Catégories
Attaque Avaddon Conti Cybercriminels Dridex Ekans Evil Corp EvilQuest GandCrab Hakbit Hive LockBit maze Nefilim NetWalker PayloadBin Professionnel Ragnar Locker Ransomware revil Shade sodinokibi SolarWinds Spectre Sunburst ThiefQuest

QUELLES SONT LES TECHNIQUES DE PIRATAGE INFORMATIQUE 

Les techniques de piratage informatique ont évolué au fil des années, devenant plus sophistiquées et plus difficiles à détecter.

Les hackers utilisent diverses méthodes pour accéder illégalement à des systèmes informatiques, compromettre des données sensibles et voler des informations. Dans ce texte, nous allons examiner les différentes techniques de piratage informatique.

LES TECHNIQUES DE PIRATAGE INFORMATIQUE 

Le phishing

Le phishing est une technique courante utilisée par les hackers pour tromper les utilisateurs en leur faisant croire qu’ils se connectent à un site légitime.

Les hackers envoient des e-mails contenant des liens malveillants qui redirigent les utilisateurs vers des sites qui ressemblent à des sites de confiance, mais qui en réalité sont des sites de phishing.

Les hackers peuvent ainsi récupérer des informations confidentielles telles que des noms d’utilisateur, des mots de passe, des numéros de carte de crédit et des données personnelles.

L’ingénierie sociale

L’ingénierie sociale est une technique de piratage qui consiste à manipuler les utilisateurs pour qu’ils révèlent des informations sensibles ou pour qu’ils effectuent des actions qui compromettent leur sécurité.

Les hackers utilisent souvent des tactiques telles que la flatterie, la peur et la culpabilité pour persuader les utilisateurs de partager des informations personnelles ou de télécharger des logiciels malveillants.

L’attaque par force brute

L’attaque par force brute est une technique de piratage qui consiste à tester des millions de combinaisons possibles de mots de passe pour accéder à un compte.

Les hackers utilisent des programmes automatisés pour tester des milliers de combinaisons de mots de passe chaque seconde jusqu’à ce qu’ils trouvent le mot de passe correct. Cette technique est souvent utilisée pour accéder à des comptes protégés par des mots de passe faibles.

Le détournement de session

Le détournement de session est une technique de piratage qui consiste à intercepter une session ouverte sur un site Web ou une application.

Les hackers peuvent alors accéder aux informations stockées dans cette session ouverte et les utiliser à des fins malveillantes. Cette technique est souvent utilisée pour accéder à des comptes de réseaux sociaux ou de messagerie électronique.

Le logiciel malveillant

Les logiciels malveillants sont des programmes informatiques conçus pour accéder illégalement à des systèmes informatiques et compromettre des données sensibles. Les hackers utilisent souvent des logiciels malveillants tels que des virus, des chevaux de Troie et des ransomwares pour accéder aux données stockées sur un ordinateur ou un réseau.

Les logiciels malveillants peuvent également être utilisés pour voler des informations personnelles telles que des numéros de carte de crédit et des identifiants de connexion.

Déni de service (DDoS)

Les attaques DDoS visent à surcharger un système ou un site Web en envoyant une quantité massive de trafic de demande. Cela peut causer une interruption de service ou même une panne complète du système.

Pour se protéger contre les attaques DDoS, les entreprises peuvent utiliser des solutions de mitigation DDoS qui filtrent le trafic malveillant et empêchent les attaques de paralyser leur système.

Les hackers utilisent diverses techniques pour accéder illégalement à des systèmes informatiques et voler des informations.

Il est important de se protéger contre ces techniques en utilisant des logiciels antivirus et en adoptant des pratiques de sécurité en ligne telles que la vérification des liens avant de cliquer et l’utilisation de mots de passe forts. La prévention est la meilleure défense contre le piratage informatique.

