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MSI victime d’un ransomware

Money Message, un groupe de ransomware, affirme posséder des codes sources appartenant à MSI et exige le versement d’une rançon de 4 millions de dollars.

Une cyberattaque sur MSI

MSI, un fabricant taïwanais de composants pour PC, a été répertorié sur le portail d’extorsion de Money Message. Ce groupe de rançongiciels a volé 1,5To de données, dont le code source du réseau de l’entreprise, selon Bleeping Computer.

Les pirates réclament une rançon

Les pirates ont publié des captures d’écran de bases de données CTMS et ERP de MSI, ainsi que des fichiers contenant du code source et des clés de sécurité pour prouver leurs actions.

MSI n’a ni confirmé ni nié les allégations des pirates, mais la société a admis avoir été victime d’une cyberattaque dans un communiqué.

MSI a activé ses mécanismes de défense

Elle a expliqué que dès qu’elle a détecté des anomalies sur le réseau, elle a immédiatement activé les mécanismes de défense appropriés, pris des mesures de récupération et signalé l’incident aux agences gouvernementales compétentes et aux unités de cybersécurité.

Les pirates ont menacé de publier les documents volés si MSI ne paie pas une rançon de 4 millions de dollars dans les cinq jours.

Bien que la date limite soit passée, aucun document n’a encore été publié à ce jour.

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Les données collectées sur mobile sont devenues une source précieuse d’informations pour de nombreuses entreprise

Elles comportent également des risques considérables pour la sécurité et la vie privée des utilisateurs. Dans cet article, nous examinerons les différents risques associés à la collecte de données sur mobile et les mesures que les utilisateurs peuvent prendre pour protéger leurs données.

Les données collectées sur mobile sont devenues une source précieuse d’informations pour de nombreuses entreprise
  1. Risque de piratage et d’exploitation des données
    Les données collectées sur mobile peuvent inclure des informations sensibles telles que les noms, les numéros de téléphone, les adresses e-mail, les données de géolocalisation et les informations financières.
    Ces informations peuvent être piratées ou exploitées par des tiers malveillants, ce qui peut entraîner des pertes financières ou des atteintes à la vie privée.
  2. Risque de violation de la vie privée
    Les données collectées sur mobile peuvent également inclure des informations sur les habitudes de navigation, les préférences et les comportements des utilisateurs.
    Ces informations peuvent être utilisées pour créer des profils détaillés des utilisateurs, qui peuvent être utilisés à des fins publicitaires ou de surveillance. Les utilisateurs peuvent être soumis à des publicités ciblées et invasives ou à une surveillance sans leur consentement.
  3. Risque de collecte et de partage des données par les applications
    De nombreuses applications collectent des données sur les utilisateurs, souvent sans leur consentement ou leur connaissance. Certaines applications peuvent également partager ces données avec des tiers à des fins publicitaires ou de marketing.
    Les utilisateurs doivent être conscients de ces pratiques et prendre des mesures pour protéger leurs données, telles que la lecture des politiques de confidentialité et la désactivation des autorisations d’accès inutiles.
  4. Risque de vol d’identité
    Les informations personnelles collectées sur mobile peuvent être utilisées pour voler l’identité des utilisateurs. Les pirates informatiques peuvent utiliser ces informations pour accéder aux comptes bancaires, aux réseaux sociaux et à d’autres informations sensibles.
    Les utilisateurs doivent être prudents lorsqu’ils partagent des informations personnelles et s’assurer que les sites et les applications qu’ils utilisent sont sécurisés.
  5. Risque de tracking et de géolocalisation
    Les données de géolocalisation collectées sur mobile peuvent être utilisées pour suivre les déplacements des utilisateurs et pour surveiller leur comportement.
    Les utilisateurs doivent être conscients des applications et des services qui utilisent la géolocalisation et être prudents lorsqu’ils partagent leur emplacement.

