Le FSB affirme qu’il a répondu à l’appel des « autorités américaines compétentes », après avoir souligné « le chef de l’association criminelle et son implication » dans les cyberattaques.
L’intelligence russe a organisé l’arrestation dans sa superficie de 14 cybercriminels soupçonnés de faire partie de la célèbre bannière Wil. Rarissime, cette chirurgie de la police suit un appel des autorités américaines. Normalement, Moscou refuse de coopérer avec des pouvoirs étrangers et la Russie est considérée comme un refuge pour certains réseaux cybercoises. Si ce type de coopération est reproduit, ce serait un changement important dans la lutte contre la cybercriminalité.
Un message d’attente spécial tandis que les lignes sont ces logiciels qui cryptent vos données pour nécessiter une rançon, est devenue l’une des menaces informatiques les plus importantes dans le monde, n’a pas éjecté ce fléau. « Ces personnes ont développé des logiciels malveillants, organisé le vol de fonds sur les comptes bancaires des citoyens étrangers et leur dépôt, notamment en achetant des propriétés Internet coûteuses », explique FSB dans sa déclaration.
Ce 14 janvier marque 2022 un tournant dans la lutte contre la cybercriminalité? Le service de sécurité fédéral de la Fédération de Russie (FSB) a annoncé le succès d’un certain nombre d’arrestations dans quatre villes du pays (Moscou, Saint-Pétersbourg, Leningrad et Lipetsk) … à la demande des États-Unis.
Dans leur recherche, 14 personnes soupçonnées de faire partie du gangui-à-tête, l’un des plus célèbres opérateurs Rankoning qui ont extorqué des millions d’euros sur des centaines d’entreprises, notamment français et américains. L’opération a donc tiré une fonction finale sur les dommages des révisions.