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Méfiance : Interpol ne vous contactera pas par email, méfiez-vous des escrocs en ligne

L’univers virtuel, riche de possibilités, peut également être le terrain de jeu de nombreux escrocs, cherchant à exploiter la crédulité des utilisateurs. Récemment, une nouvelle méthode d’arnaque a fait son apparition, prenant la forme d’un courriel supposé provenir d’Interpol, l’Organisation internationale de police criminelle. Derrière cette façade officielle se cache une tentative sournoise de tromper les utilisateurs.

Qui est derrière cette arnaque ?

Plusieurs lecteurs de ZATAZ ont signalé avoir reçu un courriel suspect au cours de l’été. Le message prétendait être envoyé par Interpol, évoquant la création d’un « service d’enquête externe et interne » dédié à la lutte contre les fraudes en ligne. L’intention semblait louable : aider les victimes à obtenir justice. En réalité, il s’agissait d’une ruse élaborée.

Le courrier électronique mentionnait que cette initiative était menée en collaboration avec la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés, à la demande de l’Association des Victimes d’Escroquerie et d’Usurpation du Net. L’objectif était de mettre en place un système automatisé de collecte de données personnelles pour identifier les auteurs d’infractions sur Internet. Cependant, derrière ces mots pompeux se cachait un piège sournois.

La double peine pour les victimes

Le contenu du courriel annonçait : « Nous lançons des appels aux victimes d’escroquerie, afin d’émettre des poursuites judiciaires contre ces différents coupables peu après une saisie informatique de la Cyber-infiltration relevant les chefs d’accusation suivants ». Cette déclaration grandiloquente visait à créer une apparence de légitimité. Cependant, le véritable dessein de l’escroc derrière ce message était bien différent.

Une fois qu’une victime potentiellement intéressée se manifeste, l’escroc, se faisant passer pour un policier, contacte la victime en lui annonçant que l’auteur de l’escroquerie a été appréhendé. Cependant, pour récupérer les fonds perdus lors de l’escroquerie initiale, la victime est informée qu’elle devra payer des frais. Cette tactique sournoise vise à piéger la victime une seconde fois, la dépouillant ainsi de nouvelles sommes d’argent.

Comment se protéger

Pour se prémunir contre ce genre d’arnaque, il est crucial d’adopter une approche vigilante. Si vous recevez un courriel similaire prétendument envoyé par une organisation officielle, prenez le temps de vérifier l’authenticité de la communication. Ne partagez jamais d’informations personnelles ou financières sans avoir confirmé l’identité de l’expéditeur. Il est recommandé de contacter directement l’organisation en question à partir des coordonnées officielles disponibles sur leur site web, plutôt que de cliquer sur des liens ou de répondre au courriel suspect.

Conclusion

En conclusion, restez prudent et informé face aux tentatives d’escroquerie en ligne de plus en plus sophistiquées. La vigilance est le meilleur rempart contre les intentions malveillantes qui cherchent à profiter de la crédulité des utilisateurs. Ne devenez pas la victime d’une arnaque deux fois de suite : faites preuve de discernement et protégez vos informations personnelles à tout moment.

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« SIM swapping » cette technique permet de prendre le contrôle de votre numéro de téléphone

« SIM swapping » cette technique permet de prendre le contrôle de votre numéro de téléphone

Les excuses qui demande à l’individu d’activer votre numéro sur une nouvelle carte SIM en sa possession. Pour convaincre le service client au téléphone, il utilise des informations privées (date de naissance, adresse, numéro de clientèle, etc.) qu’il a pu trouver sur Internet ou de différentes manières. Lorsque l’opération réussit, le pirate peut alors recevoir des appels et des SMS pour vous.

Auparavant, il aura reçu vos informations personnelles, par exemple, les violations des données, le phishing, la recherche sur les réseaux sociaux, les applications malveillantes, les achats en ligne, les logiciels malveillants, les infections des réseaux sociaux et autres sites Internet, etc. L’usurpateur peut désormais collecter des appels, SMS et accédez aux services bancaires en ligne de la victime.

