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Des documents personnels de 29 000 cotisants ont été divulgués par incompétence/erreur de l’URSSAF.

MAJ: 08/05/23 – L’URSSAF estime que les informations de 10.640 personnes ont pu être consultées par des tiers. L’Urssaf a informé les personnes concernées de cette situation et met à leur disposition le numéro de téléphone 36 98 pour toute information supplémentaire.

Environ 7 400 individus ont eu accès aux documents contenant des informations sensibles avant qu’ils ne soient supprimés par l’URSSAF

Des documents personnels de 29 000 cotisants ont été divulgués par incompétence/erreur de l'URSSAF

Divulgation accidentelle: 29 000 cotisants de l’URSSAF victimes d’une fuite de données personnelles

Le week-end dernier, un grand nombre d’internautes se sont plaints d’avoir pu accéder aux échéanciers de régularisation de cotisations pour l’année 2022 et aux appels de cotisations pour l’année 2023 de tiers sur leur compte Urssaf.

Cette erreur informatique a été confirmée par l’organisme de collecte de cotisations et de contributions, qui a déclaré au journal Le Monde qu’environ 29 000 personnes étaient concernées.

Selon Compta online, les internautes ayant eu accès à ces documents ont également pu voir les noms des cotisants, leurs adresses, leurs numéros de compte Urssaf, leurs numéros IBAN et leurs revenus déclarés pour l’année 2022.

Incompétence de l’URSSAF: 29 000 cotisants affectés par la divulgation de leurs documents personnels

Il est important de noter que cette fuite ne semble pas concerner les autoentrepreneurs, selon les premières constatations de l’Urssaf.

En tout, environ 7 400 personnes ont pu consulter les documents en question.

Selon l’organisme en question, les données professionnelles de 7 400 travailleurs indépendants ayant effectué leur déclaration de revenus avant le 27 avril ont été exposées sur leur compte en ligne suite à un « incident informatique ».

Chaque année, après que les travailleurs ont rempli leur déclaration pour l’année précédente, l’Urssaf envoie des échéanciers recalculés avec leurs cotisations sociales mises à jour. Bien que l’opération ait concerné environ 49 000 personnes le week-end dernier, toutes les caisses régionales n’ont pas été affectées.

Erreur majeure de l’URSSAF: Les documents personnels de 29 000 cotisants exposés

Dans la région Champagne-Ardenne, par exemple, un cotisant a reçu la régularisation de « dix-huit autres personnes ».

D’après les informations dont je dispose, des personnes à Brest ont été autorisées à télécharger des fichiers et certificats pour le compte d’environ une vingtaine de professionnels indépendants locaux.

Cependant certains ont également signalé avoir reçu plus de 300 pages de calendriers d’Urssaf qu’ils n’ont finalement pas eu besoin d’utiliser !

Le scandale de la divulgation: 29 000 cotisants de l’URSSAF touchés par une faille de sécurité

L’Urssaf a expliqué au Monde que la raison de cet incident était un « incident informatique », qui a entraîné l’affichage des informations de travailleurs indépendants ayant réalisé leur déclaration de revenus avant le 27 avril sur le compte en ligne de 7 400 travailleurs indépendants.

L’Urssaf a souligné que la transmission d’échéanciers mis à jour faisait partie de la procédure « classique » à cette période de l’année.

Après avoir rempli leur déclaration de revenus pour l’année précédente, les cotisations sociales des travailleurs indépendants sont recalculées et un nouvel échéancier leur est envoyé.

L’URSSAF confronté à un problème de confidentialité: 29 000 cotisants touchés par la fuite de leurs documents personnels

L’opération avait concerné environ 49 000 personnes ce week-end, a précisé l’Urssaf. Toutefois, toutes les caisses régionales n’ont pas été touchées par le problème, dont les causes exactes font toujours l’objet d’une enquête interne.

Les documents contenant les informations de tiers étaient stockés sur les espaces personnels d’environ 29 000 usagers ; 1 650 ont consulté ces documents durant le week-end, avant que l’Urssaf ne les supprime.

Elle a également supprimé 22 000 fichiers erronés avant qu’ils ne soient ouverts par les destinataires.

Les personnes concernées par ces erreurs de diffusion, au nombre de 10 640 selon les premières conclusions de l’enquête interne, devraient recevoir prochainement un message pour les alerter.

L’Urssaf a signalé le problème à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), comme le prévoit la loi.