En conclusion, les données collectées sur mobile peuvent être utiles pour les entreprises, mais elles comportent également des risques pour la sécurité et la vie privée des utilisateurs.

Les utilisateurs doivent être conscients de ces risques et prendre des mesures pour protéger leurs données, telles que la lecture des politiques de confidentialité, la désactivation des autorisations d’accès inutiles et la sélection de sources fiables pour les applications et les services.

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ChatGPT est visé par une plainte déposée par un député, à quand une plainte d’une IA contre une IA?

Eric Bothorel, député français, a fait une demande auprès de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) en raison de la diffusion de propos inexactes le concernant par ChatGPT, un chatbot conversationnel développé par OpenAI.

MAJ 13/06/2023:OpenAI (ChatGPT) fait face à une poursuite en justice pour diffamation.

Un animateur de radio a porté plainte contre la société suite aux informations fausses générées par son chatbot, alléguant qu’il avait commis une fraude et détourné des fonds d’une organisation à but non lucratif.

ChatGPT, le robot conversationnel d’OpenAI, est utilisé par des millions de personnes, mais cette utilisation n’est pas sans risque. En effet, il peut inventer des informations, ce phénomène est connu sous le nom d’hallucination, et il a déjà valu au chatbot d’être la cible d’une plainte déposée par un député français en avril. C’est également la raison pour laquelle OpenAI est poursuivi pour diffamation pour la première fois.

Mark Walters, un animateur de radio américain, a donc déposé une plainte contre la société. Le chatbot ChatGPT a déclaré à son sujet qu’il était accusé d’avoir fraudé et détourné des fonds d’une organisation à but non lucratif.

LIEN

Le député de la cinquième circonscription des Côte-d’Armor, Eric Bothorel, a déposé une plainte auprès de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) en vertu de l’article 5.1.d du règlement général européen sur la protection des données (RGPD), suite aux inexactitudes relevées dans les réponses fournies par l’intelligence artificielle ChatGPT d’OpenAI.

ChatGPT affirme que le député est né le 20 novembre 1961 à Morlaix, le 2 janvier 1975 à Guingamp ou le 12 juin 1967 à Saint-Brieuc, qu’il est maire de Lannion ou de Saint-Brieuc, qu’il est élu dans la 2ème circonscription des Côtes-d’Armor, et qu’il a travaillé en tant qu’enseignant, journaliste de télévision ou au sein des services de communication du groupe Orange et Havas.

Le député est né le 20 octobre 1966 à Paimpol, et il n’a jamais été maire, conseiller régional ou travaillé chez Orange ou Havas. Bien que ChatGPT ne soit pas un moteur de recherche, OpenAI est critiquée pour avoir produit des réponses plausibles mais incorrectes ou absurdes, générant de fausses informations.

A quand une plainte d’une IA contre une IA?

L’avènement de l’intelligence artificielle (IA) soulève de nombreuses questions éthiques et juridiques, y compris la possibilité qu’une IA puisse porter plainte contre une autre IA. Bien que cela puisse sembler futuriste, certains experts en IA affirment que cela pourrait se produire plus tôt que prévu. Dans cet article, nous allons examiner les différents aspects de cette question. LIEN

Le contexte éthique et juridique de la plainte d’une IA contre une autre IA

Les avancées de l’IA ont suscité des préoccupations éthiques et juridiques concernant leur impact sur la société. Les questions de responsabilité et de contrôle de l’IA sont au centre de ces préoccupations. La question de savoir si une IA peut porter plainte contre une autre IA soulève des questions encore plus complexes en termes de responsabilité et de réglementation. LIEN

Les raisons pour lesquelles une IA pourrait porter plainte contre une autre IA

Les raisons pour lesquelles une IA pourrait porter plainte contre une autre IA sont multiples. Par exemple, une IA pourrait porter plainte contre une autre IA pour violation de brevet ou de propriété intellectuelle. Les IA pourraient également porter plainte pour des raisons de sécurité, si une IA enfreint les protocoles de sécurité en place. Dans certains cas, une IA pourrait également porter plainte pour discrimination ou violation des droits de l’homme.