Catégories
Assurance Attaque Cybercriminels Déchiffrement Etude hyères informatique Ragnar Locker Ransomware revil Rugby Ryuk Sauvegarde Sauvegarde informatique Sécurité

Le collectif de cybercriminels revendique une cyberattaque contre la Fédération française de rugby avant la Coupe du monde

Le chaos informatique frappe la Fédération française de rugby à quelques mois de la Coupe du monde

La Fédération française de rugby est confrontée à un énorme défi alors qu’elle fait face à une cyberattaque impitoyable menée par un collectif de cybercriminels. Cette attaque survient à un moment critique, à moins de trois mois du coup d’envoi de la Coupe du monde de rugby prévue en septembre prochain. Les conséquences de cette intrusion sont désastreuses et risquent de perturber gravement les préparatifs de l’événement sportif le plus attendu de l’année.

La Fédération française de rugby sous le choc de la cyberattaque

Les pirates informatiques n’ont pas hésité à revendiquer cette attaque, mettant ainsi en lumière les failles de sécurité qui existent au sein de la Fédération française de rugby. Les détails exacts de l’attaque restent encore flous, mais il est clair que les criminels ont réussi à accéder à des informations sensibles et à perturber les systèmes informatiques de l’organisation. Cette intrusion a semé le chaos au sein de la fédération et a pris de court les responsables qui n’avaient pas prévu une telle attaque.

La menace qui plane sur la Coupe du monde de rugby

À quelques mois seulement de la Coupe du monde de rugby, cette cyberattaque soulève de nombreuses questions quant à la sécurité de l’événement. Les organisateurs et les autorités doivent désormais prendre des mesures urgentes pour remédier à cette situation alarmante et protéger les données sensibles de la fédération. Les conséquences de cette attaque pourraient être désastreuses si les mesures appropriées ne sont pas prises rapidement.

L’urgence d’une réponse appropriée et efficace

Face à cette situation critique, la Fédération française de rugby ne peut se permettre de rester les bras croisés. Une réponse immédiate et adéquate est nécessaire pour contrer les pirates informatiques et prévenir toute autre intrusion. Il est essentiel que les responsables de la sécurité informatique travaillent en étroite collaboration avec les autorités compétentes pour identifier les auteurs de cette attaque et les traduire en justice.

L’importance de la sécurité dans le sport

Cette cyberattaque contre la Fédération française de rugby souligne également l’importance croissante de la sécurité dans le monde du sport. Les organisations sportives, qu’il s’agisse de fédérations, de clubs ou d’événements, doivent prendre des mesures de sécurité renforcées pour se protéger contre les attaques informatiques. La confidentialité des données des athlètes et des fans, ainsi que le bon déroulement des compétitions, dépendent de la sécurité numérique.

La cyberattaque revendiquée par un collectif de cybercriminels contre la Fédération française de rugby tombe à un moment critique, à quelques mois seulement du début de la Coupe du monde de rugby. Les conséquences de cette attaque pourraient perturber sérieusement les préparatifs de cet événement majeur. Il est impératif que la

fédération et les autorités prennent des mesures rapides et efficaces pour contrer cette menace et protéger l’intégrité de la compétition. La sécurité informatique dans le sport devient une priorité absolue pour éviter de telles situations à l’avenir.

Catégories
Assurance Attaque Cybercriminels Déchiffrement Etude Evil Corp EvilQuest GandCrab Hakbit Hive informatique LockBit Mac MacOS maze Mobile Nefilim NetWalker PayloadBin prix Ragnar Locker Ransomware revil Ryuk Sauvegarde Sauvegarde informatique Sécurité Service informatique Shade sodinokibi SolarWinds Spectre Sunburst Technologie ThiefQuest

Conseils pour vous protéger des ransomwares

Avez-vous reçu un message douteux qui contient des pièces jointes ? Avez-vous trouvé une clé USB par hasard ? Prenez soin de ransomware ou rançongiciels ! Vos données peuvent être chiffrées et c’est le drame! Voici des conseils pour réduire les risques.