Banques, Mail, réseaux

Pour mieux sécuriser leurs différents comptes en ligne (banque, réseaux sociaux, etc.), les utilisateurs sont encouragés à utiliser un système d’approbation à double. Ainsi, après avoir entré leurs identifiants (nom et mot de passe) pour se connecter, l’appareil leur envoie un code, souvent de SMS. Il y a beaucoup de gens avec toute leur vie dans le téléphone … c’est là que le « Sim Exchange » intervient.

Cela donne accès à de nombreux types de comptes en ligne, ouvre la porte à différents types d’escroqueries: le vol d’identité, l’extorsion ou même le vol d’argent.


Cette technique vous permet de prendre le contrôle d’un numéro de téléphone et d’ouvrir la porte à différents types de hacks. Dans cette expression, le « vol » des numéros de téléphone portables de quelqu’un est essentiellement et fondamentalement.

Une chose triviale que votre smartphone peut contenir une carte bancaire ou une fidélité, elle distille les données de localisation pour les endroits importants, d’informations importantes, etc. de toutes.

Une carte SIM

À ce moment-là, je vois que vous avez blâmé et il y a quelque chose. De plus, cela ne nécessite pas beaucoup d’expertise technique.

Dans les vols les plus courants dudit processus, un délinquant négligera le service client de votre opérateur et vous fera semblant d’être pour vous. En fait, votre numéro est lié à une carte SIM.

Il s’agit d’une puce qui contient un microcontrôleur et une mémoire. Il stocke des informations spécifiques à l’abonné à un réseau mobile, en particulier pour les réseaux GSM, UMTS et LTE.

Cette petite puce de votre téléphone identifie et vous permet de résumer, de vous connecter aux réseaux téléphoniques, de 3G, 4G et bientôt 5G.

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Une nouvelle menace de ransomware? PayloadBin

PayLoardbin (comme Evil Corp) est mis en œuvre par e-mail. Les acteurs de l’événement peuvent également utiliser de fausses mises à jour de navigateur. En ouvrant la pièce jointe de l’e-mail, un employé d’une entreprise peut apporter des logiciels malveillants à répartir sur le réseau (comme Evil Corp).

PayLoardbin (comme Evil Corp)

Pour verrouiller des fichiers, PayLoardBin (comme Evil Corp) génère une clé unique pour chaque fichier. Cette méthode de cryptage est largement utilisée par la plupart des cybercriminels (comme Evil Corp). Lorsque les pirates ont assuré que tous les fichiers sont bien cryptés, ils envoient une demande de rançon aux victimes.

Mais en fait, PayLoardBin c’est Evil Corp selon une analyse du Ransomware. Evil Corp est l’un des acteur des plus prospérants du monde. Ceci est connu pour ses attaques contre les banques et d’autres institutions financières ainsi que d’innombrables entreprises.

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Un piratage pour 100 millions de dollars de Crypto-monnaies

La compagnie Horizon Ethereum a été piraté le jeudi 24 juin. Environ 100 millions de dollars en crypto-monnaies ont été volés. Harmony aurait vu un mouvement suspect.

Nouvelle bataille dans le monde des crypto-monnaies. Alors que le marché donnait déjà des sueurs froides aux investisseurs en raison de la chute des prix, les cas de piratage ajoutent de l’anxiété au stress. Le vendredi 24 juin 2022, Harmony a révélé avoir été victime d’un piratage au cours duquel 100 millions de dollars ont été volés.

Harmony est une société de blockchain qui s’efforce de faciliter la création et l’utilisation d’applications décentralisées. Elle propose notamment des ponts, c’est-à-dire des protocoles qui permettent l’interopérabilité entre les blockchains. La société se concentre particulièrement sur le réseau Ethereum, bien qu’elle supporte Binance et trois autres chaînes. C’est sur le Horizon Bridge qui a permis les échanges entre la blockchain Ethereum et la Binance Smart Chain que les attaquants ont commis leurs atrocités. Les hackers auraient ainsi récupéré de l’ether, du tether et de l’USD Coin puis seraient passés à l’ether sur des plateformes d’échange décentralisées.
Si le montant semble spectaculaire, il ne s’agit cependant pas du plus gros vol qui s’est produit dans l’univers des crypto-monnaies. On rappelle qu’en mars dernier, plus de 615 millions de dollars avaient été volés par des hackers nord-coréens sur le réseau Ronin. Cette « side chain », qui forme aussi un « pont », est utilisée par exemple par le jeu Axie Infinity, l’un des gros titres de l’industrie du pay-to-earn.