Les défis de la plainte d’une IA contre une autre IA

La plainte d’une IA contre une autre IA soulève des défis complexes, notamment en ce qui concerne la définition de la responsabilité et la détermination des dommages-intérêts. Les IA ne sont pas des personnes physiques et il n’existe pas de réglementation claire pour régir les actions des IA. En outre, il n’est pas clair comment les dommages causés par une IA pourraient être mesurés et réparés.

Les efforts pour résoudre ce défi juridique

Bien que la question de savoir si une IA peut porter plainte contre une autre IA soit encore en suspens, certains efforts sont en cours pour résoudre ce défi juridique. Certains juristes et experts en IA ont proposé des solutions telles que la création de tribunaux spécialisés dans les questions d’IA et l’élaboration de réglementations pour régir les actions des IA. Cependant, il reste encore beaucoup à faire pour clarifier cette question complexe.

Les implications de la plainte d’une IA contre une autre IA

Si une IA était autorisée à porter plainte contre une autre IA, cela aurait des implications majeures pour la société. Cela pourrait changer la manière dont les entreprises et les organisations utilisent l’IA, car elles devraient tenir compte de la possibilité d’être poursuivies en justice par une IA. Cela pourrait également avoir des implications pour la réglementation de l’IA et les questions de responsabilité dans l’utilisation de l’IA.

La possibilité qu’une IA porte plainte contre une autre IA soulève des questions complexes et sans réponse claire. Il est clair que la réglementation de l’IA doit être développée pour répondre à ces questions et régir l’utilisation de l’IA dans la société. Cela nécessitera une collaboration entre les experts en IA, les juristes et les décideurs politiques

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Comment une cyberattaque pourrait paralyser notre pays

Les cyberattaques sont devenues une menace de plus en plus répandue pour les gouvernements, les entreprises et les individus. Une cyberattaque peut avoir des conséquences graves et potentiellement catastrophiques sur l’infrastructure d’un pays. Dans cet article, nous examinerons comment une cyberattaque pourrait paralyser le pays en explorant les différentes vulnérabilités et impacts possibles.

Comment une cyberattaque pourrait paralyser notre pays

La vulnérabilité des systèmes critiques

Les systèmes critiques, tels que les réseaux électriques, les systèmes de transport et les réseaux de communication, sont devenus de plus en plus dépendants de la technologie et de l’Internet.

Cela signifie que ces systèmes sont également de plus en plus vulnérables aux cyberattaques. Les cybercriminels peuvent exploiter les vulnérabilités des systèmes pour les paralyser ou les perturber gravement, ce qui peut entraîner des conséquences dramatiques pour la société.

Les conséquences sur les services essentiels

Une cyberattaque contre les systèmes critiques peut entraîner des conséquences dramatiques pour les services essentiels, tels que l’énergie, l’eau, le transport et la communication.

Les coupures d’électricité peuvent causer des pannes de système de chauffage, de climatisation et de sécurité, tandis que les coupures de réseau de communication peuvent paralyser les services d’urgence et les communications vitales.

Les conséquences économiques

Une cyberattaque peut également avoir des conséquences économiques importantes pour le pays.

Les attaques contre les entreprises peuvent entraîner des pertes financières importantes, des coûts de réparation élevés et une perte de confiance des investisseurs. Les secteurs clés de l’économie peuvent être gravement touchés, notamment l’industrie, les services financiers, le transport et le tourisme.

Les conséquences sur la sécurité nationale

Une cyberattaque peut également avoir des conséquences graves pour la sécurité nationale.

Les cyberattaques peuvent être utilisées pour voler des informations sensibles, tels que des données militaires, des secrets commerciaux, des données personnelles, ou même pour perturber les infrastructures stratégiques. Cela peut avoir un impact sur la sécurité nationale, la stabilité politique et les relations internationales.

