagent des informations personnelles et s’assurer que les sites et les applications qu’ils utilisent sont sécurisés.
  5. Risque de tracking et de géolocalisation
    Les données de géolocalisation collectées sur mobile peuvent être utilisées pour suivre les déplacements des utilisateurs et pour surveiller leur comportement.
    Les utilisateurs doivent être conscients des applications et des services qui utilisent la géolocalisation et être prudents lorsqu’ils partagent leur emplacement.

En conclusion, les données collectées sur mobile peuvent être utiles pour les entreprises, mais elles comportent également des risques pour la sécurité et la vie privée des utilisateurs.

Les utilisateurs doivent être conscients de ces risques et prendre des mesures pour protéger leurs données, telles que la lecture des politiques de confidentialité, la désactivation des autorisations d’accès inutiles et la sélection de sources fiables pour les applications et les services.

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Les compagnies d’assurance cherchent à vous faire régler les frais des dommages causés par les cyberattaques.

Selon le Financial Times, le dirigeant d’un des plus grands groupes d’assurance au monde a récemment déclaré que les coûts causés par les cyberattaques dépassent désormais leur capacité à les couvrir en tant qu’assureur et qu’il appelle à l’intervention des gouvernements pour gérer ces coûts via des partenariats public-privé, financés par les impôts des contribuables.

Les compagnies d’assurance cherchent à vous faire régler les frais des dommages causés par les cyberattaques.

En 2022, de nombreux hacks de grande ampleur ont été perpétrés par des groupes de pirates, parfois même liés à des gouvernements.

Ces attaques ont causé des pertes financières, techniques et d’investissements potentiellement considérables, mettant en danger des millions, voire des milliards de dollars. Ces hacks ont également soulevé la question du coût de leur impact.

Les cyberattaques visent de plus en plus des infrastructures critiques, comme les pipelines aux Etats-Unis qui ont été bloqués cette année par une attaque, causant une pénurie temporaire de carburant.

Elles peuvent également cibler des hôpitaux, comme cela a été le cas pendant la pandémie de Covid.
De plus, les services étatiques, qui peuvent avoir accès à des informations stratégiques ou qui rassemblent des données sur des millions de personnes, sont également une cible possible.

Les perturbations causées par les cyberattaques ont un coût financier réel et potentiel, ce qui a poussé les assureurs à modifier leurs polices d’assurance pour exclure certaines formes d’attaques.
Par exemple, la Lloyd’s a demandé en septembre dernier que les cyberattaques financées par un État ne soient pas couvertes par l’assurance, selon le Financial Times. Cela signifie que les assureurs ne veulent pas être responsables des coûts engendrés par les conséquences d’une cyberattaque.

Le gouvernement américain aurait lancé en septembre un appel à avis pour évaluer la possibilité de mettre en place une assurance fédérale contre les cyberattaques.
Cette démarche intervient suite à l’incident de la Colonial Pipeline, qui a mis en lumière les répercussions potentiellement graves d’une attaque informatique sur la vie quotidienne.

L’idée de l’Etat en tant que garant n’est pas nécessairement mauvaise, car il s’agit en effet d’un enjeu de société. Cependant, il semble que cette protection devrait être soumise à un contrôle préalable et à des contreparties. En fin de compte, les piratages sont souvent rendus possibles en raison de la négligence des entreprises ou de leur manque d’investissements dans la cybersécurité.
Avant de solliciter les fonds des contribuables, il serait donc raisonnable que le secteur privé s’assure de disposer des moyens nécessaires pour se protéger au mieux.

L’assurance informatique est un concept qui vise à protéger votre entreprise contre les risques liés à votre utilisation de l’informatique. Elle peut couvrir différents types de sinistres, comme les dégâts matériels, les pertes de données, les virus et les piratages. Elle peut également inclure des services de maintenance et de sauvegarde pour assurer le bon fonctionnement de votre matériel informatique.

Il existe plusieurs méthodes pour assurer votre informatique. Voici quatre options populaires :

  1. L’assurance tous risques : Cette formule couvre l’ensemble des risques liés à votre utilisation de l’informatique. Elle peut inclure des services de maintenance et de sauvegarde pour vous aider à prévenir les problèmes informatiques.
  2. L’assurance sélective : Cette formule vous permet de choisir les risques que vous souhaitez couvrir. Vous pouvez par exemple opter pour une couverture uniquement contre les dégâts matériels ou les pertes de données.
  3. Les services cloud : Il s’agit d’un modèle d’assurance informatique basé sur le cloud computing.
    Vous bénéficiez de services de sauvegarde et de maintenance accessibles en ligne, sans avoir à investir dans du matériel informatique coûteux.
  4. Les assurances informatiques à la carte : Cette formule vous permet de souscrire à des services à la carte, selon vos besoins.
    Vous pouvez par exemple opter pour une couverture uniquement contre les virus ou les piratages, ou choisir des services de sauvegarde et de maintenance à la demande.
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Des données bancaires d’intérimaires d’Adecco ont été volées

Adecco, le géant de l’intérim, a été ciblé par un pirate informatique qui a réussi à accéder aux données personnelles de nombreux intérimaires et à voler de l’argent directement sur leurs comptes bancaires.