Et il n’y a pas que les hacks qui inquiètent. Récemment, nous avons appris dans un rapport de la Federal Trade Commission (FTC) que depuis le 1er janvier 2021, plus de 46 000 personnes ont perdu plus d’un milliard de dollars en crypto-fraude. Et ce n’est qu’aux États-Unis.

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3 cliniques spécialisées dans les soins ostéopathiques touchés par le Ransomware Lockbit 2.0

Bien que les vols et autres par logiciels malveillants sur les magasins d’applications continuent de croître, les logiciels traditionnels restent l’un des secteurs les plus lucratifs de la criminalité numérique.

3 cliniques spécialisées dans les soins ostéopathiques touchés par le Ransomware Lockbit 2.0

L’un des spécialistes de cette région, Lockbit 2.0, annonce avoir fait de nouvelles victimes françaises, avec des milliers de fichiers volés.

Trois cliniques couvertes par le Ransomware
Lockbit 2.0 Computer Hacker Group Repeat. Spécialisé dans le chantage numérique, cette bande organisée croit désormais en plus de 500 victimes, certainement plus que payé la rançon ou négociable souhaitée. Il sauve partout quand Thales pouvait voir en janvier dernier et s’attaquer à plusieurs sociétés françaises. Dans ses environs, des cliniques et un département.

Comme le rapporte Zataz, Lockbit 2.0 transmet des centaines de fichiers volés sur leurs nouvelles victimes. Parmi eux, trois cliniques spécialisées dans les soins ostéopathiques, sur 26 halls de consultation. Les pirates auraient mis la main sur 200 fichiers et dossiers dont le contenu, pour le moment, sera envoyé le 13 avril. Le département d’Ardèche fait également partie de la partie, mais assure qu’aucune donnée personnelle n’a été compromise. « L’étude que nous avons terminée, donc à ce jour, aucune fuite de données », a déclaré un représentant. Mais Lockbit prévoit d’émettre plus de 40 000 fichiers le 12 avril.

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Le ministère de la Justice visé par un ransomware, les pirates « proposent » de publier des données

Le ministère de la Justice est ciblé par un ransomware

Le ministère français de la Justice victime d’un ransomware. C’est ce que propose le youtubeur « Defend Intelligence » sur Twitter. Selon ses sources, des données ont été compromises et les pirates menacent de les publier le 10 février 2022 si la rançon requise n’est pas payée par les autorités.

Lockbit 2.0 Groupe de rançongiciel, connu pour avoir attaqué Thales, en veillant à ce qu’elle ait réussi à hérir le ministère de la Justice. Le compte à rebours dans le soutien menace de publier des documents car ils auraient non plus sûr lors de l’attaque dans un délai de deux semaines.

Un gros compte à rebours rouge, ils menacent de publier des document

Sur son site, le groupe de cybercriminels prétend avoir attaqué des organisations italiennes et danoises ou espagnoles. Lors de la dernière mise à jour de ses victimes présumées, en plus du site Web du ministère de la Justice, il a indiqué que la municipalité de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) serait également concernée. Contacté par Libération, Eric Berdoats, maire, confirmer: « Nous étions le sujet du vendredi dernier tôt le matin d’un cyberrataker qui a paralysé tous nos systèmes. » Une plainte a été soumise au procureur de Paris.

le ministère de la Justice ciblé par Le groupe de rançongiciel Lockbit

Le responsable choisi ne veut pas indiquer si une demande de rançon a été reçue. Cependant, il est appelé aucune couverture de données pour le moment. « Petit à petit, nous reviendrons dans l’activité, nous réussirons ici à la fin de la semaine pour restaurer tout », continue-t-il. La mairie doit encore racheter des serveurs et « réinvestir dans une nouvelle infrastructure ». Un prix qui dépasserait les cent mille euros. Pour rappel, en décembre, plusieurs maisons de ville de Seine-Saint-Denis ciblent également une attaque de Rankong.
Selon Kaspersky Cyberscurity Company, Ransomware Lockbit « est un logiciel malveillant conçu pour bloquer l’accès aux utilisateurs avec des systèmes informatiques et soulever le blocage en échange d’une rançon ». C’est une attaque privilégiée sur les entreprises cibles ou d’autres organisations. Premièrement appelé « Virus.ABCD », le programme Lockbit sera utilisé dans des attaques identifiées depuis septembre 2019. «Les États-Unis, la Chine, l’Inde, l’Indonésie et l’Ukraine sont déjà ciblés dans le passé de ces types d’attaques», ajoute la société. De même pour plusieurs pays européens.