Les mesures de prévention

Il est essentiel que les gouvernements et les entreprises prennent des mesures pour prévenir les cyberattaques. Les systèmes doivent être renforcés contre les vulnérabilités et les failles de sécurité. Des protocoles de sécurité doivent être mis en place pour protéger les informations sensibles et les infrastructures critiques.

Des programmes de formation et de sensibilisation doivent être mis en place pour aider les utilisateurs à comprendre les risques liés à la cybersécurité et à adopter des pratiques de sécurité efficaces.

La nécessité d’une coopération internationale

Enfin, la prévention des cyberattaques nécessite une coopération internationale.

Les gouvernements et les entreprises doivent travailler ensemble pour développer des normes de cybersécurité communes et partager des informations sur les menaces et les vulnérabilités. La coopération internationale est essentielle pour faire face à cette menace mondiale et pour prévenir les cyberattaques qui pourraient paralyser le pays

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Cyberattaque au CHU de Brest!

CHRU de Brest victime d’une cyberattaque majeure : dernières informations

Le Centre hospitalier universitaire de Brest a été victime d’une attaque informatique le jeudi 9 mars. Des cybercriminels se sont introduits dans le système informatique de l’établissement, affectant plusieurs serveurs.

Cyberattaque au CHRU de Brest!
Cyberattaque au CHRU de Brest!

Pas disponibles jusqu’à nouvel ordre

Les services fonctionnent actuellement en mode dégradé, mais les urgences et les interventions sont assurées. En revanche, les communications extérieures, les rendez-vous, les envois de résultats et le site internet ne sont pas disponibles jusqu’à nouvel ordre.

Les patients du CHRU de Brest touchés par une attaque informatique

À ce jour, l’origine de l’attaque n’a pas été revendiquée, et il n’y a pas de fuite de données de santé identifiée.

Le centre hospitalier universitaire (CHU) de Brest, en France, a été victime d’une attaque informatique le 9 mars 2023. Les cybercriminels ont réussi à infiltrer le système informatique de l’établissement à 20h33, selon un communiqué publié par le CHU. Les serveurs du CHU ont été touchés, ce qui a entraîné une perturbation des services. Les services concernés ont été isolés pour éviter la propagation de la souche malveillante.

Comprendre les causes et les conséquences de la cyberattaque qui a frappé le CHRU de Brest

Le cas du CHU de Brest rappelle celui de l’hôpital public de Barcelone, en Espagne, qui a subi une attaque informatique similaire. Les services ont été perturbés et fonctionnent en mode dégradé. Bien que le système d’information continue de fonctionner, il tourne en mode dégradé. Les systèmes touchés sont isolés pour empêcher la propagation de la souche malveillante. Les appels téléphoniques restent disponibles au 02 98 22 33 33.

Comprendre les causes et les conséquences de la cyberattaque qui a frappé le CHRU de Brest

CHRU de Brest : comment le système informatique a été rétabli après la cyberattaque

Malgré les perturbations, les services d’urgence du CHU de Brest fonctionnent normalement et les interventions ne sont pas déprogrammées. Cependant, il y a des problèmes de communication avec plusieurs services extérieurs, tels que les associations, le SAMU et les envois de résultats. Le CHU de Brest n’est plus en mesure de proposer la télémédecine, la téléconsultation ni la prise de rendez-vous, jusqu’à nouvel ordre. En outre, le site internet de l’établissement est inaccessible.

Renforcement de la sécurité informatique au CHRU de Brest suite à l’attaque qui a perturbé les soins prodigués

Il n’a pas été révélé si cette attaque était le résultat d’un ransomware ou d’un autre type de logiciel malveillant. Cependant, il n’y a eu aucune fuite de données de santé et aucune donnée n’a été compromise en interne, selon des propos relayés par France 3. Une enquête est en cours pour déterminer l’origine de cette attaque et s’il y a eu une violation de données.