Conseils pour vous protéger des ransomwares

Qu’est-ce qu’un ransomware ou rançongiciels?

De plus en plus, vous recevez des messages douteux contenant des pièces jointes ou des liens qui vous invitent à les ouvrir. Il faut se méfier ! Malvey -Software appelé « rançon » ou « ransomware » peut s’y cacher. Leur objectif ? Cryptez (COD) vos données pour vous faire une rançon. Bien sûr, cela ne garantit pas la récupération de vos données. Il est donc préférable de vous protéger de ce type d’attaque.

Comment vous protéger des ransomwares?

Comment vous protéger des ransomwares?

Bonne attitude N ° 1:
Faites des sauvegardes régulières de vos données (eCura.fr)

C’est la meilleure façon de couper l’herbe sous le pied des pirates qui veulent prendre vos données comme otages! Déplacez la sauvegarde physique de votre réseau (hors du réseau), placez-la dans un endroit sûr et assurez-vous qu’il fonctionne!

Bonne attitude N ° 2:
N’ouvrez pas les messages dont l’origine ou le formulaire est discutable

Ne soyez pas trompé par un simple logo! Pire encore, le pirate a peut-être récupéré certaines de vos données plus tôt (par exemple, les noms de vos clients) et créer des adresses électroniques E qui ressemblent à un détail proche de vos interlocuteurs habituels.

Alors gardez beaucoup de vigilant! Certains messages semblent complètement authentiques.

Apprenez à identifier les emails E (ou d’autres formes de récupération de vos données) sur le site à l’Agence nationale pour les systèmes d’information (ANSSI).

Avez-vous des doutes? Contactez directement un informaticien. Services informatique Hyères

Bonne attitude N ° 3:
Apprenez à identifier les extensions douteuses

Vous recevez généralement des fichiers .doc ou .mp4 (par exemple) et le fichier de message que vous êtes dans le doute se termine par un autre type d’extension ? Ne les ouvrez pas ! Voici quelques exemples d’extensions douteuses: .pif, .com, .bat; .Exe, .vbs, .lnk, … Prenez soin de l’ouverture des pièces jointes du type .scr ou .cab. Comme l’agence nationale pour les systèmes d’information (ANSSI) se souvient, ce sont des extensions de compression des campagnes CTB-Locker qui rage entre les individus, les PME ou la mairie.

Bonne attitude N° 4 :
mettez à jour vos principaux outils

On ne vous le dira jamais assez : traitement de texte, lecteur PDF, navigateur, mais aussi antivirus… Veillez à mettre à jour vos logiciels !

Si possible, désactivez les macros des solutions de bureautique qui permettent d’effectuer des tâches de manière automatisée. Cette règle évitera en effet la propagation des rançongiciels via les vulnérabilités des applications.

Considérez que, d’une manière générale, les systèmes d’exploitation en fin de vie, qui ne sont plus mis à jour, donnent aux attaquants un moyen d’accès plus facile à vos systèmes.

Bonne attitude N ° 5 : Utilisez un compte « utilisateur » plutôt qu’un compte « administrateur »

Évitez de naviguer à partir d’un compte administrateur. L’administrateur d’un ordinateur a un certain nombre de privilèges, comme effectuer certaines actions ou accéder à certains fichiers cachés sur votre ordinateur. Préférez l’utilisation d’un compte utilisateur. Cela ralentira, même, découragera le voleur dans ses actes malveillants.

Catégories
Armée Attaque Cybercriminels Evil Corp informatique Ransomware revil Sécurité Service informatique

À la demande des États-Unis, la Russie arrête le gang REvil, l’un des gangs de rançongiciels les plus actifs.

Le FSB affirme qu’il a répondu à l’appel des « autorités américaines compétentes », après avoir souligné « le chef de l’association criminelle et son implication » dans les cyberattaques.