Des données bancaires d’intérimaires d’Adecco ont été volées

Au début du mois de novembre, Adecco a été victime d’une attaque de piratage. Par la suite, de nombreux intérimaires des agences d’emploi Adecco ont signalé avoir subi des prélèvements de 49,85 euros sur leur compte bancaire, comme l’ont rapporté plusieurs médias.

Entreprise suisse de travail temporaire

Adecco, une entreprise suisse de travail temporaire, a été victime d’une attaque de piratage en novembre. Dans un courriel envoyé avant Noël, l’entreprise a averti certaines de ses personnes intérimaires que leurs données personnelles, y compris leurs coordonnées bancaires, avaient été volées par un tiers.

Il y a eu un piratage de l’entreprise le mois dernier, ce qui a été confirmé par un communiqué de la CGT Adecco qui a souligné la nécessité d’améliorer la protection des données personnelles de l’agence d’intérim.

Des prélèvements non autorisés ont été signalés sur les comptes en banque de certains intérimaires après un piratage informatique.

Solfex France SASU

Selon une centaine de témoignages, une entreprise appelée Solfex France SASU a retiré 49,85 euros de différents comptes bancaires. Solfex France SASU, basée à Paris et créée en août 2022, est suspectée d’être liée à cette arnaque. Adecco a déclaré dans un communiqué que, suite à une enquête interne, aucun lien n’a pu être établi « entre ces prélèvements frauduleux effectués par une société tierce et les missions de nos intérimaires ». La CGT Adecco affirme que cette arnaque est évidemment liée au piratage des données de la société.

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« SIM swapping » cette technique permet de prendre le contrôle de votre numéro de téléphone

« SIM swapping » cette technique permet de prendre le contrôle de votre numéro de téléphone

Les excuses qui demande à l’individu d’activer votre numéro sur une nouvelle carte SIM en sa possession. Pour convaincre le service client au téléphone, il utilise des informations privées (date de naissance, adresse, numéro de clientèle, etc.) qu’il a pu trouver sur Internet ou de différentes manières. Lorsque l’opération réussit, le pirate peut alors recevoir des appels et des SMS pour vous.

Auparavant, il aura reçu vos informations personnelles, par exemple, les violations des données, le phishing, la recherche sur les réseaux sociaux, les applications malveillantes, les achats en ligne, les logiciels malveillants, les infections des réseaux sociaux et autres sites Internet, etc. L’usurpateur peut désormais collecter des appels, SMS et accédez aux services bancaires en ligne de la victime.

Banques, Mail, réseaux

Pour mieux sécuriser leurs différents comptes en ligne (banque, réseaux sociaux, etc.), les utilisateurs sont encouragés à utiliser un système d’approbation à double. Ainsi, après avoir entré leurs identifiants (nom et mot de passe) pour se connecter, l’appareil leur envoie un code, souvent de SMS. Il y a beaucoup de gens avec toute leur vie dans le téléphone … c’est là que le « Sim Exchange » intervient.

Cela donne accès à de nombreux types de comptes en ligne, ouvre la porte à différents types d’escroqueries: le vol d’identité, l’extorsion ou même le vol d’argent.


Cette technique vous permet de prendre le contrôle d’un numéro de téléphone et d’ouvrir la porte à différents types de hacks. Dans cette expression, le « vol » des numéros de téléphone portables de quelqu’un est essentiellement et fondamentalement.

Une chose triviale que votre smartphone peut contenir une carte bancaire ou une fidélité, elle distille les données de localisation pour les endroits importants, d’informations importantes, etc. de toutes.

Une carte SIM

À ce moment-là, je vois que vous avez blâmé et il y a quelque chose. De plus, cela ne nécessite pas beaucoup d’expertise technique.

Dans les vols les plus courants dudit processus, un délinquant négligera le service client de votre opérateur et vous fera semblant d’être pour vous. En fait, votre numéro est lié à une carte SIM.

Il s’agit d’une puce qui contient un microcontrôleur et une mémoire. Il stocke des informations spécifiques à l’abonné à un réseau mobile, en particulier pour les réseaux GSM, UMTS et LTE.

Cette petite puce de votre téléphone identifie et vous permet de résumer, de vous connecter aux réseaux téléphoniques, de 3G, 4G et bientôt 5G.

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Données personnelles d’environ 80 000 membres de l’assurance Varoise mutuelle EMOA ont été piratées

Informations bancaires, papiers d’identité, adresses électroniques etc … Plus de 80 000 membres de l’assurance EMOA du Var piratées. Vous étiez ainsi parmi les personnes voyants leurs données personnelles fuiter sur Internet, rapporte libération ce vendredi. En mars 2022, des informations confidentielles avaient déjà été divulguées en ligne et la mutuelle avait informé les abonnés en question.