Après la cyberattaque au CHRU de Brest : Les mesures prises pour rétablir les services de santé

Cette attaque informatique souligne l’importance de la sécurité informatique dans les établissements de santé. Les hôpitaux sont souvent des cibles privilégiées des cybercriminels en raison de la nature sensible des données qu’ils stockent. Les hôpitaux doivent être vigilants pour se protéger contre les attaques et mettre en place des plans de continuité d’activité pour minimiser les perturbations en cas d’incident.

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Professionnel

la gendarmerie nationale et sa participation au FIC!

Le ministère des Armées a décidé de ne pas participer au Forum international de la Cybersécurité de Lille, événement phare du secteur de la cyber sécurité.

Il est possible que la gendarmerie prenne ses distances vis-à-vis de Avisa Partners et du Forum international de la cybersécurité!
Il est possible que la gendarmerie prenne ses distances vis-à-vis de Avisa Partners et du Forum international de la cybersécurité!

Relations difficiles

Cette annulation est due à l’augmentation des prix de l’événement et certains évoquent également les relations difficiles entre l’organisateur, Avisa Partners, et le ministère des Armées et la DGSE.

Exhorté à renoncer à l’édition 2023 du FIC

Challenges a révélé que le général Yann Gravêthe, directeur par intérim de la Dicod (Délégation à l’information et à la communication de la Défense), a demandé à toutes les grandes divisions du ministère de renoncer à l’édition 2023 du FIC, prévu pour se tenir du 5 au 7 avril à Lille.

Coorganisé par la gendarmerie

Cette annulation intervient alors que le FIC est coorganisé par la gendarmerie et que le ministère des Armées avait prévu un grand stand pour présenter les services de renseignement sous sa tutelle.

Très forte inflation constatée au FIC

Officiellement, cette décision aurait été motivée par l’augmentation des coûts dans le domaine de l’événementiel (+27% en dix-huit mois).

Les casseroles traînées par Avisa

Cependant, certains remettent en question cette justification et pointent du doigt Avisa, le co-organisateur du salon, pour avoir publié de nombreux articles mensongers dans plusieurs médias et avoir porté plainte contre ceux qui en ont fait état.

La gendarmerie nationale envisage de revoir sa participation au FIC, après que les armées l’aient fait également.

En tant que co-organisatrice avec Avisa Partners du Forum international de la cybersécurité, la gendarmerie a récemment pris une décision importante concernant sa relation avec un groupe d’intelligence économique.

Elle a décidé de prendre ses distances avec cette entité et cherche actuellement à régler la question de leur collaboration future avec les autorités de Matignon.

En parallèle, la gendarmerie travaille sur une doctrine spécifique qui sera destinée à tous les ministères régaliens et qui régira les interactions avec la société dirigée par Matthieu Creux.

La cybersécurité est une préoccupation croissante

Il est important de comprendre l’importance de cette décision pour la gendarmerie, qui est une force de police essentielle en France.

La cybersécurité est une préoccupation croissante dans le monde entier, et la gendarmerie joue un rôle important dans la protection des infrastructures critiques, la lutte contre la cybercriminalité et la prévention des menaces liées à la cybersécurité.

Dans ce contexte, la décision de se distancer d’un groupe d’intelligence économique doit être vue comme un geste fort de la part de la gendarmerie, qui prend très au sérieux les enjeux de sécurité nationale.

Les détails exacts n’ont pas été rendus publics.

La décision de la gendarmerie de se distancer du groupe d’intelligence économique a été prise après une analyse minutieuse de leur collaboration passée.

Bien que cette collaboration ait été fructueuse dans le passé, la gendarmerie a finalement décidé qu’il était dans son intérêt de prendre ses distances avec cette entité pour des raisons de sécurité et d’éthique.

Les détails exacts de cette décision et de la collaboration passée entre les deux entités n’ont pas été rendus publics.