Elle encourage également les « personnes dont les informations ont été potentiellement consultées » à « être vigilantes sur d’éventuels mouvements bancaires suspects ».

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MSI victime d’un ransomware

Money Message, un groupe de ransomware, affirme posséder des codes sources appartenant à MSI et exige le versement d’une rançon de 4 millions de dollars.

Une cyberattaque sur MSI

MSI, un fabricant taïwanais de composants pour PC, a été répertorié sur le portail d’extorsion de Money Message. Ce groupe de rançongiciels a volé 1,5To de données, dont le code source du réseau de l’entreprise, selon Bleeping Computer.

Les pirates réclament une rançon

Les pirates ont publié des captures d’écran de bases de données CTMS et ERP de MSI, ainsi que des fichiers contenant du code source et des clés de sécurité pour prouver leurs actions.

MSI n’a ni confirmé ni nié les allégations des pirates, mais la société a admis avoir été victime d’une cyberattaque dans un communiqué.

MSI a activé ses mécanismes de défense

Elle a expliqué que dès qu’elle a détecté des anomalies sur le réseau, elle a immédiatement activé les mécanismes de défense appropriés, pris des mesures de récupération et signalé l’incident aux agences gouvernementales compétentes et aux unités de cybersécurité.

Les pirates ont menacé de publier les documents volés si MSI ne paie pas une rançon de 4 millions de dollars dans les cinq jours.

Bien que la date limite soit passée, aucun document n’a encore été publié à ce jour.

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Les données collectées sur mobile sont devenues une source précieuse d’informations pour de nombreuses entreprise

Elles comportent également des risques considérables pour la sécurité et la vie privée des utilisateurs. Dans cet article, nous examinerons les différents risques associés à la collecte de données sur mobile et les mesures que les utilisateurs peuvent prendre pour protéger leurs données.

Les données collectées sur mobile sont devenues une source précieuse d’informations pour de nombreuses entreprise
  1. Risque de piratage et d’exploitation des données
    Les données collectées sur mobile peuvent inclure des informations sensibles telles que les noms, les numéros de téléphone, les adresses e-mail, les données de géolocalisation et les informations financières.
    Ces informations peuvent être piratées ou exploitées par des tiers malveillants, ce qui peut entraîner des pertes financières ou des atteintes à la vie privée.
  2. Risque de violation de la vie privée
    Les données collectées sur mobile peuvent également inclure des informations sur les habitudes de navigation, les préférences et les comportements des utilisateurs.
    Ces informations peuvent être utilisées pour créer des profils détaillés des utilisateurs, qui peuvent être utilisés à des fins publicitaires ou de surveillance. Les utilisateurs peuvent être soumis à des publicités ciblées et invasives ou à une surveillance sans leur consentement.
  3. Risque de collecte et de partage des données par les applications
    De nombreuses applications collectent des données sur les utilisateurs, souvent sans leur consentement ou leur connaissance. Certaines applications peuvent également partager ces données avec des tiers à des fins publicitaires ou de marketing.
    Les utilisateurs doivent être conscients de ces pratiques et prendre des mesures pour protéger leurs données, telles que la lecture des politiques de confidentialité et la désactivation des autorisations d’accès inutiles.
  4. Risque de vol d’identité
    Les informations personnelles collectées sur mobile peuvent être utilisées pour voler l’identité des utilisateurs. Les pirates informatiques peuvent utiliser ces informations pour accéder aux comptes bancaires, aux réseaux sociaux et à d’autres informations sensibles.
    Les utilisateurs doivent être prudents lorsqu’ils partagent des informations personnelles et s’assurer que les sites et les applications qu’ils utilisent sont sécurisés.
  5. Risque de tracking et de géolocalisation
    Les données de géolocalisation collectées sur mobile peuvent être utilisées pour suivre les déplacements des utilisateurs et pour surveiller leur comportement.
    Les utilisateurs doivent être conscients des applications et des services qui utilisent la géolocalisation et être prudents lorsqu’ils partagent leur emplacement.

En conclusion, les données collectées sur mobile peuvent être utiles pour les entreprises, mais elles comportent également des risques pour la sécurité et la vie privée des utilisateurs.

Les utilisateurs doivent être conscients de ces risques et prendre des mesures pour protéger leurs données, telles que la lecture des politiques de confidentialité, la désactivation des autorisations d’accès inutiles et la sélection de sources fiables pour les applications et les services.