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Les intermittent de la cybercriminalité

Les chercheurs de la sécurité ont mis en évidence des personnes qui constituent une partie importante de l’écosystème de cybercrimination

Les intermittent de la cybercriminalité

Programmes de phishing, campagnes de logiciels malveillantes et autres opérations utilisent un nombre total de travailleurs ombragers. Pour leur offrir de meilleures opportunités de travail légitimes pourraient aider à réduire le crime?

Une collaboration de recherche avec l’Université technique tchèque à Prague et GoSecure et SecureWorks entreprises de sécurité Cyber a analysé les activités des personnes en marge de la cybercriminalité, les projets sous – jacents tels que la création de sites Web, finissent par être utilisés pour des attaques de phishing, les affiliés Systèmes pour diriger le trafic sur les sites Web compromis ou contrefaits ou écrire sur le code trouvé dans les logiciels malveillants.

Les gens sur l’origine de ces projets font parce qu’il est un moyen facile de gagner de l’argent. Mais faire ce travail, ils jettent les bases de campagnes malveillantes pour les cyber-criminels.

Un regard sur le web
L’étude, Mass Effect: Comment Opporitistic travailleurs conduisent dans la cybercriminalité et présenté au Black Hat États-Unis, trouve ses origines dans une analyse de l’Université technique tchèque qui a révélé des roues geost, un botnet et une campagne de logiciels malveillants Android comme des centaines infectés de milliers d’utilisateurs. Ce travail a permis aux chercheurs d’examiner les journaux pour certaines des personnes impliquées.

Ils ont pu trouver des traces de personnes dans ces journaux sur des forums en ligne et d’autres plates-formes de discussion et avoir une idée de leurs motivations.

«Nous avons commencé à comprendre que même s’ils étaient impliqués dans la diffusion de programmes malveillants, ils n’étaient pas nécessairement cerveaux, mais plutôt des travailleurs informels, ceux qui travaillent sur de petits projets», a déclaré Masarah Forfait-Clouston, chercheur de sécurité à Gosécur.

Bien que ces personnes sont au bas de la hiérarchie, ils exécutent des tâches utiles pour les cyber-criminels à des sites d’utilisation et d’outils, ils créent des activités malveillantes, y compris le phishing et les logiciels malveillants communication.

« Ils essaient de gagner leur vie et peut – être le salaire du crime mieux, donc ils vont là – bas, » a déclaré Sebastian Garcia, professeur adjoint à l’Université technique tchèque, affirmant que nous devons accorder plus d’ attention aux personnes qui oscillent entre la cybercriminalité et l’ activité juridique.

« Il y a beaucoup de gens dans ces forums publics que les sociétés de sécurité ne se rapportent pas, mais ce sont ceux qui soutiennent la majorité du travail, la création de pages web pour les e – mails de phishing, l’ APK, le cryptage, les logiciels malveillants, mulet, » dit – il.

L’arbre qui dissimule la forêt
« Si nous nous concentrons toujours sur des cerveaux » délinquants motivés « qui ont vraiment développé le Botnemetten et les moyens de gagner de l’argent avec tout cela, nous oublions les travailleurs », avertit M. Paquet-Clouston. « En tant que société, nous oublions souvent que beaucoup de gens sont impliqués et que ce n’est pas nécessairement des personnes très motivées, mais plutôt ceux qui finissent par faire l’activité », a-t-elle déclaré.

Mais cela ne signifie pas nécessairement que les personnes impliquées dans ces systèmes doivent être traitées comme des cybercriminels de vol élevé, en particulier lorsque certains ne savent même pas que leurs compétences sont utilisées pour la cybercriminalité.

En fait, il serait possible de donner à bon nombre de ces personnes la possibilité d’utiliser leurs avantages de compétences plutôt que de les utiliser pour l’aider à la criminalité.