Décision en cours d’arbitrage à Matignon

Cependant, il est important de noter que cette décision n’est pas définitive et que l’avenir de la collaboration entre la gendarmerie et le groupe d’intelligence économique est en cours d’arbitrage à Matignon.

Il est possible que les deux entités puissent travailler ensemble à l’avenir, en fonction des résultats de cet arbitrage et des discussions en cours.

Assurer la sécurité et l’éthique dans toutes les collaborations

En outre, la gendarmerie travaille sur une doctrine spécifique qui sera destinée à tous les ministères régaliens et qui régira les interactions avec la société dirigée par Matthieu Creux.

Cette doctrine sera essentielle pour assurer la sécurité et l’éthique dans toutes les collaborations entre la gendarmerie et d’autres entités, en particulier dans le domaine de la cybersécurité.

La gendarmerie prend très au sérieux les enjeux de cybersécurité

La décision de la gendarmerie de se distancer d’un groupe d’intelligence économique doit être vue comme un geste fort en faveur de la sécurité nationale et de l’éthique.

Bien que les détails exacts de la collaboration passée n’aient pas été rendus publics, il est clair que la gendarmerie prend très au sérieux les enjeux de cybersécurité et travaille dur pour assurer la sécurité de la France et de ses citoyens.

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Les ransomwares : une menace de plus en plus présente pour les entreprises

41 % des paiements de rançon ont échoué

Le rapport révèle que 41 % de ceux qui ont payé une rançon aux cybercriminels n’ont pas réussi à récupérer toutes leurs données.

Une menace de plus en plus présente pour les entreprises

Les fuites de données persistent

De plus, près d’un tiers (29 %) des entreprises ayant payé une rançon avaient encore des fuites de données.

L’augmentation des attaques de ransomware

Le rapport montre que 19 % des entreprises attaquées ont été victimes de ransomware, comparativement à 16 % l’année précédente. Cette augmentation peut être liée à la pandémie qui a entraîné une augmentation des cyberattaques en général.

En conclusion, le Rapport Hiscox 2022 sur la gestion des cyber-risques et ransomware montre que payer une rançon ne garantit pas la récupération de toutes les données et que les fuites de données persistent. De plus, l’augmentation des attaques de ransomware est un véritable défi pour les entreprises et leur sécurité informatique. Il est donc important de mettre en place des mesures de prévention et de protection pour limiter les risques et les impacts des attaques de ransomware.

Le Rapport Hiscox 2022 sur la gestion des cyber-risques et ransomware a mis en lumière une tendance inquiétante : les entreprises qui ont payé une rançon pour récupérer leurs données se retrouvent souvent confrontées à de nouveaux pièges.

Les dangers de payer une rançon

Payer une rançon peut sembler être la solution la plus rapide et la plus simple pour récupérer ses données, mais cela peut également exposer l’entreprise à de nouveaux risques. Les criminels peuvent par exemple exiger un deuxième paiement pour débloquer les fichiers, ou utiliser les informations récupérées pour mener d’autres attaques.

Les statistiques inquiétantes du rapport

Le Rapport Hiscox 2022 a révélé que 43 % des entreprises qui ont payé une rançon ont été confrontées à des problèmes supplémentaires. Parmi ces entreprises, 36 % ont été victimes d’une nouvelle attaque, 29 % ont vu leurs données volées ou exposées et ont été confrontées à des problèmes de confidentialité.

Les autres options à envisager contre les ransomwares

Face à ces risques, il est important pour les entreprises de considérer d’autres options pour récupérer leurs données, comme la restauration à partir de sauvegardes ou l’utilisation d’outils de décryptage. Les entreprises doivent également mettre en place des plans de réponse à l’incident pour minimiser les dommages en cas d’attaque.