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Cyberattaque au CHU de Brest!

CHRU de Brest victime d’une cyberattaque majeure : dernières informations

Le Centre hospitalier universitaire de Brest a été victime d’une attaque informatique le jeudi 9 mars. Des cybercriminels se sont introduits dans le système informatique de l’établissement, affectant plusieurs serveurs.

Cyberattaque au CHRU de Brest!
Cyberattaque au CHRU de Brest!

Pas disponibles jusqu’à nouvel ordre

Les services fonctionnent actuellement en mode dégradé, mais les urgences et les interventions sont assurées. En revanche, les communications extérieures, les rendez-vous, les envois de résultats et le site internet ne sont pas disponibles jusqu’à nouvel ordre.

Les patients du CHRU de Brest touchés par une attaque informatique

À ce jour, l’origine de l’attaque n’a pas été revendiquée, et il n’y a pas de fuite de données de santé identifiée.

Le centre hospitalier universitaire (CHU) de Brest, en France, a été victime d’une attaque informatique le 9 mars 2023. Les cybercriminels ont réussi à infiltrer le système informatique de l’établissement à 20h33, selon un communiqué publié par le CHU. Les serveurs du CHU ont été touchés, ce qui a entraîné une perturbation des services. Les services concernés ont été isolés pour éviter la propagation de la souche malveillante.

Comprendre les causes et les conséquences de la cyberattaque qui a frappé le CHRU de Brest

Le cas du CHU de Brest rappelle celui de l’hôpital public de Barcelone, en Espagne, qui a subi une attaque informatique similaire. Les services ont été perturbés et fonctionnent en mode dégradé. Bien que le système d’information continue de fonctionner, il tourne en mode dégradé. Les systèmes touchés sont isolés pour empêcher la propagation de la souche malveillante. Les appels téléphoniques restent disponibles au 02 98 22 33 33.

Comprendre les causes et les conséquences de la cyberattaque qui a frappé le CHRU de Brest

CHRU de Brest : comment le système informatique a été rétabli après la cyberattaque

Malgré les perturbations, les services d’urgence du CHU de Brest fonctionnent normalement et les interventions ne sont pas déprogrammées. Cependant, il y a des problèmes de communication avec plusieurs services extérieurs, tels que les associations, le SAMU et les envois de résultats. Le CHU de Brest n’est plus en mesure de proposer la télémédecine, la téléconsultation ni la prise de rendez-vous, jusqu’à nouvel ordre. En outre, le site internet de l’établissement est inaccessible.

Renforcement de la sécurité informatique au CHRU de Brest suite à l’attaque qui a perturbé les soins prodigués

Il n’a pas été révélé si cette attaque était le résultat d’un ransomware ou d’un autre type de logiciel malveillant. Cependant, il n’y a eu aucune fuite de données de santé et aucune donnée n’a été compromise en interne, selon des propos relayés par France 3. Une enquête est en cours pour déterminer l’origine de cette attaque et s’il y a eu une violation de données.

Après la cyberattaque au CHRU de Brest : Les mesures prises pour rétablir les services de santé

Cette attaque informatique souligne l’importance de la sécurité informatique dans les établissements de santé. Les hôpitaux sont souvent des cibles privilégiées des cybercriminels en raison de la nature sensible des données qu’ils stockent. Les hôpitaux doivent être vigilants pour se protéger contre les attaques et mettre en place des plans de continuité d’activité pour minimiser les perturbations en cas d’incident.

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la gendarmerie nationale et sa participation au FIC!

Le ministère des Armées a décidé de ne pas participer au Forum international de la Cybersécurité de Lille, événement phare du secteur de la cyber sécurité.

Il est possible que la gendarmerie prenne ses distances vis-à-vis de Avisa Partners et du Forum international de la cybersécurité!
Il est possible que la gendarmerie prenne ses distances vis-à-vis de Avisa Partners et du Forum international de la cybersécurité!

Relations difficiles

Cette annulation est due à l’augmentation des prix de l’événement et certains évoquent également les relations difficiles entre l’organisateur, Avisa Partners, et le ministère des Armées et la DGSE.

Exhorté à renoncer à l’édition 2023 du FIC

Challenges a révélé que le général Yann Gravêthe, directeur par intérim de la Dicod (Délégation à l’information et à la communication de la Défense), a demandé à toutes les grandes divisions du ministère de renoncer à l’édition 2023 du FIC, prévu pour se tenir du 5 au 7 avril à Lille.