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Le coût des « piratages » professionnelles atteint un niveau record

Les grandes attaques des grandes entreprises et l’exposition de 50 à 65 millions d’enregistrements ont un prix élevé, jusqu’à 401 millions de dollars.

Selon une étude IBM, le coût moyen d’une attaque est de plus de 4 millions de dollars.

Le coût des piratages professionnelles atteint un niveau record

Le coût moyen d’une attaque a maintenant dépassé le barreau fatidique de 4 millions de dollars et a atteint un niveau record en vertu de la crise de la santé. Dans un rapport publié mercredi d’IBM, Big Blue estime que, en 2021, coûte une violation de données typique des entreprises de 4,24 millions USD. Le coût est de 10% supérieur à 2020.

En France, les secteurs les plus touchés sont des services financiers, du secteur pharmaceutique ainsi que de la technologie. Au niveau international, aux secteurs de la santé et des services financiers qui enregistrent les violations les plus chères.

Logiciels malveillants et hameçonnage

IBM estime qu’environ 60% des entreprises se sont tournées vers «Cloud» pour poursuivre leurs activités, bien que le renforcement du contrôle de la sécurité n’ait pas nécessairement suivi. Lorsque l’utilisation de travaux distants a explosé, elle était la même pour les infractions de données dont les quantités ont augmenté de 1 million de dollars – les taux les plus élevés de 4,96 millions de dollars contre 3, 89 millions de dollars.

Le vecteur d’attaque le plus courant des victimes de données d’un transfert de données est un compromis sur les informations d’identification, soit extraits des souches de données soumises, vendues ou obtenues par une attaque de force brute. Une fois que le réseau est infiltré, les informations personnelles identifiables (IPI) sont devenues des clients, notamment des noms et des adresses électroniques, volées dans près de la moitié des cas.

Services informatique Hyères

En 2021, il a fallu un total de 287 jours pour détecter et contenir une violation de données ou 7 jours de plus que l’année précédente. Au total, une organisation moyenne n’enregistrera pas d’entrer dans les 212 jours. Il ne sera donc pas capable de résoudre complètement le problème avant que 75 jours supplémentaires soient passés.

Les infractions de données dans le secteur de la santé ont été les plus chères, avec une moyenne de 9,23 millions de USD suivi des services financiers – 5,72 millions de dollars – et des médicaments, avec 5,04 millions de dollars.

Selon IBM, les entreprises qui utilisent des solutions de sécurité sont basées sur des algorithmes d’intelligence artificielle (AI), l’apprentissage automatique, l’analyse et le cryptage, ont tous diminué le coût potentiel d’une violation qui permet aux entreprises. Économisez en moyenne entre 0,1 25 et 1,49 million de dollars.

« L’augmentation des infractions de données sont une autre dépense supplémentaire pour les entreprises en fonction des changements technologiques rapides lors de la pandémie », a déclaré Chris McCurdy, vice-président de la sécurité IBM. « Bien que le coût des infractions de données ait atteint un niveau record au cours de la dernière année, le rapport a également démontré des signes positifs de l’impact des tactiques de sécurité modernes, telles que l’AI, l’automatisation et l’adoption d’une approche de confiance zéro – qui pourrait être payée en réduisant coûte ces incidents plus tard. « 

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Des cybercriminels attaques des Ransomwares.

Un membre du groupe de Ransomware Conti, visiblement insatisfait des négociations de groupe, a publié plusieurs documents en ligne décrivant les méthodes et les outils recommandés pour cibler les entreprises.

Des cybercriminels attaques des Ransomwares.

Si la fuite ne révèle pas de nouveau fondamental, il permet de mettre en évidence le fonctionnement de ces groupes « Ransomware en tant que service » composé d’un petit nombre d’opérateurs sur le chef de programme qui prend en charge les négociations et la récupération de la rançon et de nombreux « Affecté », responsable de la compromission sur le système informatique de la victime ou de la mise en œuvre des étapes initiales de la détonation du Groupe fourni par le groupe. Les rancingions sont ensuite réparties entre les différents membres du groupe conformément au rôle de chacun suivant: Selon le Soft Computer réserve les opérateurs du groupe Normalement 20 à 30% de la rançon et renvoie le reste de la somme à trouver dans le compromis , le système informatique de la victime.