Le FSB a démantelé le groupe de cybercriminels, une requête formulée par les Etats-Unis, principale victime de REvil.
La Russie a démantelé, à la demande des États-Unis, le groupe de hackers REvil.
Renforcement de la coopération entre Moscou et Washington dans la lutte contre la cybercriminalité.
REvil, un rançongiciel des plus célèbres, qui a extorqué des millions d’euros à des centaines d’entreprises, notamment françaises.
La Russie annonce l’arrestation du gang de rançongiciel REvil.


L’intelligence russe a organisé l’arrestation dans sa superficie de 14 cybercriminels soupçonnés de faire partie de la célèbre bannière Wil. Rarissime, cette chirurgie de la police suit un appel des autorités américaines. Normalement, Moscou refuse de coopérer avec des pouvoirs étrangers et la Russie est considérée comme un refuge pour certains réseaux cybercoises. Si ce type de coopération est reproduit, ce serait un changement important dans la lutte contre la cybercriminalité.
Un message d’attente spécial tandis que les lignes sont ces logiciels qui cryptent vos données pour nécessiter une rançon, est devenue l’une des menaces informatiques les plus importantes dans le monde, n’a pas éjecté ce fléau. « Ces personnes ont développé des logiciels malveillants, organisé le vol de fonds sur les comptes bancaires des citoyens étrangers et leur dépôt, notamment en achetant des propriétés Internet coûteuses », explique FSB dans sa déclaration.

Ce 14 janvier marque 2022 un tournant dans la lutte contre la cybercriminalité? Le service de sécurité fédéral de la Fédération de Russie (FSB) a annoncé le succès d’un certain nombre d’arrestations dans quatre villes du pays (Moscou, Saint-Pétersbourg, Leningrad et Lipetsk) … à la demande des États-Unis.

Dans leur recherche, 14 personnes soupçonnées de faire partie du gangui-à-tête, l’un des plus célèbres opérateurs Rankoning qui ont extorqué des millions d’euros sur des centaines d’entreprises, notamment français et américains. L’opération a donc tiré une fonction finale sur les dommages des révisions.

Catégories
Aérien Android Apple Armée Association Attaque Avaddon Bitcoins COVID-19 Déchiffrement Ekans Entreprise de construction Etude EvilQuest GandCrab Hakbit Hôpital hyères informatique Mac MacOS Mairie maze Nefilim NetWalker Non classé Orange presse prix Professionnel Ragnar Locker Ransomware revil Rugby Ryuk Sécurité Shade sodinokibi SolarWinds Spectre Sunburst Technologie ThiefQuest vidéo

Le coût des « piratages » professionnelles atteint un niveau record

Les grandes attaques des grandes entreprises et l’exposition de 50 à 65 millions d’enregistrements ont un prix élevé, jusqu’à 401 millions de dollars.

Selon une étude IBM, le coût moyen d’une attaque est de plus de 4 millions de dollars.

Le coût des piratages professionnelles atteint un niveau record

Le coût moyen d’une attaque a maintenant dépassé le barreau fatidique de 4 millions de dollars et a atteint un niveau record en vertu de la crise de la santé. Dans un rapport publié mercredi d’IBM, Big Blue estime que, en 2021, coûte une violation de données typique des entreprises de 4,24 millions USD. Le coût est de 10% supérieur à 2020.

En France, les secteurs les plus touchés sont des services financiers, du secteur pharmaceutique ainsi que de la technologie. Au niveau international, aux secteurs de la santé et des services financiers qui enregistrent les violations les plus chères.

Logiciels malveillants et hameçonnage

IBM estime qu’environ 60% des entreprises se sont tournées vers «Cloud» pour poursuivre leurs activités, bien que le renforcement du contrôle de la sécurité n’ait pas nécessairement suivi. Lorsque l’utilisation de travaux distants a explosé, elle était la même pour les infractions de données dont les quantités ont augmenté de 1 million de dollars – les taux les plus élevés de 4,96 millions de dollars contre 3, 89 millions de dollars.