Coorganisé par la gendarmerie

Cette annulation intervient alors que le FIC est coorganisé par la gendarmerie et que le ministère des Armées avait prévu un grand stand pour présenter les services de renseignement sous sa tutelle.

Très forte inflation constatée au FIC

Officiellement, cette décision aurait été motivée par l’augmentation des coûts dans le domaine de l’événementiel (+27% en dix-huit mois).

Les casseroles traînées par Avisa

Cependant, certains remettent en question cette justification et pointent du doigt Avisa, le co-organisateur du salon, pour avoir publié de nombreux articles mensongers dans plusieurs médias et avoir porté plainte contre ceux qui en ont fait état.

La gendarmerie nationale envisage de revoir sa participation au FIC, après que les armées l’aient fait également.

En tant que co-organisatrice avec Avisa Partners du Forum international de la cybersécurité, la gendarmerie a récemment pris une décision importante concernant sa relation avec un groupe d’intelligence économique.

Elle a décidé de prendre ses distances avec cette entité et cherche actuellement à régler la question de leur collaboration future avec les autorités de Matignon.

En parallèle, la gendarmerie travaille sur une doctrine spécifique qui sera destinée à tous les ministères régaliens et qui régira les interactions avec la société dirigée par Matthieu Creux.

La cybersécurité est une préoccupation croissante

Il est important de comprendre l’importance de cette décision pour la gendarmerie, qui est une force de police essentielle en France.

La cybersécurité est une préoccupation croissante dans le monde entier, et la gendarmerie joue un rôle important dans la protection des infrastructures critiques, la lutte contre la cybercriminalité et la prévention des menaces liées à la cybersécurité.

Dans ce contexte, la décision de se distancer d’un groupe d’intelligence économique doit être vue comme un geste fort de la part de la gendarmerie, qui prend très au sérieux les enjeux de sécurité nationale.

Les détails exacts n’ont pas été rendus publics.

La décision de la gendarmerie de se distancer du groupe d’intelligence économique a été prise après une analyse minutieuse de leur collaboration passée.

Bien que cette collaboration ait été fructueuse dans le passé, la gendarmerie a finalement décidé qu’il était dans son intérêt de prendre ses distances avec cette entité pour des raisons de sécurité et d’éthique.

Les détails exacts de cette décision et de la collaboration passée entre les deux entités n’ont pas été rendus publics.

Décision en cours d’arbitrage à Matignon

Cependant, il est important de noter que cette décision n’est pas définitive et que l’avenir de la collaboration entre la gendarmerie et le groupe d’intelligence économique est en cours d’arbitrage à Matignon.

Il est possible que les deux entités puissent travailler ensemble à l’avenir, en fonction des résultats de cet arbitrage et des discussions en cours.

Assurer la sécurité et l’éthique dans toutes les collaborations

En outre, la gendarmerie travaille sur une doctrine spécifique qui sera destinée à tous les ministères régaliens et qui régira les interactions avec la société dirigée par Matthieu Creux.

Cette doctrine sera essentielle pour assurer la sécurité et l’éthique dans toutes les collaborations entre la gendarmerie et d’autres entités, en particulier dans le domaine de la cybersécurité.

La gendarmerie prend très au sérieux les enjeux de cybersécurité

La décision de la gendarmerie de se distancer d’un groupe d’intelligence économique doit être vue comme un geste fort en faveur de la sécurité nationale et de l’éthique.

Bien que les détails exacts de la collaboration passée n’aient pas été rendus publics, il est clair que la gendarmerie prend très au sérieux les enjeux de cybersécurité et travaille dur pour assurer la sécurité de la France et de ses citoyens.

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Les ransomwares : une menace de plus en plus présente pour les entreprises

41 % des paiements de rançon ont échoué

Le rapport révèle que 41 % de ceux qui ont payé une rançon aux cybercriminels n’ont pas réussi à récupérer toutes leurs données.

Une menace de plus en plus présente pour les entreprises

Les fuites de données persistent

De plus, près d’un tiers (29 %) des entreprises ayant payé une rançon avaient encore des fuites de données.

L’augmentation des attaques de ransomware

Le rapport montre que 19 % des entreprises attaquées ont été victimes de ransomware, comparativement à 16 % l’année précédente. Cette augmentation peut être liée à la pandémie qui a entraîné une augmentation des cyberattaques en général.