Données personnelles d’environ 80 000 membres de l’assurance Varoise mutuelle EMOA ont été piratées

Mais selon le journal, il y a eu une fuite encore plus massive en avril. La compagnie d’assurance mutuelle a été informée par le journal que des informations personnelles sur plus de 80 000 de ses membres étaient en ligne sur des plateformes cybercriminelles. Elle n’était pas au courant de la fuite de données. Devis installation informatique

Pour la plupart des victimes, seuls les noms et noms de famille, les dates de naissance, les codes postaux et les adresses e-mail E ont été révélées sur des sites illégaux. Les numéros de sécurité sociale de près de 3 000 membres ont été partagés sur le marché Internet noir. Pour une partie mineure, les photocopies de leurs passeports ou leurs coordonnées bancaires (Rib, Iban, BIC) trouvées en ligne, mises à disposition sur les forums cybercriminels. Enfin, des données sensibles liées aux employés mutuelles ou aux contrats clients ont également été volées. Une première fuite de données a eu lieu en mars 2022. Il existe alors un fichier de vente qui contient des informations personnelles sur 74 000 membres d’Emoa Mutual. Cette première attaque contre les serveurs a permis de collecter les noms des clients ainsi que de leur numéro d’adhésion, de leur adresse, de leur date de naissance et de leur e -mail. Mais les choses ont empiré. L’un des fichiers contient une certaine quantité de liens hypertextes qui rapportent aux contrats des membres. C’est alors une mine d’or pour le pirate qui s’ouvre. Sans protection, nous trouvons tous les documents qui vous permettent de vous inscrire à l’organisation de protection de la santé. Nous pouvons donc compter les côtes, des lettres sur la démission, des certificats d’assurance maladie (donc le numéro de sécurité sociale) et même des certificats d’enregistrement d’entreprise. Il y a encore pire… les copies d’une vingtaine de documents d’identité sont dans un accès gratuit absolu. Selon la libération qui a mené l’étude : « En réalité, sans même avoir le fichier vendu par les pirates, des outils simples fourniraient des étirements pour scanner l’endroit entier et réaliser facilement tous les précieux documents mal protégés. » Une erreur qui semblait refléter ce que l’on se demande comment une mutuelle pourrait la laisser partir pendant des années.

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Un piratage pour 100 millions de dollars de Crypto-monnaies

La compagnie Horizon Ethereum a été piraté le jeudi 24 juin. Environ 100 millions de dollars en crypto-monnaies ont été volés. Harmony aurait vu un mouvement suspect.

Nouvelle bataille dans le monde des crypto-monnaies. Alors que le marché donnait déjà des sueurs froides aux investisseurs en raison de la chute des prix, les cas de piratage ajoutent de l’anxiété au stress. Le vendredi 24 juin 2022, Harmony a révélé avoir été victime d’un piratage au cours duquel 100 millions de dollars ont été volés.

Harmony est une société de blockchain qui s’efforce de faciliter la création et l’utilisation d’applications décentralisées. Elle propose notamment des ponts, c’est-à-dire des protocoles qui permettent l’interopérabilité entre les blockchains. La société se concentre particulièrement sur le réseau Ethereum, bien qu’elle supporte Binance et trois autres chaînes. C’est sur le Horizon Bridge qui a permis les échanges entre la blockchain Ethereum et la Binance Smart Chain que les attaquants ont commis leurs atrocités. Les hackers auraient ainsi récupéré de l’ether, du tether et de l’USD Coin puis seraient passés à l’ether sur des plateformes d’échange décentralisées.
Si le montant semble spectaculaire, il ne s’agit cependant pas du plus gros vol qui s’est produit dans l’univers des crypto-monnaies. On rappelle qu’en mars dernier, plus de 615 millions de dollars avaient été volés par des hackers nord-coréens sur le réseau Ronin. Cette « side chain », qui forme aussi un « pont », est utilisée par exemple par le jeu Axie Infinity, l’un des gros titres de l’industrie du pay-to-earn.

Et il n’y a pas que les hacks qui inquiètent. Récemment, nous avons appris dans un rapport de la Federal Trade Commission (FTC) que depuis le 1er janvier 2021, plus de 46 000 personnes ont perdu plus d’un milliard de dollars en crypto-fraude. Et ce n’est qu’aux États-Unis.

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Le groupe d’ingénierie français Akka est affecté par une attaque au ransomware

Akka Technologies, un groupe d’ingénierie et de conseil français, a été frappé par une attaque de ransomware qui affectent une bonne partie de l’entreprise et les 21 000 employés.

Le groupe d’ingénierie français Akka est affecté par une attaque au ransomware

Akka est l’un des plus grands conseils technologiques et technologiques européens. Il vient d’être acheté par le groupe suisse Adecco, qui l’a retiré début mai à la Bourse. Adecco fusionnera l’entreprise avec sa filiale MODIS, qui se spécialise également dans l’ingénierie, pour créer un nouveau géant de service en technologie capable de rivaliser avec des acteurs plus importants dans le secteur tels que Cap Gemini.

Ingénierie, pour créer un nouveau géant de service dans une technique capable de concurrencer les plus grands acteurs du secteur en tant que Cap Gemini.

Il s’agit d’une attaque de ransomware où le pirate trouve les données sur sa victime et revendique une rançon pour donner les clés pour déchiffrer. Akka Technologies ne veut pas donner de détails sur l’étendue de l’attaque pour ne pas informer l’attaquant.