Le vecteur d’attaque le plus courant des victimes de données d’un transfert de données est un compromis sur les informations d’identification, soit extraits des souches de données soumises, vendues ou obtenues par une attaque de force brute. Une fois que le réseau est infiltré, les informations personnelles identifiables (IPI) sont devenues des clients, notamment des noms et des adresses électroniques, volées dans près de la moitié des cas.

Services informatique Hyères

En 2021, il a fallu un total de 287 jours pour détecter et contenir une violation de données ou 7 jours de plus que l’année précédente. Au total, une organisation moyenne n’enregistrera pas d’entrer dans les 212 jours. Il ne sera donc pas capable de résoudre complètement le problème avant que 75 jours supplémentaires soient passés.

Les infractions de données dans le secteur de la santé ont été les plus chères, avec une moyenne de 9,23 millions de USD suivi des services financiers – 5,72 millions de dollars – et des médicaments, avec 5,04 millions de dollars.

Selon IBM, les entreprises qui utilisent des solutions de sécurité sont basées sur des algorithmes d’intelligence artificielle (AI), l’apprentissage automatique, l’analyse et le cryptage, ont tous diminué le coût potentiel d’une violation qui permet aux entreprises. Économisez en moyenne entre 0,1 25 et 1,49 million de dollars.

« L’augmentation des infractions de données sont une autre dépense supplémentaire pour les entreprises en fonction des changements technologiques rapides lors de la pandémie », a déclaré Chris McCurdy, vice-président de la sécurité IBM. « Bien que le coût des infractions de données ait atteint un niveau record au cours de la dernière année, le rapport a également démontré des signes positifs de l’impact des tactiques de sécurité modernes, telles que l’AI, l’automatisation et l’adoption d’une approche de confiance zéro – qui pourrait être payée en réduisant coûte ces incidents plus tard. « 

Catégories
Attaque Bitcoins Déchiffrement Etude informatique presse Ransomware revil Sécurité Service informatique Technologie

Kaseya prétend avoir payé aucune rançon

L’éditeur logiciel Kaseya a refusé d’avoir payé une rançon pour un déchiffrement universel après plusieurs jours avec des questions sur la manière dont l’outil est atteint.

Le 21 juillet, la Société a annoncé qu’un outil de déchiffrement universel a été réalisé grâce à une «tierce partie» et a travaillé avec Emsisoft Security Company pour aider les victimes de l’attaque de Ransomware REvil.

Kaseya prétend avoir payé aucune rançon

Lundi, Kaseya a publié une déclaration qui refuse des rumeurs qu’elle aurait payé une rançon sur REvil, le groupe Ransomware, a lancé l’attaque. REvil a demandé à l’origine une rançon de 70 millions de dollars, mais l’aurait réduit de 50 millions de dollars avant que tous ses sites Web ne disparaissent le 13 juillet.

Theresa Payton, ancien directeur des informations de la Maison-Blanche et expert en cybersécurité, a déclaré que les accords non-informations après les attaques sont plus fréquents que vous ne pourriez penser, mais a noté que « demander un accord sur les non-renseignements aux victimes n’est pas une pratique quotidienne pour chaque incident ».

« Lorsqu’un incident affecte davantage de victimes, le conseiller juridique demande à signer un accord sur les non-renseignements pour que la solution du problème ne soit pas publiée », a déclaré Payton.

Payton a ajouté que les causes de la demande de contrat de non-publication ne sont pas toujours mauvaises et invitées à consulter leurs avocats avant de signer quelque chose.

La société et la manière dont l’outil de décryptage universel a été atteint? Selon la presse, la société a chargé un accord de non-publication aux entreprises souhaitant profiter de cet outil.

« Nous certifions clairement que Kaseya n’a pas payé la rançon, que ce soit directement ou indirectement à travers un tiers, pour obtenir du déchiffrement », déclare la déclaration de Kaseya.