En conclusion, le Rapport Hiscox 2022 sur la gestion des cyber-risques et ransomware montre que payer une rançon ne garantit pas la récupération de toutes les données et que les fuites de données persistent. De plus, l’augmentation des attaques de ransomware est un véritable défi pour les entreprises et leur sécurité informatique. Il est donc important de mettre en place des mesures de prévention et de protection pour limiter les risques et les impacts des attaques de ransomware.

Le Rapport Hiscox 2022 sur la gestion des cyber-risques et ransomware a mis en lumière une tendance inquiétante : les entreprises qui ont payé une rançon pour récupérer leurs données se retrouvent souvent confrontées à de nouveaux pièges.

Les dangers de payer une rançon

Payer une rançon peut sembler être la solution la plus rapide et la plus simple pour récupérer ses données, mais cela peut également exposer l’entreprise à de nouveaux risques. Les criminels peuvent par exemple exiger un deuxième paiement pour débloquer les fichiers, ou utiliser les informations récupérées pour mener d’autres attaques.

Les statistiques inquiétantes du rapport

Le Rapport Hiscox 2022 a révélé que 43 % des entreprises qui ont payé une rançon ont été confrontées à des problèmes supplémentaires. Parmi ces entreprises, 36 % ont été victimes d’une nouvelle attaque, 29 % ont vu leurs données volées ou exposées et ont été confrontées à des problèmes de confidentialité.

Les autres options à envisager contre les ransomwares

Face à ces risques, il est important pour les entreprises de considérer d’autres options pour récupérer leurs données, comme la restauration à partir de sauvegardes ou l’utilisation d’outils de décryptage. Les entreprises doivent également mettre en place des plans de réponse à l’incident pour minimiser les dommages en cas d’attaque.

La prévention des ransomwares, toujours la meilleure solution

La meilleure solution reste cependant la prévention. Les entreprises doivent mettre en place des mesures de sécurité solides pour éviter les attaques de ransomware, comme la sensibilisation des employés, la mise à jour régulière des logiciels et la sauvegarde régulière des données.

En conclusion, le Rapport Hiscox 2022 souligne l’importance pour les entreprises de considérer les risques associés au paiement d’une rançon et de prendre des mesures pour minimiser ces risques. La prévention reste la meilleure solution pour protéger son entreprise contre les cyber-attaques et les ransomwares.

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Deux hôpitaux de Lyon ont été victimes d’une attaque informatique

Des hôpitaux du groupe Ramsay

Deux hôpitaux de Lyon ont été victimes d’une attaque informatique

Des hôpitaux appartenant au groupe Ramsay, tels que l’hôpital Jean-Mermoz à Lyon et l’hôpital de l’Est lyonnais à Saint-Priest, ont subi une tentative de cyberattaque sur leurs serveurs informatiques la semaine dernière.

Victime d’une cyberattaque

Le groupe Ramsay Santé a été victime d’une cyberattaque la semaine dernière, visant notamment l’hôpital privé Jean-Mermoz à Lyon et l’hôpital privé de l’Est Lyonnais à Saint-Priest.

Aucun vol de données ni propagation

Le groupe a déclaré avoir immédiatement activé sa procédure de sécurité et qu’il n’y avait eu aucun vol de données ni aucune propagation de l’incident à leurs patients. Les enquêtes continuent en collaboration avec les services de l’État.

L’hôpital Jean-Mermoz

Des mesures de précaution ont été prises suite à cette tentative d’intrusion informatique, causant des ralentissements dans la prise en charge des patients, notamment à l’hôpital Jean-Mermoz.

Les urgences ont été fermées jusqu’à mardi et les hospitalisations en chirurgie ont été reportées.

Ramsay Santé en France

Il convient de noter qu’en août 2019, les 120 établissements de Ramsay Santé en France ont également subi une cyberattaque, entraînant des conséquences durables pendant plusieurs semaines.

Intrusion sur ses serveurs informatiques

Ramsay Santé a déclaré être la cible d’une tentative d’intrusion sur certains de ses serveurs informatiques le mercredi 25 janvier 2023.

Hôpital privé de l’Est lyonnais à Saint-Priest

Quatre établissements de santé en France ont été touchés, y compris l’hôpital privé Jean-Mermoz à Lyon, l’hôpital privé de l’Est lyonnais à Saint-Priest et la clinique Convert de Bourg-en-Bresse.