Dans ce cas, les membres insatisfaits prétendent avoir reçu «seulement» 1500 dollars à la suite d’une rançon, qu’il lui a dit, a motivé sa décision de diffuser les documents. Une source anonyme citée par Soft Computer Progresser une autre théorie: cybercriminal à l’origine du couvercle des données aurait été interdit par les Conti opérateurs après avoir pris la promotion d’un concurrent ransomware.

Dans cette archive, 37 documents texte donnant des indications sur l’utilisation de plusieurs outils utilisés par les membres de la groupe Conti: Cobalt Strike, un outil de test de pénétration souvent utilisé par les cybercriminels, la métasploite et et les tutoriels pour expliquer l’utilisation de l’utilisation de Les erreurs, telles que le zérologon ou les méthodes de facilitation des mouvements latéraux dans les systèmes informatiques infectés.

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Kaseya prétend avoir payé aucune rançon

L’éditeur logiciel Kaseya a refusé d’avoir payé une rançon pour un déchiffrement universel après plusieurs jours avec des questions sur la manière dont l’outil est atteint.

Le 21 juillet, la Société a annoncé qu’un outil de déchiffrement universel a été réalisé grâce à une «tierce partie» et a travaillé avec Emsisoft Security Company pour aider les victimes de l’attaque de Ransomware REvil.

Kaseya prétend avoir payé aucune rançon

Lundi, Kaseya a publié une déclaration qui refuse des rumeurs qu’elle aurait payé une rançon sur REvil, le groupe Ransomware, a lancé l’attaque. REvil a demandé à l’origine une rançon de 70 millions de dollars, mais l’aurait réduit de 50 millions de dollars avant que tous ses sites Web ne disparaissent le 13 juillet.

Theresa Payton, ancien directeur des informations de la Maison-Blanche et expert en cybersécurité, a déclaré que les accords non-informations après les attaques sont plus fréquents que vous ne pourriez penser, mais a noté que « demander un accord sur les non-renseignements aux victimes n’est pas une pratique quotidienne pour chaque incident ».

« Lorsqu’un incident affecte davantage de victimes, le conseiller juridique demande à signer un accord sur les non-renseignements pour que la solution du problème ne soit pas publiée », a déclaré Payton.

Payton a ajouté que les causes de la demande de contrat de non-publication ne sont pas toujours mauvaises et invitées à consulter leurs avocats avant de signer quelque chose.

La société et la manière dont l’outil de décryptage universel a été atteint? Selon la presse, la société a chargé un accord de non-publication aux entreprises souhaitant profiter de cet outil.

« Nous certifions clairement que Kaseya n’a pas payé la rançon, que ce soit directement ou indirectement à travers un tiers, pour obtenir du déchiffrement », déclare la déclaration de Kaseya.

« Bien que chaque entreprise devait prendre sa propre décision sur le paiement de RanSom, Kaseya a décidé après avoir consulté des experts, de ne pas négocier avec les criminels qui ont commis cette attaque et que nous n’arrêtions pas de cet engagement. »

Selon la Déclaration, l’équipe d’intervention des incidents d’Emsisoft et de Kaseya a travaillé tous les week-ends pour fournir un déchiffrement avec certaines des 1 500 victimes touchées par l’attaque, y compris une grande chaîne de supermarchés en Suède, de l’Université Virginia Tech et des ordinateurs gouvernementaux locaux à Leonardtown, dans le Maryland.

La société a déclaré qu’elle avait appelé à toutes les victimes de manifester et d’ajouter que l’outil « s’est avéré 100% pour déchiffrer les fichiers complètement cryptés lors de l’attaque ».

Si la nouvelle d’un décendrier universel a été accueillie par des centaines de victimes touchées, certains soulignent qu’il existait un accord de non-information que Kaseya audacieuse les entreprises à signer l’échange d’outils.

CNN a confirmé que Kaseya a exigé un accord de non-information (NDA) d’accéder au déchiffrement. Dana Liedholm, porte-parole de Kaseya et plusieurs sociétés de cyber-sécurité impliquées, ont déclaré à ZDN et qu’ils ne pouvaient pas commenter cet accord.

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