« Bien que chaque entreprise devait prendre sa propre décision sur le paiement de RanSom, Kaseya a décidé après avoir consulté des experts, de ne pas négocier avec les criminels qui ont commis cette attaque et que nous n’arrêtions pas de cet engagement. »

Selon la Déclaration, l’équipe d’intervention des incidents d’Emsisoft et de Kaseya a travaillé tous les week-ends pour fournir un déchiffrement avec certaines des 1 500 victimes touchées par l’attaque, y compris une grande chaîne de supermarchés en Suède, de l’Université Virginia Tech et des ordinateurs gouvernementaux locaux à Leonardtown, dans le Maryland.

La société a déclaré qu’elle avait appelé à toutes les victimes de manifester et d’ajouter que l’outil « s’est avéré 100% pour déchiffrer les fichiers complètement cryptés lors de l’attaque ».

Si la nouvelle d’un décendrier universel a été accueillie par des centaines de victimes touchées, certains soulignent qu’il existait un accord de non-information que Kaseya audacieuse les entreprises à signer l’échange d’outils.

CNN a confirmé que Kaseya a exigé un accord de non-information (NDA) d’accéder au déchiffrement. Dana Liedholm, porte-parole de Kaseya et plusieurs sociétés de cyber-sécurité impliquées, ont déclaré à ZDN et qu’ils ne pouvaient pas commenter cet accord.

LIEN

Catégories
Attaque Déchiffrement informatique Ransomware revil Sécurité

REvil ; Kaseya prétend avoir la clé de déchiffrement

La société de logiciels américano-cano-kaseya a maintenant accès à la clé de déchiffrement universelle du Ransomware REvil, qui a affecté ses clients qui sont des fournisseurs de services gérés.

La société a annoncé son accès à l’outil de déchiffrement jeudi 22 juillet , environ 20 jours après l’attaque de Ransomware, qui a eu lieu le 2 juillet.

REvil ; Kaseya prétend avoir la clé de déchiffrement

L’attaque a touché directement 60 ses clients et jusqu’à 1 500 de leurs clients en aval. Les caisses de la chaîne Suédoise Coop Supermarket n’ont pas été inaccessibles pendant presque une semaine en raison de l’attaque. Ils avaient été infectés dans tout le pays avec une mise à jour logicielle corrompue du produit de Kaseya, CSR, qui permet de distribuer des mises à jour logicielles pour des périphériques embarqués et sur l’ensemble de la flotte d’ordinateurs gérés. En Nouvelle-Zélande, les écoles utilisant le logiciel Kaseya ont également été touchées.

Kaseya a maintenant une clé de déchiffrement pour les clients concernés par le Ransomware REvil.

Selon Kaseya, la société de sécurité de la Nouvelle-Zélande Emsisoft a confirmé que l’outil de déchiffrement vous permet de déverrouiller des fichiers cryptés avec la révolution.

« Nous pouvons confirmer que Kaseya a obtenu un outil tiers et que son équipe aide activement les clients affectés par Ransomware à restaurer leurs environnements sans aucun rapport sur aucun problème lié au Decrypeter. La société indique dans une déclaration.

« Kaseya travaille avec Emsisoft pour soutenir les efforts de nos clients et Emsisoft confirme que la clé est efficace pour déverrouiller les victimes ».

Les sites Web du groupe Revil ont été clos la semaine dernière après que le président américain Joe Biden a demandé au président russe Vladmir Poutine d’agir contre des cybercriminels basés à la Russie destinée aux entreprises américaines. Joe Biden aurait déclaré au président russe que des infrastructures critiques devraient être hors périmètre en termes de cybercriminalité.

Une autre attaque du Ransomware de Darkside avait pris le distributeur de carburant colonial de retour sur la côte est aux États-Unis en mai. Certains experts en matière de sécurité estiment que l’attaque contre le pipeline colonial a propulsé la question des ranchants au rang de discussion diplomatique et invite les revenus à suspendre ses activités.