Comme mesure de sécurité, le groupe a fermé les accès extérieurs à ses systèmes après avoir détecté des anomalies. Les investigations sont en cours en collaboration avec les services de l’Etat pour permettre à nouveau l’accès au réseau depuis l’extérieur.

Le groupe est passé en mode dégradé, causant un ralentissement des prises en charge. Ramsay Santé a informé ses partenaires et les autorités sanitaires et a mobilisé des experts techniques et d’investigation indépendants.

Ni vol de données ni propagation

L’enquête a révélé qu’il n’y avait ni vol de données ni propagation de l’incident à leurs patients.

Ramsay Santé emploie 36 000 personnes et travaille avec environ 8 600 libéraux dans 5 pays: la France, la Suède, la Norvège, le Danemark et l’Italie.

Le groupe soigne 7 millions de patients par an dans ses 350 établissements.

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 Bien effacer vos fichiers avant de recycler votre ordinateur 

Lorsque vous décidez de recycler ou revendre votre ordinateur, il est essentiel de penser à effacer correctement toutes les données qui y sont stockées.
En effet, il est très facile de récupérer des fichiers même lorsqu’ils ont été « effacés » de manière classique, ce qui peut être très dangereux pour votre vie privée et votre sécurité.

 Bien effacer vos fichiers avant de recycler votre ordinateur

Il existe plusieurs méthodes pour effacer correctement vos fichiers avant de revendre votre ordinateur. Voici quelques exemples :

  1. La réinitialisation de l’ordinateur : cette méthode consiste à remettre votre ordinateur dans l’état où il était lorsque vous l’avez acheté. Toutes les données personnelles et les programmes installés seront effacés et votre ordinateur sera prêt à être utilisé par un autre utilisateur.
  2. L’effacement physique : cette méthode consiste à détruire physiquement les disques durs de votre ordinateur. Cette solution est très radicale mais garantit que vos données ne seront jamais récupérables.
  3. L’effacement logiciel : il existe de nombreux logiciels spécialisés dans l’effacement de données. Ces outils permettent d’effacer de manière sécurisée vos fichiers et de les rendre totalement irrécupérables.
  4. La sauvegarde : avant de revendre votre ordinateur, vous pouvez également opter pour la sauvegarde de vos données sur un autre support (disque dur externe, clé USB, etc.). Cela vous permettra de conserver vos fichiers de manière sécurisée et de les retrouver facilement lorsque vous en avez besoin.

Il est important de choisir la méthode qui convient le mieux à vos besoins et à votre niveau de sécurité.

Titan-informatique et la destruction de données

Notre entreprise basée sur la Ville de la Crau vous propose des services de nettoyage et de sauvegarde informatique pour vous aider à effacer correctement vos fichiers avant de recycler votre ordinateur.
Nous utilisons des outils professionnels pour sécuriser vos données et les rendre totalement irrécupérables, de manière à ce que vous puissiez recycler votre ordinateur en toute tranquillité.

Conseils pour la gestion de vos données

Notre équipe de techniciens expérimentés vous accompagne tout au long de la procédure de nettoyage et vous fournit des conseils et des astuces pour protéger votre vie privée et votre sécurité informatique.
Nous proposons également des services de sauvegarde pour vous permettre de conserver vos données de manière sécurisée et de les retrouver facilement lorsque vous en avez besoin.

N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus sur nos services de nettoyage et de sauvegarde informatique sur la Ville de la Crau.

Nous sommes à votre disposition pour répondre à toutes vos questions et vous aider à effacer correctement vos fichiers avant de revendre votre ordinateur.

Dépannage informatique

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Les compagnies d’assurance cherchent à vous faire régler les frais des dommages causés par les cyberattaques.

Selon le Financial Times, le dirigeant d’un des plus grands groupes d’assurance au monde a récemment déclaré que les coûts causés par les cyberattaques dépassent désormais leur capacité à les couvrir en tant qu’assureur et qu’il appelle à l’intervention des gouvernements pour gérer ces coûts via des partenariats public-privé, financés par les impôts des contribuables.

Les compagnies d’assurance cherchent à vous faire régler les frais des dommages causés par les cyberattaques.

En 2022, de nombreux hacks de grande ampleur ont été perpétrés par des groupes de pirates, parfois même liés à des gouvernements.

Ces attaques ont causé des pertes financières, techniques et d’investissements potentiellement considérables, mettant en danger des millions, voire des milliards de dollars. Ces hacks ont également soulevé la question du coût de leur impact.