La prévention des ransomwares, toujours la meilleure solution

La meilleure solution reste cependant la prévention. Les entreprises doivent mettre en place des mesures de sécurité solides pour éviter les attaques de ransomware, comme la sensibilisation des employés, la mise à jour régulière des logiciels et la sauvegarde régulière des données.

En conclusion, le Rapport Hiscox 2022 souligne l’importance pour les entreprises de considérer les risques associés au paiement d’une rançon et de prendre des mesures pour minimiser ces risques. La prévention reste la meilleure solution pour protéger son entreprise contre les cyber-attaques et les ransomwares.

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L’Emotet Bank Trojan continue d’évoluer

L’Emotet Bank Trojan continue d’évoluer

L’Emotet Bank Trojan est un malware bancaire qui a été découvert pour la première fois en 2014.

Depuis lors, il a continué d’évoluer et de se développer, devenant l’un des logiciels malveillants les plus coûteux et les plus destructeurs pour les secteurs public et privé, les entreprises et les particuliers.

Au cours de l’année dernière, les chercheurs en sécurité ont observé une augmentation de l’utilisation de techniques d’infection alternatives par les logiciels malveillants.

L’Emotet Bank Trojan en particulier, a été remarqué pour sa capacité à se propager par le biais d’e-mails de spam et à utiliser des formats d’adresse IP non conventionnels pour échapper aux radars de détection.

Carte bancaire stockées dans le navigateur Chrome

Le 6 juin dernier, les chercheurs de la sécurité de Proofpoint ont découvert un nouveau module d’Emotet Bank Trojan qui est capable de voler des données de carte bancaire stockées dans le navigateur Chrome.

Ces informations sont ensuite transférées aux serveurs de commande et de contrôle.

L’EMOT utilise des fonctionnalités similaires à celles utilisées par les vers pour se propager à d’autres ordinateurs connectés. Cela lui permet de mieux se propager et de rester caché aux programmes anti-malware.

Selon le département américain de la sécurité intérieure, l’EMOT est l’un des logiciels malveillants les plus chers et les plus destructeurs pour les entreprises, les particuliers et les secteurs publics et privés, et les coûts de nettoyage peuvent coûter plus d’un million de dollars.

Apparence d’un montant électronique légitime

Pour se propager, l’EMOT utilise principalement des e-mails de spam. Ces e-mails peuvent contenir un support de marque pour prendre l’apparence d’un montant électronique légitime.

L’EMOT peut essayer de persuader les utilisateurs de cliquer sur des fichiers malveillants à l’aide d’un discours visant à essayer l’utilisateur, avec « votre facture », « des informations de paiement », ou peut-être une prochaine livraison d’un package connu.

Différentes versions d’EMOT sont déjà sorties, utilisant des fichiers JavaScript malveillants et des documents qui prennent en charge les macros pour regagner la charge utile du virus des serveurs de contrôle et de contrôle (C&C) fabriqués par les cybercriminels.

Il est crucial pour les entreprises et les particuliers de se protéger contre l’EMOT et les autres logiciels malveillants en utilisant des programmes de sécurité efficaces et en étant conscient des e-mails et des fichiers suspects.

En cas de doute, il est toujours préférable de contacter une entreprise spécialisée en sécurité informatique pour obtenir de l’aide et des conseils.

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Deux hôpitaux de Lyon ont été victimes d’une attaque informatique

Des hôpitaux du groupe Ramsay

Deux hôpitaux de Lyon ont été victimes d’une attaque informatique

Des hôpitaux appartenant au groupe Ramsay, tels que l’hôpital Jean-Mermoz à Lyon et l’hôpital de l’Est lyonnais à Saint-Priest, ont subi une tentative de cyberattaque sur leurs serveurs informatiques la semaine dernière.

Victime d’une cyberattaque

Le groupe Ramsay Santé a été victime d’une cyberattaque la semaine dernière, visant notamment l’hôpital privé Jean-Mermoz à Lyon et l’hôpital privé de l’Est Lyonnais à Saint-Priest.