Nous ne savons pas si Kaseya a payé la demande de rançon de 70 millions de dollars. La société aurait obtenu la clé de déchiffrement avec un « tiers de confiance » basé sur un porte-parole signalé par le tuteur.

Bien que certains clients kashasia-aval ont corrigé les systèmes attribués, les points d’extrémité de certains clients ont été hors ligne et pouvaient restaurer des systèmes avec la clé de déchiffrement.

Un client anonyme la semaine dernière a déclaré qu’il a payé une rançon pour révéler le groupe. Mais cela n’a pas pu déchiffrer les fichiers cryptés avec la clé de déchiffrement. REvil vendu son ransomware en tant que service à des groupes de cybercriminels.

Catégories
Attaque informatique Professionnel Ransomware revil Sécurité Service informatique

Qui est Kaseya la victime d’un « Nouveau » ransomware?

La cyberattaque qui a frappé la société informatique Kaseya le week-end dernier a contraint la chaîne de supermarchés suédoise Coop à fermer plus de 800 magasins et supérettes. L’attaque ricoche et peut toucher plus de 1 500 entreprises dans le monde. Et les marques françaises ?

Kaseya développe des solutions et des services pour les fournisseurs de services gérés (MSP). Vendredi, alors que la plupart des Américains étaient prêts à fêter le week-end du 4 juillet, l’entreprise a subi une attaque contre l’une de ses solutions, Kaseya USA. Cela permet aux utilisateurs de distribuer des mises à jour et de surveiller à distance les systèmes informatiques de leurs clients.

Cependant, il y avait une vulnérabilité sur le système. Cela avait été découvert par le DIVD, l’Institut néerlandais de détection des vulnérabilités, qui avait prévenu l’entreprise. Kaseya l’a donc corrigé et le correctif a même été validé lorsque REvil ou l’une de ses filiales a frappé et exploité la vulnérabilité zero-day pour mener son attaque. À ce stade, peu de détails ont été publiés sur ce bug, sauf qu’il était assez facile à exploiter.

Grâce à cela, le groupe de hackers a pu diffuser des fichiers malveillants sous couvert d’une mise à jour automatique de Kaseya VSA et diffuser des ransomwares aux MSP utilisant la solution mais aussi à leurs clients. Il n’est pas encore possible de savoir exactement combien d’entreprises ont été touchées par cette attaque, mais il a été estimé vendredi que plus de 1 000 d’entre elles ont vu leurs fichiers cryptés alors que REvil avance le chiffre d’un million sur son site internet.

Caisses inopérantes, magasins fermés… Une cyberattaque sans précédent est devenue sa première victime en Europe, le groupe de supermarchés suédois Coop, qui représente 20% du secteur dans le pays, a été paralysé samedi 3 juillet par la cyberattaque contre l’entreprise américaine Kaseya. , spécialiste de l’infogérance informatique. 800 magasins sont toujours fermés pendant quatre jours, les caisses enregistreuses sont bloquées et hors d’usage.

C’est par l’intermédiaire d’un de leurs sous-traitants informatiques, Visma Escom, lui-même touché par la cyberattaque, que le système informatique interne de l’entreprise suédoise a été piraté. L’attaque a également touché plusieurs pharmacies suédoises et la compagnie ferroviaire du pays. Plus précisément, les pirates ont attaqué le logiciel phare de Kaseya, « VSA », conçu pour gérer de manière centralisée les réseaux de serveurs, contrôler et sécuriser les systèmes informatiques. Ils ont choisi la méthode des ransomwares, qui consiste à installer des logiciels malveillants qui bloquent toutes les machines ou ordinateurs ciblés jusqu’à ce que leurs propriétaires paient une rançon.

Jusqu’à 1 500 entreprises impliquées
Sur ses 40 000 clients, Kaseya estime que moins de 60 clients ont été touchés. Problème, la plupart d’entre eux gardent les clients pour eux-mêmes, ce qui facilite la propagation de l’attaque.