Les cyberattaques visent de plus en plus des infrastructures critiques, comme les pipelines aux Etats-Unis qui ont été bloqués cette année par une attaque, causant une pénurie temporaire de carburant.

Elles peuvent également cibler des hôpitaux, comme cela a été le cas pendant la pandémie de Covid.
De plus, les services étatiques, qui peuvent avoir accès à des informations stratégiques ou qui rassemblent des données sur des millions de personnes, sont également une cible possible.

Les perturbations causées par les cyberattaques ont un coût financier réel et potentiel, ce qui a poussé les assureurs à modifier leurs polices d’assurance pour exclure certaines formes d’attaques.
Par exemple, la Lloyd’s a demandé en septembre dernier que les cyberattaques financées par un État ne soient pas couvertes par l’assurance, selon le Financial Times. Cela signifie que les assureurs ne veulent pas être responsables des coûts engendrés par les conséquences d’une cyberattaque.

Le gouvernement américain aurait lancé en septembre un appel à avis pour évaluer la possibilité de mettre en place une assurance fédérale contre les cyberattaques.
Cette démarche intervient suite à l’incident de la Colonial Pipeline, qui a mis en lumière les répercussions potentiellement graves d’une attaque informatique sur la vie quotidienne.

L’idée de l’Etat en tant que garant n’est pas nécessairement mauvaise, car il s’agit en effet d’un enjeu de société. Cependant, il semble que cette protection devrait être soumise à un contrôle préalable et à des contreparties. En fin de compte, les piratages sont souvent rendus possibles en raison de la négligence des entreprises ou de leur manque d’investissements dans la cybersécurité.
Avant de solliciter les fonds des contribuables, il serait donc raisonnable que le secteur privé s’assure de disposer des moyens nécessaires pour se protéger au mieux.

L’assurance informatique est un concept qui vise à protéger votre entreprise contre les risques liés à votre utilisation de l’informatique. Elle peut couvrir différents types de sinistres, comme les dégâts matériels, les pertes de données, les virus et les piratages. Elle peut également inclure des services de maintenance et de sauvegarde pour assurer le bon fonctionnement de votre matériel informatique.

Il existe plusieurs méthodes pour assurer votre informatique. Voici quatre options populaires :

  1. L’assurance tous risques : Cette formule couvre l’ensemble des risques liés à votre utilisation de l’informatique. Elle peut inclure des services de maintenance et de sauvegarde pour vous aider à prévenir les problèmes informatiques.
  2. L’assurance sélective : Cette formule vous permet de choisir les risques que vous souhaitez couvrir. Vous pouvez par exemple opter pour une couverture uniquement contre les dégâts matériels ou les pertes de données.
  3. Les services cloud : Il s’agit d’un modèle d’assurance informatique basé sur le cloud computing.
    Vous bénéficiez de services de sauvegarde et de maintenance accessibles en ligne, sans avoir à investir dans du matériel informatique coûteux.
  4. Les assurances informatiques à la carte : Cette formule vous permet de souscrire à des services à la carte, selon vos besoins.
    Vous pouvez par exemple opter pour une couverture uniquement contre les virus ou les piratages, ou choisir des services de sauvegarde et de maintenance à la demande.
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Les pirates d’Unsafe sont de retour et ont de nouveau piraté le loueur UCAR

Le groupe COSMOBILIS qui a intégré Ucar à son portefeuille d’entreprises, le regrette déjà ?

Les pirates d’Unsafe sont de retour et ont de nouveau piraté le loueur UCAR

L’entreprise UCAR France, spécialisée dans la location de véhicules, a-t-elle été piratée à plusieurs reprises ? Le groupe de pirates informatiques Unsafe a récemment diffusé des milliers d’identifiants de connexion qui appartiendraient à des clients de cette entreprise.

Selon le service de veille de ZATAZ, les pirates connus sous le nom d’Unsafe sont en réalité des collecteurs d’informations de cyberattaques qu’ils n’ont pas eux-mêmes organisées. Ils mettent ces informations en vente sur leur blog caché dans le darkweb, et il est possible qu’ils négocient également avec d’autres groupes pirates qu’ils prétendent être des partenaires.

Cependant, il semble impossible selon ZATAZ qu’ils soient impliqués avec les groupes REVil/Sodinokibi. Malgré tout, il ne faut pas s’étonner de quoi que ce soit de la part des pirates.