Aucun vol de données ni propagation

Le groupe a déclaré avoir immédiatement activé sa procédure de sécurité et qu’il n’y avait eu aucun vol de données ni aucune propagation de l’incident à leurs patients. Les enquêtes continuent en collaboration avec les services de l’État.

L’hôpital Jean-Mermoz

Des mesures de précaution ont été prises suite à cette tentative d’intrusion informatique, causant des ralentissements dans la prise en charge des patients, notamment à l’hôpital Jean-Mermoz.

Les urgences ont été fermées jusqu’à mardi et les hospitalisations en chirurgie ont été reportées.

Ramsay Santé en France

Il convient de noter qu’en août 2019, les 120 établissements de Ramsay Santé en France ont également subi une cyberattaque, entraînant des conséquences durables pendant plusieurs semaines.

Intrusion sur ses serveurs informatiques

Ramsay Santé a déclaré être la cible d’une tentative d’intrusion sur certains de ses serveurs informatiques le mercredi 25 janvier 2023.

Hôpital privé de l’Est lyonnais à Saint-Priest

Quatre établissements de santé en France ont été touchés, y compris l’hôpital privé Jean-Mermoz à Lyon, l’hôpital privé de l’Est lyonnais à Saint-Priest et la clinique Convert de Bourg-en-Bresse.

Comme mesure de sécurité, le groupe a fermé les accès extérieurs à ses systèmes après avoir détecté des anomalies. Les investigations sont en cours en collaboration avec les services de l’Etat pour permettre à nouveau l’accès au réseau depuis l’extérieur.

Le groupe est passé en mode dégradé, causant un ralentissement des prises en charge. Ramsay Santé a informé ses partenaires et les autorités sanitaires et a mobilisé des experts techniques et d’investigation indépendants.

Ni vol de données ni propagation

L’enquête a révélé qu’il n’y avait ni vol de données ni propagation de l’incident à leurs patients.

Ramsay Santé emploie 36 000 personnes et travaille avec environ 8 600 libéraux dans 5 pays: la France, la Suède, la Norvège, le Danemark et l’Italie.

Le groupe soigne 7 millions de patients par an dans ses 350 établissements.

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Les cyberattaques en 2023

Les cyberattaques sont de plus en plus fréquentes et visent un large éventail de secteurs d’activité. En 2023, voici quelques exemples de domaines qui pourraient être particulièrement ciblés par les cybercriminels :

Les cyberattaques en 2023
  • Cyberattaques sur les PME PMI:
    Les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs : que ce soit les grandes multinationales ou les PME, les entreprises sont des cibles de choix pour les cyberattaques en raison de la quantité de données sensibles qu’elles gèrent et de la valeur qu’elles représentent pour les criminels.
  • Systèmes de gouvernance et de sécurité:
    Les organisations gouvernementales et les services de sécurité : les cybercriminels peuvent tenter de s’en prendre aux systèmes de gouvernance et de sécurité d’un pays dans le but de compromettre la stabilité politique ou de voler des informations sensibles.
  • Autres cibles potentielles:
    Les infrastructures critiques : les systèmes de transport, d’énergie et de communication sont essentiels pour le bon fonctionnement de la société, ce qui en fait des cibles potentielles pour les cyberattaques.
  • Hôpitaux + pénuries de personnel et de budget:
    Les établissements de santé : les hôpitaux et autres établissements de santé gèrent des quantités importantes de données sensibles et sont souvent confrontés à des pénuries de personnel et de budget, ce qui peut rendre leur système de sécurité informatique vulnérable aux attaques.
  • Vous:
    Les individus : les cybercriminels peuvent cibler les particuliers pour voler leur identité, leur argent ou tout simplement pour perturber leur vie quotidienne.

Il est important de rester vigilant et de mettre en place des mesures de sécurité adéquates pour protéger son entreprise ou sa vie personnelle contre les cyberattaques.