Catégories
Attaque Ekans Entreprise de construction EvilQuest GandCrab Hakbit informatique maze NetWalker Professionnel Ragnar Locker Ransomware revil Rugby Ryuk Sécurité Service informatique Shade sodinokibi SolarWinds Spectre Sunburst Technologie ThiefQuest

Le président des États-Unis Joe Biden signe le décret sur la cybersécurité

Cette semaine, le président des États-Unis a ordonné la création d’un comité dédié aux cyberattaques ainsi que la création de nouvelles normes de sécurité logicielle pour les agences gouvernementales.

En matière de cybercriminalité, les États-Unis ont été confrontés à une cyberattaque massive menée par le groupe Darkside. En utilisant un ransomware, les pirates ont pu fermer l’opérateur pétrolier Colonial Pipeline, qui transporte généralement près de la moitié du carburant du pays. Une attaque qui a fait souffler un vent de panique chez les Américains. Les stations-service à travers le pays ont été prises d’assaut si loin qu’elles commencent une pénurie nationale.

Si la panique n’a pas duré longtemps car le problème a été rapidement résolu, ce nouvel incident démontre clairement la fragilité de l’Oncle Sam face aux cyberattaques. C’est dans ce contexte que le président américain Joe Biden a signé mercredi 12 mai 2021 un décret qui renforcerait la sécurité du pays contre les cyberattaques.

Pour renforcer la cybersécurité aux États-Unis, Joe Biden a annoncé la création d’un comité chargé d’examiner les cyberincidents. Plus précisément, l’organisation enquêtera sur les principaux hacks qui se sont produits dans le pays pour mieux comprendre les détails de l’affaire. Ce nouveau conseil est modelé par le National Transportation Safety Board, qui est chargé d’enquêter sur les accidents aériens, ferroviaires et maritimes, et peut aider à identifier les coupables potentiels en cas d’attaques supplémentaires. Pour rappel, ce n’est pas la première fois que le gouvernement américain est confronté à une cyberattaque. En décembre dernier, un groupe de pirates informatiques a ciblé le gouvernement avec le piratage massif de SolarWinds. Sans divulguer tous les détails de l’incident, Donald Trump affirmait à l’époque avoir des preuves de l’implication russe. Il y a quelques mois à peine, c’était la Chine qui, cette fois, était soupçonnée d’avoir ordonné une cyberattaque visant le géant Microsoft.

Outre la création d’un comité dédié, Joe Biden a également annoncé la création de nouvelles normes logicielles conçues pour sécuriser plus efficacement les agences gouvernementales américaines et empêcher de nouveaux piratages. Ces nouvelles normes comprendront l’utilisation de l’authentification multifactorielle, mais également le renforcement de la sécurité des échanges entre le gouvernement et les entreprises privées.

Catégories
Aérien Android Apple Association Attaque Bitcoins COVID-19 Ekans Entreprise de construction Etude EvilQuest GandCrab Hakbit Hôpital hyères informatique Mac MacOS Mairie maze Nefilim NetWalker Non classé Orange presse prix Professionnel Ragnar Locker Ransomware revil Ryuk Sécurité Service informatique Shade sodinokibi SolarWinds Sunburst Technologie ThiefQuest vidéo

Comment la vulnérabilité informatique est-elle mesurée?

Le score CVSS est utilisé presque systématiquement pour évaluer le danger des vulnérabilités. Mais savez-vous quel calcul se cache derrière le score sur 10?

Il faut dire que la cybersécurité regorge de termes spécifiques et autres acronymes (et anglophones, d’ailleurs) pour qualifier les scénarios d’attaque. On parle de RCE, XSS, de « web shell » ou même d’élévation de privilèges. Les balles d’avertissement sont le plus souvent destinées aux spécialistes et n’utilisent que du jargon. Ils soulignent rarement les risques concrets qu’une nouvelle vulnérabilité pose au public.

SUITE… Avec Numerama.com